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 Ils sont tous là !
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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 23:00
1607
http://www.jcbourdais.net/journal/images_journal/claudess2.jpg
Claude de Rouvroy
comte de Rasse puis duc de Saint-Simon
Il fut un favori du roi Louis XIII
Gouverneur de la Ville, Château et Comté de Blaya, Saint-Germain-en-Laye et de Versailles.
Décédé le 3 mai 1693 à Paris à l'âge de 85 ans
Parents
Marié le 26 septembre 1644 avec Diane Henriette de Budos, marquise de Portes 1629-1670 

(fiançailles célébrées au Palais Royal le 7 septembre 1644 en présence de Louis XIV),

 

dont

Gabrielle Louise 1646-1684

Louis 1650-1651

Marie Madelaine 1659-1665

Remarié le 12 octobre 1670 avec Charlotte de L'Aubespine ca 1640-1725, dont
Louis 1675-1755
Relations
Témoin au mariage de Jean-Louis d'Arpajon 1632-1669 et de Charlotte de Vernou, dame de La Rivière 1641-1692/

Biographie 

Fils d'un seigneur picard ruiné par les guerres de religion, Claude de Saint-Simon est placé comme page de la petite écurie au service de Louis XIII dont il sait vite conquérir l'amitié. Selon le caustique Tallemant des Réaux, la qualité essentielle du jeune Claude est de « ne point baver dans le cor du roi[1] » , mais surtout de suivre fidèlement le roi dans toutes ses campagnes. Claude apporte au monarque quelques bons conseils comme celui de soutenir Richelieu lors de la Journée des Dupes. En 1627 il devient premier écuyer de France, puis Grand louvetier de France en 1628 et premier gentilhomme de la Chambre du roi. Il se distingue au Siège de La Rochelle et reçoit la seigneurie d'une partie de la ville. En 1630 il est fait gouverneur de Blaye et des châteaux de Saint-Germain et de Versailles. Enfin, en janvier 1635 il est porté au rang de duc et pair sous le titre de duc de Saint-Simon et reçoit l’ordre du Saint-Esprit. Mais il est disgracié en 1636, pour avoir défendu le baron de Saint-Léger, son oncle, qui avait trop vite rendu une place forte[2].


De 1636 à 1643 il est exilé à Blaye. Lorsqu'il peut revenir à la Cour, il assiste à la mort de Louis XIII. Il se tient dès lors à l'écart des affaires politiques, bien qu'il prenne le parti d'Anne d'Autriche et de Mazarin lors de la Fronde. Il réside alors dans son château de La Ferté-Vidame[3], village dont il fait reconstruire l'église. En 1672, inquiet de ne pas avoir d'héritier mâle, son premier mariage n'ayant donné qu'une fille, il se remarie à soixante-sept ans avec Charlotte de l'Aubespine de Châteauneuf. Son fils Louis, le célèbre mémorialiste, naît le 16 janvier 1675 ; le duc Claude le titre vidame de Chartres. Dès lors Claude consacre tous ses efforts à bien éduquer et placer son fils, et meurt en 1693, juste après la nomination au grade de capitaine du vidame de Chartres, dès l’abord bien accueilli par Louis XIV, eu égard à la considération qu’il réservait au père.

  1. Tallemant des Réaux, Gédéon, Historiettes, Antoine ADAM éd., Paris, Gallimard, 1960.
  2. Poisson Georges, Monsieur de Saint-Simon, Paris, Berger Levrault, 1973 (1ère éd.), p. 10
  3. Formel-Le Vavasseur François, Le Duc de Saint-Simon, comte de La Ferté-Vidame, mémorialiste et épistolier, éd. BoD, 2009, ISBN 978-2-8106-0354-1 [archive] , 332 p., p. 63-73

Bibliographie 

Édition de textes
  • SAINT-SIMON (Duc de). Les Siècles et les jours. Lettres (1693-1754) et Note "Saint-Simon" des Duchés-pairies, etc. Textes établis, réunis et commentés par Yves Coirault. Préface d’Emmanuel Le Roy Ladurie, membre de l’Institut. Éditions Honoré Champion, 2000. 1064 p., rel. 978-2-7453-0251-9
  • SAINT-SIMON (Duc de). Hiérarchie et mutations : Écrits sur le kaléidoscope social. Textes établis, réunis et commentés par Yves Coirault. Éditions Honoré Champion, 2002. 424 p., rel. 978-2-7453-0545-9
Études 
  • Bibliographie de Johel Coutura, spécialiste du duc Claude, ancien Directeur et fondateur des Cahiers du Vitrezais (Maison de Pays- 33920 Saint-Savin ou email : vitrezais@gmail.com)

Auteur d’études et d’articles sur le Blayais, Blaye, sa citadelle et tout particulièrement sur son gouverneur, le duc Claude de Saint-Simon, dont :

  • Cahiers du Vitrezais, n° spécial XXXIX, février 1982 (par Johel Coutura et François Formel) : sources et archives, p. 1 à 94, d’après l’inventaire après décès de Louis, duc de Saint-Simon, aperçu de gestion domaniale en Blayais, au minutier central des Archives Nationales et en complément, analyse d’une « source fondamentale pour l’étude du Blayais et du Vitrezais : le fonds La Force aux Archives Nationales ».
  • « La citadelle de Blaye », Cahiers du Vitrezais, 1980, p. 14-35.

Voir aussi :

  • « Autour du blason de Claude de St-Simon », dans Sud-Ouest, 6 août 1971, article inséré dans la réédition de l’ouvrage de l’Abbé Bellemer : Histoire de la ville de Blaye, 1886 et rééd. Montpensier, 1975, avertissement par J. Coutura et « Blason », p. XXV-XXIX.
  • « Les Saint-Simon en Blayais et Vitrezais », dans Cahiers Saint-Simon, édités par la société Saint-Simon consacrée au mémorialiste, n° 7, 1979, p. 3-9.
  • « Claude de Rouvroy, premier duc de Saint-Simon », Cahiers Saint-Simon, n° 8, 1980, p. 75-87.
  • « Le château de Blaye », Cahiers Saint-Simon, n° 12, 1984, p. 93-104 (clichés et plans).
  • « Blaye, exemple de l’application tranquille de l’édit de Fontainebleau », Cahiers Saint-Simon, n° 13, 1985, p. 11-15.
  • « Correspondance, colligée et annotée du duc Claude (1ère partie : 1628-1643) », Cahiers Saint-Simon, n° 15, 1987, 80 p. sur 2 colonnes.
  • « Correspondance », suite, Cahiers du Vitrezais, n° 96, 2006, « année 1653 :3 janvier-29 juillet », et n° 97, 2007, « année 1652 :6 janvier-14 juillet ».
  • Claude de Saint-Simon, favori de Louis XIII (1626-1643), Marcillac, éd. du Glorit et chez l’auteur, 1986, VII et 443 p. (quelques exemplaires multigraphiés, en prévision d’un imprimé).
  • « Claude de Saint-Simon, témoin de la Fronde à Bordeaux », Annuaire-Bulletin de la Société de l’Histoire de France (1985-1986), Paris, 1988, p. 75-94.
  • « De la volupté à la disgrâce, Claude de Saint-Simon dans le flanc du roi (1626-1643) », Cahiers Saint-Simon, n° 17, 1989, p. 61-84.
  • « Duc Claude de Saint-Simon », Cahiers Saint-Simon, n° spécial 21,1993, (pour le tricentenaire de sa mort : articles de Pierre Chevalier, François Formel, Hubert Carrier, Hélène Himelfarb et Johel Coutura, organisateur de la journée au Collège de France).

Les différentes thèses parues récemment sur le mémorialiste et citées ci-dessous ne font qu’évoquer le nom de son père, étant spécialement consacrées à l’étude des Mémoires du duc de Saint-Simon et ne semblent pas devoir être retenues pour un article spécialement consacré au duc Claude :

  • Delphine de Garidel. Poétique de Saint-Simon. Cours et détours du récit historique dans les Mémoires. Éditions Honoré Champion, 2005. 654 p., rel. 978-2-7453-1156-6
  • Malina Stefanovska. Saint-Simon, un historien dans les marges. Éditions Honoré Champion, 1998. 216 p., rel. 978-2-85203-846-2
  • François Raviez. Le Duc de Saint-Simon et l’écriture du mal. Une lecture démonologique des Mémoires. Éditions Honoré Champion, 2000. 576 p., rel. 978-2-7453-0157-4
  • Marc Hersant, Le discours de vérité dans les mémoires du duc de Saint-Simon. Éditions Honoré Champion, 2009. 1 vol., 944 p., relié, 15,5 x 23,5 cm. ISBN 978-2-7453-1784-1

S’il n’y en avait qu’une à mettre, ce serait celle de M. François Formel, soutenue à Paris IV-Sorbonne, et publiée en 1983-1984 : Alliance et généalogie …chez Saint-Simon, P., éd. Vendôme et du Tricentenaire, t. XXIII et XXIV (ou 4 volumes brochés en tirés à part) ; sur le duc Claude de Saint-Simon, voir t. XXIV (t. III, br.), p. 34-58, (généalogie et famille), p. 151-152 (iconographie), p. 405-408 (héraldique et armoiries), p. 527 et suiv. (table généalogique).

Voir encore :

  • Georges Poisson, « Une correspondance inédite avec l’Abbé de Rancé », lettres du duc Claude et de son fils au réformateur de La Trappe, Cahiers Saint-Simon, n° 1, 1973, p. 5 et suiv.
  • François Formel, « La disgrâce du duc Claude de Saint-Simon, d’après une lettre autographe inédite (7 décembre 1636) », Cahiers Saint-Simon, n° 2, 1974, p. 47-50.
  • Josette Boudrie, « Portrait du père dans les Mémoires de Saint-Simon », 1970 (exemplaires dactylographiés de ce mémoire de maîtrise déposé à la bibliothèque de Clermont et à l’Institut de Français).
  • Site dédié au Duc de Saint-Simon à La Ferté-Vidame [1] avec portraits de toute la Cour à la rubrique "Musée virtuel", vues du Château au temps des Saint-Simon, et chapitre sur le duc Claude.
  • Site dédié au Duc et à la Société Saint-Simon [2], avec le sommaire de tous les Cahiers Saint-Simon.

 

  1688 

Gaspard de Clermont-Tonnerre

 

militaire français , maréchal de France 

 

né le 16 août 1688 à Dijon, Côte-d'Or 

 

mort le 16 mars 1781, en l'Hôtel Matignon, à Paris

 

noble, descendant de l'une des plus grandes familles du royaume -remontant au XIe siècle - et un militaire français du XVIIIe siècle, marquis de Cruzy et de Vauvillers (dit de Clermont-Tonnerre), puis duc de Clermont-Tonnerre - il est le premier duc de Clermont-Tonnerre - et pair de France, Seigneur de Mangevel, comte d'Epinac, seigneur de Maugevel, de Champlâtreux, de Saintry, de Mazeline, de Demangevelle, de Pont du Bois, de Selles, premier baron, connétable, grand-maître héréditaire de Dauphiné, maréchal de France, puis doyen des maréchaux de France.

Gaspard fait une carrière militaire brillante dans les armées de Louis XV.

 

Il s'illustre en 1745 à la bataille de Fontenoy aux côtés de Maurice de Saxe contre les anglo-hollandais.

Il intervient d'une façon décisive à la tête de la cavalerie, en dirigeant une attaque fulgurante qui disloque le carré ennemi et permet de remporter une victoire qui fut longtemps indécise.

 

Après la bataille de Lauffeld le 17 septembre 1747, Gaspard de Clermont-Tonnerre est nommé maréchal de France.

Le 10 avril 1714, il épouse à Paris Antoinette Potier de Novion (1685-1754), avec laquelle il a trois enfants :

Devenu veuf, il se remarie le 29 juillet 1756 avec Marguerite Pauline de Prondre.

 

De 1715 à 1723, il fait construire sur ses terres, aux confins de la Champagne, la Lorraine et la Franche-Comté, dans le nord de l'actuel département de la Haute-Saône, le château de Vauvillers, surmonté d'une toiture de tuiles vernissées de plusieurs couleurs, comme aux Hospices de Beaune.

 

Il aime venir s'y reposer entre deux campagnes. Avec l'âge, ses séjours à Vauvillers s'allongent de plus en plus. Il en profite pour gérer directement les affaires de la seigneurie, régler les contentieux, assainir l'économie du fief, ce qui permet de rouvrir des forges. Le 28 mars 1768, il accepte le projet pour la construction d'une église pour le village, qu'il souhaite beaucoup plus spacieuse. Elle est achevée en 1773, et ne subit que peu de modifications depuis lors.

En 1717, Gaspard de Clermont-Tonnerre est fait chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis. Le 3 juin 1724, dans la chapelle du château de Versailles, il est reçu dans l'Ordre du Saint-Esprit, dans la troisième promotion du règne de Louis XV.

 

Le 11 juin 1775, lors du sacre de Louis XVI en la cathédrale de Reims, Gaspard de Clermont-Tonnerre, alors âgé de 87 ans, en sa qualité de doyen des maréchaux du royaume, a l'honneur - comme il est d'usage - de tenir pendant la cérémonie, « Joyeuse », l'épée de Charlemagne. Louis XVI, à cette occasion, élève le maréchal à la dignité de duc et de pair de France.

 

Le duc Gaspard meurt le 16 mars 1781 à 93 ans, âge respectable pour l'époque.

 

Précédé par Gaspard de Clermont-Tonnerre Suivi par
Henri Antoine de Clermont-Tonnerre
Blason Clermont-Tonnerre.svg
duc de Clermont-Tonnerre
Jules Charles Henri de Clermont-Tonnerre

 

 

1939

Blason de Sean Baptist Brady

Sean Baptist Brady

cardinal irlandais, archevêque d'Armagh.


 

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:01

Le 15 août est le 227ejour de l'année

(228e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien.

Il reste 138 jours avant la fin de l'année.

 

C'était généralement le jour du lupin, 28e jour du mois de thermidor dans le calendrier républicain français.

Jour férié de l'Assomption de Marie dans plusieurs pays de tradition chrétienne, dont la Belgique, la France, l'Italie, etc.

 

 

Célébrations 

globe-marie-copie-1.gifAssomption de Marie (jour férié)

 

Prénoms du jour  

Bonne fête aux :

Et aussi aux :

 

 

 523 

Début du pontificat de Jean Ier

Saint Jean Ier

http://missel.free.fr/Sanctoral/05/18.php

 

né en Toscane, à Populonia, ou à Sienne, ou encore dans le chateau de Serena (une petite forteresse bâtie par Serena, femme de Stilicon, et détruite dans le Moyen Âge et aujourd’hui totalement disparue), près du village de Chiusdino, vers 470, pape du 15 août 523 au 18 mai 526. Son règne de deux ans et neuf mois. Il est considéré comme un martyr par les catholiques et est fêté le 27 mai.

Le roi ostrogoth arien Théodoric le Grand, qui de Ravenne, régnait sur toute la péninsule italienne, envoya le pape contre son gré à Byzance pour qu'il tente de faire adoucir un édit de l'empereur Justin contre l'arianisme. C'est le premier pape reçu à Constantinople. L'accueil est chaleureux, mais son ambassade auprès de l'empereur n'est pas couronnée de succès. À son retour à Rome, Jean fut arrêté par Théodoric qui le suspectait d'avoir comploté contre lui à Byzance. Il fut jeté en prison à Ravenne où il mourut de faim.

Son corps a été transporté à Rome et se trouve aujourd'hui dans la basilique Saint-Pierre.

En art, on le représente derrière les barreaux d'une prison ou en compagnie d'un diacre ou d'un sous-diacre.

On croit, et il est possible, que la petite église de Saint Jean, dans Chiusdino, détruite à cause de la guerre de Sienne en 1555, elle a été dédiée au Pape Jean Ier, ainsi qu'à Saint Jean Baptiste.

Précédé par Jean Ier Suivi par
Hormisdas
Emblem of the Papacy SE.svg
Liste des papes
Félix IV

 

778 

Bataille de Roncevaux

 

885

http://www.ciap-montauban.com/00_inventaire/images/MON_04820008NUC_V_000.jpg

 Saint Théodard est sacré archevêque de Narbonne.

 

Saint Théodard ou Audard était évêque métropolitain de Narbonne.

 

Il serait né à Montauban vers 840 et y serait décédé le 1er mai 893.

 

Town hall of Narbonne.jpg

 

Il connut une jeunesse studieuse.

 

Sous-diacre, il accompagna l'évêque de Narbonne dont il devint le secrétaire.

 

Archidiacre, il fut chargé de grandes missions et fut élu évêque et consacré le 15 août 885.

 

Dans cette région qui avait été très bouleversée par les invasions des Sarrasins, il entreprit de tout restaurer.

 

Malheureusement, les musulmans débarquaient souvent encore dans les environs de Narbonne, commettant beaucoup d'atrocités et emmenant avec eux des captifs.

 

Il soutint son peuple dans ces épreuves.

 

 

« Te chercher et t'aimer n'ont jamais cessé d'être la première de mes préoccupations, disait-il dans sa prière sur son lit de mort »

 

Un collège à Montauban porte son nom.

 

1118 

Jean II Comnène succède à Alexis Ier Comnène comme empereur byzantin.

 

 

1209

Fichier:Cathars expelled.JPG

Prise de Carcassonne


Carcassonne et Raimond-Roger Trencavel capitulent (croisade des Albigeois)[1]

 

un croisé se présente aux portes de la cité et demande à Raimond Roger de venir entamer des pourparlers. Reddition ? Trahison ?
Nul ne le sait... Sauf que les défenseurs et le peuple de la cité de Carcassonne obtiennent le droit de partir libre contre la mise en prison de leur vicomte. Le 15 août 1209, les croisés entrent dans Carcass...onne et Simon de Montfort devient le nouveau vicomte. 04 mois plus tard, dans les geôles de la cité, le 10 novembre 1209, Raimond Roger Trencavel meurt de dysenterie. Mort naturelle ? Assassinat ? Le doute persiste...
Chanté par les troubadours comme un symbole de la liberté, le vicomte Raimond Roger a imprimé son image dans la mémoire occitane.

 

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Raimond Roger Trencavel

Quand son père Roger II décède en 1194, Raimond Roger hérite d’un vaste domaine. Il est vassal du comte de Toulouse pour les vicomtés de Béziers et d’Albi. En effet sa mère Adélaïde, fille de Raimond V et de Constance de France, elle même fille du roi de France Louis VI, apporta en dot ces 2 territoires.
Il est également vassal du roi d’Aragon pour la vicomté de Carcassonne après que l’un des aïeuls de Raimond Roger  reconnut en 1157 la souveraineté de Barcelone.

La Tutelle de Bertrand de Saissac

A la mort de son père, le jeune Trencavel est encore trop jeune pour gouverner. Il est donc placé sous la tutelle de Bertrand de Saissac dont le fief se situe en plein Montagne Noire.
Bertrand de Saissac est reconnu grâce à une déposition inquisitoriale comme un croyant cathare. Il est en tout cas très enclin à un anticléricalisme catholique prononcé comme le montre l’anecdote de la succession de l’Abbé d’Alet.

Abbaye d'Alet sur les bord de l'Aude (11)En 1197, à la mort de Pons d’Amiel, les religieux choisissent Bernard de Saint-Ferréol. On ne connait pas le différent entre ce nouvel abbé et Bertrand de Saissac mais ce dernier se rendit sur place et mit en prison le nouvel abbé. Il fit alors déterrer le cadavre de Pons d’Amiel, le mit sur le siège abbatial et devant les moines restant, fit procéder à une nouvelle élection.
Certainement que Boson, le nouvel abbé élu convenait davantage à Bertrand de Saissac qui pour faire valider son élection donna à l’archevêque de Narbonne, une somme d’argent, semble t’il, assez rondelette...

Raimond Roger Trencavel est entre de bonnes mains...

L’administration de Raimond Roger Trencavel

En 1199 à l’âge de la majorité fixé à 15 ans, il administre lui même ses états. Bertrand de Saissac est devenu à la fin de sa régence, son conseiller. On ne lui connait aucune mesure visant à lutter contre l’hérésie cathare.
Il se marie avec Agnès de Montpellier et en 1204 nait un fils, le futur Raimond II Trencavel

Lors du débat contradictoire opposant catholique et cathare, organisé en 1204 par son suzerain, Pierre II d’Aragon , les Bons Hommes sont condamnés et considérés comme hérétiques. Pierre II le catholique enjoint alors Raimond Roger de chasser les hérétiques cathares mais rien n’est entrepris.

Le déclenchement de la croisade

Quand le légat du pape, Pierre de Castelnau est assassiné au début de l’année 1208, il ne fait aucun doute que la croisade contres les Albigeois et leurs protecteurs va être déclenchée.

Raimond Roger Trencavel et son oncle, le comte de Toulouse Raimond VI vont s’opposer dans la stratégie à employer. Un prône la guerre, l’autre la diplomatie... Le Languedoc à l’heure du déclenchement de la croisade est divisé et sa défense s’en ressentira malheureusement pour lui.
Bien sûr, Raimond Roger Trencavel va alors tenter de faire pénitence aux légats du pape quand l’armée de la Croisade va atteindre la ville de Montpellier mi juillet 1209. Trop tard ! L’armée est lancée et les va t’en guerre catholiques n’ont aucune envie de ne plus avoir en face d’eux d’adversaires et de devoir stopper la croisade...

Le siège de Carcassonne

Cité de Carcassonne (11)Trencavel va alors organiser la défense de la cité à Carcassonne. Mais après le sac de la ville de Béziers, l’armée des croisés fait peur et c’est sans résistance qu’elle se retrouve sous les remparts de Carcassonne le 1e août 1209 pour commencer le siège.

Très vite contraint à la défensive, Trencavel et les défenseurs de la cité voient comme une aubaine l’arrivée de Pierre II d’Aragon le 4 août.
Malheureusement devant l’intransigeance des croisés, la médiation échoue.
Une semaine plus tard, un croisé se présente aux portes de la cité et demande à Raimond Roger de venir entamer des pourparlers.

Reddition ? Trahison ? Nul ne le sait... Sauf que les défenseurs et le peuple de la cité de Carcassonne obtiennent le droit de partir libre contre la mise en prison de leur vicomte.

Le 15 août 1209, les croisés entrent dans Carcassonne et Simon de Montfort devient le nouveau vicomte.

4 mois plus tard, dans les geôles de la cité, le 10 novembre 1209, Raimond Roger Trencavel meurt de dysenterie. Mort naturelle ? Assassinat ? Le doute persiste...

Le désespoir de son peuple va faire naitre la légende de cet éphémère comte, luttant seul contre l’église catholique et les barons venus du Nord : "Paratge" était né.

Le crédit du vicomte est encore très important notamment parce que jusqu’à présent, son oncle le comte de Toulouse Raimond VI était plutôt mal considéré.
C’est la qualité des jeunes gens et ce sera également le cas pour Raimond VII que d’endosser le rôle d’ultime défenseur de l’Occitanie.
Malheureusement la naïveté et le panache qui en résultent, ont fait que ce rôle était voué par avance à l’échec et ça, l’avait bien compris mais cette attitude n’était pas dans l’air du temps...

 

 

1261 

Michel VIII Paléologue est couronné empereur à Byzance[2].

 

  1271 
A Reims, sacre de Philippe III.
http://www.bnf.fr/enluminures/images/jpeg/i2_0023.jpg

sacre_philippe_III_le_hardi.gif

 

1286 

Henri II, roi de Chypre, est couronné roi de Jérusalem[3].

 

 

1429 

Bataille de Montépilloy

 

1461 

epee01.gif

Sacre de Louis XI en la cathédrale de Reims

 
200px-Louis_XI_of_France.jpg

A Reims, sacre de Louis XI.
Le cortège de Louis XI, plutôt discret, contrastait beaucoup avec la magnificence de celui de Philippe le Bon.

Il fait son entrée triomphale à Paris le 31 août.

 

1483 

Le pape Sixte IV consacre la chapelle du Vatican qui portera par la suite son nom (Chapelle Sixtine) et la dédie à Notre-Dame de l'Assomption.

 

Par son ordonnance de Villers-Cotterêts (dans le département actuel de l'Aisne), le roi François Ier exige que tous les actes administratifs, politiques et judiciaires soient rédigés en français et non plus en latin.

http://www.location-et-vacances.com/cartographie/eo_image.php?coords=3.09028,49.2531&idcarte=147&idspot=3&label=Villers+Cotter%C3%AAts http://diexaie.files.wordpress.com/2009/08/francois1.jpg?w=500

Avec ses192 articles, cette ordonnance réforme la juridiction ecclésiastique, réduit certaines prérogatives des villes et rend obligatoire la tenue des registres des baptêmes (prémices d'un

Etat civil)


Mais elle est surtout connue pour être l'acte fondateur de la primauté et de l'exclusivité du français dans les documents relatifs à la vie publique du royaume de France.


Ainsi, pour faciliter la bonne compréhension des actes de l'administration et de la justice, l’ordonnance de Villers-Cotterêts impose qu’ils soient rédigés en français qui devient ainsi la langue officielle du droit et de l'administration, à la place du latin.


Dans les faits, il faudra beaucoup de temps avant que l'édit royal entre partout en application.


L'unité linguistique ne s'achèvera qu'au milieu du XXe siècle.


http://www.darmaisin.com/ressources/Illustrations/Villers-Cot.JPG

Elle a été rédigée en moyen français, voici les 2 points principaux en détails :

 

La tenue des registres de baptêmes et des sépultures

Art. 50 : Les sépultures des gens de bien doivent être enregistrées par les prêtres, qui doivent mentionner la date du décès.


« Que des sepultures des personnes tenans benefces sera faict registre en forme de preuve pour les chappitres, colleges, monasteres et curez, qui fera foy pour la preuve du temps de la mort, duquel sera faict expresse mention esd. registres, pour servir au jugements des procès ou il seroit question de prouver led. temps de la mort, a tout le moins quant a la recrance. »

(Que pour les sépultures des personnes tenant bénéfices sera fait registre en forme de preuve pour les chapitres, collèges, monastères et curés, qui fera foi pour la preuve du temps de la mort, duquel sera fait expressément mention desdits registres pour servir au jugements des procès ou il serait question de prouver ledit temps de la mort, à tout le moins quant à la récrance)

 

Art. 51 : Les baptêmes doivent être enregistrés par les prêtres qui doivent en mentionner la date.


« Aussi sera faict registre en forme de preuve des baptesmes, qui contiendront le temps de l'heure de la nativite, et par l'extraict dud. registre se pourra prouver le temps de majorité ou minorité et fera plaine foy a ceste fin. »

(Aussi sera tenu registre pour preuve des baptêmes, lesquels contiendront le temps et l'heure de la naissance, et dont l'extrait servira à prouver le temps de la majorité ou de la minorité et fera pleine foi à cette fin.)

 

L'usage du « langage maternel françoys » dans les actes officiels

Art.110 : Les lois et les textes juridiques doivent être rédigés de manière claire et intelligible.


« Que les arretz soient clers et entendibles Et afn qu'il n'y ayt cause de doubter sur l'intelligence desdictz arretz. Nous voulons et ordonnons qu'ilz soient faictz et escriptz si clerement qu'il n'y ayt ne puisse avoir aulcune ambiguite ou incertitude, ne lieu a en demander interpretacion. »

(Que les arrêts soient clairs et compréhensibles, et afin qu'il n'y ait pas de raison de douter sur le sens de ces arrêts, nous voulons et ordonnons qu'ils soient faits et écrits si clairement qu'il ne puisse y avoir aucune ambiguïté ou incertitude, ni lieu d'en demander une explication.)

 

Art.111 : Les lois du royaume, les documents administratifs ou juridiques ne seront plus rédigés en latin.


« Et pour ce que telles choses sont souventesfoys advenues sur l'intelligence des motz latins contenuz es dictz arretz. Nous voulons que doresenavant tous arretz ensemble toutes aultres procedeures, soient de nous cours souveraines ou aultres subalternes et inferieures, soient de registres, enquestes, contractz, commisions, sentences, testamens et aultres quelzconques actes et exploictz de justice ou qui en dependent, soient prononcez, enregistrez et delivrez aux parties en langage maternel francoys et non aultrement »

(Et parce que de telles choses sont arrivées très souvent, à propos de la compréhension des mots latins utilisés dans les arrêts, nous voulons que dorénavant tous les arrêts et autres procédures, que ce soit de nos cours souveraines ou autres, subalternes et inférieures, ou que ce soit sur les registres, enquêtes, contrats, commissions, sentences, testaments et tous les autres actes et exploits de justice ou de droit, que tous ces actes soient dits, écrits et donnés aux parties « langage maternel françoys », et pas autrement.)

 

 

 

1744 

Seconde guerre de Silésie : les troupes du roi Frédéric II de Prusse envahissent la Saxe et la Bohême, puis sont repoussées par les troupes autrichiennes et saxonnes.

 

Marie-Thérèse est forcée de rappeler ses troupes, ce qui dégage la frontière française.

 

1808 

Décret de Napoléon Ier sur l'éducation prévoyant, dans son article 38 que les écoles doivent désormais suivre les « principes de l’ Église catholique » et dans son article 109 que les Frères des écoles chrétiennes s’occupent de l’enseignement primaire et forment les instituteurs.

 

 1809 

Anniversaire de l'Empereur ; à cette occasion, les châteaux de Chambord, de Bruhe et de Thouars sont érigés en principautés de Wagram, d'Eckmühl et d'EssIing.

 

Ils sont donnés respectivement à Berthier, à Davout et à Masséna.

 

1983 

Jean-Paul II en pèlerinage à Lourdes.

 

2004 

Jean-Paul II en pèlerinage à Lourdes.

 

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:01

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L'Assomption de Marie est un dogme de l'Église catholique romaine selon lequel, au terme de sa vie terrestre, la mère de Jésus aurait été « élevée au ciel »

Ascension of the virgin Michel Sittow.jpg

 

Le terme « assomption » provient du verbe latin assumere, qui signifie « prendre », « enlever »

 

La fête catholique célébrant l'assomption de Marie, est le 15 août.

 

Histoire  

L'Assomption de Marie est pour l'Eglise catholique un dogme, c'est-à-dire un moyen de cheminer vers Dieu, résultat de la méditation séculaire du peuple de Dieu sur sa foi : on ne croit au dogme que parce qu'il va dans le sens de la Foi.

 

Avant d'être un dogme, l'Assomption de Marie était donc une croyance reposant sur des traditions et non sur des bases scripturaires reconnues des premiers temps de l'Église.

 

L'Eglise Catholique a considéré que cette tradition était conforme au dépôt de la Foi et « longuement mûrie par un siècle de théologie mariale omniprésente »   depuis la proclamation du dogme catholique de l'Immaculée Conception, dont il n'existe cependant pas trace dans la Bible.

Vox populi, vox Dei : l'assomption catholique, une croyance d'abord populaire 

Au IVe siècle, Épiphane de Salamine souligne que nul ne sait ce qu'il est advenu de Marie à la fin de sa vie 

 

La tradition à ce sujet n'est pas attestée avant le Ve siècle  .

 

En Occident, Grégoire de Tours est le premier à en faire mention, à la fin du VIe siècle 

 

Il s'appuie apparemment sur un corpus de textes apocryphes, appelés collectivement le Transitus Mariæ, généralement rattaché au Ve siècle 

 

Cet ensemble de textes est explicitement désigné par Gélase Ier en 495-496, comme étant "à ne pas retenir" car apocryphe, jugement qui porte sur cette compilation et non sur la croyance en elle même.

 

Selon cette tradition, Marie rencontre sur le mont des Oliviers un ange qui lui remet une palme de l'arbre de Vie et lui annonce sa mort prochaine. Marie rentre chez elle et fait part de la nouvelle à son entourage.

 

Miraculeusement, les apôtres reviennent des différents endroits où ils sont partis prêcher, afin de l'entourer. Jésus apparaît entouré d'anges pour recevoir l'âme de sa mère, qu'il confie à l'archange Michel (L'Archange Michel est le nom porté par Jésus lorsqu'il était au ciel avant de venir sur terre...)

 

Les apôtres enterrent le corps au pied du mont des Oliviers.

 

Quelques jours plus tard, Jésus apparaît de nouveau et emporte le corps au Paradis, où l'âme et le corps de Marie sont réunis.

 

En Orient, Jean Damascène rapporte la tradition de l'Église de Jérusalem à ce sujet : selon lui, Juvénale, évêque de Jérusalem, se voit demander lors du concile de Chalcédoine le corps de Marie par le couple impérial, Marcien et Pulchérie.

 

Juvénale répond que Marie est morte entourée de tous les apôtres, sauf Thomas, qui est en retard.

 

À son arrivée, quelques jours plus tard, Thomas demande à voir la tombe, mais celle-ci s'avère vide ; les apôtres en déduisent alors qu'elle a été emportée au ciel

 

Une autre tradition rapporte que l'Assomption a lieu à Éphèse, dans la maison connue aujourd'hui comme la « Maison de la Vierge Marie », accompagnée de l'apôtre Jean, à qui le Christ, sur la croix, avait confié Marie 

 

La première allusion attestée ne date que de la fin du IXe siècle, dans un manuscrit syriaque qui rapporte que Marie suit Jean à Éphèse et qu'elle y meurt 

 

Les seules autres sources pré-modernes sont trois auteurs syriaques des XIIe et XIIIe siècles 

 

 


Assomption de Marie - 15 août
envoyé par colasfrancis77. - Futurs lauréats du Sundance.

Une fête avant d'être un dogme  
  • Au VIe siècle, l'empereur byzantin Maurice instaure dans son empire, la fête de la "Dormition de la Vierge Marie" chaque année à la date du 15 août.
  • En occident, le Concile de Mayence, en 813 instaure à son tour la fête du 15 août sous le nom de fête de l'Assomption de la Vierge Marie.

L'Eglise Catholique ne voit rien d'hérétique à cette croyance.

  • En 1637, le roi Louis XIII désirant un héritier consacre la France à la Vierge Marie et demande à ses sujets de faire tous les 15 août une procession dans chaque paroisse afin d'avoir un fils. Comme Louis XIV naît l'année suivante, la fête célébrée par le Vœu de Louis XIII prend une importance particulière en France.

En 1854 la proclamation du dogme de l’Immaculée conception entraîne de nombreuses pétitions à Rome pour que soit officiellement défini le dogme de l’Assomption. "De 1854 à 1945, huit millions de fidèles écriront en ce sens. Il faut y ajouter les pétitions de 1332 évêques, de 83.000 prêtres, religieuses et religieux. Face à ces demandes répétées, Pie XII demande aux évêques du monde de se prononcer. 90% des évêques y sont favorables. 10% des évêques s’interrogent sur l’opportunité d’une telle déclaration"[1].

  • En 1950, Pie XII proclame la croyance en l'Assomption, dogme de l'Eglise Catholique : n'ayant commis aucun péché, Marie est directement montée au Paradis à sa mort, avec son âme et aussi avec son corps car épargnée par le péché originel (dogme de l'Immaculée Conception), rien n'oblige son enveloppe charnelle à attendre la résurrection des corps à la fin des temps.
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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:00
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Fichier:Imperial Seal of Japan.svg
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Armoiries pontificales de Pie II

{{{légende}}}

pape 
1793
(victime de la Révolution française)
baron de Mion et de Gombervaux
(Pierre Benoit de Mion)
Parents

 

 

1889 

Blason de Aimé-Victor-François Guilbert

Aimé-Victor-François Guilbert

 

cardinal français, archevêque de Bordeaux 

 

 

né le 15 novembre 1812 à Cerisy-la-Forêt 

 

mort le 15 août 1889 à Gap

 

homme d'Eglise, évêque, puis archevêque et cardinal français.

 

 

Aimé Guilbert fut ordonné prêtre à Coutances en 1837, évêque à Gap en 1867, évêque d'Amiens en 1879 puis archevêque de Bordeaux en 1883.

 

En 1889, il fut créé cardinal par Léon XIII, trois mois avant sa mort.

 

 

  1935

François, Gaston, Michel, Marie d’Orléans, prince de France, Fils de France est le 4ème enfant et le 2ème fils du comte et de la comtesse de Paris défunts.

 

Il est né le 15 août 1935 au manoir d’Anjou à Woluwé Saint Pierre (Bruxelles) en Belgique.

 

Il fut ondoyé lors de sa naissance puis baptisé le 25 août par Monseigneur Van der Cruys, assisté de l’abbé Dartein, ancien précepteur du comte de Paris.

 

Le bébé portait la robe de baptême en dentelle de Lyon, recouverte d’un surplis d’apparat en broche bleu pâle, provenant d’un des enfants du roi Louis XIV.

 

Le prince fut aussi baptisé à “la Béarnaise” des mains de son grand-père le duc de Guise.

 

Il était le filleul du prince Pedro d’Orléans-Bragance, frère de Madame la comtesse de Paris et de la princesse Françoise de France, princesse Christophe de Grèce, soeur du comte de Paris.


Le prince François a vécu une enfance assez mouvementée puisqu’il suivra ses parents au Brésil, au Maroc, en Espagne puis au Portugal.

 

Il terminera ses années au lycée à Pontoise chez les Oratoriens de Saint Martin et y obtiendra son baccalauréat.

 

Il a ensuite obtenu son diplôme de l’Institut agricole de Beauvais.


Il a ensuite intégré l’école d’officiers de Cherchell en Algérie.

 

Le prince a été sous-lieutenant au 7ème bataillon de chasseurs alpins, corps fondé par le duc d’Orléans, fils aîné du roi Louis Philippe.


Le prince François bénéficie d’une permission pour se rendre au mariage de sa soeur la princese Diane avec le duc Carl de Wurtemberg le 21 juillet 1960.

 

Il est apparu souriant aux cérémonies d’Altshausen. Le prince a dû regagné l’Algérie après les cérémonies pour poursuivre le combat au sein du 7ème BCA.


Le prince est mortellement blessé près de Michelet en Grande Kabylie le 11 octobre 1960.

 

Le comte et la comtesse de Paris, bouleversés par la terrible nouvelle, embarquent le lendemain de Lisbonne pour Paris où ils reçoivent les condoléances du Général de Gaulle et du Premier Ministre et s’envolent pour Alger.


Son frère aîné, le prince Henri s’est rendu à Tizi-Ouzou pour se recueillir devant la dépouille de son frère préféré.

 

Une messe de requiem est célébrée le 13 octobre en la cathédrale d’Alger en présence de tout le bataillon du prince.

 

Le comte de Paris a aussi titré son fils, duc d’Orléans à titre posthume le même jour. 

 

A l’issue de la messe, un avion a rapatrié sa dépouille en France.


Les obsèques ont été célébrées à Dreux le 17 octobre en présence du Gotha, du général Ollier (représentant du Président de la république), du garde des Sceaux Edmond Michelet et des officiers du 7ème BCA.

 

De Nombreux monarchistes se déplacèrent et suivirent la messe depuis le parc.

 

La comtesse de Paris qui dans ses mémoires relate ces douloureux moments et ses pensées quotidiennes à son fils, et le comte de Paris furent très éprouvés par le brutal décès de leur deuxième fils.  

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 23:00

1656 

Blason de Léon Potier de Gesvres

Léon Potier de Gesvres


cardinal français, archevêque de Bourges

 

Léon Potier de Gesvres (15 août 1656 à Paris, 12 novembre 1744 à Paris) est un homme d'Église.

 

Il a été le camérier du pape Innocent XI.

 

En 1694, il fut nommé archevêque de Bourges, mais il ne résida jamais dans cette ville.

 

Il devint cardinal en 1719.

Témoignages de contemporains  

  • Dangeau :

    « Le roi a donné l'archevêché de Bourges à M. l'abbé de Gesvres; cet archevêché vaut entre 25 et 30,000 livres de rente. Le roi n'a pas accoutumé de donner les archevêchés à des abbés; il choisit d'ordinaire un évêque. »

  • Saint-Simon, au retour de Rome du jeune abbé (il est rappelé à la suite de la querelle des franchises[1], tous les Français sont rappelés de Rome par ordre de Louis XIV) :

    « [Il] revint de bonne grâce. Le Roi, qui en fut touché, lui donna en arrivant, de plein saut, l'archevêché de Bourges qui venait de vaquer. »[2]

    « pour le cardinal de Gesvres, c'était avec de l'esprit, du savoir et une rage d'être cardinal, qui avait occupé toute sa vie un hypocondriaque de sa santé, qui, dès qu'il fut parvenu à la pourpre, se renferma presque aussitôt et ne se trouva plus à rien.. »[3]

  • La marquise de Créquy, qui n’aimait pas Saint-Simon, donne un éclairage un peu différent :

    « Celui que nous appelions le Patriarche, pour le distinguer de son neveu l'Évêque de Beauvais, s'était démis de son archevêché de Bourges par excès d'humilité chrétienne ; il a fini par se retirer au monastère de Saint-Rémy de Reims, dont il était Abbé-Commandataire, et où il se crut obligé de faire maigre le restant de ses jours pour se conformer à la règle de la communauté, qui est de l'ordre de St. Benoît. C'est ainsi qu'il se punit de ses petites sensualités, qui n'avaient scandalisé personne. »[4]

    Elle parle de lui lorsqu'elle raconte qu'il fut dévalisé, le plus poliment du monde, par Cartouche en s'en retournant à Bourges. Cette mésaventure n'était évidemment pas de nature à le rendre plus assidu dans son archidiocèse.
    1. La querelle des franchises survint en 1687, le pape voulait recouvrer ses pouvoirs de police dans le quartier des ambassades à Rome, ce à quoi s'opposaient lesdites ambassades. Peu à peu, toutes les puissances cédèrent sauf la France. Louis XIV envoya le marquis de Lavardin avec instruction de faire ferme.
    2. Saint-Simon, Mémoires, Tome I, Edition Yves Coirault, Pléiade,1983, p.677
    3. Saint-Simon, Mémoires, Tome VII, Edition Yves Coirault, Pléiade, 1987, p.341
    4. Créquy (Marquise de), Souvenirs, Tome I, Garnier Frères, 1873, p. 134

 

 

 

1769 

Naissance à Ajaccio (Corse), dans la maison familiale à l'angle des rues Malerba et del Pevero 

Maison natale de Napoléon Ier à Ajaccio, par L.A. Daligé de Fontenay

 

d'un enfant de sexe masculin, fils puîné de Carlo Maria (Charles-Marie) Buonaparte, avocat au Conseil supérieur de Corse, et de Letizia (Laetitia) Ramolino.

 

On le prénomme Napoleone (ou Nabulione), en souvenir d'un oncle mort à Corte deux ans plus tôt.

1932
Erzherzog von Österreich


Il s'agit d'un court métrage film (pas de son) à partir de la cérémonie de baptême de l'Autriche Stefan (Anton de l'archiduc héritier d'Autriche et de la Roumanie Ileana) à Moedling, 1932.
Au premier plan, la reine Marie de Roumanie, d'Espagne Alfonso XIII, Elizabeth, la Reine de la Grèce.
L'étroite shot présente la reine Marie de Roumanie et d'Espagne Alfonso étapes à venir avec d'autres personnes.
Parents

 

 

1935

blason

Emile Destombes

évêque catholique français, vicaire apostolique de Phnom Penh (Cambodge).

 

né le 15 août 1935 à Roncq

 

évêque catholique français, membre des Missions étrangères de Paris (MEP) 

vicaire apostolique de Phnom-Penh au Cambodge depuis 2001.

 

Repères biographiques

Émile Destombes a été ordonné prêtre le 21 décembre 1961 pour les Missions étrangères de Paris.

Nommé vicaire apostolique coadjuteur de Phnom-Penh au Cambodge le 14 avril 1997 avec le titre d'évêque in partibus d'Altava, il est consacré le 5 octobre suivant.

Il devient vicaire apostolique titulaire de Phnom-Penh le 14 avril 2001.

 

 

1950 

Coat of Arms of Anne, the Princess Royal.svg

Anne du Royaume-Uni

 

princesse du Royaume-Uni.

Fichier:Princesa Ana do Reino Unido.jpg

La princesse Anne, princesse royale

 

(Anne Elizabeth Alice Louise Laurence[1]

 

née le 15 août 1950.

 

Elle est un membre de la famille royale britannique.

 

Elle est la seule fille parmi les quatre enfants du prince Philippe, duc d'Édimbourg et d'Elisabeth II, reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord.

 

Elle occupe la dixième place dans l'ordre de succession au trône britannique.

 

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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 23:01
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1789 

Armand-Gaston Camus est nommé archiviste à la Commission des archives de l'Assemblée Constituante 

il sera à l'origine de la création des Archives nationales

Armand Gaston Camus

Armand Gaston Camus fut l'un des premiers à prêter le serment du Jeu de paume. L'Assemblée nationale fit de lui son archiviste le 14 août 1789. Il défendit la déclaration des droits de l'homme mais voulut y adjoindre une déclaration des devoirs. Élu de la Haute-Loire à la Convention, il fut l'un des commissaires qu'elle manda pour arrêter Dumouriez et les généraux suspects, mais tomba aux mains des Autrichiens, qui le détinrent trente-trois mois. Il entra le 23 vendémiaire an IV au Conseil des Cinq-Cents, dont il fut président quelque temps. Il fut le premier conservateur de la Bibliothèque de l'Assemblée lors de la création de celle-ci, le 4 mars 1796. Nommé garde des archives générales le 4 thermidor an VIII, il mit sur pied un système rigoureux de classement des documents et procès-verbaux des assemblées parlementaires.

Armand-Gaston Camus, né le 2 avril 1740 à Paris et mort le 2 novembre 1804 à Montmorency (Seine-et-Oise), est un avocat, jurisconsulte et homme politique français, qui exerca son activité pendant la Révolution. Il est le fils de Pierre Camus, procureur au parlement de Paris.

Enthousiasmé par les bouversements politiques de l'époque, il est élu député du tiers état aux États généraux par la ville de Paris, le 13 mai 1789, et est l'un des premiers à prêter le serment du Jeu de paume. Élu président de l'assemblée constituante le 28 octobre 1789, il conserve cette fonction jusqu'au 11 novembre de la même année.

Nommé le 14 août 1789 archiviste à la Commission des archives de l'assemblée constituante, il est à l'origine de la création des Archives nationales. Il conserve ces fonctions d'archiviste national et de bibliothécaire du corps législatif jusqu'à sa mort. Il découvre et communique à ses collègues le Livre rouge contenant la liste des pensions payées par le Trésor royal.

Armand-Gaston Camus se fait haïr par ses anciens clients, en contribuant à rédiger et en faisant voter la Constitution civile du clergé. Il fait également supprimer les annates versées à la papauté, et pousse à l'annexion du comtat Venaissin. Le 30 juillet 1791, il obtient la suppression des titres de noblesse.

Élu à la Convention par le département de la Haute-Loire le 5 septembre 1792, il est en mission lors du jugement de Louis XVI, mais il écrit, le 13 janvier 1793, qu'il vote « la mort sans appel et sans sursis ». Dès son retour, il est nommé membre du comité de salut public.

Il est envoyé en Belgique comme commissaire de la Convention près l'Armée du Nord, commandée par le général Dumouriez, qui le fait arrêter ainsi que ses collègues, et les livre aux Autrichiens, le 3 avril 1793. Transférés à Mons, où est le quartier général du prince de Cobourg, ils sont avertis par le baron de Mack qu'ils sont retenus en otages pour sauver la reine Marie-Antoinette et son fils, et que leurs têtes en répondent ; détenus par la suite à Maastricht, Coblence et Olmütz, ils sont échangés à Bâle le 4 nivôse an IV (vendredi 25 décembre 1795) contre la fille de Louis XVI, et rentrent en France après trente-trois mois de captivité.

Élu au Conseil des Cinq-Cents, il refuse le ministère des Finances et de la Police qu'on lui propose.

Œuvres

Armand-Gaston Camus a publié :

  • Lettres sur la Profession d'avocat, 1772, qu'il compléta en 1777 par sa Bibliothèque de droit, et qui ont été reproduites par M. André Dupin sous le titre de Manuel de l'avocat en 1832, et beaucoup d'écrits sur les matières ecclésiastiques et juridiques comme son Code matrimonial de 1770.

Camus cultivant aussi avec succès la littérature grecque, on lui doit :

Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Armand-Gaston Camus » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 [détail des éditions]  (Wikisource)

 

Reproduction d'une édition de l'Esprit des Lois, de Montesquieu, annotée par Camus

 

 

1857
Inauguration du "nouveau Louvre"



Le Palais avait commencé sous Philippe Auguste, en 1204. Pendant six siècles, tous les monarques, les représentants de tous les régimes qui se sont succédé ont apporté leur pierre au vieil édifice:
François Ier édifia, sur les fondations de l'ancienne forteresse, un palais selon l'esthétique de la Renaissance.
Henri IV entreprit la construction de la Grande Galerie et du pavillon de Flore qui réunissent le Palais aux Tuileries.
Louis XIII donna à la cour carrée ses dimensions actuelles en faisant édifier le pavillon de l'Horloge par Lemercier.
En 1659, Louis XIV s'attacha à donner à la façade extérieure du palais une grandeur royale. La cour carrée fut débarrassée de ses deux ailes gothiques. Une autre façade fut construite sur la Seine et reliée à la colonnade.
Abandonné pour Versailles, le Louvre fut de nouveau à l'honneur sous l'Empire : si c'est à Napoléon III que l'on doit le Louvre tel qu'il se présente aujourd'hui du côté des Tuileries: Haussmann dégagea la place du carrousel. Visconti puis Lefuel ajoutèrent des bâtiments aux bras du palais: inauguré le 14 août 1857, le nouveau Louvre est le plus grand palais du monde. Sauvé de justesse de l'incendie sous la Commune, il fut restauré par Lefuel de 1873 à 1875. Aujourd'hui, le plus grand palais du monde abrite le plus grand musée du monde.

La colonnade du Louvre

 

 

1887 

{{{légende}}}

le pape Léon XIII couronne sainte Radegonde de Poitiers, mère de la patrie française

 

1919

Prince Waldemar de Prusse et princesse Calixta Agnes de Lippe
Mariage le 14 août 1919 du prince Waldemar de Prusse (1889-1945), fils du prince Heinrich de Prusse (1862-1929, frère de l'empereur Guillaume II) et de la princesse Irene de Hesse et du Rhin (1866-1953, soeur de la dernière impératrice de Russie)
avec la princesse Calixta Agnes de Lippe (1895-1982), fille du prince Friedrich Wilhelm (1858-1914) et la comtesse Gisela zuYsenburg-Büdingen in Meerholz (1871-1964).
La mort tragique du prince Waldemar est racontée dans le livre "Le sang des rois" de Jürgen Thorwald, Presses de La Cité, 1976.
La branche des comtes de Lippe-Biesterfeld portent le titre de princes et de princesses de Lippe depuis 1905 (voir le volume de l'Allemagne dynastique consacré à la Maison de Lippe)
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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 23:00

HONNEUR au Lieutenant Camille LEVREL

HONNEUR au Lieutenant Camille LEVREL Mort pour la France en AFGHA.

Mort pour la France en AFGHANISTAN

Dimanche 14 août 2011, le lieutenant Camille Levrel du 152e régiment d'infanterie (152e RI) agé de 36 ans et père de 3 enfants a été tué au cours d’une mission d’appui à l’armée nationale afghane, dans le sud de la Kapisa, en Afghanistan.
L'ANSSO s'associe à la douleur de sa famille de ses enfants et de ses proches et les assure de son entier soutien dans cette douloureuse epreuve.





Agé de 36 ans, marié et père de 3 enfants, le lieutenant Levrel s'était engagé en tant que militaire du rang au 1er  régiment d’infanterie de Sarrebourg  (1er  RI) en 1996.

Extrêmement motivé et montrant en permanence un sérieux et un grand professionnalisme, il est choisi pour suivre la formation de sous-officier semi-direct à Saint-Maixent en 2000.
En 2008, il présente le concours des officiers d’active des écoles d’armes (OAEA), qu’il réussit brillamment.

Durant ses 14 années de service, le lieutenant Levrel a été affecté successivement au 1er  RI , au 16e  bataillon de chasseur s de Saarburg en Allemagne, et au 152e  RI 
Il est projeté à Mayotte en 1997, en Nouvelle Calédonie en 1999, au Kosovo en 2001, en Afghanistan en 2002 et au Tchad en 2004.

Il est titulaire de la médaille outre-mer avec agrafe « Tchad », de la médaille d’or de la défense nationale avec agrafes « infanterie » et « missions d’assistance extérieure », de la médaille commémorative française avec agrafes « Ex-Yougoslavie » et « Afghanistan » et de la médaille OTAN avec agrafe « Kosovo »

Déployé en Afghanistan depuis le 31 mai 2011 dans le cadre de l’opération « PAMIR », le lieutenant Camille Levrel a été tué ce dimanche 14 août 2011 au cours d’une mission d’appui à l’armée nationale afghane dans le sud de la Kapisa, au nord-est de Kaboul.
Le militaire français a été touché et tué par un tir isolé d’un insurgé lors d’une opération de fouilles.

Dès l'annonce de son décès, M. Gérard Longuet , ministre de la Défense et des anciens combattants, a exprimé à la famille et aux proches du lieutenant Camille Levrel ses sincères condoléances.
Ses pensées vont également à ses compagnons d'armes.

L’armée de Terre , unie dans la peine, partage le deuil des proches et des camarades du lieutenant Levrel, et exprime sa plus vive émotion.
Cérémonie posthume au 152e RI
Photo AFP

 

La cérémonie des honneurs militaires funèbres qui seront rendus à Camille Levrel, militaire du 152e RI de Colmar décédé le 14 août dernier en Afghanistan et promu capitaine à titre posthume, a lieu vendredi à partir de 10 h 30.
Gérard Longuet, ministre de la Défense et des Anciens combattants, présidera la cérémonie en présence du général d’armée Elrick Irastorza, chef d’état-major de l’armée de terre.
Cet hommage est finalement ouvert au public, qui peut se présenter entre 10 h et 10 h 25 au quartier Walter, rue des Belges à Colmar, muni d’une pièce d’identité.

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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 23:00

1742 

Portrait du pape Pie VII

Barnaba Chiaramonti

 

pape sous le nom de Pie VII 

 

 

1817 

Ali III Bey - 2.jpg

Ali III Bey

 

bey de Tunis 

 

 

1926

Blason de Agostino Cacciavillan

Agostino Cacciavillan

 

cardinal italien, président émérite du Patrimoine apostolique.

 

 

 

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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 23:00
  582 
Tibère II Constantin
empereur byzantin

1040 

1464 
(Enea Silvio Piccolomini)
210e pape de l'Église catholique

1486 
73e doge de Venise (élu en 1485) (° 1413)

1587 
duc de Mantoue, marquis puis duc de Montferrat  

1660 
noble italienne, épouse du duc Charles III de Mayenne  

1665 
duc de Mayenne, de Nevers, de Rethel, de Mantoue et de Montferrat  
1941 
saint et martyr polonais 

SAINT MAXIMILIEN-MARIE KOLBE
Prêtre, confesseur, apôtre de l'Immaculée Conception
(1884-1941)

Raymond Kolbe naquit à Pabjanice, en Pologne, petite cité alors dépendante de la Russie des Tsars. Doué d'un naturel vif, spontané et têtu, il lui arrivait souvent de mettre la patience de sa maman à l'épreuve. A l'âge de dix ans, un jour qu'il s'adressait à sa Mère du ciel après une nouvelle étourderie, la Vierge lui apparut et lui présenta deux couronnes, une blanche et une rouge, symbolisant la pureté et le martyre. Comme Elle l'invitait à choisir, sa générosité le poussa à choisir les deux. Dès ce moment, le privilégié de Marie prit cette généreuse décision: «Je deviendrai meilleur de jour en jour.» Et en effet, le petit Raymond ne fut plus le même. L'élu de la Vierge rêvait déjà du martyre et en parlait avec effusion: Marie avait canalisé cette énergie bouillonnante.

A l'âge de 13 ans, Raymond entre au couvent St-François, à Lemberg, et y fait profession sous le nom de Maximilien-Marie. En 1912, il sort de Russie déguisé en paysan, poursuit ses études à l'université Grégorienne de Rome, et fonde la Milice de l'Immaculée qui constituera l'idée et l'oeuvre maîtresse de toute sa vie. Les sept premiers Chevaliers d'avant-garde se consacrent à Marie Immaculée le 17 octobre 1917. Ces dévoués serviteurs de la Vierge affronteront tous les ennemis de Dieu et de l'Eglise, particulièrement les suppôts de la franc-maçonnerie en Italie, en Pologne, et dans le monde entier.

L'apostolat extérieur du Père Kolbe débute en Pologne, en janvier 1922, par la fondation du mensuel intitulé: Le Chevalier de l'Immaculée. En 1930, saint Maximilien-Marie part implanter une seconde Cité de Marie au Japon, près de Nagasaki. Deux ans plus tard, les Indes reçoivent le missionnaire de la Vierge dont le labeur demeure apparemment infécond à cause de sa santé ruinée par la tuberculose. Rappelé en Pologne où il doit reprendre la direction de sa première Cité, le Père Kolbe continue de se dépenser à la cause du règne de Marie avec un quart de poumon seulement.

Son action évangélisatrice embrasse tous les moyens d'apostolat: la parole, la diffusion de milliers de médailles miraculeuses, la presse, le cinéma, le théâtre, la radio, l'avion, etc... «Mais par-dessus tout, disait-il à ses frères, le bon exemple, la prière, la souffrance voulue par amour, voilà l'action par excellence. Notre plus grande mission est de montrer dans la vie pratique ce que doit être le Chevalier de l'Immaculée.»

La deuxième guerre mondiale le trouve à la tête de la plus importante organisation catholique de publications dans toute la Pologne. Avec une patience et une soumission aussi héroïque qu'admirable, saint Maximilien-Marie Kolbe accepta l'entière destruction de son oeuvre par les Nazis. Condamné aux travaux forcés dans le camp de mort d'Auschwitz, il fut un rayon de soleil pour les prisonniers. En 1941, la veille de la fête de l'Assomption le Saint mourut dans le bunker de la faim, après avoir offert sa vie pour sauver celle d'un brave père de famille condamné à mort.

Voici, glanée dans ses écrits spirituels, sa recette de sainteté: «v égale V. C'est la formule qu'il donne et explique longuement. En peu de mots, elle signifie: «Si je veux ce que Dieu veut, je serai un saint.»

 

1968

Blason de Augusto Alvaro da Silva

Augusto Alvaro da Silva

 

 prélat brésilien de l'Église catholique romaine

 

(8 avril 1876 - 14 août 1968

 

archevêque de São Salvador da Bahia 

 

premier cardinal de son pays.

Biographie 

Il fut ordonné prêtre le 5 mars 1899 et élevé à la pourpre cardinalice par le pape Pie XII le 12 janvier 1953.

 

2008 

Blason de Marius Maziers

évêque catholique français, archevêque émérite de Bordeaux 
2009
Parents
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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 23:00
Nantes

Édit d'Union de la Bretagne à la France consacrant l’union du duché de Bretagne et du royaume de France.

La province obtient le maintien de ses libertés et privilèges.

Ceux-ci seront supprimés à la Révolution. 
Photo : 13 août 1532 : Nantes : Édit d'Union de la Bretagne à la France consacrant l’union du duché de Bretagne et du royaume de France.La province obtient le maintien de ses libertés et privilèges. Ceux-ci seront supprimés à la Révolution.

 

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Introduction

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Rois de France


Génobaud
roi Franc
(légendaire)
à la fin du IVe siècle
354-419
Sunnon
roi Franc des Ampsivares 
et des Chattes (légendaire)
à la fin du IVe siècle
388-xxx
Marcomir
roi Franc des Ampsivares 
et des Chattes (légendaire)
à la fin du IVe siècle
Pharamond
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Duc des Francs Saliens 

(légendaire)
ancêtre mythique des Mérovingiens
Clodion le Chevelu
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Duc des Francs saliens
428 - 448

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Duc des Francs saliens 
(incertain)
448 - 457
Childéric Ier
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Duc et Roi des Francs saliens
457 - 481
Clodomir
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Roi d'Orléans
511524
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Roi de Metz
(futur Austrasie)
511534
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Roi de Neustrie
511561
Roi des Francs
558561
Roi d'Austrasie
53454
Théodebald Ier
(Thibaut)
Roi d'Austrasie
548555
561567
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Roi de Neustrie 
Roi de Bourgogne
561592
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Roi d'Austrasie
561575
Roi d'Austrasie
Roi d'Austrasie
595 - 612
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Roi de Bourgogne
595613
Roi d'Austrasie
61261
sous la régence de Brunehilde
Roi de Bourgogne
Roi d'Austrasie
613
Roi de Neustrie
584629
Roi de Paris
595
629
Roi des Francs
613629
Roi des Francs (sans l'Aquitaine)
629639
Roi des Francs
632639
Caribert II
 Roi d'Aquitaine
629632
Roi de Neustrie, de Bourgogne
639657
Roi d'Austrasie
656657
Roi d'Austrasie
639656
Childebert III l'Adopté
Roi d'Austrasie
657662
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Roi de Neustrie, de Bourgogne
65767






Roi d'Austrasie
662675
Occupe la Neustrie
673675







Roi de Neustrie
673691
Roi des Francs 

(en fait uniquement de Neustrie)
L'Austrasie étant aux mains
de Pépin de Herstal
679
691

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Roi de Neustrie, Bourgogne et Austrasie
675 - 676
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Roi d'Austrasie
676679
Clovis IV








Roi des Francs
(en fait uniquement de Neustrie)
691695









Roi des Francs
(en fait uniquement de Neustrie)
695711
Dagobert III









Roi des Francs de 711 à 715
Chilpéric II









roi des Francs de Neustrie et des Burgondes
de 715 à 719
puis de tous les Francs de 719 à 721.
C
lotaire IV


T
hierry IV









Childéric III
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roi des Francs, de Neustrie
de Bourgogne et d'Austrasie
de 743 à 751

************

 

 


Pépin III le Bref
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Carloman Ier
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C
harles Ier
dit Charles le Grand
CHARLEMAGNE

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Louis Ier dit le Pieux
ou «le Débonnaire»
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Lothaire Ier
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Lothaire II

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C
harles II dit le Chauve
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Louis II dit le Bègue
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Louis III de France
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C
arloman II de France
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Charles III dit le Gros
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Eudes Ier de France
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Charles III dit le Simple
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Robert le Fort
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Robert Ier de France

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Hugues le Grand
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Raoul Ier de France
aussi appelé Rodolphe

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Louis IV dit d'Outremer
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Lothaire de France
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Louis V dit le Fainéant
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Dernier roi de la lignée
des Carolingiens
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H
ugues Capet
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Robert II le Pieux
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Hugues II de France
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(1007-1025)
Roi de France associé
1017 - 1025
Henri Ier de France
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Philippe Ier de France
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Louis VI le Gros
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Louis VII Le Jeune
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Philippe II Auguste
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Louis VIII le Lion
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Louis IX (Saint Louis)
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Philippe III de France
dit le Hardi
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Philippe IV le Bel
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Louis X le Hutin
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Jean Ier le Posthume

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Philippe V
le Long
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Charles IV le Bel
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Valois
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Jean II le Bon
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Charles VI le Fol ou le Bien-Aimé
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Charles VII le Victorieux
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Louis XI de Valois
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Charles VIII de Valois
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Louis XII d'Orléans
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François Ier d'Angoulème
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Henri II d'Angoulème
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François II d'Angoulème
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Charles IX d'Angoulème
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Henri III d'Angoulème
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