Nerva
empereur romain de 96 à 98, à Narnia, en Ombrie (Italie)
(latin : Imperator Nerva Caesar Augustus Germanicus)
(8 novembre 30 – 25 janvier 98)
empereur romain, qui régna du 18 septembre 96 au 25 janvier 98.
Malgré la brièveté de son règne, il eut le temps de fonder ce qu'on appelle communément la dynastie des Antonins, en choisissant comme successeur un excellent général, Trajan.
1027
Guillaume le Conquérant
roi d'Angleterre († 9 septembre 1087).
1618
Claude-Lamoral Ier, prince de Ligne
(1618-1679)
diplomate
vice-roi de Sicile en 1669
3ème prince de Ligne.
- Né le 8 novembre 1618
- Décédé le 21 décembre 1679 à Madrid à l'âge de 61 ans
- Florent de Ligne, Né le 13 août 1588 - Décédé le 17 avril 1622 à l'âge de 33 ans
- Louise de Lorraine Née en 1594 - Décédée le 1er décembre 1667 à Mons (Belgique) à l'âge de 73 ans
- Marié en 1642 avec Klara Maria von Nassau-Siegen Née le 7 octobre 1621 - Décédée le 2 septembre 1695 à l'âge de 73 ans
- dont
- Henri Louis Ernest 4ème prince de Ligne Né le 4 février 1644 - Décédé le 8 février 1702 à l'âge de 58 ans
- Procope Hyacinthe prince de Ligne et du Saint-Empire, marquis de Moüy Brigadier des armées du Roi, capitaine lieutenant des gendarmes écossais
- Claire Louise Décédée en 1684
- Charles Joseph Procope Né le 20 août 1661 à Baudour - Décédé le 23 avril 1713 à Padova à l'âge de 51 ans
En 1660, il est chargé de présenter à Charles II d'Angleterre les félicitations du roi d'Espagne. Appréciant le faste, il emmène avec lui quinze camarades gentilshommes, douze domestiques, deux aumôniers, trois secrétaires, un médecin, un contrôleur, cinq valets de chambre, un joueur de luth, douze pages, quatre trompettes, vingt-quatre laquais, huit cochers, vingt palefreniers, vingt officiers de la maison, quatorze carrosses et cent vingt-quatre chevaux...
Le 17 août 1660, tout ce petit monde embarque sur deux navires à Ostende. Le lendemain, l'ambassadeur est salué au nom du roi à l'embouchure de la Tamise. Il débarque au bruit de l'artillerie à la Tour de Londres. Un tableau peint par Du Chastel commémore cette arrivée dans le Salon des Ambassadeurs du château de Belœil. Le prince Claude-Lamoral Ier est reçu plusieurs fois en audiences publiques et privées par le roi d'Angleterre. Après un séjour d'un mois, il prend le chemin du retour.
Sa carrière diplomatique est loin d'être finie : il sera vice-roi de Sicile en 1669 et préside à ce titre l'ouverture du Parlement de Palerme. Il meurt dix ans plus tard en 1679. Il avait épousé Claire-Marie de Nassau-Siegen.
1913
Emmanuelle de Dampierre
« Reine de France et de Navarre »
(Succession légitimiste)
1941-1947 / 1975
Emmanuelle de Dampierre
duchesse d'Anjou et de Ségovie
(première dame de France, du point de vue des légitimistes)
Victoire Jean Joséphine Emmanuelle de Dampierre
née à Rome, en Italie, le 8 novembre 1913.
Elle est la première épouse de Jacques Henri de Bourbon, « duc d'Anjou et de Ségovie » et prétendant légitimiste au trône de France et est donc considérée par ses partisans comme une « reine de France et de Navarre »
Emmanuelle de Dampierre est la fille aînée de Roger de Dampierre (1892-1975), vicomte de Dampierre et duc de San Lorenzo, et de son épouse italienne donna Vittoria Ruspoli des princes de Poggio Suasa (1892-1982) [1]. Le 4 mars 1935, elle épouse, à l’église Saint-Ignace-de-Loyola de Rome, Jacques Henri de Bourbon (1908-1975), « duc de Ségovie », fils du roi Alphonse XIII d’Espagne.
Le couple a deux enfants, qui portent les noms des frères hémophiles de Jacques Henri :
- Alphonse de Bourbon (1936-1989), duc de Cadix et « duc d’Anjou », qui épouse Carmen Martínez-Bordiú (1951). D’où deux fils, François et Louis ;
- Gonzalve de Bourbon (1937-2000), « duc d’Aquitaine », qui épouse d’abord Carmen Harto Montealegre (1947), puis Mercedes Licer García (1963) et enfin Emmanuella Pratolongo (1960)
Sur un plan purement civil, le mariage d’Emmanuelle de Dampierre et de Jacques-Henri de Bourbon est dissout par le tribunal civil d’Ischef, à Bucarest, en Roumanie, le 6 mars 1947. Le divorce est ensuite validé en Italie par la cour d’appel de Turin présidée par Domenico Riccardo Peretti Griva, qui en ordonne la transcription à l’état civil de Rome le 3 juin 1949, avec une décision historique qui a fait pour longtemps jurisprudence en Italie. Cependant, l’union n’est jamais annulée par l’Église et reste valide en Espagne.
Le 21 novembre 1949, Emmanuelle de Dampierre se remarie civilement à Vienne, en Autriche, avec le milanais Antonio Sozzani (1918), agent de change et fils du banquier Cesare Sozzani et de Cristina Alemani. Ce mariage civil se termine également par une séparation vers 1967.
Biographie
L’adolescence d’Emmanuelle de Dampierre est durement marquée par le divorce de ses parents en 1930 et par les difficultés financières que connaît sa mère à la suite de cet événement. Désargentée, la famille d’Emmanuelle la pousse donc à trouver un bon parti, ce qui semble se produire lorsqu’elle épouse l’aîné des fils survivants du roi Alphonse XIII d’Espagne[2]. Par ce mariage, Emmanuelle devient en effet, pour les légitimistes français, « dauphine » (en 1938) puis bientôt « reine de France » (en 1941), tandis qu’en Espagne le général Franco et les milieux monarchistes lui reconnaissent le titre de « duchesse de Ségovie » (même si Franco n'ira pas jusqu'à en faire concession officielle à son mari). Pour certains royalistes espagnols, qui n’acceptent pas la renonciation de son époux, elle est même la future reine d’Espagne[3]
Cependant, le mariage de rêve fait long feu. Emmanuelle de Dampierre ne tarde pas à découvrir que son époux la trompe sans vergogne, qu’il est dépensier et qu’il a également des problèmes d’alcool[4]. Au fil des années, les relations du couple se dégradent donc et cela malgré la naissance de leurs deux fils, Alphonse et Gonzalve.
Finalement, le couple se sépare en 1947 et ses deux enfants sont envoyés dans un internat suisse, où ils passent la plupart de leurs vacances scolaires.
Quelques temps après, Emmanuelle se remarie civilement en Italie mais elle ne tarde pas à connaître à nouveau les affres de la trahison maritale et cette seconde union est, comme la précédente, suivie d’un divorce. Depuis, elle se lie à l'avocat napolitain Federico Astarita (1921-1974), ex-gendre de Gino Sotis, l'avocat italien qui s'était occupé de son premier divorce à Bucarest et à Turin.
Les années 1980 sont une période très difficile pour Emmanuelle de Dampierre. Après trois ans de séparation, son fils aîné, Alphonse de Bourbon, et l’épouse de celui-ci divorcent avec fracas en 1982. Deux ans plus tard, en 1984, un grave accident de voiture coûte la vie au fils aîné du duc, François de Bourbon (1972-1984), tandis qu’Alphonse et son deuxième fils sont grièvement blessés. Enfin, en 1989, Alphonse de Bourbon meurt décapité dans un accident de ski aux États-Unis.
Emmanuelle de Dampierre cherche dès lors à prendre sous son aile son dernier petit-fils, Louis de Bourbon, « duc d’Anjou », mais c'est finalement chez son autre grand-mère, Carmen Franco (1926), que celui-ci s’installe.
Emmanuelle de Dampierre accompagne cependant le prétendant légitimiste ou le représente lors de diverses cérémonies officielles, comme par exemple la messe anniversaire de la mort de Louis XVI qui a lieu tous les 21 janvier. La « duchesse d'Anjou et de Ségovie » s’implique également dans les querelles qui opposent Orléans et Bourbon, comme le montrent ses déclaration lors de l’attribution du titre de « duc d’Anjou » à Charles-Philippe d'Orléans par son oncle le « comte de Paris »[5]
En 2003, la presse espagnole offre une large couverture médiatique à la publication des mémoires d’Emmanuelle de Dampierre : El Mundo et Hola en publient de longs extraits tandis qu’ABC[6] et El País en font des critiques peu flatteuses.
Louis de Bourbon et son épouse Maria-Marguarita se rendent avec leur petite Eugenia née en mars 2007, à l'anniversaire d' Emmanuelle de Dampierre qui fête ses 95 ans.
La « duchesse d’Anjou et de Ségovie » grand-mère paternelle (Alphonse de Bourbon, 1936-1989, Duc de cadix) de Louis de Bourbon est née à Rome le 08 novembre 1913.
1920
Eugênio de Araujo Sales
cardinal brésilien, archevêque émérite de Sao Paulo.
1935
« Vérité dans la charité »[1
Alfonso López Trujillo
cardinal colombien, président du Conseil pontifical pour la famille († 19 avril 2008)
Lady Louise Mountbatten-Windsor
fille des comtes de Wessex
Lady Louise, Alice, Elizabeth, Mary Mountbatten-Windsor
Pour rappel, la jeune lady est née le 8 novembre 2003 au Frimley Park Hospital dans le Surrey.
Né avant terme, la petite fille était née par césarienne avant d’être transférée dans une unité de soins pour prématurés dans un autre hôpital. Son père, le prince Edward, comte de Wessex se trouvait alors en voyage officiel à l’île Maurice. Ce n’est donc que plusieurs jours après, au moment de sa sortie de l’hôpital que la comtesse de Wessex put enfin serrer sa fille dans ses bras.
Depuis la petite fille n’a quasiment jamais été vue en public à l’exception d’une croisière royale (ici, sur cette image en 2006) ou lors de de vacances à la neige avec ses parents. Même lors du baptême de son frère, James, victomte Severn (né le 17 décembre 2007), elle n’est pas apparue sur la photo officielle.
Une petite lady qui fait, semble-t-il, les délices de ses grands-parents la Reine d’Angleterre et le duc d’Edimbourg en particulier, très attaché à la comtesse de Wessex.