Le 10 janvier est le 10ejour de l'année du calendrier grégorien.
Il reste 355 jours avant la fin de l'année
(356 jours dans le cas des années bissextiles)
Dictons
"Beau temps à la Saint-Guillaume, donne plus de blé que de chaume "
Célébrations
Saints catholiques et orthodoxes du jour
Saints catholiques du jour
Prénoms du jour
Bonne fête aux :
- Guillaume et ses dérivés : Guilhem, Guilhemine ou Guillemine, Guillaumette, Guillemette, Gwilherm, Vilma, Wilhelm, Wilhelmine, Willem, William, Willy, etc.
- Gonzague et ses dérivés : Gonzalve
Martyrologe pour le dixième jour de janvier
Martyrologe pour le dixième jour de janvier
Un peu avant l'an 400, la naissance au ciel de saint Grégoire, évêque de Nysse, en Cappadoce.
Il joua un rôle prépondérant dans l'élaboration de la doctrine ascétique
et mystique de l'Orient ; il en explicita les bases bibliques et
philosophiques, dans ses célèbres ouvrages de la "Vie de Moïse" et du
"Traité de la virginité"
Il nous a laissé aussi une vie de sa soeur aînée, sainte Macrine.
A Constantinople, vers 470, saint Marcien, prêtre.
Il fit de l'instruction des indigents son ministère de prédilection et usa
de la grande fortune de sa famille pour nourrir les pauvres et bâtir
églises et hôpitaux.
A Rome, en 681, la mise au tombeau de saint Agathon, pape.
Le Concile oecuménique de Constantinople approuva sa lettre exposant
la doctrine catholique des deux volontés, divine et humaine, en Jésus-
Christ.
En 987, saint Pierre Urséol, doge de Venise.
Il quitta soudainement ses fonctions et sa famille, pour suivre le Christ
au monastère de Saint-Michel-de-Cuxa, en Roussillon.
L'an 1209, saint Guillaume.
Descendant de l'illustre famille des comtes de Nevers, il fut d'abord
moine cistercien, puis désigné pour le siège épiscopal de Bourges.
En Toscane, en 1276, le bienheureux Grégoire x.
Natif de Plaisance, il était archidiacre de Liège lorsqu'il fut élu pape.
Il convoqua le second Concile oecuménique de Lyon où, en 1274, les
Grecs furent reçus dans l'unité de la foi, union qui malheureusement
ne dura qu'un temps.
Plus durable fut le décret qui établit que, pour l'élection du pape, les
cardinaux seraient enfermés en conclave jusqu'au résultat définitif.
En 1914, sainte Léonie Aviat.
Née à Sézanne, en Champagne, la fondatrice de la congrégation des
soeurs oblates de Saint-François-de-Sales, était très adonnée aux
oeuvres ouvrières.
Elle avait ce mot d'ordre : "Travaillons à faire le bonheur des autres".
Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et bienheureux.
Saint Guillaume de Bourges Guillaume du Donjon, archevêque de Bourges (+ 1209)Le clergé et les fidèles de Bourges cherchaient un saint évêque. Ils s'adressèrent à l'évêque de Paris qui leur donna un sien cousin, chanoine de la cathédrale, Guillaume, abbé de Chaalis, abbaye située dans le nord de l'Ile de France. En fait Guillaume était aussi comte de Nevers. Il était entré dans la vie religieuse pour y faire une riche et tranquille carrière. Et puis, un jour, marqué par la grâce de Dieu, il se convertit, se fit moine à Grandmont dans la Haute-Vienne. Voulant plus d'austérités, il demanda à être admis chez les cisterciens de Pontigny en Bourgogne et fut nommé abbé de Chaalis, filiale de Pontigny. Il fut l'évêque des pauvres, ce qui lui valut l'opposition des chanoines de Bourges qui se sentaient délaissés, et du roi Philippe-Auguste à qui il reprochait son divorce et son re-mariage.
Voir aussi:http://www.magnificat.ca/cal/fran/01-10.htm#guillaumehttp://missel.free.fr/Sanctoral/01/10.phphttp://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_de_Bourgeshttp://encyclopedie.bourges.net/saintguillaume.htmBienheureuse Anne des Anges Prieure dans l'Ordre de saint Dominique (+ 1686)Anne des Anges de Monteagudo est née au Pérou, à Aréquipa. Malgré l'opposition de ses parents, elle entra dans l'Ordre de saint Dominique. Elle forma tout d'abord les jeunes novices puis, devenue prieure, elle fut une conseillère spirituelle des plus excellentes et l'on venait de toute la ville pour recevoir ses enseignements. Elle fut béatifiée en 1985.
http://fr.wikipedia.org/wiki/ArequipaSaint Antipas Moine à la skite roumaine de Lakkou (+ 1882)Né en Moldavie roumaine, il partit à 22 ans pour la Sainte Montagne de l'Athos et partagea avec les quatre-vingt Pères de la skite roumaine de Lakkou, quinze années de vie hésychaste. Il revint plus tard en Moldavie, partit en pèlerinage à la laure des Grottes de Kiev et se fixa quelque temps dans le grand Nord, au monastère de Valaam où il guida de nombreux moines et laïcs de la Russie du Nord et de Finlande.
Saint Arconce Evêque de Viviers (+ 745)http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_ViviersEvêque de Viviers, il est considéré comme martyr parce qu'il fut tué par la foule alors qu'il défendait les droits de l'Eglise.
http://www.hautevalleedelaloire.com/valleegeneral/description/hvletleshommes.htmBienheureux Bénincasa Abbé du monastère bénédictin de La Cave (+ 1194)Abbé du monastère bénédictin de La Cave, près de Salerne en Campanie, il fonda le monastère de Monreale en Sicile en envoyant une centaine de moines à la demande du roi Henri VI de Naples qui le lui avait demandé.
Saint Dométien Evêque de l'Eglise de Mélitène (+ 602)C'était un grand lettré de Constantinople, autant dans les lettres profanes et la philosophie que dans les Saintes Ecritures. Devenu veuf, il fut nommé évêque de l'Eglise de Mélitène en Arménie. Il avait trente ans. Comme il alliait harmonieusement l'habileté politique à la vie ascétique, il fut envoyé en Perse et appuya l'empereur Chosroès qui avait été chassé par l'un de ses fils. Grâce à son intervention, Chosroès put reprendre son trône et devint ami de l'empereur de Byzance.
Sainte Floride martyre à Dijon (+ v. 180)Jeune martyre du 2ème siècle à Dijon en Bourgogne.
Bienheureux Gonzalve Chanoine de Braga (+ 1259)ou Gonzague ou Gonzalès. Chanoine de Braga, capitale du Minho au nord du Portugal, il partit en pèlerinage pour la Terre Sainte. Comme son pèlerinage se prolongeait plus que prévu, son neveu en profita pour annoncer sa mort, prit le deuil et s'appropria tous ses biens. A son retour, saint Gonzalve y vit un signe de la Providence. Il lui laissa tout, entra dans l'Ordre mendiant des Dominicains et, dès la fin de son noviciat, il obtint d'aller vivre en ermite. On dit qu'il fut l'un des rares dominicains à n'être pas "un grand théologien". D'aucuns disent qu'il fut l'un des plus grands, parce que sa connaissance de Dieu (ce que veut dire le terme "théologie") fut celle plus directe que celle des penseurs car cette science de Dieu lui fut acquise par la méditation, la prière et la contemplation.
Saint Grégoire de Nysse Evêque de Nysse (+ 394) L'Eglise accueille dans ses martyrologes (livre des témoins, en grec "marturos") et dans ses synaxaires (en grec "sunaxis" assemblée autour d'une personne) sa grand-mère, ses deux parents et cinq de ses frères et soeurs. Pourtant, il ne commençait pas dans cette voie. C'est un intellectuel passionné de rhétorique qui enseigne la philosophie. Son épouse l'adore et c'est réciproque. Quand son grand frère, saint Basile de Césarée, le consacre évêque de Nysse, une petite bourgade rurale de Cappadoce, cet intellectuel le ressent comme un exil, mais il l'accepte par devoir dans un monde si peu chrétien. Il se heurte à l'empereur qui soutient l'arianisme et qui l'exile. Il reviendra dans son diocèse à la mort de Valens et se fait le champion de la foi en la Trinité. Il sera l'un des principaux artisans de la victoire de l'orthodoxie au concile de Constantinople en 381. Saint Grégoire de Nysse est sans aucun doute l'un des plus grands théologiens spéculatifs, d'une ouverture d'esprit rarement égalée. Ce maître de la théologie contemplative par ses grands traités spirituels, est en même temps un pasteur et un catéchète soucieux de se faire comprendre par tous.
LectureLa connaissance de ce qui par nature est beau en suscite le désir, et si cette beauté, ce qui est le cas pour celle de Dieu, est sans limites, elle génère en celui qui veut y prendre part un désir sans fin et qui ne connaît aucun répit.
L ‘âme, qui s ‘est allégée du poids des passions, monte comme en un vol léger et rapide vers les cimes les plus élevées, à des hauteurs toujours plus inatteignables, pour que rien ne vienne entraver sa course, en vertu de l’attirance que le bien exerce sur ceux qui le suivent.
Poussé par le désir du ciel, elle se jette hors d’elle-même, selon 1’ expression de 1‘Apôtre, se soulevant vers des régions toujours plus inaccessibles.
C’est pourquoi, nous reconnaissons que comme Moïse en sa grandeur, qui crût toujours davantage dans son expérience spirituelle, il gravit marche après marche sans la moindre halte, puisqu‘il trouvait toujours un autre échelon après celui qu‘il venait de gravir.
Grégoire de Nysse, La vie de Moïse
Voir aussi:http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsjanvier/janv10.htmlhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A9goire_de_Nyssehttp://www.gregoiredenysse.com/http://jesusmarie.free.fr/gregoire_de_nysse.htmlhttp://www.patristique.org/http://www.villemagne.net/site_fr/jerusalem-gregoire-de-nysse.phpSaint Jean le Bon Ermite en Romagne (+ 659)évêque dont la ville et le diocèse de Milan célèbrent la foi et les vertus au cours de son ministère pastoral.
Sainte Léonie Françoise de Sales Aviat religieuse fondatrice (+ 1914)Léonie Aviat naît à Sézanne, en Champagne, le 16 septembre 1844. Elle fait ses études à la Visitation de Troyes, où la Supérieure du monastère, Mère Marie de Sales Chappuis, et l'aumônier, l'Abbé Louis Brisson, exercent sur elle une influence décisive. Formée à l'école de saint François de Sales, elle se prépare, à son insu, à sa mission future: la fondation d'une Congrégation de spiritualité salésienne, dédiée à l'évangélisation de la jeunesse ouvrière.
site du Vatican
http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20011125_de-sales-aviat_fr.htmlVoir aussi:http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9onie_AviatSaint Marcien Econome de la Grande Eglise Sainte Sophie (+ 471)Sa famille, installée à Constantinople, était apparentée à la famille impériale. Le patriarche Anatole voulut l'ordonner prêtre à la mort de ses parents et son successeur, le patriarche Gennade, le nomma économe de la Grande Eglise, Sainte Sophie, ce qui était la charge la plus importante du clergé de Constantinople. Grande était sa charité pour les pauvres. Pour cette raison, ce que nous raconte la tradition est plausible.
Le jour de la dédicace de l'église de Sainte Anastasie, il vit un pauvre réduit à la plus extrême misère, au moment même où il partait à la sainte liturgie. Il l'entraina dans un endroit isolé, lui donna tous ses vêtements, et, revêtu des seuls ornements liturgiques, il regagna le sanctuaire. Tous les célébrants virent sous ses ornements un vêtement tout étincelant d'or.
Il parcourait la nuit les quartiers les plus misérables pour venir en aide à ceux qui n'osaient pas mendier le jour et, durant la construction de l'église Sainte Irène, il aida même les ouvriers de ses propres mains.
Bienheureuse María-Dolores Rodríguez Sopeña (1848-1918)"Je suis Yahvé, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude" (Ex 20, 1). La grande révélation du Sinaï nous montre Dieu qui rachète et libère de tout esclavage, portant ensuite ce dessein à sa plénitude dans le mystère rédempteur de son Fils unique, Jésus-Christ. Comment ne pas faire parvenir ce message sublime en particulier à ceux qui ne l'entendent pas dans leur coeur parce qu'ils ignorent l'Evangile?
Dolores Rodríguez Sopeña ressentit cette nécessité et désira répondre au défi d'apporter la rédemption du Christ dans le monde du travail. C'est pourquoi elle se proposa comme objectif "de faire de tous les hommes une seule famille en Jésus-Christ" (Constitutions de 1907).
Cet esprit se concrétisa dans les trois oeuvres fondées par la nouvelle bienheureuse: le Mouvement de Laïcs "Sopeña", l'Institut des Dames catéchistes, appelées aujourd'hui "Catéchistes Sopeña", et l'Oeuvre sociale et culturelle "Sopeña". A travers elles, en Espagne et en Amérique latine, se poursuit une spiritualité qui promeut l'édification d'un monde plus juste, en annonçant le message de salut de Jésus-Christ.
(source: homélie du pape Jean-Paul II le 23 mars 2003 pour la béatification de 5 serviteurs de Dieu)
http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/2003/documents/hf_jp-ii_hom_20030323_beatif_fr.htmlMaría Dolores Rodríguez Sopeña (1848-1918) biographie site du Vatican
http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20030323_rodriguez_fr.htmlVoir aussi: Obra Social y Cultural Sopeña (en espagnol)
http://www.oscus.org/es/quienes_somos.phpSaint Maurille Evêque de Cahors (+ 580)Evêque de Cahors dont on rapporte qu'il pouvait réciter par coeur toutes les Saintes Ecritures, à force de les avoir lues et relues, méditées et priées. Son amour pour la souffrance était un peu exagéré, car, au lieu de se soigner, il préférait augmenter la douleur afin de mieux souffrir comme le Christ.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_CahorsSaint Nicanor Un des sept premiers diacres (+ 76)L'un des sept premiers diacres dont nous parle le Livre des Actes des Apôtres et dont la tradition rapporte qu'il mourut martyr.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicanor_(diacre)Saint Paul Disciple de saint Serge de Radonège (+ 1429)Né à Moscou, il devint l'un des disciples les plus exemplaires de saint Serge de Radonège. Au bout de quinze années de silence et de prière, il reçut la bénédiction de saint Serge pour se retirer seul dans la forêt de Komel, non loin de Vologda. Suivant humblement les signes que Dieu lui envoyait, il fonda un monastère sur les bords de la rivière Obnora et c'est là qu'il mourut en paix, plus que centenaire.
Saint Pétrone Evêque de Die (+ 463)Evêque de Die. En disant cela, nous disons tout ce que nous pouvons dire de lui.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_DieBienheureux Philippe de Bourges archevêque (+ 1260)
Philippe Berruyer, né à Tours, évêque d'Orléans, puis de Bourges.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Archev%C3%AAque_de_Bourges- Liste des évêques d'Orléans sur le site internet du diocèse. 64e : le Bienheureux Philippe II Berruyer (1234-1236)
http://www.catholique-orleans.cef.fr/kru86vrdft/index.php?dlm/2/4- Les archevêques de Bourges sur le site internet du diocèse de Bourges : Bienheureux Philippe Berruyer (1232-1260)
[url] http://catholique-bourges.cef.fr/histoire/archeveques/arch2/index.htm[/url]
Saint Pierre Orseolo Doge de Venise (+ 997)En 976, il suscita un coup d'Etat pour supplanter le doge Pierre IV, qu'il fit assassiner pour devenir, à son tour, doge de Venise. C'est du moins ce que dit saint Pierre Damien. Toujours est-il qu'il déploya les plus grands talents dans l'administration de la République. En deux ans, il restaura la paix civique, reconstruisit l'église Saint Marc et les quartiers incendiés. Le 1er septembre 978, il disparut sans laisser de traces. Sous un faux nom, il avait gagné l'abbaye de Cuxa dans le Roussillon et y passa le reste de sa vie dans l'expiation, la pénitence et la prière. Sa femme l'avait laissé partir, sachant et comprenant la volonté de son époux. Leur fils unique devint à son tour doge de Venise et suivit l'exemple de son père dans la probité et le service de la République.
Autre biographie:Originaire de Venise, dès l’âge de 20 ans il est placé à la tête d’une flotte chargée de chasser les pirates qui écument la mer Adriatique et sa mission est un succès. En 976, le doge Pierre Candiani IV trouve la mort dans un incendie qui ravage une partie de la ville de Venise. Pierre Orseolo, qui entre-temps s’est marié et a eu un fils (qui deviendra doge à son tour en 991), est alors choisi pour lui succéder. Très habile, il entreprend des travaux de restauration de la ville et de la cathédrale Saint-Marc puis administre la cité avec compétence et justesse. Et puis deux ans après son élection, il disparaît brusquement, après avoir décidé de tout abandonner, sans même avoir prévenu son épuse et son fils. Il s’enfuit clandestinement par une nuit de septembre et se rend jusqu’à l’Abbaye Saint-Michel de Cuxa,
http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-Michel_de_Cuxasituée au pied du mont Canigou, dans les Pyrénnées, où il demande à être admis. Il mène pendant quelque temps une vie très austère au sein de la communauté, puis il part s’isoler dans un modeste ermitage des envrions (sans doute influencé par Saint-Romuald), où il termine sa vie. De nombreux miracles ont été rapportés sur sa sépulture.
Voir aussi:http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_OrseoloSainte Séthride abbesse de Faremoutiers-en-Brie (+ v. 660)ou Saethryth.Belle-fille du roi Anne d'Est Anglie, elle était la demi-sœur de sainte Etheldrede; elle entra comme moniale à Faremoutiers-en-Brie, sous la direction de sainte Fare à qui elle succéda comme 2ème higoumène de ce monastère.
http://eglisecatho-meaux.cef.fr/spip/article.php3?id_article=178Voir aussi:http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_FaremoutiersLes Églises font mémoire...Anglicans : William Laud (+ 1645), archevêque de Canterbury
Catholiques d’occident : Grégoire de Nysse, évêque (calendrier monastique)
Coptes et Ethiopiens (1 tübah/terr) : Étienne, patron des diacres et premier martyr
Luthériens : Carpus et Papyle (+251), martyrs en Asie Mineure
Maronites : Grégoire de Nysse, évêque ; François de Sales (+ 1622), évêque
Orthodoxes et Gréco-catholiques : Grégoire, évêque de Nysse; Marcien (+471 env.), prêtre et économe de la Grande Église, Domitien (+602 env.), évêque de Mélitène ; Antipas de la Calapodesti (+1882), hiéromoine (Église romaine)
Saints catholiques et orthodoxes du jour
Nicanor (diacre)
Nicanor fut l'un des premiers
diacres de l'église.Une tradition le fait martyr à
Jérusalem en compagnie d'
Étienne, tandis qu'une autre le dit supplicié à
Chypre au
Ier siècle.
D'ailleurs l'
Église de Chypre honore sa mémoire le
10 janvier.
Agathon, pape
Agathon (mort le 10 juin 681) fut le 79epape de 678 à 681.
Sans doute d'origine orientale, il vécut longtemps à Palerme (Sicile) avant de venir à Rome. Il est surtout connu pour avoir fait condamner le monothélisme au concile de Constantinople (680-681), et pour avoir soustrait l'Église de Rome aux impôts de l'empereur. Il fit également reconnaître l'autorité du siège de Rome par l'archevêque de Ravenne et accrût l'influence romaine sur le clergé d'Occident.
Son nom vient du grec ἀγαθός agathos qui signifie « bon, brave ». Canonisé, il est fêté le 10 janvier. Il est le patron de la ville de Palerme.
On raconte qu'il aurait été élu pape à 103 ans.
Saints catholiques du jour
Saint Guillaume de Bourges fut l'archevêque de Bourges de 1199 à 1209. Il est le Saint Guillaume du calendrier.
Fils du comte de Nevers, né Guillaume de Donjon (ou Guillaume de Donjeon) en 1120, c'était un homme « de caractère pieux, voué à l'étude et à la méditation[1] », qui s'orienta vite vers les ordres : il est chanoine de Soissons puis chanoine de Paris, moine à l'abbaye de Grandmont puis à l'abbaye de Pontigny, abbaye cistercien dont il devient abbé. Il devient ensuite abbé de Fontaine-Saint-Jean, près de Soissons puis est élu abbé de Chaalis (diocèse de Senlis).
Le 23 novembre 1199, suite à la mort d'Henri de Sully, il est désigné archevêque de Bourges. Considéré comme un grand prédicateur, ferme sur les principes à tel point qu'il s'attira la colère du roi Philippe II de France lors de son remariage avec Agnès de Méranie[2], il combat à la demande du pape Innocent II les hérétiques, et en particulier les cathares. Malade, il meurt le 10 janvier 1209. Son corps est placé au centre de la cathédrale encore inachevée, où quelques jours plus tôt il célébrait l'épiphanie, puis dans la crypte.
Suite à une série de miracles observés « par son intercession et devant son tombeau[1] », le pape Innocent III promulgue une bulle de canonisation le 17 mai 1217.
Il est le patron de l'université de Paris. Il est le saint patron des armuriers. Sa fête est célébrée le 10 janvier.
Événements
10 janvier de l’an 704
de la fondation de Rome (49 av. J.-C.) : Jules César, à la tête d’onze légions en armes sur les traces de Pompée, franchit le Rubicon, fleuve entre Ariminum (imini) et Caesena (Césène) qui servait de frontière entre l'Italie romaine et la province de la Gaule cisalpine, violant ainsi la loi du Sénat romain protégeait Rome de menaces militaires internes en interdisant ce passage sans autorisation. Selon Suétone César lança en franchissant la rivière la célèbre formule : « Alea jacta est » (« Le sort en est jeté »), qui fit fortune et s’applique jusqu’à nos jours à quelqu’un se lançant irrévocablement dans une entreprise aux conséquences risquées.
10 janvier dans les croisades
1162
mort de Baudouin III, roi de Jérusalem, à Beyrouth. Son frère Amaury Ier lui succède[1].
1218
mort de Hugues Ier, roi de Chypre. Son fils Henri Ier lui succède[2].
-49
Jules César franchit le Rubicon.
l'an 9
Wang Mang renverse la dynastie Han.
1273
Rodolphe de Habsbourg est élu empereur d'Allemagne. Son élection met fin au Grand Interrègne qui s'était installé après la mort de Conrad IV, en 1254.
1356
Charles IV promulgue la Bulle d'Or, qui fixe les conditions d'élection à la tête du Saint Empire.
Charles IV, empereur romain germanique de la maison de Luxembourg, promulgue la ...Bulle d'Or, qui fixe les conditions d'élection à la tête du Saint Empire. Ce document, donna à l'institution impériale sa forme définitive et attribuait le choix du roi des Romains (qui devait par la suite être couronné empereur) aux princes-électeurs en nombre de sept : trois ecclésiastiques (les archevêques de Cologne, Mayence et Trèves) et quatre séculiers (le roi de Bohême, le comte palatin du Rhin, le margrave de Brandebourg et le duc de Saxe). La bulle ne disait rien quant à la confirmation par le pape. Les princes-électeurs désignés par Charles IV avaient chacun une charge protocolaire auprès de l’empereur ; ainsi : l'archevêque de Mayence était archi-chancelier pour la Germanie ; l'archevêque de Trèves, archi-chancelier de l'Empire pour la Gaule ; l'archevêque de Cologne, archi-chancelier de l'Empire pour l'Italie ; le roi de Bohême, archi-échanson ; le comte palatin du Rhin ou « électeur palatin », archi-sénéchal, curateur (vicaire en cas de vacance du siège impérial) des pays de droit franconien à l'Ouest de l'Empire ; le duc de Saxe ou « électeur de Saxe », archi-maréchal, curateur des pays de droit saxon à l'Est de l'Empire, et le margrave de Brandebourg ou « électeur de Brandebourg », archi-chambellan.
1430
Philippe le Bon fonde l'Ordre de la Toison d'or
À Bruges en Flandre, à l'occasion des festivités marquant son troisième mariage, avec Isabelle de Portugal, Philippe le Bon, duc de Bourgogne, institue le plus glorieux et le plus illustre des ordres de chevalerie, I'ordre de chevalerie de la Toison d'or, donnant comme nouveau modèle à l'élite chevaleresque de son t...emps, la figure mythique de Jason. Le fabuleux périple de Jason et des argonautes, partis en Colchide, aux confins de la mer Noire, afin de conquérir la toison d'or d'un bélier merveilleux, gardé par un dragon dans le royaume d'Aiétès. Sous le patronage de Jason, exemple de courage et de vaillance, Philippe le Bon crée donc une confrérie militaire chrétienne, rassemblant sous son autorité 24 chevaliers, prestigieux représentants des plus hauts lignages de ses principautés bourguignonnes (par la suite, le nombre de chevaliers sera porté à 31, puis 51 et même 61). L’ordre de la Toison d'Or devait exalter l’esprit chevaleresque, son but principal était la gloire de Dieu et la défense de la religion chrétienne, comme le rappelait l’inscription figurant sur le tombeau du duc à Dijon : « Pour maintenir l’Église qui est de Dieu maison, J’ai mis sus le noble Ordre, qu’on nomme la Toison ».
En signe de leur appartenance à la Toison d'or, chacun des chevaliers reçoit un manteau d'apparat de couleur vermeille, ainsi qu'un collier représenté par une dépouille de bélier d'or attachée par le milieu du corps à une chaîne d'or composé de "fusils" ou briquets, stylisés en forme de B (Bourgogne), encadrant des pierres à feu. La toison est l'emblème de Philippe le Bon, le briquet, ayant à peu près la forme B, est relatif à sa devise : « ante quam flamma micet » (« il frappe avant que la flamme ne brille »).
De fait, le geste fondateur du duc apparaît avant tout comme un acte religieux, avec pour objectif la défense de la foi chrétienne. Or le personnage de Jason, héros païen n'incarne pas au mieux l'idéal du chevalier chrétien. C'est pour cette raison que le patronage de Gédéon vient très rapidement, dès la fin de 1431 sur l'initiative de Jean Germain, le premier chancelier de l'ordre, s'ajouter à celui de Jason. Car l'histoire biblique de Gédéon, racontée dans l'Ancien Testament, au Livre des Juges fait fort à propos intervenir la toison d'un mouton. Serviteur de Dieu, chef de guerre victorieux, Gédéon symbolise la force spirituelle qui manque à Jason, et dès lors, l'ordre de la Toison d'or sera placé sous le patronage des deux personnages.
L'acte de fondation de l'ordre est digne d'un roi, on se souvient qu'en 1348, le roi Édouard III a fondé celui de la Jarretière, et en 1351, le roi Jean le Bon a fondé l'ordre de l'Étoile. Ainsi en 1430, en pleine guerre de Cent Ans, cette initiative constitue pour Philippe le Bon une manière d'exprimer avec éclat son indépendance tant face au roi de France que face au roi d'Angleterre. Selon Georges Chastelain, le duc de Bourgogne a même crée son propre ordre afin de ne pas devenir membre de celui de la Jarretière, comme le lui proposait le duc de Bedford, régent du roi Henri VI. Geste politique, l'acte fondateur du duc vise aussi à cimenter, par le biais de la haute noblesse, les différents états qu'après son grand-père et son père, il a réunis au duché de Bourgogne - duchés de Brabant, de Limbourg, de Luxembourg, de Gueldre, comtés de Flandre, d'Artois, de Bourgogne, de Hainaut, de Hollande et de Zélande.
En nommant chevaliers l'élite de la noblesse de ses principautés, Philippe le Bon institue un lien fraternel, de fidélité personnelle, avec des seigneurs qui exercent déjà les plus hautes fonctions dans les institutions politique ou militaire bourguignonnes. En fait, l'Ordre s'intègre dans les structures du gouvernement ducal, les statuts de la Toison d'or faisant obligation au duc de Bourgogne de consulter ses chevaliers avant d'entreprendre une guerre ou de prendre une décision importante ; lors des chapitres, les traditionnelles séances de correction fraternelle permettent aux chevaliers, sans bien sûr dépasser certaines limites, de formuler leurs remontrances au duc. Toutefois, si l'objectif de Philippe le Bon est de fonder un ordre exclusivement bourguignon, les nécessités politiques le contraignent vite à offrir le collier de la Toison d'or à des seigneurs étrangers à ses principautés, afin de renforcer les alliances diplomatiques.
A la mort de Philippe le Bon, l'Ordre passe a son fils Charles le Téméraire, puis à la mort de ce dernier, à l'époux de sa fille Marie de Bourgogne, Maximilien de Habsbourg. Celui-ci le transmet à son petit-fils Charles Quint, qui lui-même le remet, avec les Pays-Bas et l'Espagne, à son fils Philippe II en 1556. Lorsque, en 1700, s'éteint Charles II, le dernier des Habsbourg d'Espagne, la couronne espagnole échoit au Bourbon Philippe V, ce dernier voulut conserver la grande maîtrise de l’ordre. Mais en 1712, l’empereur Léopold Ier, chef de la branche autrichienne des Habsbourg, s’attribua également les titres et les souverainetés non territoriales de la Maison de Bourgogne, à commencer par celle de la Toison d’Or. Il mit aussi la main sur le trésor qui fut apporté à Vienne (où il se trouve toujours). Ainsi naquit la division de l’ordre.
L’ordre habsbourgeois de la Toison d'Or, a conservé le caractère religieux et aristocratique que lui avait donné Philippe le Bon. Son rituel d’admission demeure, avec adoubement par l’épée et serment solennel. La République autrichienne l'a reconnu personnalité de droit international en 1953. Sa langue officielle est le français. L’ordre espagnol a pour grand maître le roi d’Espagne. Le décret royal de 1847 qui en fit un ordre royal à caractère civil précisait qu’il continuerait à être régi par ses anciens statuts, avec les mêmes insignes et le même nombre de chevaliers. Le roi Juan Carlos Ier a nommé plusieurs souverains étrangers. Il existe donc aujourd’hui deux ordres de la Toison d'Or, chacun contestant la légitimité de l’autre (la France ne reconnaît que l’ordre de la branche espagnole).
(Tiré de l’excellente notice sur la fondation de la Toison d’Or qui se trouve dans le blog « La mine d'or de Beaujarret » (http://beaujarret.fiftiz.fr/bl og/)
1480Elle aurait dû être reine de France mais ne le devint pas : Marguerite de Habsbourg-Autriche née le 10 janvier 1480 à Bruxelles dans l’actuelle Belgique. Archiduchesse d’Autriche, elle est la fille de Maximilien Ier, empereur Romain-Germanique et de Marie de Bourgogne. Orpheline de mère à l’âge de 2 ans, Marguerite est fiancée l’année suivante au roi Charles VIII. Quittant sa famille pour la France, Marguerite se lit très vite d’amitié avec son fiancé. Pourtant, le jeune roi a 13 ans alors que la petite archiduchesse n’en a que 3. Le mariage est prévu dans quelques années et en attendant, Marguerite se doit d’apprendre les coutumes et la langue de son pays d’accueil. Charles VIII voit en elle une amie, une petite sœur et lui ait très attaché. Au fils des années, Marguerite est de plus en plus proche du jeune roi et se voit bientôt reine de France. Or, la mort du duc de Bretagne François II vient chambouler les projets de mariage. Ce dernier ne laissant pas de fils à sa mort, c’est sa fille, la jolie Anne de Dreux qui devient duchesse de Bretagne. Ce duché ne fait pas encore parti de notre France actuelle et la sœur aînée de Charles VIII, Anne de Beaujeu, décide de renvoyer Marguerite pour faire épouser à son frère la duchesse Anne qui apporterait en dote la Bretagne. Marguerite d’Autriche est répudiée en 1489 à son grand désespoir et à celui de Charles. L’archiduchesse n’a que 9 ans. Etonnant coup du sort, le 19 novembre 1490, Anne de Bretagne, convoitée par la couronne de France, devient sa belle-mère en épousant Maximilien Ier. Anne de Beaujeu parvient à faire annuler l’union l’année suivante. Ainsi, en 1491, Anne de Bretagne, ex-belle-mère de Marguerite d’Autriche, devient la femme
de l’ex-fiancé de la petite archiduchesse. Charles VIII et Anne de Bretagne envoyèrent à Marguerite quelques présents, dont des bijoux, pour la consoler d’avoir perdu la couronne de France. Elle fut remariée pour raison politique à Don Juan de Castille le 3 avril 1497. Le 4 octobre de la même année, le prince de Castille meurt, laissant Marguerite enceinte. Elle accouchera avant terme d'une fille mort-née en novembre. Par la suite, de nombreux prétendants demandent sa main à Maximilien qui la remarie avec le duc de Savoie Philibert II le Beau en 1501. Le mariage est heureux bien que stérile. La nouvelle duchesse de Savoie se partage avec son époux entre les châteaux de Bourg et Pont d’Ain. Hélas, Philibert meurt en 1504 d’une pleurésie. Bien qu’elle soit encore jeune, Marguerite ne se remaria pas et éleva les enfants de son frère aîné Philippe Ier de Habsbourg, mort en 1506. Parmi ces enfants, se trouve le futur Charles Quint. La duchesse de Savoie fit construire le monastère de Brou près de Bourg-en-Bresse dans l’Ain puis l’Eglise de Brou, véritable chef-d’œuvre de l’art gothique du XVIe siècle. C’est dans cette Eglise, dont elle suivit la construction avec beaucoup d’attention, que Marguerite fera transporter les restes de son époux Philibert II. Marguerite d’Autriche devint également gouvernante des Pays-Bas dont l’empereur était son neveu, Charles Quint. Ce dernier fut souvent en conflit avec François Ier (dont l’épouse Claude de France était la fille d’Anne de Bretagne) et c’est Marguerite qui le 5 aout 1529
signa la Paix des Dames (ou Paix de Cambrai) avec Louise de Savoie (mère de François Ier). Victime d’une blessure au talon qui fini par se gangrener, Marguerite d’Autriche mourut le 1
er décembre 1530 à Malines d’où elle gouvernait les Pays-Bas. En 1532, sa dépouille fut transférée dans l’Eglise de Brou auprès de Philibert II. On peut dire que durant toute sa vie, Marguerite aura été accompagné de l’ombre d’Anne de Bretagne qui épousa son père puis son fiancé et dont la fille fut l’épouse du roi de France ennemi de son neveu Charles Quint.
1642
Charles Ier Stuart est chassé de Londres.
Madame me montra sa collection de médailles antiques.
Elle a, en or, 410 médailles.
Elle a tous les empereurs romains, de Caesar jusques à Heraclius, dont quelques pièces fort rares que je n'ai point, ni Monseigneur
1747
Disgrâce du marquis d'Argenson.
1747
Daniel-Charles Trudaine fonde l'École des ponts et chaussées.
1794
à Paris, Camille Desmoulins est exclu du club des Jacobins.
1810
Annulation du mariage de Napoléon et Joséphine.
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1870
à Paris : Assassinat de Yvon Salmon, dit Victor Noir (1848-1870), par un cousin de Napoléon III, Pierre Bonaparte.
1967
Le 10 janvier 1967, à La Haye, la princesse Margriet des Pays-Bas, troisième fille de la reine Juliana des Pays-Bas et du prince Bernhard de Lippe-Besterfeld épousait Pieter van Vollenhoven rencontré à l’université de Leiden. La mariée portait un diadème de perles et diamants qui sera porté en 2002 par la princesse Maxima sous une autre forme.
La
princesse et son époux ont eu
4 fils :
Maurits, Bernhard, Pieter-Christiaan et Floris. Depuis de nombreuses années, ils secondent la
reine Béatrix. Ils sont aujourd’hui grands-parents de
10 petits-enfants