Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Médias

Réécoutez le dernier journal de
RCF Pays d’Aude
Image Hosted by ImageShack.us

  Curie Romaine
Liste des papes

Pape Liste des papes
Liste détaillée des papes
Liste des primats de l'Église copte orthodoxe
Liste des primats de l'Église apostolique arménienne

Cité du Vatican
http://www.vaticanstate.va/FR/homepage.htm

Vatican Site Officiel
http://www.vatican.va/phome_fr.htm
  Musées du Vatican
http://mv.vatican.va/StartNew_FR.html



http://imageshack.us/ 
* * * Dernières minutes . . . A F P . . .H2 News . . . La Croix . . .
http://imageshack.us/

http://news.google.fr/news?hl=fr&ned=fr&ie=UTF-8&q=site:eucharistiemisericor.free.fr&scoring=n
http://www.la-croix.com/afp.static/pages/index.religion.htm

 

 

 

 

 

 

     En direct
             de la
    Place Saint-Pierre
http://imageshack.us/ 
* * *  En direct de Rome  * * *


http://imageshack.us/
http://mediastream.vatican.va/mpeg4lan.sdp
http://www.sat2000.it/diretta/
http://www.oecumene.radiovaticana.org/fr1/index.asp
3
journaux en Français

        (8h15 - 13h - 18h)


http:///
http://www.tv-direct.fr/live_ktotv.php
http://www.lejourduseigneur.com/  

 Catholique TV
http://img410.imageshack.us/img410/81/tvcatholiquelyon.png
http://www.catholique.tv/

Gazettes & Sites Royaux

rois.jpg
 Ils sont tous là !
Ils nous regardent et nous racontent 14 siècles d'Histoire de France

 

13 janvier 2015 2 13 /01 /janvier /2015 00:00
1825
Alexis de Croÿ

Né le 13 janvier 1825
Décédé le 20 août 1898 à l'âge de 73 ans

Parents
Alfred de Croÿ, duc de Croÿ-Dulmen 1789-1861
Eleonore, Princesse zu Salm-Salm 1794-1871

Marié avec Franziska zu Salm-Salm 1833-1908,
dont 1 enfant
  • Max 1864-1920

10ème prince de Ligne
prince d'Amblise et d'Epinoy
(Ernest Henri Louis Lamoral de Ligne)
Chevalier de l'Ordre Illustrissime de la Toison d'or.

Né le 13 janvier 1857 à Paris
Décédé le 23 juin 1937 à Bruxelles à l'âge de 80 ans

Parents
Henri de Ligne 1824-1871
Marguerite de Talleyrand-Périgord 1832-1917

Marié le 3 janvier 1887 à Paris avec Diane Marguerite Constance de Cossé-Brissac.Née le 19 décembre 1869 à Paris - Décédée le 10 avril 1950 à Beloeil à l'âge de 80 ans

dont
Jeanne de Ligne
Marguerite de Ligne
Isabelle de Ligne
Claude de Ligne
Henriette de Ligne
Eugène de Ligne
Baudouin de Ligne
Thérèse de Ligne





1874
  Blason de Joseph-Ernest Van Roey

« In nomine Domini »
Image de Joseph-Ernest Van Roey
Joseph-Ernest Van Roey
 cardinal belge

Cardinal-prêtre de S. Maria in Ara Coeli
(Vorselaar, 13 janvier 1874 - Malines, 6 août 1961) Fichier:Berretta cardinalizia.png cardinal de l'Église catholique romaine
 primat de Belgique, 17e archevêque de Malines (1926-1961


1924
 

Blason de Léon Soulier
Évêque émérite de Limoges depuis 2000.
Léon Soulier
né au Malzieu le 13 janvier 1924

Repères biographiques
 
Léon Soulier est ordonné prêtre le 7 septembre 1947.

Nommé évêque de Pamiers le 22 juin 1971, il est consacré le 12 septembre suivant.


Le 9 juillet 1987, il est nommé évêque coadjuteur de Limoges.

 

Il en devient évêque titulaire un an plus tard, le 13 juillet 1988.


Il s'est retiré pour raison d'âge le 24 octobre 2000.


Circonscriptions catholiques françaises depuis 2002


Liste des évêques français


1932
Blason de Joseph Zen Ze-kiun
« Ipsi Cura Est »
Cardinal-prêtre de S. Maria Madre del Redentore a Tor Bella Monaca
Image de Joseph Zen Ze-kiun
Joseph Zen Ze-Kiun, cardinal chinois, évêque d'Hong-Kong.

 

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 00:01

Le 11 janvier est le 11e jour de l'année du calendrier grégorien

 

Il reste 354 jours avant la fin de l'année

(355 jours dans le cas des années bissextiles)

 

Signe du zodiaque : 21e jour du Capricorne.

 

Dicton du jour :
 À Saint-Paulin, on compte les hirondelles autour d'Amiens

 

  


Martyrologe pour le onzième jour de janvier


A Rome, l'an 142, saint Hygin.

 

Fils d'un philosophe athénien, il fut élu pape et défendit l'Evangile

 

contre les doctrines  syncrétistes et gnostiques.

 

En Thébaïde, vers 330, saint Palamon, ermite, qui initia saint Pacôme

 

à la vie monastique et lui en donna les principes fondamentaux :

 

veiller et prier dans le jeûne et la solitude.

 

Vers 529, saint Théodose le Cénobiarque.

 

Originaire de Cappadoce, il vint en Palestine, attiré par le

 

rayonnement de saint Euthyme

 

Puis il fonda, près de Bethléem, un monastère cénobitique où se

 

réunirent une foule de moines, de langues et de nationalités

 

différentes.

 

Vers 625, saint Vital, moine de Gaza, qui fut appelé à convertir des

 

prostituées  d'Alexandrie.

 

Ses méthodes provoquèrent parfois le scandale, mais il fut justifié par

 

la suite.

 

Vers l'an 800, le décès de saint Paulin d'Aquilée, très considéré par

 

Alcuin et Charlemagne.

 

Nommé patriarche d'Aquilée, il devint la terreur des hérétiques et la

 

lumière de la chrétienté.

 

 

Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et bienheureux.

 


 

Saints catholiques et orthodoxes du jour 
Saints catholiques du jour
Prénoms du jour
Saint Paulin d'Aquilée Patriarche d'Aquilée (+ 804)
On ignore s'il était d'origine allemande ou italienne. Il passa pour être l'un des hommes les plus savants de son époque, écrivant aussi bien en prose qu'en vers. Alcuin le considérait comme son maître et l'empereur Charlemagne l'appela à sa cour pour en faire l'un de ses conseillers en matière religieuse. C'est lui qui le fit nommer évêque d'Aquilée, dans le Frioul italien. Selon ses contemporains, il fut "la lumière de la chrétienté" sans pour autant négliger le soin de son propre diocèse. Il fut l'un des grands défenseurs du "Filioque" ajouté dans le texte latin du Concile de Nicée. Il évangélisa les Avars et les Slovènes.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paulin_d%27Aquil%C3%A9e



Saint Guillaume Carter (+ 1584)
martyr. Il fut condamné à être pendu à Tyburn pour sa fidélité à l'Eglise catholique romaine durant la persécution menée par la reine Elisabeth I.



Saint Hortens Evêque de Césarée (2ème s.)
Evêque de Césarée dans les premiers siècles du christianisme. Nous connaissons son existence par saint Jérôme qui le cite comme évêque et martyr du 2ème siècle. Il n'en dit pas plus.



Saint Hygin Pape (9 ème) de 136 à 140 (+ 140)

Pape d'origine grecque, il eût à supporter les premiers remous causés par l'hérésie gnostique. Il était un vrai philosophe. Il fut martyrisé après quatre ans de pontificat.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hygin_(pape)



Saint Michel de Klops Ermite dans la Thébaïde (+ 1456)
Fol en Christ. Nul ne savait d'où venait ce moine inconnu qui, dans l'église du monastère de Klops, près de Novgorod, lisait le livre des Epîtres à la lumière d'un cierge et ne répondait, lorsqu'il était interrogé, qu'en répétant les questions qu'on lui posait. L'higoumène lui donna une cellule ne cherchant ni son nom ni son origine, le laissant dormir parfois dans sa cellule, parfois dans les champs, d'autres fois sur un tas de fumier. Jusqu'au jour où le frère du prince de Moscou, Constantin Dimietrievitch, reconnut, dans la voix de celui qui lisait à haute voix, son cousin disparu quelques années plus tôt. Constantin vint le retrouver et par la suite se fit aussi moine.



Saint Palamon Ermite, maître de Saint Pacôme (+ 330)
Ermite dans la Thébaïde égyptienne, il initia saint Pacôme à la vie monastique et lui en donna les principes fondamentaux : veiller et prier dans le jeûne et la solitude, ce qui sera désormais la règle de vie des Pères du Désert.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Pac%C3%B4me



Saints Pierre et Leucius martyrs (4ème s.)
dont nous parle le martyrologe de saint Jérôme. Ils furent martyrs de la foi durant la persécution de l'empereur Maximien.



Saint Salve Martyr en Afrique (2ème s.)
Martyr en Afrique, dont saint Augustin prononça l'éloge devant les fidèles de Carthage.



Saint Tethwin Moine à Redon (+ 880)
Moine à Redon en Bretagne, qui devint muet et paralytique durant les cinq dernières années de sa vie, ce dont il souffrit le plus parce qu'il aimait chanter la psalmodie des offices. Il ne les chanta plus que dans son coeur et sa mémoire.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Redon



Saint Théodose de Trebizonde (+ 1370)
Frère aîné de saint Denys, fondateur au Mont-Athos du monastère de Dionysiou, il fut d'abord prêtre de la Grande Eglise (Sainte Sophie) de Constantinople, puis moine sur la Sainte Montagne. Capturé par des pirates turcs et vendu comme esclave, il fut racheté et, en 1368, fut consacré métropolite de Trébizonde jusqu'à son départ vers le Seigneur.



Saint Théodose le Cénobiarque Moine près de Bethléem (+ 529)

Icône représentant la vie de saint Théodose

Né en Cappadoce, Théodose décide d'aller en Terre Sainte mener la vie de perfection. Sur son chemin, il fait un détour par Antioche pour consulter saint Syméon le Stylite. Celui-ci prophétise la vie du futur moine. Il lui déconseille de rejoindre les ermites du Désert dont beaucoup sont alors adeptes de l'hérésie monophysite. Il entre dans une petite communauté de la Ville Sainte où il s'initie à la vie monastique. Refusant d'être élu higoumène, il se réfugie dans une grotte et là découvre peu à peu la bonté et la miséricorde quand de nombreux disciples viennent vers lui. Ils seront près de 400 au moment de sa mort. Le patriarche de Jérusalem lui demande de devenir archimandrite (responsable) des communautés monastiques cénobitiques (d'où son nom) tandis que son ami saint Sabas devient responsable de l'ensemble des ermites. Jusqu'à la fin de sa vie, il défendra avec fougue la foi au Christ vrai Dieu et vrai homme, définie par le Concile de Chalcédoine.

autre biographie:
Né à Garissos en Cappadoce, Théodose partit jeune au désert de Palestine, attiré par la vie monastique, riche seulement d’une remarquable connaissance des Écritures que lui avait valu l’ordination comme lecteur dans son très jeune âge.
Suivant les conseils de Siméon le Stylite, Théodose opta pour la vie solitaire et se réfugia dans le désert de Juda, où il vécut seul dans une grotte pendant plus de trente ans.
Sa renommée fut telle qu’il attira bien des disciples et de très nombreux pèlerins. Ces derniers voulaient le combler de cadeaux, mais il montrait une extrême réticence à les accepter Et lorsqu’il le faisait, c’était seulement pour mettre toute chose en commun avec les autres, surtout avec les pauvres, les malades, les pèlerins, montrant ainsi combien le partage est la voie royale vers l’authentique pauvreté chrétienne.
Théodose fonda un grand monastère de cénobites dans les environs de Bethléem et y accueillit des centaines de moines de diverses nationalités et de traditions liturgiques différentes; pour eux, il fit bâtir quatre églises différentes, pour qu’il fût possible, dans son monastère, de prier en même temps en grec, en syriaque et en arménien.
Théodose s’employa tout particulièrement à alléger les maux de ceux qui souffraient, surtout des malades mentaux, qu’à cette époque personne ne voulait approcher, parce qu’on les considérait possédés du démon.
Engagé dans la difficultueuse réception du Concile de Chalcédoine, il défendit la foi de la Grande Église avec saint Sabas, son contemporain, avec lequel il était lié par une profonde amitié.
Pour le courage dont il a fait preuve jusque dans son âge avancé pour défendre la foi, quand il mourut plus que centenaire en 529, le patriarche de Jérusalem voulut présider en personne la cérémonie de ses funérailles.

Lecture

Théodose se tenait caché dans sa grotte, ayant choisi une grande pauvreté volontaire, il se contentait de plantes et persévérait dans la prière; c’est alors que parut un homme épris du Christ et qui arrivait de Byzance; il se nommait Acacios et désirait acquérir la perle précieuse dont parle l’Évangile; il vint le trouver dans sa grotte et s ‘assit pour l’écouter.
Ayant appris que Théodose n ‘acceptait de dons de personne, il enterra en cachette une bourse de cuir contenant cent pièces d’or.
Le lendemain du départ d’Acacios, Théodose trouva 1 ‘or caché dans sa cellule et construisit, avec cette fortune, d’abord une hôtellerie au-dessus de la grotte où il accueillait quiconque venait le voir. Ensuite, il acheta deux petits ânes, et c‘est lui qui les montait pour rapporter les choses nécessaires pour vivre. Seulement alors, il se mit à édifier son monastère. A partir de ce moment, ils furent nombreux ceux qui accoururent auprès de lui et le priaient de vivre en sa compagnie. Il les recevait et les guidait vers le parfait accomplissement de la volonté de Dieu.

Cyrille de Scytopolis, Vie de Saint Théodose 3

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9odose_le_C%C3%A9nobiarque
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsjanvier/janv11.html
http://www.magnificat.ca/cal/fran/01-11.htm#theodose



Saint Tipasius martyr à Tigava (Maurétanie) (+ v. 297)
Vétéran de l'armée romaine, rappelé au service, il refusa de sacrifier aux dieux et fut décapité.



Saint Vital de Gaza (7ème s.)
Il avait soixante ans lorsqu'il réalisa que l'Evangile invite les femmes de "mauvaise vie" à entrer, elles aussi, dans le Royaume de Dieu. Il résolut de les y décider sur place. Il quitta son ermitage de Gaza en Palestine, et rejoignit Alexandrie d'Egypte, célèbre en cela par son quartier du port. Il y loua une petite chambre et fit deux parts de son temps. Le jour, il mendiait l'argent aux portes des bonnes maisons; le soir il mendiait la conversion aux portes du péché. Ces dames le prirent vite en amitié respectueuse tant il était bon et miséricordieux dans ses paroles et ses jugements. Quand il abordait l'une ou l'autre qui était attristée de son métier, il doublait ou triplait ce qu'elle comptait gagner, l'emmenait dans sa chambre et lui parlait du bonheur que donne une vie honnête. Souvent, elles changeaient de vie. Mais les "saintes âmes" dénoncèrent saint Vital à l'évêque qui l'enferma. Les filles de joie passèrent des nuits devant la résidence épiscopale, criant et tapageant, réclamant leur ami. L'évêque comprit. Quelques jours plus tard, saint Vital fut abattu d'un coup de couteau par un souteneur furieux de son action. Près du saint, on trouva cette tablette écrite :"Attendez, pour juger, le jour du jugement."

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vital_de_Gaza



Les Églises font mémoire...

Anglicans : Mary Slessor (+ 1915) missionnaire en Afrique Occidentale

Coptes et Ethiopiens (2 tubah/terr) : Théonas (+3 00 env.) 16è patriarche d’Alexandrie (Église copte) ; Abel (Église éthiopienne)

Luthériens : Ernest le Confesseur (+1546), défenseur de la Réforme en Basse-Saxe

Orthodoxes et Gréco-catholiques : Théodose le Cénobite, moine



DOM LAMBERT BEAUDUIN (1873-1960) moine, témoin de l’œcuménisme
Le 11 janvier 1960 s’éteint, dans le monastère qu’il avait fondé en 1925, Lambert Beauduin, moine bénédictin et pionnier du mouvement liturgique et de l’œcuménisme dans l’Église catholique.
Beauduin était né à Rousoux-lès-Waremme, en Belgique, en 1873. Après son orrdination présbytérale à 26 ans, on lui confia le souci pastoral des travailleurs. D’emblée, il se rendit compte de la nécessité d’une réforme effective de la liturgie catholique pour combler la distance qui s’était creusée depuis des siècles entre le culte de l’Église et la vie quotidienne des gens.
En 1906 Beauduin décida de devenir moine dans l’abbaye bénédictine du Mont César; en peu de peu d’années, il devint la référence principale du mouvement liturgique naissant, grâce à la création de revues et la rédaction de textes importants pour l’avenir des réformes. Ce fut par la liturgie que dom Beauduin aborda l’œcuménisme, devenant un fidèle connaisseur des Églises d’Orient. A la demande de Pie XI, il donna vie au monastère de l’Union en 1925, qui sera transféré à Chevetogne en 1939, avec pour finalité la promotion de la pleine communion entre les Églises.
Beauduin toutefois entendait la recherche de l’union selon le fameux principe: «Les Églises unies à Rome, non pas absorbées par Rome ». Pour cette vision et pour d’autres positions évangéliques qu’il prit dans le domaine de la liturgie, il fut condamné par le tribunal ecclésiastique et contraint à un long exil dans l’abbaye française d’En Calcat. Il ne pourra réintégrer Chevetogne qu’en 1951. Malgré la condamnation ecclésiastique de ses positions en 1931, le pape Jean XXIII déclara, à la veille du renouveau conciliaire, que l’unique véritable méthode de travail dans le but de réunir les Églises était celle que dom Lambert avait pratiquée.

Lecture

Semblable à la merveilleuse basilique, la liturgie tient en réserve, pour toutes les âmes et pour toutes les conditions, des richesses et des splendeurs infiniment variées. Oui! que les prédicateurs la commentent, que les éducateurs l‘enseignent, que les théologiens la consultent, que les hommes d’œuvre la propagent, que les mères l’épellent, que les enfants la balbutient; les ascètes y apprendront le sacrifice, les chrétiens la fraternité et l’obéissance, les hommes la vraie égalité, les sociétés la concorde. Qu ‘elle soit la contemplation du mystique, la paix du moine, la méditation du prêtre, l’inspiration de 1‘artiste, 1‘attrait du prodige ! Que tous les chrétiens, hiérarchiquement unis à leur curé, à leur évêque, au Père commun des fidèles et des pasteurs, la vivent pleinement, viennent puiser le véritable esprit chrétien à cette « source première et indispensable » et réalisent, par la liturgie vécue, /‘oraison de la première Messe du Grand-Prêtre éternel, ut sint unum : suprême souhait et suprême espérance!
Le mouvement liturgique est cela ; il est tout cela, et il n‘est QUE cela.

Dom Lambert Beauduin, La piété liturgique. Principes et faits, Louvain 1922

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lambert_Beauduin


A Rome, l'an 142, saint Hygin. Fils d'un philosophe athénien, il fut élu pape et défendit l'Evangile contre les doctrines syncrétistes et gnostiques.

 

En Thébaïde, vers 330, saint Palamon, ermite, qui initia saint Pacôme à la vie monastique et lui en donna les principes fondamentaux : veiller et prier dans le jeûne et la solitude.

 

Vers 529, saint Théodose le Cénobiarque. Originaire de Cappadoce, il vint en Palestine, attiré par le rayonnement de saint Euthyme. Puis il fonda, près de Bethléem, un monastère cénobitique où se réunirent une foule de moines, de langues et de nationalités différentes.

 

Vers 625, saint Vital, moine de Gaza, qui fut appelé à convertir des prostituées d'Alexandrie. Ses méthodes provoquèrent parfois le scandale, mais il fut justifié par la suite.

 

Vers l'an 800, le décès de saint Paulin d'Aquilée, très considéré par Alcuin et Charlemagne. Nommé patriarche d'Aquilée, il devint la terreur des hérétiques et la lumière de la chrétienté.

 

 

Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et bienheureux.

 François PLACIDI Thomas de Cori (Tommaso da Cori)

 

Portail des croisades

11 janvier dans les croisades

  1153

Baudouin III met le siège devant Ascalon[1]

 

Événements 

1569

La première loterie est tirée en Angleterre, à la cathédrale Saint-Paul, sous le patronage de la reine Elisabeth Ire

Le froid est tel que même Monseigneur ne peut plus courre le gibier

 

1814 

Joachim Murat, roi de Naples, abandonne Napoléon et conclut avec les Alliés un accord qui garantit ses États.

 

1913

Mechthildis d'Autriche et Olgierd Czartoryski en 1912

 Mechtildis, Erzherzogin von Österreich- prince Olgierd Czartoryski

1-archiduchesse Mechthildis d'Autriche 1891-1966, fille de l'archiduc Karl Stephan, de la branche des ducs de Teschen 1860-1933 et de l'archiduchesse Maria Theresia d'Autriche-Toscane 1862-1933.

2-prince Olgierd Czartoryski 1888-1977

Ils se marièrent le 11 janvier 1913 et eurent 4 enfants.
Partager cet article
Repost0
11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 00:00

Ces commentaires, trouvés sur le site "Église catholique en France", permettent à toute personne de bonne volonté, chrétienne ou non, de mieux comprendre la Bible, le livre le plus diffusé au monde, en
  • décodant le langage imagé utilisé par l'auteur.

Attention le texte écrit peut différer des versions audio (Radio-Notre-Dame) et vidéo (KTO TV) qui ont été modifiées par Marie-Noëlle Thabut, parfois pour les améliorer, parfois pour s'adapter aux formats imposés par ces chaînes de radio ou de télévision. Dans cette hypothèse, nous mettons en italiques les passages supprimés pour ces médias.

Je souhaite arriver à mettre ici, chaque dimanche, les commentaires de Marie-Noëlle Thabut. Ma seule contribution consiste à surligner les passages que je trouve les plus enrichissants et à écrire en rouge ceux qui parlent d'un thème qui m'est cher : la liberté (trois autres pages de mon blog sont consacrées à ces passages des Évangiles, du reste du Nouveau Testament ou de l'Ancien Testament qui parlent de la liberté). D'après Marie-Noëlle Thabut, "... si nous ne trouvons pas dans les textes une parole libérante, c'est que nous ne les avons pas compris."

 

Version audio, trouvée sur le site de Radio-Notre-Dame.(disponible seulement à compter du 11 janvier 2015).

En bas de page, vous avez désormais les versions vidéo des commentaires, trouvées sur KTO TV.

 

PREMIÈRE LECTURE – livre du prophète Isaïe 55, 1 – 11

Ainsi parle le Seigneur :
1 Vous tous qui avez soif, venez, voici de l’eau !
Même si vous n’avez pas d’argent, venez acheter et consommer,
venez acheter du vin et du lait sans argent, sans rien payer.
2 Pourquoi dépenser votre argent pour ce qui ne nourrit pas,
vous fatiguer pour ce qui ne rassasie pas ?
Écoutez-moi bien, et vous mangerez de bonnes choses,
vous vous régalerez de viandes savoureuses !
3 Prêtez l’oreille ! Venez à moi ! Écoutez, et vous vivrez.
Je m’engagerai avec vous par une alliance éternelle :
ce sont les bienfaits garantis à David.
4 Lui, j’en ai fait un témoin pour les peuples,
pour les peuples, un guide et un chef.
5 Toi, tu appelleras une nation inconnue de toi ;
une nation qui ne te connaît pas accourra vers toi,
à cause du SEIGNEUR ton Dieu,
à cause du Saint d’Israël, car il fait ta splendeur.
6 Cherchez le SEIGNEUR tant qu’il se laisse trouver ;
invoquez-le tant qu’il est proche.
7 Que le méchant abandonne son chemin,
et l’homme perfide, ses pensées !
Qu’il revienne vers le SEIGNEUR, qui lui montrera sa miséricorde,
vers notre Dieu, qui est riche en pardon.
8 Car mes pensées ne sont pas vos pensées,
et vos chemins ne sont pas mes chemins,
- oracle du SEIGNEUR.
9 Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre,
autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins,
et mes pensées, au-dessus de vos pensées.
10 La pluie et la neige qui descendent des cieux
n’y retournent pas sans avoir abreuvé la terre,
sans l’avoir fécondée et l’avoir fait germer,
donnant la semence au semeur
et le pain à celui qui doit manger ;
11 ainsi ma parole, qui sort de ma bouche,
ne me reviendra pas sans résultat,
sans avoir fait ce qui me plaît,
sans avoir accompli sa mission.


UNE ÉTONNANTE RÉVÉLATION
Vous avez entendu au milieu de ce texte la petite phrase « oracle du SEIGNEUR ». Quand un prophète l’emploie, c’est toujours pour signaler une révélation importante ou difficile à accepter : une sorte de précaution, en somme. De quoi s’agit-il ici ?
« Mes pensées ne sont pas vos pensées, dit Dieu… Vos chemins ne sont pas mes chemins »… et l’image utilisée par Isaïe est forte : « Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins, et mes pensées, au-dessus de vos pensées. » Il est bien vrai que les cieux sont hauts par rapport à la terre. Eh bien les pensées de Dieu sont aussi loin des nôtres, paraît-il !
Si je comprends bien, pour nous ajuster aux pensées de Dieu, il va falloir opérer une véritable révolution de nos pensées spontanées. Pour nous y préparer, Isaïe a commencé par un petit discours un peu surprenant : « Vous tous qui avez soif, venez, voici de l’eau ! Même si vous n’avez pas d’argent, venez acheter et consommer, venez acheter du vin et du lait sans argent et sans rien payer ». C’est un discours sur la gratuité. Le prophète, ici, cherche à nous faire comprendre que notre relation avec Dieu n’est pas de l’ordre du commerce, du calcul, du donnant-donnant ; et il continue : « Que le méchant abandonne son chemin, que l’homme pervers abandonne ses pensées ! Qu’il revienne vers le SEIGNEUR, qui aura pitié de lui, vers notre Dieu, qui est riche en pardon. CAR mes pensées ne sont pas vos pensées et mes chemins ne sont pas vos chemins ». Ce petit mot « Car » nous dit en quoi consiste cette si grande distance qui nous sépare de Dieu, qui sépare nos pensées de ses pensées : Lui, il a pitié, Lui, il est riche en pardon.
Au fond, cela ne devrait pas nous étonner, puisque, comme dit saint Jean, Dieu est Amour ; et donc, Il est sur le registre de la gratuité, on dit « la grâce ».

CHANGER DE REGISTRE
Nous, nous sommes parfois sur le registre du calcul, du donnant-donnant. Nous voulons que les bons soient récompensés et les méchants punis. Nous calculons nos mérites et ceux des autres à notre égard ; nous disons « je ne mérite pas » le pardon de Dieu, ou celui qui m’a offensé ne « mérite » ni mon pardon ni celui de Dieu ; sans nous apercevoir qu’en disant cela, c’est comme si nous calculions à la place de Dieu !
Dieu, lui, ne demande à personne de mériter quoi que ce soit !
« Il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie sur les justes et les injustes », comme dit Jésus dans le sermon sur la montagne (Mt 5, 45). Nous parlons de « gagner » notre ciel, Lui, nous propose de vivre une relation d’amour, donc gratuite par définition.
Et c’est pour cela qu’Isaïe insiste tellement dans le début de ce texte sur la gratuité : « Vous tous qui avez soif, venez, voici de l’eau ! Même si vous n’avez pas d’argent, venez acheter et consommer, venez acheter du vin et du lait sans argent et sans rien payer. »
Et voilà la révolution de la pensée qui nous est demandée : Isaïe nous invite à emprunter à notre tour ce chemin-là, ces pensées-là, de gratuité, de pitié, de pardon. Pourquoi ne pas admettre une fois pour toutes que nous sommes sans argent (je veux dire sans titres à faire valoir) devant Dieu et qu’il n’attend de nous qu’un cœur offert, une « oreille ouverte » : « Écoutez et vous vivrez », dit Isaïe.
Vous allez peut-être me dire : « si nous n’avons pas besoin de gagner des mérites, alors nous allons nous conduire n’importe comment … » Je ne le crois pas du tout ; le jour où nous serons vraiment convaincus, et donc éblouis de l’amour de Dieu, alors notre cœur changera et nous commencerons à lui ressembler : le feu prendra et nous entrerons petit à petit dans le registre de la gratuité.
Notre Église a une tâche redoutable, il me semble : elle est une institution humaine, elle vit dans une société bâtie sur le commerce plus que sur le service ; et c’est au cœur même de cette société qu’elle doit faire germer le royaume de la gratuité. Notre mission de baptisés, c’est de témoigner au milieu des hommes non pas d’un AILLEURS, mais d’un AUTREMENT.
———————————————–
Complément
« Cherchez le SEIGNEUR tant qu’il se laisse trouver. Invoquez-le tant qu’il est proche » : là, malheureusement, notre traduction risque de nous induire en erreur ; la conjonction traduite ici par « tant que » veut dire également « puisque » ; il faut comprendre « Cherchez le SEIGNEUR puisqu’il se laisse trouver. Invoquez-le puisqu’il est proche. » Et rien d’autre ne nous est demandé parce qu’avec Lui, tout est gratuit. Seulement, voilà, nos chemins sont si éloignés des siens que nous risquons de faire un contresens ; pourtant, il n’existe pas de temps où Dieu ne se laisserait pas trouver, il n’existe pas de temps où Dieu ne serait pas proche !


PSAUME – Cantique du prophète Isaïe 12 , 2 … 6

2 Voici le Dieu qui me sauve :
j’ai confiance, je n’ai plus de crainte.
Ma force et mon chant, c’est le SEIGNEUR ;
il est pour moi le salut.
4 Rendez grâce au SEIGNEUR,
proclamez son nom,
annoncez parmi les peuples ses hauts faits !
Redites-le : « Sublime est son nom ! »
5 Car il a fait les prodiges
que toute la terre connaît.
6 Jubilez, criez de joie, habitants de Sion,
car il est grand au milieu de vous, le Saint d’Israël !


ACTION DE GRÂCE OU PROFESSION DE FOI ?
Ce poème est tiré du livre d’Isaïe, il ne fait pas partie du livre des psaumes, mais de toute évidence, il s’agit quand même d’un cantique écrit pour la liturgie1.
À première vue, il s’agit d’un Psaume d’action de grâce parce que Dieu nous sauve : « Rendez grâce au SEIGNEUR, proclamez son nom, annoncez parmi les peuples ses hauts faits ! » On pourrait croire que tout était rose …!
Mais si vous avez la curiosité de vous reporter au texte dans la Bible, le verset précédent parle au futur : « Tu diras ce jour-là » (Rendez grâce…) ce qui veut dire que pour l’instant, on n’a pas encore le coeur à rendre grâce, on est dans la crainte.
Pour comprendre de quoi il s’agit, nous sommes obligés de faire un peu d’histoire : nous sommes au huitième siècle av J.C., vers 740 – 730 : la menace de l’Empire Assyrien (capitale : Ninive) pèse sur toute la région… Beaucoup de textes de cette époque reflètent la crainte que faisait peser la menace de l’expansion Assyrienne. Elle est la puissance montante. Elle est l’Ennemi, le Danger public !
À cette époque-là, le peuple de Dieu est divisé en deux royaumes (depuis la mort de Salomon en 933) : deux royaumes minuscules, tout proches l’un de l’autre : ce qui menace l’un menace inévitablement l’autre. Ces deux royaumes qui devraient au moins être frères, à défaut d’être unifiés, mènent des politiques différentes, et parfois même opposées : c’est le cas ici. Ils réagissent de façon diamétralement opposée à la menace de la domination assyrienne. Le royaume du Nord (capitale Samarie) tente de résister, il veut se battre. Le royaume du Sud fait l’inverse : son tout jeune roi Achaz (à Jérusalem), préfère capituler : à quoi bon se battre pour une cause qui lui semble perdue d’avance ? Ne vaut-il pas mieux prendre les devants, négocier et accepter une fois pour toutes d’être vassal de l’Assyrie ? Pour le faire changer d’avis, ses voisins, les rois de Damas et de Samarie menacent à leur tour de le détrôner et font le siège de Jérusalem. Tout va mal pour lui ! Et il ne sait vraiment plus à quel saint se vouer.
C’est là que le livre d’Isaïe a cette phrase superbe : « Le cœur d’Achaz et le coeur de son peuple furent agités comme les arbres de la forêt sont agités par le vent »… (Is 7, 2). Soyons francs… On le comprend ; pour un jeune homme, la charge est lourde… et à vues humaines, il a raison !… (ou au moins, il a des raisons). Mais le prophète vous répondra : le peuple élu de Dieu a-t-il le droit de raisonner « à vues humaines » ?
Non, bien sûr ; le peuple avec qui Dieu a fait alliance peut rester assuré en toutes circonstances de sa protection ; seulement il faut garder confiance ; alors Isaïe multiplie les appels à la confiance : « Reste calme, ne crains pas » (7, 4), « Si vous ne croyez pas, vous ne subsisterez pas » (7, 9). On croit l’entendre dire « homme de peu de foi »…

ESPÉRER MALGRE TOUT
Et les chapitres 7 à 11 (qui précèdent juste notre chant d’aujourd’hui) ne sont que paroles d’espérance ; on a là des textes que nous connaissons bien : au chapitre 7, ce que nous appelons l’oracle de l’Emmanuel, « Voici que la jeune femme est enceinte » : c’est la promesse d’un nouveau roi qui restaurera la sécurité à Jérusalem… ou encore au chapitre 9 : « Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière… » (nous l’avons lu la nuit de Noël), et enfin un texte superbe que nous connaissons car il a été repris par le pasteur Martin Luther King dans ce qu’il appelait son « rêve » : « Le loup habitera avec l’agneau, le léopard se couchera près du chevreau, le veau et le lionceau seront nourris ensemble, un petit garçon les conduira. La vache et l’ourse auront même pâture, leurs petits, même gîte, le lion comme le bœuf, mangera du fourrage, le nourrisson s’amusera sur le nid du cobra. Sur le trou de la vipère, le jeune enfant étendra la main… Il ne se fera ni mal ni destruction sur ma montagne sainte, car le pays sera rempli de la connaissance du SEIGNEUR comme les eaux recouvrent les mers. » (Is 11, 6). Effectivement c’est une vision de rêve … Mais, dans la foi, on sait que les rêves de Dieu sont des promesses.

DIEU NOUS A LIBÉRÉS D’ÉGYPTE, IL NOUS LIBÈRERA ENCORE
Ce qui complique à première vue la lecture de tous ces chapitres, c’est que, manifestement, on y a regroupé des prédications de plusieurs époques ; mais il y a une manière plus positive d’aborder cette complexité : car c’est une formidable leçon de foi qui nous est donnée là ; quelles que soient les circonstances, au long des siècles, l’homme de foi, et le peuple d’Israël après lui, sait de certitude absolue que le tunnel a toujours une fin et qu’il débouche toujours sur la lumière, simplement parce que Dieu l’a promis. Les expériences historiques se suivent, les langages se superposent, mais la foi reste la même.
Et donc, tout normalement, le prophète qui croit de toutes ses forces à la réalisation des promesses de Dieu termine en disant « Ce jour-là, vous chanterez comme vos pères ont chanté, à leur sortie d’Égypte ».
On se souvient de leur chant sur le bord de la mer des Roseaux : « Ma force et mon chant, c’est le SEIGNEUR, il a été pour moi le salut. C’est lui mon Dieu, je le louerai ; le Dieu de mon père, je l’exalterai » (Ex 15, 2). En écho, des siècles plus tard, Isaïe reprend : « Voici le Dieu qui me sauve ; j’ai confiance, je n’ai plus de crainte. Ma force et mon chant, c’est le SEIGNEUR ; il est pour moi le salut. »
Mais bien sûr, quand on fait sien un chant du passé, on le lit avec ce qu’on est : et, par exemple, l’expérience spirituelle d’Isaïe s’exprime ici : il a toujours été très marqué par la Grandeur de Dieu, par sa Sainteté ; vous vous souvenez de l’exclamation des séraphins, lors de sa vocation au Temple de Jérusalem « Saint, Saint, Saint est le SEIGNEUR, le Dieu de l’univers » (Is 6).
Et quand il compose ce chant, je l’imagine face au Temple de Jérusalem, le lieu de la Présence de Dieu : la même exclamation lui vient aux lèvres : « Oui, vraiment, Il est grand au milieu de toi, le SAINT d’Israël ».
————————————————
Note 1
Cela prouve que tous les chants liturgiques n’ont pas été inclus dans le psautier.

Complément
À côté des réminiscences de l’Exode, le contexte historique d’Isaïe affleure ici : par exemple, dans la phrase « Jubilez, criez de joie, habitants de Sion… » ; bien sûr, les Hébreux sortis d’Égypte ne risquaient pas de parler de Sion dont ils ignoraient encore l’existence et le rôle qu’elle jouerait plus tard dans leur histoire.
À propos de la crainte qu’inspire l’expansion de l’Empire Assyrien : il suffit de se rappeler le Livre de Jonas qui présente Ninive comme la ville impie où se commet tout ce qu’il y a de mal sur la terre.


DEUXIÈME LECTURE – première lettre de saint Jean 5, 1 – 9

Bien-aimés,
1 celui qui croit que Jésus est le Christ,
celui-là est né de Dieu ;
celui qui aime le Père qui a engendré
aime aussi le Fils qui est né de lui.
2 Voici comment nous reconnaissons
que nous aimons les enfants de Dieu :
lorsque nous aimons Dieu
et que nous accomplissons ses commandements.
3 Car tel est l’amour de Dieu :
garder ses commandements ;
et ses commandements ne sont pas un fardeau,
4 puisque tout être qui est né de Dieu
est vainqueur du monde.
Or la victoire remportée sur le monde,
c’est notre foi.
5 Qui donc est vainqueur du monde ?
N’est-ce pas celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ?
6 C’est lui, Jésus Christ,
qui est venu par l’eau et par le sang :
non pas seulement avec l’eau,
mais avec l’eau et avec le sang.
Et celui qui rend témoignage, c’est l’Esprit,
car l’Esprit est la vérité.
7 En effet, ils sont trois qui rendent témoignage,
8 l’Esprit, l’eau et le sang,
et les trois n’en font qu’un.
9 Nous acceptons bien le témoignage des hommes ;
or, le témoignage de Dieu a plus de valeur,
puisque le témoignage de Dieu, c’est celui qu’il rend à son Fils.


À LA RECHERCHE DES MOTS POUR DIRE LE MYSTÈRE DU CHRIST
La clé de ce passage est peut-être dans le chapitre précédent : Jean a dénoncé les sectes en disant : « Beaucoup de prophètes de mensonge se sont répandus dans le monde… Eux ils sont du monde ; aussi parlent-ils le langage du monde et le monde les écoute. » (1 Jn 4, 1-6). Dans le passage d’aujourd’hui, son but est donc d’armer ses frères chrétiens dans leur rencontre avec les sectes.
Par exemple, dès le premier verset, on sent une petite pointe contre les sectes : verset 1 « Celui qui croit que Jésus est le Christ, celui-là est né de Dieu ; celui qui aime le Père qui a engendré aime aussi le Fils qui est né de lui. » C’est-à-dire « Tout homme qui croit que Jésus est le Christ » : cette formule s’oppose évidemment à l’attitude d’exclusion (on dit « sectaire » justement) qui caractérise toujours les sectes.
Deuxième allusion : « Tout homme qui croit que Jésus est le Christ, celui-là est vraiment né de Dieu » ; traduisez : il suffit de croire, il n’y a pas de chemin initiatique. Dans les sectes, il faut toujours passer par un mystérieux chemin d’initiation1 ; au contraire, le mystère de Dieu n’est pas un secret jalousement gardé, il nous est révélé. Et la communauté vit au grand jour. Par exemple, les portes des églises restent toujours ouvertes en principe pendant les offices.
Nulle part dans les lettres de Jean, nous ne trouvons la carte d’identité de ses adversaires, mais là encore, en lisant entre les lignes, on peut deviner où se trouvait le problème majeur.
Visiblement, il s’agit de la personne même du Christ ; le problème étant de comprendre et de traduire son mystère. Pour les Juifs, Dieu était le Tout-Autre, nous l’avons réentendu dans la première lecture tirée d’Isaïe… alors parler d’Incarnation pour Dieu était proprement impensable, scandaleux ; et à l’inverse, prétendre que cet homme Jésus de Nazareth, mortel comme tous les hommes, puisse être Dieu, c’était du blasphème. Et, pire encore, le livre du Deutéronome disait que le condamné à mort est maudit de Dieu ; par suite, comment intégrer dans le mystère du Christ le supplice de la croix ?
Alors, dans les mots de son temps, Jean essaie de formuler la foi chrétienne sans rien abandonner, ni défigurer ; en Jésus-Christ, le Tout-Autre s’est fait le Tout Proche, le Dieu inaccessible a pris chair en humanité, comme n’importe lequel d’entre nous. L’homme-Jésus, pleinement homme, fait de chair et de sang, comme on disait, est en même temps et inséparablement Christ, Messie, Fils de Dieu, Dieu lui-même.
C’est le même sur qui s’est manifesté l’Esprit de Dieu au Baptême et qui est mort de mort humaine, sanglante… ce qui était proprement scandaleux pour les hommes de son temps, Juifs ou Grecs… « scandaleux » au sens étymologique du terme, qui veut dire pierre d’achoppement, obstacle qui fait trébucher…
Paul dit exactement la même chose : « Nous prêchons un Messie crucifié, scandale pour les juifs, folie pour les païens… » (1 Co 1, 23).

JÉSUS HOMME ET DIEU
Sur cette vérité-là, il ne faut pas transiger, estime Jean.
Dans sa deuxième lettre, il le dit clairement : « De nombreux séducteurs se sont répandus dans le monde : ils ne professent pas la foi à la venue de Jésus-Christ dans la chair. Le voilà, le séducteur et l’Antichrist » (2 Jn, 7).
Voir en Jésus seulement l’homme ou seulement Dieu, c’est le diviser, c’est ne plus être chrétien. Un peu plus haut, dans cette première lettre, il l’a dit : « Tout esprit qui divise Jésus n’est pas de Dieu… » (1 Jn 4, 3).
Il arrive que des auteurs se risquent à produire un film ou une pièce sur Jésus : chaque fois on voit bien que le problème est là ; bien souvent, le réalisateur nous présente soit un homme-Jésus qui n’est qu’un homme muni de quelques pouvoirs magiques, soit un être céleste complètement hors de nos réalités. Mais comment s’étonner que le mystère de Celui qui est Dieu lui-même nous échappe ?
Les évangiles, chacun à leur manière, essaient, tout au long, de décrire cette réalité : homme, Jésus ne sait pas tout d’avance, grandit et progresse, traverse des étapes dans sa maturation, affronte des tentations… Mais en même temps, il est Dieu, c’est-à-dire l’amour même et à ce titre vainqueur du monde.
Ici, dans sa lettre, Jean, tout simplement, évoque les événements majeurs de la vie du Christ, et il les juxtapose en soulignant qu’on ne peut en ignorer aucun ; ces événements, ce sont le Baptême et la Croix : le Baptême dans l’eau, le Baptême dans le sang.
Quand Jean dit, « Jésus-Christ est venu par l’eau et par le sang : pas seulement l’eau, mais l’eau et le sang », sa formule « pas seulement l’eau, mais l’eau et le sang » veut bien dire « il n’est pas question de retenir seulement l’événement glorieux du Baptême et de refuser l’humiliation de la Croix ».
Et l’Esprit était présent à la Croix comme il l’était au Baptême pour manifester que celui-ci était le Fils ; d’où l’expression « Ils sont trois qui rendent témoignage, l’Esprit, l’eau et le sang, et tous les trois se rejoignent en un seul témoignage ».
Cet unique témoignage, c’est celui que Dieu lui-même rend à son Fils ; comme dit Jean : « Nous acceptons bien le témoignage des hommes ; or le témoignage de Dieu a plus de valeur, et le témoignage de Dieu c’est celui qu’il rend à son Fils. » Ce témoignage, c’est la Résurrection ; Pierre le proclame le jour de la Pentecôte : « Que toute la maison d’Israël le sache avec certitude : Dieu l’a fait Seigneur et Christ, ce Jésus que vous, vous aviez crucifié. » (Ac 2, 36).
———————————————–
Note 1
Il est vrai que, dans la communauté chrétienne, on emploie aussi les mots de mystère et d’initiation, mais c’est dans un tout autre sens.

Complément
Ce texte est incontestablement difficile, mais étonnamment d’actualité ! Il suffit de recenser les innombrables parutions, livres ou revues sur Jésus au cours de ces dernières années ! Tout le monde y va de sa biographie, plus ou moins documentée ; en tout cas, il est clair que cela se vend bien. Ce qui veut dire que le sujet préoccupe nos contemporains.
Le contexte dans lequel écrivait saint Jean devait ressembler au nôtre : il s’adressait à une communauté chrétienne qui avait bien du mal à faire son choix entre toutes les théories qui circulaient sur la personne de Jésus. On sait bien que le manque d’information ou de catéchèse des Chrétiens fait le jeu des sectes. C’est ce qui a amené l’Église Catholique à réécrire son Catéchisme. C’est ce qui a amené saint Jean à écrire ses Lettres.


ÉVANGILE – Saint Marc 1, 7-11

En ce temps-là,
7 Jean le Baptiste proclamait :
« Voici venir derrière moi
celui qui est plus fort que moi.
Je ne suis pas digne de m’abaisser
pour défaire la courroie de ses sandales.
8 Moi, je vous ai baptisés avec de l’eau ;
lui vous baptisera dans l’Esprit Saint. »
9 En ces jours-là,
Jésus vint de Nazareth, ville de Galilée,
et il fut baptisé par Jean dans le Jourdain.
10 Et aussitôt, en remontant de l’eau,
il vit les cieux se déchirer
et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe.
11 Il y eut une voix venant des cieux :
« Tu es mon Fils bien-aimé ;
en toi, je trouve ma joie. »


L’ESPRIT DESCENDIT COMME UNE COLOMBE
Le Baptême de Jésus est sa première manifestation publique, et il va être l’occasion d’une véritable révélation sur sa personne.
Jean-Baptiste lui-même, semble-t-il, ne sait pas à qui il a affaire ; quand il parle du Messie à venir, il l’annonce dans des termes que tout le monde comprend, mais il ne sait pas qu’il s’agit de Jésus de Nazareth. Il dit : « Moi, je vous ai baptisés dans l’eau ; lui vous baptisera dans l’Esprit Saint » ; ce qui veut dire : « moi je vous ai plongés dans l’eau, lui vous plongera dans l’Esprit Saint ». (Le mot « baptiser » veut dire « plonger »). Alors tout le monde comprend qu’il parle du Messie car tout le monde a en tête la promesse du prophète Joël : « En ces jours-là, sous-entendu quand viendra le Messie, je répandrai mon Esprit sur toute chair » (Jl 3, 1). Le prophète Isaïe, également, avait parlé à plusieurs reprises du Messie sur qui reposerait l’Esprit : « Sur lui reposera l’Esprit du SEIGNEUR : esprit de sagesse et de discernement, esprit de conseil et de vaillance, esprit de connaissance et de crainte du SEIGNEUR. » (Is 11, 2). Et la vocation de ce messie, c’est encore Isaïe qui la décrit : « L’Esprit du SEIGNEUR Dieu est sur moi : le SEIGNEUR, en effet a fait de moi un messie, il m’a envoyé porter joyeux message aux humiliés, panser ceux qui ont le coeur brisé, procurer aux captifs l’évasion, aux prisonniers l’éblouissement… » (Is 61, 1).
Or, vous connaissez la suite : « Au moment où il sortait de l’eau, Jésus vit le ciel se déchirer et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe. Du ciel une voix se fit entendre : « C’est toi mon Fils bien-aimé ; en toi j’ai mis tout mon amour. »
« C’est toi mon Fils » : cela c’était justement le titre du Messie, un titre que chaque nouveau roi à Jérusalem recevait le jour de son sacre ; Jésus est donc le roi-Messie ; cela veut dire que le Baptême est une véritable scène d’investiture royale.
La formule du sacre ne comprenait pas le mot « bien-aimé » (Tu es mon fils bien-aimé) ; peut-être y a-t-il là une allusion à Isaac, le fils tendrement aimé d’Abraham, le fils librement offert… Quant à la formule finale, « en toi j’ai mis tout mon amour » (littéralement « en toi j’ai mis mon bon plaisir »), c’est encore une référence à Isaïe parlant du Messie : « Voici mon serviteur que je soutiens, mon élu que j’ai moi-même en faveur, j’ai mis mon Esprit sur lui. » (Is 42,1).

JÉSUS SOLIDAIRE DES HOMMES
Bien plus tard, après la Passion et la Résurrection de Jésus, on a contemplé cette scène du Baptême et on en a mieux compris toute la profondeur.
Par exemple, on pose souvent la question : « Pourquoi Jésus demande-t-il le Baptême alors qu’il n’est pas pécheur ? » Première réponse possible : parce qu’il veut s’inscrire dans la démarche de tout son peuple, il choisit de se montrer solidaire des hommes pécheurs ; et chose remarquable, c’est précisément à ce moment-là qu’il est déclaré « Fils ».
Deuxième réponse : cela prouve que le véritable centre de gravité du Baptême n’est pas le péché… le Baptême est une histoire d’amour : pas étonnant si c’est une plongée dans l’Esprit Saint ! Il s’agit de se situer en position filiale par rapport au Père et solidaire par rapport aux frères. Nous pensons le Baptême en termes de purification, Dieu, lui, parle d’amour filial et fraternel !
Le Baptême qui nous plonge dans l’Esprit Saint nous plonge dans l’amour de Dieu ; quand Dieu dit à Jésus « C’est toi mon Fils bien-aimé ; en toi j’ai mis tout mon amour », il le propose à travers lui à l’humanité tout entière ; il nous suffit tout simplement d’accepter que l’amour de Dieu nous habite.

LES CIEUX SE SONT DECHIRÉS
Alors on comprend que les cieux se déchirent enfin, comme l’avait souhaité Isaïe : « Ah, si tu déchirais les cieux et si tu descendais, tel que les montagnes soient secouées devant toi, tel un feu qui brûle les taillis, tel un feu qui fait bouillonner les eaux, pour faire connaître ton nom… » (Is 63,19). Les cieux déchirés, cela veut dire qu’il n’y a plus de séparation entre le ciel et la terre : l’univers n’est plus la prison dans laquelle l’humanité s’est enfermée depuis qu’elle a peur de Dieu, depuis le soupçon du jardin d’Eden ; la communication entre Dieu et ses enfants est enfin rétablie, l’humanité connaît enfin son Dieu tel qu’il est et non selon les caricatures qu’elle a inventées au cours du temps.
Jésus vient de prendre la tête de cette humanité nouvelle, celle qui vit selon l’Esprit de Dieu ; comme dira Saint Paul, il est le premier-né d’une multitude de frères » ( Rm 8, 29 ). Alors l’image de la colombe nous parle mieux : « Jésus vit le ciel se déchirer et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe. », nous dit Marc : comme le souffle de Dieu planait sur les eaux de la première création, l’Esprit plane sur cet homme qui est le premier de la création nouvelle. Le Baptême de Jésus, c’est la première manifestation de la Trinité.
Et ceci se passe au bord du Jourdain, ce même fleuve que le peuple élu avait traversé à pied sec sous la conduite de Josué pour entrer en Terre Promise : à son tour, Jésus émerge du Jourdain, comme Josué, mais il a pris la tête du peuple nouveau en marche vers la vraie Terre Promise, celle où tous les hommes seront frères.

———————————————–

Compléments

- « C’est toi mon Fils bien-aimé » : à chaque sacre d’un nouveau roi à Jérusalem, on prononçait sur lui la phrase : « Tu es mon fils, aujourd’hui je t’ai engendré », en écho à la prophétie messianique de Nathan qui avait annoncé au roi David que le Seigneur lui donnerait une descendance royale. Et le prophète disait du futur roi (de la part de Dieu, bien sûr) : « Je serai pour lui un père et il sera pour moi un fils » (2 S 7, 14). Au bord du Jourdain, le titre de Fils de Dieu ne veut dire encore que roi, mais, plus tard, après la Résurrection, on comprendra qu’il s’agit de beaucoup plus encore ; une véritable relation de filiation entre Jésus et son Père.

- « Ah, si tu déchirais les cieux et si tu descendais » : quelques années plus tard, le voile du Temple de Jérusalem (qui pour les Juifs symbolisait le firmament, puisqu’il séparait le lieu du peuple et le lieu de Dieu), ce voile s’est déchiré au moment de la mort du Christ sur la Croix. Et Paul commente (ou contemple, si vous préférez) : « Il a plu à Dieu de faire habiter en lui toute la plénitude et de tout réconcilier par lui et pour lui, sur la terre et dans les cieux, ayant établi la paix par le sang de sa Croix » (Col 1, 19-20).

- Pourquoi Jésus demande-t-il le Baptême ? Il choisit de se montrer solidaire des hommes pécheurs : ce mystère d’amour et de solidarité s’accomplira en plénitude à la croix ; et c’est Marc, justement, qui fait le rapprochement, en citant la parole de Jésus à Jacques et Jean : « Pouvez-vous boire la coupe que je vais boire ou être baptisés du Baptême dont je vais être baptisé ? » (Mc 10, 38). Se montrer solidaire de ses frères pécheurs, c’est cela « accomplir toute justice » comme dit Jésus dans l’évangile de Matthieu : Mt 3, 15.

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 00:00
  314
180px-Pope_miltiades.jpg
 Miltiade

Saint Miltiade ou Melchiade

 

né en Afrique, il fait partie de la catégorie des papes africains.

 

Il est évêque de Rome de 311 jusqu'à sa mort le 10 ou le 11 janvier 314.

 

Historiquement, il est le premier pape à bénéficier de faveurs d'empereur romain : Maxence, levant les mesures répressives contre les chrétiens, autorisa son élection en 311, après une vacance de l'évêché de Rome de plusieurs années.

Après l'élimination de Maxence par Constantin Ier, la mère de ce dernier lui offrit le palais de Latran qui faisait partie des possessions impériales.

 

C'est là qu'il organisa le concile régional de Latran en 313, pour trancher sur l'élection de l'évêque de Carthage contestée par les donatistes.

 

Il a été enseveli dans le cimetière de Saint-Callixte, sur la Voie Appienne à Rome.

 

Bien qu'il semble être mort de causes naturelles, il est considéré comme martyr et fêté le 10 décembre.




705
Image du pape Jean VI
Jean VI

né en Grèce, pape de 701 à 705

En 702-704,il confirma les biens de l'abbaye Saint-Pierre-et-Paul, de Montier-en-Der (Haute-Marne) et accorda, aux moines, le libre choix de leur abbé.



812
180px-Solidus-Nicephorus_I_and_Starauciu
 Staurakios

(mort le 11 janvier 812)

 empereur byzantin en 811.

Biographie 

Staurakios était le fils de Nicéphore Ier et de l'impératrice Procopia et il avait épousé Théophano, une cousine de l'impératrice Irène.

 

Staurakios devient Empereur après la mort tragique de son père, le 26 juillet 811. Paralysé par un coup d'épée au cou reçu pendant la bataille de Pliska contre les Bulgares du khan Kroum, il règne seulement deux mois, du 28 juillet au 2 octobre.

 

Il abdique en faveur de son beau-frère Michel Ier Rhangabé avant de se retirer dans un monastère sous le nom de Syméon, où il meurt le 11 janvier 812




1055
 Constantin IX le Monomaque
(grec: Κωνσταντίνος Θ΄ Μονομάχος, Kōnstantinos IX Monomakhos)

(1000 - 11 janvier 1055)
empereur byzantin du 12 juin 1042 au 11 janvier 1055.

Au cours de son règne de plus de 12 ans Constantin Monomaque qui n’a pratiquement jamais quitté le palais impérial doit faire face à un complot, deux séditions militaires une attaque des russes sur la capitale, ainsi qu’à l’apparition de nouveaux ennemis avec le début des attaques des turcs seldjoukides à l’est, l’invasion des Petchenègues sur le Danube et l’agression des Normands en Italie du sud.


Constantin IX, par sa « folle prodigalité » [1], notamment par la contruction de sompteux monastères dans le quartier des Manganès et dans l'île de à Chio où il avait été accueilli pendant son exil [2], a lourdement contribué à l'épuisement du trésor impérial qu'avaient accumulé ses prédécesseurs.

 

Ce trésor manquera cruellement pour la lutte décisive qui s'engagera plus tard contre les Turcs.


1096

Adelheid II de Franconie

Née en 1045
Décédée le 11 janvier 1096 à l'âge de 51 ans

 Abbesse de Gandersheim 1061, de Saint-Servais à Quedlimbourg 1063
Fille aînée de l'Empereur Henri III Le Noir Herzog von Bayern (Henri VI, 1027-1042), roi des Romains (1028-1039), roi de Bourgogne (1038-1056), roi de Germanie (1039-1056) (Henri de Franconie) et sa seconde épouse Agnès d'Aquitaine (Agnès de Poitou), impératrice de Germanie (1046) demi-soeur de l'abbesse Beatrix.

Sa mère l'impératrice Agnès, qui a agi en tant que régente de son fils, désigné comme son successeur Abbesse de Beatrix.

Elle devint abbesse en Gandersheim en 1061.

Elle est aussi devenue abbesse de Quedlinburg trois ans plus tard
Adelheid II

Inhumée à la Collégiale Saint Servatius
Quedlinbourg
Saxe-Anhalt (Allemagne)
  Crypte
aux côtés de:
  • Adelheid Ière (N.en Mai  977  DC. 14 Janvier 1043 ) 
  • Beatrix  (N. 1037  DC. 13 Juillet 1061) 
  • Mathilde  (N. 955  DC. 7 Février 999)
1151
 Thibaut IV de Blois

(ou Thibaut II de Champagne)
 comte de Blois, de Chartres, de Meaux, de Châteaudun et de Sancerre, seigneur d'Amboise (1102-1151), comte de Troyes et de Champagne.

1401
dauphin du Viennois (1392)
Parents

1495
Blason de Pedro González de Mendoza
Image de Pedro González de Mendoza
 Pedro González de Mendoza

né le 3 mai 1428 à Guadalajara
décédé le 11 janvier 1495 à Guadalajara

 ecclésiastique et une personnalité politique espagnole
 cinquième enfant de Iñigo López de Mendoza, premier marquis Santillana, et Catalina de Figueroa.

Repères biographiques 

Il étudie à l' Université de Salamanque entre 1446 et 1452, arrivant peu après à la Cour de Jean II d'Aragon, qui le nomme chapelier.

 

En 1453 il est désigné évêque de Calahorra, bien que ses ambitions politique, l'amène à nouveau à la Cour.

 

En 1473, il est créé cardinal au titre de Santa Maria in Domnica, archevêque de Séville et chancelier de Castille.

 

Le 13 novembre 1482, il est nommé archevêque de Tolède.

 

Partisan d'Isabelle dans la guerre de Succession de Castille, il remporte la bataille de Toro en 1476.

 

Il prend part à la guerre contre les Nasrides en 1485 et participe à la prise de Grenade aux côtés des rois catholiques en 1492.



1665
Louise de La Fayette.jpg

 Louise de La Fayette

 favorite de Louis XIII puis religieuse de la Visitation.
a été l'objet d'un amour platonique du roi Louis XIII.

Louise Angélique Motier de La Fayette

née le 8 novembre 1618 à Vésigneux

morte le 11 janvier 1665 à Paris

 

À la Visitation de Chaillot, décès de la Mère Louise-Angélique, supérieure du couv ent, née Marie-Louise Motier de La Fayette le 8 novembre 1618 à Vésigneux dans la Franche-Comté, fille du comte Jean de la Fayette, et de Marguerite de Bourbon-Busset.

167370_10150090076455747_614105746_61220

Elle fut l’amie platonique du roi Louis XIII qui s’éprit de sa douceur et de son bon sens.

 

Le cardinal de Richelieu l’utilisa pour tenter d’écarter le roi de l’influence de Marie de Hautefort par sa séduction, mais échoua car Louis, au contraire de son père le Vert Galant, n’était pas sensible aux charmes du beau sexe.

 

Il appréciait plutôt l’intelligence chez les femmes.

 

Alors le ministre, craignant le danger que pouvait représenter Mademoiselle de La Fayette la convainquit d’entrer en religion.

 

D’abord attirée par le Carmel, à la fin elle se décida pour le nouvel ordre de la Visitation, fondé para saint François de Sales et Madame de Chantal et entra dans le couvent des Filles de Sainte-Marie rue Saint-Antoine, que Louis XIII ne manquait pas de visiter pour ne pas se priver du conseil de son amie.

 

Ce fut au cours d’une de ces visites, au retour d’une partie de casse, que sœur Louise-Angélique urgea le roi pour qu’il remplît ses devoirs conjugaux avec la reine Anne d’Autriche, dont il n’avait pas de descendance après vingt-deux ans de mariage.

 

Louis XIII, avec l’assurance des prières de la communauté, alla à contrecoeur rencontrer la reine au Louvre et le miracle se produisit : Anne d’Autriche resta enceinte.

 

C’était le 5 décembre 1637.

 

Neuf mois après, jour par jour, elle accouchait d’un mâle qui fut justement prénommé Louis Dieudonné (le futur Louis XIV)

 

Tandis que la France entière se réjouissait de cette naissance, sœur Louise-Angélique fit sa profession de foi, signifiant l’irrévocabilité de ses vœux, à la fin de l’année 1638, en présence de la reine et de nombreuses dames de la cour.

 

Elle donna exemple d’observance et de prudence pendant les années qui suivirent.

 

Puis en 1651, les supérieures de l’ordre décidèrent qu’un nombre de religieuses du couvent de la rue Saint-Antoine le quitterait pour aller établir une nouvelle communauté à Chaillot, dans une autre maison qui abriterait la retraite de la reine d’Angleterre, la bienfaitrice de la nouvelle fondation.

 

En 1654, âgé de 36 ans, la sœur de La Fayette fut élue supérieure du couvent, qu’elle gouverna sagement jusqu’à sa mort, toujours sous la protection des reines mères de France et d’Angleterre.

1678
ferdinando.3.gonzaga
Ferdinando III Gonzaga
duca di Guastalla (1632-1678)
(Ferdinando Gonzaga)

Parents

1713
 Pierre Jurieu


 religieux protestant

1714
3ème duc de La Rochefoucauld (24 août 1671)
Devient duc de La Roche-Guyon
par héritage de Jeanne du Plessis-Liancourt, fille d'Henri-Roger, dernier duc de La Roche-Guyon

Grand Veneur de France
3ème duc de La Rochefoucauld (24 août 1671), duc de La Roche-Guyon
(François VII de La Rochefoucauld)
Parents
 

Devient duc de La Roche-Guyon par héritage de Jeanne du Plessis-Liancourt, fille d'Henri-Roger, dernier duc de La Roche-Guyon.



1725
Parents

1891
 Georges Eugène Haussmann


 couramment appelé baron Haussmann, préfet de la Seine sous le Second Empire 


1923
Constantine1 Greece.jpg

 Constantin Ier

 roi des Hellènes

1952
 De Lattre de Tassigny


Maréchal de France 


1955

Elisabeth VON SCHLESWIG-HOLSTEIN-SONDERBURG-GLUCKSBURG
Image Hosted by ImageShack.us
Elisabeth von Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg

princesse de Grèce, princesse du Danemark

Née le 24 mai 1904 à Tatoi
Décédée le 11 janvier 1955 à Munich à l'âge de 50 ans

Parents
Nicholas von Schleswig-Holstein-Sonderburg-Glücksburg, prince de Grèce 1872-1938
x x 1882-1957

Mariée le 10 janvier 1934, Schloss Seefeld, avec Carl Theodor, Graf zu Toerring-Jettenbach 1900-1967 (civil wedding in Munich on January 9th 1934)
dont
Hans Veit 1935-
Helene 1937-

1959
Erzherzogin von Österreich
Parents
1988
Composition archevèque.svg

Marc-Armand Lallier
Blason de Marc-Armand Lallier

né le 3 décembre 1906 à Paris
 mort le 11 janvier 1988

 religieux français du XXe siècle, qui fut successivement évêque de Nancy (1949-1956)
 archevêque de Marseille (1956-1966)
 archevêque de Besançon (1966-1980)

Grand officier de l'Ordre du Saint-Sépulcre

1994
Composition évèque.svg
 Charles-Marie Himmer
Charles-Marie Alfred Joseph Ghislain Himmer

 évêque belge né le 10 avril 1902 à Dinant
décédé le 11 janvier 1994 à Fleurus.

Ordonné le 15 août 1926 à Namur, il est nommé évêque de Tournai le 29 décembre 1948, avant d'être sacré évêque (le 98e) le 24 février 1949.

Le 2 juillet 1977, il est nommé évêque émérite de Tournai.


2001
princesse du sang imperial de Russie
Parents

2009

Béatrice (Betty) Jeanne Marie Ghislaine

Comtesse van der Burch

veuve du Comte Adrien de Beauffort

née à Etterbeek le 16 mai 1920 et décédée à Naninne le 11 janvier 2009.

*

Lieu et date des funérailles : église Saint-Lambert à Naninne, le jeudi 15 janvier 2009 à 11 heures.

 


2009

Image Hosted by ImageShack.us
Pio Laghi
Image Hosted by ImageShack.us

 

né le 21 mai 1922 près de Forlì en Italie

 

cardinal italien, nonce apostolique émérite et préfet émérite de la Congrégation pour l'éducation catholique.

 

Il est décédé le 11 janvier 2009 à l'hôpital San Carlo di Nancy, de Rome, des suites d'une maladie hématologique ayant entraîné des troubles cardio respiratoires.

 

Biographie 

Jeunesse et formation 

Né à Castiglione di Forlì, il est ordonné prêtre le 20 avril 1946 par MgrGiuseppe Battaglia.

 

Il a obtenu des doctorats en théologie et en droit canonique en 1947 et 1950 à l'Université pontificale du Latran.

Prêtre 

Il entre à la secrétairerie d'État de la curie romaine en 1952 et devient secrétaire à la nonciature au Nicaragua jusqu'en 1955.

 

En 1965, il fut élevé au rang de prélat domestique du pape.

En 1969, il est nommé délégué apostolique de Palestine et de Jérusalem et devient évêque in partibus de Mauriana.

Il est consacré évêque le 22 juin par MgrAmleto Cicognani, MgrAgostino Casaroli et Mgr Giuseppe Battaglia.

 

En 1980, Jean-Paul II le nomme délégué apostolique puis pro-nonce aux États-Unis, où il remodèle l'épiscopat avec des évêques fidèles à la ligne pastorale de Jean-Paul II, dont MgrBernard Law et MgrJohn Joseph O'Connor.

 

Dans les années 1980, il est en contact avec le président américain Ronald Reagan et contribue à établir des relations entre le Saint-Siège et les États-Unis.

En 2003, il communiqua avec le président George W. Bush pour l'informer de la position défavorable de l'Église sur l'invasion de l'Irak.

 

En 1990, il est nommé pro-préfet de la congrégation pour l'éducation catholique

http://www.aciprensa.com/Cardenales/images/laghi.jpg

Il est créé cardinal avec le titre de cardinal-diacre de Santa Maria Auxiliatrice in via Tuscolana lors du consistoire du 28 juin 1991, en dépit des accusations pesant contre lui dans la guerre sale.


En effet, selon la Commission Nationale sur la disparition des personnes (CONADEP) créée en 1983, il a participé aux exactions commises lors de la dictature en Argentine.

 

Il a été cardinal protodiacre de 1999 jusqu'au 26 février 2002, date à laquelle il a été élevé au rang cardinal-prêtre de Saint-Pierre-aux-Liens.

 

En 1994, il a fait l'objet d'un article du TIME qui spéculait sur la possibilité que Laghi soit papable ; cependant, il était devenu trop âgé au moment de la mort de Jean-Paul II en 2005.

 

Depuis 2002, il n'était plus électeur en cas de conclave, ayant dépassé l'âge maximal de 80 ans.

 

Composition actuelle du Collège cardinalice

 

2009

blason-noailles.png

François, Agénor, Alexandre, Hélie de Noailles

9ème duc de Noailles s’est éteint le 11 janvier 2009 au château de Champlâtreux dans le Val d’Oise à l’âge de 103 ans.


Il avait succédé à son oncle en 1953 à la tête de la maison de Noailles.

 

9ème duc de Noailles (1953)
Grande de España
(François Agenor Alexandre Hélie de Noailles)

Membre honoraire de la société des Cincinnati de France.
Maire de la commune d'Épinay-Champlâtreux de 1932 à 2001.

Parents
à Maintenon, 28 - Décédé le 24 mai 1932 à Paris 7ème, quai d'Orsay à l'âge de 60 ans 
  • Corisande Emma Laure Ida de Gramont. Officier de la Légion d'honneur. Née le 8 août 1880 à Chaumes-en-Brie (Seine-et-Marne) - Décédée le 5 mars 1977 à Monaco à l'âge de 96 ans
  • François de Noailles a été le maire d’Epinay-Champlâtreux de 1932 à 2001.

    Son fils Hélie en est l’actuel maire.


    Hélie de Noailles. Né le 16 juillet 1943 à Boulogne-Billancourt (92)
    helie.1.de_noailles
    Hélie de Noailles, duc d'Ayen avec son épouse et Julie, sa fille
    10 ème duc de Noailles (11 janvier 2009)
    (Hélie Marie Auguste Jacques Bertrand Philippe de Noailles)
    Diplomate.
    Licence en droit. IEP. ENA 1969, promotion Jean Jaurès. Chevalier de l'Ordre National du Mérite.
    Membre honoraire des Cincinnati de France en 1982.
    Chevalier LH 14/7/7.
    Chevalier de la Légion d'honneur.

      2005

    Raymond Chesa

    04297_001.JPG

    homme politique français

     

    Président de la communauté d'agglomération du Carcassonnais : 2002-2005

     

    • Chevalier de la Légion D'Honneur
    • Chevalier de L'Ordre National du Mérite
    • Médaille d'honneur de la jeunesse et des sports

     

    né le 10 février 1937 à Carcassonne dans le quartier de La Trivalle, et décédé le 11 janvier 2005.

     

    Il fut député européen et maire de Carcassonne durant vingt-et-un ans.

     

    Il était familièrement appelé "Ramountcho" par les Carcassonnais.

     

    Amateur de Toros et corridas, il permit à Carcassonne de renouer avec la tradition des corridas dans la Ville. Raymond Chesa a été vice-président de la Fédération française de rugby à XIII, et président de la Fédération des Pêcheurs de l'Aude.

     

    Politiquement, Raymond Chesa était situé à droite dans divers partis gaullistes : UJP, UNR, RPR, UMP, puis pour finir l'UPC - "Union Pour Carcassonne" - qui était un mouvement gaulliste carcassonnais.

     

    Le site de loisirs du Lac de la Cavayère qu'il avait initié porte son nom depuis 2007.

     

    Il repose au cimetière de La Cité à Carcassonne.

    http://0e.img.v4.skyrock.net/0e1/tombes/pics/3028706872_1_3_nhqUByDJ.jpg

    raymond chesa

     


    adresse082.jpg

    Mandats locaux 

    • Maire de Carcassonne : 1983-2005
    • Conseiller général de l'Aude : 1982-1992
    • Conseiller régional de Languedoc-Roussillon : 1992

    Mandats nationaux 

    • Député européen : 1994-1999

     

     

    2010

    Parents
    La comtesse Richard de Beaumont du Repaire, née Isabelle de Bazelaire de Rupierre, son épouse,
    le comte et la comtesse Charles de Beaumont, M. et Mme Didier Nelien, M. et Mme Eric Buchard, le comte et la comtesse Laurent de Beaumont, Mlle Delphine de Beaumont, ses enfants, ses quinze petits-enfants
    ont la grande douleur de vous faire part du décès du

    comte Richard de BEAUMONT du REPAIRE

    survenu le 11 janvier 2010, à l'âge de 76 ans.
    La cérémonie religieuse sera célébrée en l'église de Domme (Dordogne), le samedi 16 janvier, à 15 heures, suivie de l'inhumation au cimetière où il rejoindra sa première épouse, Monique de Bastard
    Partager cet article
    Repost0
    11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 00:00
      347
    Theodosius I. Roman Coin.jpg

     Theodose 1er

    (Flavius Theodosius)
    (347-17 janvier 395)

     empereur romain de 379 à 395, le dernier à régner sur un empire réunifié.
     Il était le fils de Théodose l'Ancien.


    1887
    S.A.S Pauline de Croÿ
    (Pauline Marie Magdalene de Croÿ)
    princesse de Croÿ et de Solre

    Elle devint dame de l'Ordre Souverain de Malte.

    naquit le 11 janvier 1887 au Roeulx

    Parents
    Gustave de Croÿ prince de Croÿ,  Né le 19 mai 1845 à Dülmen - Décédé le 3 septembre 1889  au Roeulx à l'âge de 44 ans   Louise de Croix . Née le 28 mars 1842 à Paris - Décédée le 5 mai 1916 à Dree à l'âge de 74 ans

    Elle mourut le 14 avril 1987 à l'âge de 100 ans à Paris

    Ses obsèques eurent lieu en l'église Saint-Pierre-de-Chaillot le 21 avril et l'inhumation en la chapelle de Notre-Dame-du-Bon-Vouloir.

    Sans alliance.

    Selon le livre Guinness des Records, la plus ancienne personnalité royale.

    Toutefois,  la reine Elizabeth la Reine Mère d'Angleterre (1900-2002) et Elsa Bernadotte de Suède (1893-1996), un grandaughter d'Oscar II, a été plus âgés quand ils sont morts.


    1958


    (Bernard Réginald Marie Ghislain d'Oultremont)
    Parents
    (la cérémonie religieuse ayant eu lieu le 6 octobre),
    dont


    1961

    http://conference2007.kul.ee/failid/karl.jpg

    Charles de Habsbourg-Lorraine

     

    (de son nom complet Karl Thomas Robert Maria Franziskus Georg Bahnam von Habsburg-Lothringen)

     

    né le 11 janvier 1961 à Starnberg en Allemagne

     

    prince de la famille de Habsbourg.

     

    En Autriche, où aucun de ses titres n´est reconnu, son nom officiel est Karl Habsburg ou Karl Habsburg-Lothringen.

     

    Marié le 31 janvier 1993 à Mariazell avec Francesca Thyssen-Bornemisza 1958-

    dont


    Fils aîné de l´archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine et de sa femme Régina de Saxe-Meiningen.

     

    Le 31 janvier 1993, il épouse Francesca Thyssen-Bornemisza, avec qui il a eu trois enfants :

    • l'archiduchesse Eléonore Jelena Maria del Pilar Iona (Salzbourg, 28 février 1994)
    • l'archiduc Ferdinand Zvonimir Marie Balthus Keith Michal Otto Antal Bahnam Leonhard (Salzbourg, 21 juin 1997)
    • l'archiduchesse Gloria Maria Bogdana Paloma Regina Fiona Gabrielle (Salzbourg, 15 octobre 1999)

    Il a succédé à son père comme grand-maître de l'ordre de la Toison d'or en 2000.

     

    Carrière politique

    Charles de Habsbourg est le président de la Pan-Europe jusqu´en 1986. De 1996 à 1999, il a été membre du parlement européen représentant le Parti populaire autrichien. Défendant des idées extrêmement conservatrices, il n'a pas vu son investiture renouvelée lors des élections de 1999. L'archiduc s'est alors présenté aux élections sous sa propre bannière mais il a été battu en ne recueillant que 1,5% des suffrages.

     

    Il a également été directeur général de l´Organisation des nations et des peuples non-représentés.



    2008 
    Baronne Antonia Brackel

    Antonia von Brackel
    fille du Baron Franz von Brackell (1971) et de la Comtesse Stephanie Hoyos (1977)
    (elle-même fille de S.A.R. la Princesse Ysabel de Bavière)



    Partager cet article
    Repost0
    10 janvier 2015 6 10 /01 /janvier /2015 00:01

     

    Le 10 janvier est le 10ejour de l'année du calendrier grégorien.

    Il reste 355 jours avant la fin de l'année

    (356 jours dans le cas des années bissextiles)

    Dictons 

    "Beau temps à la Saint-Guillaume, donne plus de blé que de chaume "

     

    Célébrations 

    Saints catholiques et orthodoxes du jour 
    Saints catholiques du jour 
    Prénoms du jour 

    Bonne fête aux :

    • Guillaume et ses dérivés : Guilhem, Guilhemine ou Guillemine, Guillaumette, Guillemette, Gwilherm, Vilma, Wilhelm, Wilhelmine, Willem, William, Willy, etc.
    • Gonzague et ses dérivés : Gonzalve


    Martyrologe pour le dixième jour de janvier

     



    Martyrologe pour le dixième jour de janvier

     

    Un peu avant l'an 400, la naissance au ciel de saint Grégoire, évêque de Nysse, en Cappadoce.

     

    Il joua un rôle prépondérant dans l'élaboration de la doctrine ascétique

     

    et mystique de l'Orient ; il en explicita les bases bibliques et

     

    philosophiques, dans ses célèbres ouvrages de la "Vie de Moïse" et du

     

    "Traité de la virginité"

     

    Il nous a laissé aussi une vie de sa soeur aînée, sainte Macrine.

     

    A Constantinople, vers 470, saint Marcien, prêtre.

     

    Il fit de l'instruction des indigents son ministère de prédilection et usa

     

    de la grande fortune de sa famille pour nourrir les pauvres et bâtir

     

    églises et hôpitaux.

     

    A Rome, en 681, la mise au tombeau de saint Agathon, pape.

     

    Le Concile oecuménique de Constantinople approuva sa lettre exposant

     

    la doctrine catholique des deux volontés, divine et humaine, en Jésus-

     

    Christ.

     

    En 987, saint Pierre Urséol, doge de Venise.

     

    Il quitta soudainement ses fonctions et sa famille, pour suivre le Christ

     

    au monastère de Saint-Michel-de-Cuxa, en Roussillon.

     

    L'an 1209, saint Guillaume.

     

    Descendant de l'illustre famille des comtes de Nevers, il fut d'abord

     

    moine cistercien, puis désigné pour le siège épiscopal de Bourges.

     

    En Toscane, en 1276, le bienheureux Grégoire x.  

     

    Natif de Plaisance, il était archidiacre de Liège lorsqu'il fut élu pape.

     

    Il convoqua le second Concile oecuménique de Lyon où, en 1274, les

     

    Grecs furent reçus dans l'unité de la foi, union qui malheureusement

     

    ne dura qu'un temps.

     

    Plus durable fut le décret qui établit que, pour l'élection du pape, les

     

    cardinaux seraient enfermés en conclave jusqu'au résultat définitif.

     

    En 1914, sainte Léonie Aviat.

     

    Née à Sézanne, en Champagne, la fondatrice de la congrégation des

     

    soeurs oblates de Saint-François-de-Sales, était très adonnée aux

     

    oeuvres ouvrières.

     

    Elle avait ce mot d'ordre : "Travaillons à faire le bonheur des autres".

     

     

     

    Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et bienheureux.


     Saint Guillaume de Bourges Guillaume du Donjon, archevêque de Bourges (+ 1209)
    0110.jpg

    Le clergé et les fidèles de Bourges cherchaient un saint évêque. Ils s'adressèrent à l'évêque de Paris qui leur donna un sien cousin, chanoine de la cathédrale, Guillaume, abbé de Chaalis, abbaye située dans le nord de l'Ile de France. En fait Guillaume était aussi comte de Nevers. Il était entré dans la vie religieuse pour y faire une riche et tranquille carrière. Et puis, un jour, marqué par la grâce de Dieu, il se convertit, se fit moine à Grandmont dans la Haute-Vienne. Voulant plus d'austérités, il demanda à être admis chez les cisterciens de Pontigny en Bourgogne et fut nommé abbé de Chaalis, filiale de Pontigny. Il fut l'évêque des pauvres, ce qui lui valut l'opposition des chanoines de Bourges qui se sentaient délaissés, et du roi Philippe-Auguste à qui il reprochait son divorce et son re-mariage.

    Voir aussi:
    http://www.magnificat.ca/cal/fran/01-10.htm#guillaume
    http://missel.free.fr/Sanctoral/01/10.php
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_de_Bourges
    http://encyclopedie.bourges.net/saintguillaume.htm



    Bienheureuse Anne des Anges Prieure dans l'Ordre de saint Dominique (+ 1686)
    Anne des Anges de Monteagudo est née au Pérou, à Aréquipa. Malgré l'opposition de ses parents, elle entra dans l'Ordre de saint Dominique. Elle forma tout d'abord les jeunes novices puis, devenue prieure, elle fut une conseillère spirituelle des plus excellentes et l'on venait de toute la ville pour recevoir ses enseignements. Elle fut béatifiée en 1985.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Arequipa



    Saint Antipas Moine à la skite roumaine de Lakkou (+ 1882)
    Né en Moldavie roumaine, il partit à 22 ans pour la Sainte Montagne de l'Athos et partagea avec les quatre-vingt Pères de la skite roumaine de Lakkou, quinze années de vie hésychaste. Il revint plus tard en Moldavie, partit en pèlerinage à la laure des Grottes de Kiev et se fixa quelque temps dans le grand Nord, au monastère de Valaam où il guida de nombreux moines et laïcs de la Russie du Nord et de Finlande.



    Saint Arconce Evêque de Viviers (+ 745)
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Viviers
    Evêque de Viviers, il est considéré comme martyr parce qu'il fut tué par la foule alors qu'il défendait les droits de l'Eglise.
    http://www.hautevalleedelaloire.com/valleegeneral/description/hvletleshommes.htm



    Bienheureux Bénincasa Abbé du monastère bénédictin de La Cave (+ 1194)
    Abbé du monastère bénédictin de La Cave, près de Salerne en Campanie, il fonda le monastère de Monreale en Sicile en envoyant une centaine de moines à la demande du roi Henri VI de Naples qui le lui avait demandé.



    Saint Dométien Evêque de l'Eglise de Mélitène (+ 602)
    C'était un grand lettré de Constantinople, autant dans les lettres profanes et la philosophie que dans les Saintes Ecritures. Devenu veuf, il fut nommé évêque de l'Eglise de Mélitène en Arménie. Il avait trente ans. Comme il alliait harmonieusement l'habileté politique à la vie ascétique, il fut envoyé en Perse et appuya l'empereur Chosroès qui avait été chassé par l'un de ses fils. Grâce à son intervention, Chosroès put reprendre son trône et devint ami de l'empereur de Byzance.



    Sainte Floride martyre à Dijon (+ v. 180)
    Jeune martyre du 2ème siècle à Dijon en Bourgogne.



    Bienheureux Gonzalve Chanoine de Braga (+ 1259)
    ou Gonzague ou Gonzalès. Chanoine de Braga, capitale du Minho au nord du Portugal, il partit en pèlerinage pour la Terre Sainte. Comme son pèlerinage se prolongeait plus que prévu, son neveu en profita pour annoncer sa mort, prit le deuil et s'appropria tous ses biens. A son retour, saint Gonzalve y vit un signe de la Providence. Il lui laissa tout, entra dans l'Ordre mendiant des Dominicains et, dès la fin de son noviciat, il obtint d'aller vivre en ermite. On dit qu'il fut l'un des rares dominicains à n'être pas "un grand théologien". D'aucuns disent qu'il fut l'un des plus grands, parce que sa connaissance de Dieu (ce que veut dire le terme "théologie") fut celle plus directe que celle des penseurs car cette science de Dieu lui fut acquise par la méditation, la prière et la contemplation.



    Saint Grégoire de Nysse Evêque de Nysse (+ 394)
    Gregorius_von_Nyssa.jpeg

    L'Eglise accueille dans ses martyrologes (livre des témoins, en grec "marturos") et dans ses synaxaires (en grec "sunaxis" assemblée autour d'une personne) sa grand-mère, ses deux parents et cinq de ses frères et soeurs. Pourtant, il ne commençait pas dans cette voie. C'est un intellectuel passionné de rhétorique qui enseigne la philosophie. Son épouse l'adore et c'est réciproque. Quand son grand frère, saint Basile de Césarée, le consacre évêque de Nysse, une petite bourgade rurale de Cappadoce, cet intellectuel le ressent comme un exil, mais il l'accepte par devoir dans un monde si peu chrétien. Il se heurte à l'empereur qui soutient l'arianisme et qui l'exile. Il reviendra dans son diocèse à la mort de Valens et se fait le champion de la foi en la Trinité. Il sera l'un des principaux artisans de la victoire de l'orthodoxie au concile de Constantinople en 381. Saint Grégoire de Nysse est sans aucun doute l'un des plus grands théologiens spéculatifs, d'une ouverture d'esprit rarement égalée. Ce maître de la théologie contemplative par ses grands traités spirituels, est en même temps un pasteur et un catéchète soucieux de se faire comprendre par tous.

    Lecture

    La connaissance de ce qui par nature est beau en suscite le désir, et si cette beauté, ce qui est le cas pour celle de Dieu, est sans limites, elle génère en celui qui veut y prendre part un désir sans fin et qui ne connaît aucun répit.
    L ‘âme, qui s ‘est allégée du poids des passions, monte comme en un vol léger et rapide vers les cimes les plus élevées, à des hauteurs toujours plus inatteignables, pour que rien ne vienne entraver sa course, en vertu de l’attirance que le bien exerce sur ceux qui le suivent.
    Poussé par le désir du ciel, elle se jette hors d’elle-même, selon 1’ expression de 1‘Apôtre, se soulevant vers des régions toujours plus inaccessibles.
    C’est pourquoi, nous reconnaissons que comme Moïse en sa grandeur, qui crût toujours davantage dans son expérience spirituelle, il gravit marche après marche sans la moindre halte, puisqu‘il trouvait toujours un autre échelon après celui qu‘il venait de gravir.

    Grégoire de Nysse, La vie de Moïse
    st-g-11.jpg

    Voir aussi:
    http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsjanvier/janv10.html
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A9goire_de_Nysse
    http://www.gregoiredenysse.com/
    http://jesusmarie.free.fr/gregoire_de_nysse.html
    http://www.patristique.org/
    http://www.villemagne.net/site_fr/jerusalem-gregoire-de-nysse.php



    Saint Jean le Bon Ermite en Romagne (+ 659)
    évêque dont la ville et le diocèse de Milan célèbrent la foi et les vertus au cours de son ministère pastoral.



    Sainte Léonie Françoise de Sales Aviat religieuse fondatrice (+ 1914)
    200px-Santa_Leonie_Aviat.jpg

    Léonie Aviat naît à Sézanne, en Champagne, le 16 septembre 1844. Elle fait ses études à la Visitation de Troyes, où la Supérieure du monastère, Mère Marie de Sales Chappuis, et l'aumônier, l'Abbé Louis Brisson, exercent sur elle une influence décisive. Formée à l'école de saint François de Sales, elle se prépare, à son insu, à sa mission future: la fondation d'une Congrégation de spiritualité salésienne, dédiée à l'évangélisation de la jeunesse ouvrière.
    site du Vatican
    http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20011125_de-sales-aviat_fr.html

    Voir aussi:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9onie_Aviat



    Saint Marcien Econome de la Grande Eglise Sainte Sophie (+ 471)
    Sa famille, installée à Constantinople, était apparentée à la famille impériale. Le patriarche Anatole voulut l'ordonner prêtre à la mort de ses parents et son successeur, le patriarche Gennade, le nomma économe de la Grande Eglise, Sainte Sophie, ce qui était la charge la plus importante du clergé de Constantinople. Grande était sa charité pour les pauvres. Pour cette raison, ce que nous raconte la tradition est plausible.
    Le jour de la dédicace de l'église de Sainte Anastasie, il vit un pauvre réduit à la plus extrême misère, au moment même où il partait à la sainte liturgie. Il l'entraina dans un endroit isolé, lui donna tous ses vêtements, et, revêtu des seuls ornements liturgiques, il regagna le sanctuaire. Tous les célébrants virent sous ses ornements un vêtement tout étincelant d'or.
    Il parcourait la nuit les quartiers les plus misérables pour venir en aide à ceux qui n'osaient pas mendier le jour et, durant la construction de l'église Sainte Irène, il aida même les ouvriers de ses propres mains.



    Bienheureuse María-Dolores Rodríguez Sopeña (1848-1918)
    Beata_Maria_Dolores_Rodriguez_Sopena.jpg

    "Je suis Yahvé, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude" (Ex 20, 1). La grande révélation du Sinaï nous montre Dieu qui rachète et libère de tout esclavage, portant ensuite ce dessein à sa plénitude dans le mystère rédempteur de son Fils unique, Jésus-Christ. Comment ne pas faire parvenir ce message sublime en particulier à ceux qui ne l'entendent pas dans leur coeur parce qu'ils ignorent l'Evangile?
    Dolores Rodríguez Sopeña ressentit cette nécessité et désira répondre au défi d'apporter la rédemption du Christ dans le monde du travail. C'est pourquoi elle se proposa comme objectif "de faire de tous les hommes une seule famille en Jésus-Christ" (Constitutions de 1907).
    Cet esprit se concrétisa dans les trois oeuvres fondées par la nouvelle bienheureuse: le Mouvement de Laïcs "Sopeña", l'Institut des Dames catéchistes, appelées aujourd'hui "Catéchistes Sopeña", et l'Oeuvre sociale et culturelle "Sopeña". A travers elles, en Espagne et en Amérique latine, se poursuit une spiritualité qui promeut l'édification d'un monde plus juste, en annonçant le message de salut de Jésus-Christ.
    (source: homélie du pape Jean-Paul II le 23 mars 2003 pour la béatification de 5 serviteurs de Dieu)
    http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/2003/documents/hf_jp-ii_hom_20030323_beatif_fr.html
    María Dolores Rodríguez Sopeña (1848-1918) biographie site du Vatican
    http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20030323_rodriguez_fr.html

    Voir aussi: Obra Social y Cultural Sopeña (en espagnol)
    http://www.oscus.org/es/quienes_somos.php



    Saint Maurille Evêque de Cahors (+ 580)
    Evêque de Cahors dont on rapporte qu'il pouvait réciter par coeur toutes les Saintes Ecritures, à force de les avoir lues et relues, méditées et priées. Son amour pour la souffrance était un peu exagéré, car, au lieu de se soigner, il préférait augmenter la douleur afin de mieux souffrir comme le Christ.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Cahors



    Saint Nicanor Un des sept premiers diacres (+ 76)
    L'un des sept premiers diacres dont nous parle le Livre des Actes des Apôtres et dont la tradition rapporte qu'il mourut martyr.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicanor_(diacre)



    Saint Paul Disciple de saint Serge de Radonège (+ 1429)
    Né à Moscou, il devint l'un des disciples les plus exemplaires de saint Serge de Radonège. Au bout de quinze années de silence et de prière, il reçut la bénédiction de saint Serge pour se retirer seul dans la forêt de Komel, non loin de Vologda. Suivant humblement les signes que Dieu lui envoyait, il fonda un monastère sur les bords de la rivière Obnora et c'est là qu'il mourut en paix, plus que centenaire.



    Saint Pétrone Evêque de Die (+ 463)
    Evêque de Die. En disant cela, nous disons tout ce que nous pouvons dire de lui.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Die



    Bienheureux Philippe de Bourges archevêque (+ 1260)
    Philippe Berruyer, né à Tours, évêque d'Orléans, puis de Bourges.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Archev%C3%AAque_de_Bourges

    - Liste des évêques d'Orléans sur le site internet du diocèse. 64e : le Bienheureux Philippe II Berruyer (1234-1236)
    http://www.catholique-orleans.cef.fr/kru86vrdft/index.php?dlm/2/4
    - Les archevêques de Bourges sur le site internet du diocèse de Bourges : Bienheureux Philippe Berruyer (1232-1260)
    [url] http://catholique-bourges.cef.fr/histoire/archeveques/arch2/index.htm[/url]



    Saint Pierre Orseolo Doge de Venise (+ 997)
    Petrus_Urseolus.jpg

    En 976, il suscita un coup d'Etat pour supplanter le doge Pierre IV, qu'il fit assassiner pour devenir, à son tour, doge de Venise. C'est du moins ce que dit saint Pierre Damien. Toujours est-il qu'il déploya les plus grands talents dans l'administration de la République. En deux ans, il restaura la paix civique, reconstruisit l'église Saint Marc et les quartiers incendiés. Le 1er septembre 978, il disparut sans laisser de traces. Sous un faux nom, il avait gagné l'abbaye de Cuxa dans le Roussillon et y passa le reste de sa vie dans l'expiation, la pénitence et la prière. Sa femme l'avait laissé partir, sachant et comprenant la volonté de son époux. Leur fils unique devint à son tour doge de Venise et suivit l'exemple de son père dans la probité et le service de la République.
    Autre biographie:
    Originaire de Venise, dès l’âge de 20 ans il est placé à la tête d’une flotte chargée de chasser les pirates qui écument la mer Adriatique et sa mission est un succès. En 976, le doge Pierre Candiani IV trouve la mort dans un incendie qui ravage une partie de la ville de Venise. Pierre Orseolo, qui entre-temps s’est marié et a eu un fils (qui deviendra doge à son tour en 991), est alors choisi pour lui succéder. Très habile, il entreprend des travaux de restauration de la ville et de la cathédrale Saint-Marc puis administre la cité avec compétence et justesse. Et puis deux ans après son élection, il disparaît brusquement, après avoir décidé de tout abandonner, sans même avoir prévenu son épuse et son fils. Il s’enfuit clandestinement par une nuit de septembre et se rend jusqu’à l’Abbaye Saint-Michel de Cuxa,
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-Michel_de_Cuxa
    située au pied du mont Canigou, dans les Pyrénnées, où il demande à être admis. Il mène pendant quelque temps une vie très austère au sein de la communauté, puis il part s’isoler dans un modeste ermitage des envrions (sans doute influencé par Saint-Romuald), où il termine sa vie. De nombreux miracles ont été rapportés sur sa sépulture.

    Voir aussi:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Orseolo



    Sainte Séthride abbesse de Faremoutiers-en-Brie (+ v. 660)
    ou Saethryth.Belle-fille du roi Anne d'Est Anglie, elle était la demi-sœur de sainte Etheldrede; elle entra comme moniale à Faremoutiers-en-Brie, sous la direction de sainte Fare à qui elle succéda comme 2ème higoumène de ce monastère.
    http://eglisecatho-meaux.cef.fr/spip/article.php3?id_article=178

    Voir aussi:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Faremoutiers



    Les Églises font mémoire...

    Anglicans : William Laud (+ 1645), archevêque de Canterbury

    Catholiques d’occident : Grégoire de Nysse, évêque (calendrier monastique)

    Coptes et Ethiopiens (1 tübah/terr) : Étienne, patron des diacres et premier martyr

    Luthériens : Carpus et Papyle (+251), martyrs en Asie Mineure

    Maronites : Grégoire de Nysse, évêque ; François de Sales (+ 1622), évêque

    Orthodoxes et Gréco-catholiques : Grégoire, évêque de Nysse; Marcien (+471 env.), prêtre et économe de la Grande Église, Domitien (+602 env.), évêque de Mélitène ; Antipas de la Calapodesti (+1882), hiéromoine (Église romaine)
    Saints catholiques et orthodoxes du jour 
    Nicanor (diacre)
    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a6/Filippodiacono.jpg/180px-Filippodiacono.jpg
    Nicanor
    fut l'un des premiers diacres de l'église.Une tradition le fait martyr à Jérusalem en compagnie d'Étienne, tandis qu'une autre le dit supplicié à Chypre au Ier siècle.

    D'ailleurs l'Église de Chypre honore sa mémoire le 10 janvier.

    Agathon, pape Agatho.gif

    Agathon (mort le 10 juin 681) fut le 79epape de 678 à 681.

    Sans doute d'origine orientale, il vécut longtemps à Palerme (Sicile) avant de venir à Rome. Il est surtout connu pour avoir fait condamner le monothélisme au concile de Constantinople (680-681), et pour avoir soustrait l'Église de Rome aux impôts de l'empereur. Il fit également reconnaître l'autorité du siège de Rome par l'archevêque de Ravenne et accrût l'influence romaine sur le clergé d'Occident.

    Son nom vient du grec ἀγαθός agathos qui signifie « bon, brave ». Canonisé, il est fêté le 10 janvier. Il est le patron de la ville de Palerme.

    On raconte qu'il aurait été élu pape à 103 ans.

     

    Saints catholiques du jour 
    http://encyclopedie.bourges.net/saintguillame1.JPG

    Saint Guillaume de Bourges fut l'archevêque de Bourges de 1199 à 1209. Il est le Saint Guillaume du calendrier.

    Fils du comte de Nevers, né Guillaume de Donjon (ou Guillaume de Donjeon) en 1120, c'était un homme « de caractère pieux, voué à l'étude et à la méditation[1] », qui s'orienta vite vers les ordres : il est chanoine de Soissons puis chanoine de Paris, moine à l'abbaye de Grandmont puis à l'abbaye de Pontigny, abbaye cistercien dont il devient abbé. Il devient ensuite abbé de Fontaine-Saint-Jean, près de Soissons puis est élu abbé de Chaalis (diocèse de Senlis).

    Le 23 novembre 1199, suite à la mort d'Henri de Sully, il est désigné archevêque de Bourges. Considéré comme un grand prédicateur, ferme sur les principes à tel point qu'il s'attira la colère du roi Philippe II de France lors de son remariage avec Agnès de Méranie[2], il combat à la demande du pape Innocent II les hérétiques, et en particulier les cathares. Malade, il meurt le 10 janvier 1209. Son corps est placé au centre de la cathédrale encore inachevée, où quelques jours plus tôt il célébrait l'épiphanie, puis dans la crypte.

    Suite à une série de miracles observés « par son intercession et devant son tombeau[1] », le pape Innocent III promulgue une bulle de canonisation le 17 mai 1217.

    Il est le patron de l'université de Paris. Il est le saint patron des armuriers. Sa fête est célébrée le 10 janvier.

     

    Événements 

    10 janvier de l’an 704

    166474_137845509609973_100001535732993_2

    de la fondation de Rome (49 av. J.-C.) : Jules César, à la tête d’onze légions en armes sur les traces de Pompée, franchit le Rubicon, fleuve entre Ariminum (imini) et Caesena (Césène) qui servait de frontière entre l'Italie romaine et la province de la Gaule cisalpine, violant ainsi la loi du Sénat romain protégeait Rome de menaces militaires internes en interdisant ce passage sans autorisation. Selon Suétone César lança en franchissant la rivière la célèbre formule : « Alea jacta est » (« Le sort en est jeté »), qui fit fortune et s’applique jusqu’à nos jours à quelqu’un se lançant irrévocablement dans une entreprise aux conséquences risquées.

     

    10 janvier dans les croisades


    1162

    mort de Baudouin III, roi de Jérusalem, à Beyrouth. Son frère Amaury Ier lui succède[1].


    1218

    mort de Hugues Ier, roi de Chypre. Son fils Henri Ier lui succède[2].

     


    -49

    Caius Iulius Caesar IV

    Jules César franchit le Rubicon.

     


    l'an 9

    Wang Mang renverse la dynastie Han.


    1273

    Rodolphe de Habsbourg est élu empereur d'Allemagne. Son élection met fin au Grand Interrègne qui s'était installé après la mort de Conrad IV, en 1254.


    1356

    Charles IV promulgue la Bulle d'Or, qui fixe les conditions d'élection à la tête du Saint Empire.

    168847_10150089513395747_614105746_61121

     

     Charles IV, empereur romain germanique de la maison de Luxembourg, promulgue la ...Bulle d'Or, qui fixe les conditions d'élection à la tête du Saint Empire. Ce document, donna à l'institution impériale sa forme définitive et attribuait le choix du roi des Romains (qui devait par la suite être couronné empereur) aux princes-électeurs en nombre de sept : trois ecclésiastiques (les archevêques de Cologne, Mayence et Trèves) et quatre séculiers (le roi de Bohême, le comte palatin du Rhin, le margrave de Brandebourg et le duc de Saxe). La bulle ne disait rien quant à la confirmation par le pape. Les princes-électeurs désignés par Charles IV avaient chacun une charge protocolaire auprès de l’empereur ; ainsi : l'archevêque de Mayence était archi-chancelier pour la Germanie ; l'archevêque de Trèves, archi-chancelier de l'Empire pour la Gaule ; l'archevêque de Cologne, archi-chancelier de l'Empire pour l'Italie ; le roi de Bohême, archi-échanson ; le comte palatin du Rhin ou « électeur palatin », archi-sénéchal, curateur (vicaire en cas de vacance du siège impérial) des pays de droit franconien à l'Ouest de l'Empire ; le duc de Saxe ou « électeur de Saxe », archi-maréchal, curateur des pays de droit saxon à l'Est de l'Empire, et le margrave de Brandebourg ou « électeur de Brandebourg », archi-chambellan.


    1430

    Philippe le Bon fonde l'Ordre de la Toison d'or

     

    164830_137870112940846_100001535732993_2

    À Bruges en Flandre, à l'occasion des festivités marquant son troisième mariage, avec Isabelle de Portugal, Philippe le Bon, duc de Bourgogne, institue le plus glorieux et le plus illustre des ordres de chevalerie, I'ordre de chevalerie de la Toison d'or, donnant comme nouveau modèle à l'élite chevaleresque de son t...emps, la figure mythique de Jason. Le fabuleux périple de Jason et des argonautes, partis en Colchide, aux confins de la mer Noire, afin de conquérir la toison d'or d'un bélier merveilleux, gardé par un dragon dans le royaume d'Aiétès. Sous le patronage de Jason, exemple de courage et de vaillance, Philippe le Bon crée donc une confrérie militaire chrétienne, rassemblant sous son autorité 24 chevaliers, prestigieux représentants des plus hauts lignages de ses principautés bourguignonnes (par la suite, le nombre de chevaliers sera porté à 31, puis 51 et même 61). L’ordre de la Toison d'Or devait exalter l’esprit chevaleresque, son but principal était la gloire de Dieu et la défense de la religion chrétienne, comme le rappelait l’inscription figurant sur le tombeau du duc à Dijon : « Pour maintenir l’Église qui est de Dieu maison, J’ai mis sus le noble Ordre, qu’on nomme la Toison ».

    En signe de leur appartenance à la Toison d'or, chacun des chevaliers reçoit un manteau d'apparat de couleur vermeille, ainsi qu'un collier représenté par une dépouille de bélier d'or attachée par le milieu du corps à une chaîne d'or composé de "fusils" ou briquets, stylisés en forme de B (Bourgogne), encadrant des pierres à feu. La toison est l'emblème de Philippe le Bon, le briquet, ayant à peu près la forme B, est relatif à sa devise : « ante quam flamma micet » (« il frappe avant que la flamme ne brille »).

    De fait, le geste fondateur du duc apparaît avant tout comme un acte religieux, avec pour objectif la défense de la foi chrétienne. Or le personnage de Jason, héros païen n'incarne pas au mieux l'idéal du chevalier chrétien. C'est pour cette raison que le patronage de Gédéon vient très rapidement, dès la fin de 1431 sur l'initiative de Jean Germain, le premier chancelier de l'ordre, s'ajouter à celui de Jason. Car l'histoire biblique de Gédéon, racontée dans l'Ancien Testament, au Livre des Juges fait fort à propos intervenir la toison d'un mouton. Serviteur de Dieu, chef de guerre victorieux, Gédéon symbolise la force spirituelle qui manque à Jason, et dès lors, l'ordre de la Toison d'or sera placé sous le patronage des deux personnages.

    L'acte de fondation de l'ordre est digne d'un roi, on se souvient qu'en 1348, le roi Édouard III a fondé celui de la Jarretière, et en 1351, le roi Jean le Bon a fondé l'ordre de l'Étoile. Ainsi en 1430, en pleine guerre de Cent Ans, cette initiative constitue pour Philippe le Bon une manière d'exprimer avec éclat son indépendance tant face au roi de France que face au roi d'Angleterre. Selon Georges Chastelain, le duc de Bourgogne a même crée son propre ordre afin de ne pas devenir membre de celui de la Jarretière, comme le lui proposait le duc de Bedford, régent du roi Henri VI. Geste politique, l'acte fondateur du duc vise aussi à cimenter, par le biais de la haute noblesse, les différents états qu'après son grand-père et son père, il a réunis au duché de Bourgogne - duchés de Brabant, de Limbourg, de Luxembourg, de Gueldre, comtés de Flandre, d'Artois, de Bourgogne, de Hainaut, de Hollande et de Zélande.

    En nommant chevaliers l'élite de la noblesse de ses principautés, Philippe le Bon institue un lien fraternel, de fidélité personnelle, avec des seigneurs qui exercent déjà les plus hautes fonctions dans les institutions politique ou militaire bourguignonnes. En fait, l'Ordre s'intègre dans les structures du gouvernement ducal, les statuts de la Toison d'or faisant obligation au duc de Bourgogne de consulter ses chevaliers avant d'entreprendre une guerre ou de prendre une décision importante ; lors des chapitres, les traditionnelles séances de correction fraternelle permettent aux chevaliers, sans bien sûr dépasser certaines limites, de formuler leurs remontrances au duc. Toutefois, si l'objectif de Philippe le Bon est de fonder un ordre exclusivement bourguignon, les nécessités politiques le contraignent vite à offrir le collier de la Toison d'or à des seigneurs étrangers à ses principautés, afin de renforcer les alliances diplomatiques.

    A la mort de Philippe le Bon, l'Ordre passe a son fils Charles le Téméraire, puis à la mort de ce dernier, à l'époux de sa fille Marie de Bourgogne, Maximilien de Habsbourg. Celui-ci le transmet à son petit-fils Charles Quint, qui lui-même le remet, avec les Pays-Bas et l'Espagne, à son fils Philippe II en 1556. Lorsque, en 1700, s'éteint Charles II, le dernier des Habsbourg d'Espagne, la couronne espagnole échoit au Bourbon Philippe V, ce dernier voulut conserver la grande maîtrise de l’ordre. Mais en 1712, l’empereur Léopold Ier, chef de la branche autrichienne des Habsbourg, s’attribua également les titres et les souverainetés non territoriales de la Maison de Bourgogne, à commencer par celle de la Toison d’Or. Il mit aussi la main sur le trésor qui fut apporté à Vienne (où il se trouve toujours). Ainsi naquit la division de l’ordre.

    L’ordre habsbourgeois de la Toison d'Or, a conservé le caractère religieux et aristocratique que lui avait donné Philippe le Bon. Son rituel d’admission demeure, avec adoubement par l’épée et serment solennel. La République autrichienne l'a reconnu personnalité de droit international en 1953. Sa langue officielle est le français. L’ordre espagnol a pour grand maître le roi d’Espagne. Le décret royal de 1847 qui en fit un ordre royal à caractère civil précisait qu’il continuerait à être régi par ses anciens statuts, avec les mêmes insignes et le même nombre de chevaliers. Le roi Juan Carlos Ier a nommé plusieurs souverains étrangers. Il existe donc aujourd’hui deux ordres de la Toison d'Or, chacun contestant la légitimité de l’autre (la France ne reconnaît que l’ordre de la branche espagnole).

    (Tiré de l’excellente notice sur la fondation de la Toison d’Or qui se trouve dans le blog « La mine d'or de Beaujarret » (http://beaujarret.fiftiz.fr/bl og/)

     

      1480
    http://storage.canalblog.com/29/38/151720/5653901.jpg
    Elle aurait dû être reine de France mais ne le devint pas : Marguerite de Habsbourg-Autriche  née le 10 janvier 1480 à Bruxelles dans l’actuelle Belgique. Archiduchesse d’Autriche, elle est la fille de Maximilien Ier, empereur Romain-Germanique et de Marie de Bourgogne. Orpheline de mère à l’âge de 2 ans, Marguerite est fiancée l’année suivante au roi  Charles VIII. Quittant sa famille  pour la France, Marguerite se lit très vite d’amitié avec son fiancé. Pourtant, le jeune roi a 13 ans alors que la petite archiduchesse n’en a que 3. Le mariage est prévu dans quelques années et en attendant, Marguerite se doit d’apprendre les coutumes et la langue de son pays d’accueil. Charles VIII voit en elle une amie, une petite sœur et lui ait très attaché.  Au fils des années, Marguerite est de plus en plus proche du jeune roi et se voit bientôt reine de France. Or, la mort du duc de Bretagne François II vient chambouler les projets de mariage. Ce dernier ne laissant pas de fils à sa mort, c’est sa fille,  la jolie Anne de Dreux qui devient duchesse de Bretagne.  Ce duché ne fait pas encore parti de notre France actuelle et la sœur aînée de Charles VIII, Anne de Beaujeu, décide de renvoyer Marguerite pour faire épouser à son frère la duchesse Anne qui apporterait en dote la Bretagne. Marguerite d’Autriche est répudiée en 1489 à son grand désespoir et à celui de Charles. L’archiduchesse n’a que 9 ans. Etonnant coup du sort, le 19 novembre 1490, Anne de Bretagne, convoitée par la couronne de France, devient sa belle-mère en épousant Maximilien Ier.  Anne de Beaujeu parvient à faire annuler l’union l’année suivante. Ainsi, en 1491, Anne de Bretagne, ex-belle-mère de Marguerite d’Autriche, devient la femme anne_de_bretagnede l’ex-fiancé de la petite archiduchesse. Charles VIII et Anne de Bretagne envoyèrent à Marguerite quelques présents, dont des bijoux, pour la consoler d’avoir perdu la couronne de France. Elle fut remariée pour raison politique à Don Juan de Castille le 3 avril 1497. Le 4 octobre de la même année, le prince de Castille meurt, laissant Marguerite enceinte. Elle accouchera avant terme d'une fille mort-née en novembre. Par la suite, de nombreux prétendants  demandent sa main à Maximilien qui la remarie avec le duc de Savoie Philibert II le Beau en 1501. Le mariage est heureux bien que stérile. La nouvelle duchesse de Savoie se partage avec son époux entre les châteaux de Bourg et Pont d’Ain. Hélas, Philibert meurt en 1504 d’une pleurésie. Bien qu’elle soit encore jeune, Marguerite ne se remaria pas et éleva les enfants de son frère aîné Philippe Ier de Habsbourg, mort en 1506. Parmi ces enfants, se trouve le futur Charles Quint. La duchesse de Savoie fit construire le monastère de Brou près de Bourg-en-Bresse dans l’Ain puis l’Eglise de Brou, véritable chef-d’œuvre de l’art gothique du XVIe siècle. C’est dans cette Eglise, dont elle suivit la construction avec beaucoup d’attention, que Marguerite fera transporter les restes de son époux Philibert II. Marguerite d’Autriche devint également gouvernante des Pays-Bas dont l’empereur était son neveu, Charles Quint. Ce dernier fut souvent en conflit avec François Ier (dont l’épouse Claude de France était la fille d’Anne de Bretagne) et c’est Marguerite qui le 5 aout 1529gisant_de_Marguerite signa la Paix des Dames (ou Paix de Cambrai) avec Louise de Savoie (mère de François Ier). Victime d’une blessure au talon qui fini par se gangrener, Marguerite d’Autriche mourut le 1er décembre 1530 à Malines d’où elle gouvernait les Pays-Bas. En 1532, sa dépouille fut transférée dans l’Eglise de Brou auprès de Philibert II.  On peut dire que durant toute sa vie, Marguerite aura été accompagné de l’ombre d’Anne de Bretagne qui épousa son père puis son fiancé et dont la fille fut l’épouse du roi de France ennemi de son neveu Charles Quint.

     


    1642

    Charles Ier Stuart est chassé de Londres.

     

    Madame me montra sa collection de médailles antiques.

    Elle a, en or, 410 médailles.

    Elle a tous les empereurs romains, de Caesar jusques à Heraclius, dont quelques pièces fort rares que je n'ai point, ni Monseigneur

     


    1747 

    Disgrâce du marquis d'Argenson.

     

    1747 

    Daniel-Charles Trudaine fonde l'École des ponts et chaussées.


    1794

    à Paris, Camille Desmoulins est exclu du club des Jacobins.


    1810

    Annulation du mariage de Napoléon et Joséphine. 870">


    1870

    à Paris : Assassinat de Yvon Salmon, dit Victor Noir (1848-1870), par un cousin de Napoléon III, Pierre Bonaparte.

     

      1967

    mariagemargriet.jpg

    Le 10 janvier 1967, à La Haye, la princesse Margriet des Pays-Bas, troisième fille de la reine Juliana des Pays-Bas et du prince Bernhard de Lippe-Besterfeld épousait Pieter van Vollenhoven rencontré à l’université de Leiden. La mariée portait un diadème de perles et diamants qui sera porté en 2002 par la princesse Maxima sous une autre forme.

     

    La princesse et son époux ont eu 4 fils : Maurits, Bernhard, Pieter-Christiaan et Floris. Depuis de nombreuses années, ils secondent la reine Béatrix. Ils sont aujourd’hui grands-parents de 10 petits-enfants
    Partager cet article
    Repost0
    10 janvier 2015 6 10 /01 /janvier /2015 00:00
    681
     Agathon


     pape
    887
    roi de Jérusalem
    (Tebaldo Visconti)
    pape 
    166503_138003976260793_100001535732993_2
    contre-révolutionnaire 
     Au château de Chadieu, près de Vic-le-Comte en Auvergne, décès du baron Jean-Pierre de Batz (né le 26 janvier 1754 à Goutz-les-Tartas, en Gascogne), financier, ancien député à l’Assemblée constituante de 1789 et contre-révolutionnaire français, qui tenta de faire évader Louis XVI sur le chemin de l’échafaud, malheureusement sans succès.
    1822
    Mademoiselle
    (Marie-Louise d'Orléans)

    Duchesse de Bourbon
    Princesse du sang


    sœur de Philippe Egalite.
    image
    Parents

    Favorable aux idées de la révolution, elle se fait appeler "citoyenne vérité", elle est arrêtée en avril 1793 par ordre du Comité de Salut Public et emprisonnée en résidence surveillée le 29 avril 1795.

    Bannie par le décret du 06 septembre 1797, elle rentrera en France 1814


    2005

    150px-Coats_of_arms_of_Belgium_Governmen
    In Memoriam d'une grande Dame

    Josephine-Charlotte5.jpg picture by faubla2000

    Joséphine-Charlotte, Ingeborg, Elisabeth, Marie, José, Marguerite, Astrid de Belgique

    grande duchesse de Luxembourg


    Grand Duchess Josephine Charlotte


    née au Palais royal de Bruxelles en Belgique le 11 octobre 1927

    Décédée le 10 janvier 2005 au château de Fischbach, au Grand-Duché de Luxembourg.
    165751_137969329597591_100001535732993_2

    Titulature

    http://www.louvainlanews.org/photos/actu/charlotte.jpg

    - Son Altesse royale la princesse Joséphine-Charlotte de Belgique (de sa naissance à son mariage)

    - Son Altesse royale la grande-duchesse de Luxembourg, princesse de Bourbon de Parme, duchesse de Nassau (de son mariage à son décès)

    Née dans une famille royale

    Elle était la fille aînée du prince héritier Léopold de Belgique (futur Léopold III) et de la princesse Astrid de Suède (future reine Astrid). Ses deux frères ont été rois des Belges : Baudouin I(1930-1993) et Albert II (1934).

    En 1935, leur mère, la reine Astrid, est victime d'un accident de voiture à Küssnacht en Suisse.

    En 1944, les Allemands emmènent le roi Léopold III, la princesse Lilian (seconde femme de Léopold) et leurs quatre enfants (Joséphine-Charlotte, Baudouin, Albert et Alexandre) en Allemagne puis en Autriche, où ils seront libérés en mai 1945. Le prince Charles devient régent du royaume de 1944 à 1950. Suite à la « Question royale », ils s'installent en Suisse, où la princesse Joséphine-Charlotte poursuit sa formation à l'École supérieure de la rue Voltaire à Genève.

    En 1949, la princesse Joséphine-Charlotte effectue une mission importante en pleine Question Royale : un retour officiel en Belgique où elle reçoit un accueil triomphal et va se recueillir sur la tombe de sa mère la reine Astrid.


    Elle épouse, le 9 avril 1953 le prince Jean, alors grand-duc héritier de Luxembourg avec qui elle aura cinq enfants :


    La souveraine 

    En 1964, la grande-duchesse Charlotte abdique au profit de son fils, le grand-duc Jean. De 1964 à 2000, la grande-duchesse Joséphine-Charlotte remplit avec élégance, dignité et discrétion son rôle de souveraine du Luxembourg aux côtés de son époux. Elle a constitué au château de Colmar-Berg une remarquable collection privée d'œuvres d'art contemporaines qui ont été présentées pour la première fois au public en 2003 au Musée national d'histoire et d'art de Luxembourg. Elle a supervisé les travaux de restauration du Palais grand-ducal de Luxembourg entrepris de 1991 à 1996. La grande-duchesse était présidente d'honneur de l'Orchestre philharmonique du Luxembourg et accordait son Haut Patronage au Cercle artistique de Luxembourg.

    Dans le domaine social, elle occupait différentes fonctions : présidence de la Croix-Rouge luxembourgeoise et de la Fondation luxembourgeoise contre le cancer, chef guide du Mouvement des guides du Grand-Duché de Luxembourg, Haut Patronage de SOS-Villages d'enfants-Luxembourg et du Comité luxembourgeois pour l'Unicef, etc. .

    La grande-duchesse Joséphine-Charlotte portait les trois décorations luxembourgeoises suivantes : Grand-Croix de l'Ordre du Lion d'Or de Nassau, Grand-Croix de l'Ordre du Mérite civil et militaire d'Adolphe de Nassau et Grand-Croix de l'Ordre grand-ducal de la Couronne de Chêne. Le couple grand-ducal avait 21 petits-enfants.

    Les dernières années n'ont pas épargné la grande-duchesse Joséphine-Charlotte. En septembre 2000, son fils cadet le prince Guillaume et son épouse la princesse Sybilla sont victimes d'un accident de voiture en France. Le prince reste dans le coma pendant plusieurs jours, ce qui entraîne le report de l'abdication du grand-duc Jean de quelques semaines. En 2002, la grande-duchesse María Teresa commet la maladresse de confier ses querelles avec sa belle-mère à des journalistes, ce qui provoque un scandale dans la presse luxembourgeoise. En 2003, la Cour annonce le cancer de la Grande-Duchesse et l'annulation des cérémonies officielles prévues pour ses noces d'or en avril 2003.


    Décès d'une grande dame 

    La grande-duchesse est décédée d'une tumeur au poumon le 10 janvier 2005 au château de Fischbach, où elle s'était installée avec son époux depuis son abdication.

    Présidées par l'archevêque de Luxembourg, Mgr Fernand Franck, ses funérailles ont eu lieu à la cathédrale Notre-Dame de Luxembourg et ont rassemblé de nombreuses têtes couronnées : la famille royale belge au complet, la reine Béatrix des Pays-Bas, la reine Sophie d'Espagne, la reine Marghrete II de Danemark, le roi Carl XVI Gustaf et la reine Silvia de Suède, la reine Sonja de Norvège, le prince Albert de Monaco, le prince Andrew du Royaume-Uni, le prince Alois et la princesse Sophie de Liechtenstein, le prince Akishino et la princesse Kiko du Japon, le prince HassanSarvath de Jordanie, le prince Moulay Rachid du Maroc, l'ex-roi Constantin de Grèce, etc . Selon ses dernières volontés, sa dépouille a ensuite été incinérée. L'urne contenant ses cendres a été déposée dans la crypte de la famille grand-ducale à la cathédrale Notre-Dame. et la princesse

    Cinq mois après son décès, la famille grand-ducale inaugure officiellement la Salle de concert Grande-duchesse Joséphine-Charlotte installée sur le plateau du Kirchberg à Luxembourg.

    Ses cinq enfants avaient l'intention de mettre en vente en décembre 2006 chez Sotheby's à Paris 150 bijoux personnels ayant appartenu à la grande-duchesse Joséphine-Charlotte : cadeaux de fiançailles ou de mariage reçus en 1953, héritages de la famille royale belge et achats personnels. Les bijoux historiques de la famille grand-ducale ne faisaient pas partie de cette vente et avaient été transmis à la grande-duchesse Maria-Teresa dès l'abdication de 2000. Mais suite aux très nombreuses critiques des Luxembourgois, la vente des bijoux de Joséphine-Charlotte a été annulée afin de ne pas ternir l'image de la dynastie.


    La princesse qui aurait pu être reine 

    Joséphine-Charlotte, bien qu'aînée des enfants du roi des Belges Léopold III, n'a jamais pu prétendre au trône de Belgique. En effet, jusqu'en 1991, la loi salique ne réservait la fonction de monarque qu'aux descendants mâles. Désormais, c'est l'aîné des enfants royaux qui peut hériter de la couronne. Cette loi s'applique à partir de la descendance du roi Albert II (frère de Joséphine-Charlotte) et de la reine Paola de Belgique.


    http://www.gouvernement.lu/salle_presse/actualite/2005/01/10gd/cv_gd/index.html [archive]


    Grand Duchess Josephine Charlotte

    Grand Duchess Josephine Charlotte

     



    2005

    Jan-Pieter Schotte

     

    cardinal belge, Vice-président du conseil pontifical « Justice et Paix » (° 29 avril 1928).


    2009

    Pio Laghi

     

    cardinal italien (° 21 mai 1922).

    2009
    La princesse Isabelle zu Salm-Salm
    fille du prince héritier Emmanuel zu Salm-Salm
    et de SAI&R l'archiduchesse Marie-Christine d'Autriche ( de la branche des ducs de Teschen)
    et soeur de l'archiduchesse Rosemary d'Autriche-Toscane
    vient de disparaitre à l'âge plus que vénérable de presque 106 ans
    Elle avait épousé en 1925 le comte Felix von Loë dont elle avait eu 7 enfants.

    Image Hosted by ImageShack.us
     Filles de SAI&R la princesse héritière de Salm-Salm (Isabelle et Rosemary, assise)
    Prinzessin zu Salm-Salm
    Parents
    http://www.royaltyguide.nl/images-special/2009%20Loe/Isabelle1.jpghttp://www.royaltyguide.nl/images-special/2009%20Loe/church1.JPGhttp://www.royaltyguide.nl/images-special/2009%20Loe/church2.JPGhttp://www.royaltyguide.nl/images-special/2009%20Loe/Isabelle2.jpg
    http://www.royaltyguide.nl/images-special/2009%20Loe/friedhof3.JPG

    2010
    Directeur de banque
    oncle de Mme Jacques Chirac
     il n'est pas noble mais descend du comte Antoine Boulay de La Meurthe 1761-1840
    Parents
    Mme Michel de Courcel, son épouse,
    Mme Sophie de Courcel, sa fille,
    Charlotte et Florent Garaud, ses petits-enfants,
    M. Jean-Yves Garaud,
    M. Tanguy Boitard,
    M. et Mme Jean Panhard, Mme Xavier de Courcel, M. André Panhard, sa sœur, ses beaux-frères et belle-sœur,
    ses neveux et nièces, ses petits-neveux et petites-nièces
    ont la tristesse de faire part du décès de

    M. Michel de COURCEL

    endormi dans la Paix du Seigneur, le 10 janvier 2010, dans sa 84 e année.
    La cérémonie religieuse aura lieu le jeudi 14 janvier, à 9 h 30, en la chapelle de la basilique Sainte-Clotilde, 29, rue Las Cases, à Paris (7 e ).
    Ni fleurs ni couronnes.

    2010
    Le seul bonheur qu'on a
    vient du bonheur qu'on donne.

    croix1.jpg

    Mademoiselle Elisabeth van OUTRYVE d'YDEWALLE,
    sa soeur;

    Le Vicomte (+) et la vicomtesse (+)
      Jean-Louis TYREL de POIX,
      leurs enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants,
    Madame Agnès (+) van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      ses enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants,
    Monsieur et Madame Michel de MAHIEU,
      leurs enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants,
    Le Chevalier et Madame
      Michel van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Monsieur et Madame
      Claude de PAUL de BARCHIFONTAINE,
      leurs enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants
    Le Chevalier et Madame Joël van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      leur fils,
    Monsieur et Madame de COUNE,
      leurs enfants et petits-enfants,
     
    Le Chevalier et Madame
      Bernard van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Le Chevalier et Madame
      Hadelin van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Le Chevalier et Madame
      Marc van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Le Chevalier et Madame
      Ghislain van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      leurs enfants et petits-enfants,
     
    Le Chanoine Stanislas van OUTRYVE d'YDEWALLE,
    Monsieur (+) et Madame (+) Alain DELVAUX de FENFFE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Le Chevalier et Madame Jacky van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Monsieur et Madame Jean van der HAERT,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Le Chevalier et Madame
      Benoît van OUTRYVE d'YDEWALLE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Monsieur et Madame Patrick de WILDE d'ESTMAEL,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Le Chevalier et Madame Maximilien de NEVE de RODEN,
      leurs enfants,
     
    Monsieur et Madame
      Jean-François KERVYN de MARCKE ten DRIESSCHE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Monsieur et Madame José HENRARD,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Monsieur et Madame José KERVYN,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Monsieur et Madame Vincent ELIAT,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Monsieur Yves KERVYN de MARCKE ten DRIESSCHE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Mononsieur et Madame
      Paul KERVYN de MARCKE ten DRIESSCHE,
      leurs enfants et petits-enfants,
    Monsieur et Madame de POTTER de ZINZERLING,
      leurs enfants et petits-enfants,
    ses neveux et nièces, leurs enfants, petits-enfants
    et arrière petits-enfants;
     
    Le Docteur DECADT,

    Suzanne, Dany, Christine, Kathleen, Lucrèce et Jacqueline,
      qui lui furent très dévoués,

    L'association de famille van OUTRYVE d'YDEWALLE,
     
    vous font part, dans l'espérance de la résurrection, du décès de
     
    DAME
    Monique
    van OUTRYVE d'YDEWALLE
     
    née à Sint-Andries le 14 mai 1917 et sereinement décédée chez elle à Loppem le 10 janvier 2010, réconfortée par le sacrement des malades et entourée de tous ceux qui lui étaient chers.
     
    La célébration eucharistique aura lieu en l'église paroissiale de Saint-André et Sainte-Anne, à 8200 Sint-Andries, le SAMEDI 16 JANVIER 2010 à 11 heures, suivie de l'inhumation dans le caveau familial au cimetière de Sint-Andries.
     
    Condoléances à l'église à partir de 10 h 30
     
    Ni fleurs ni couronnes.
     
    LE PRÉSENT AVIS TIENT LIEU DE FAIRE-PART
     
    8210 LOPPEM - Costersveld, 19.


    2010
    Sainte-Christine (Maine-et-Loire).
    M. de Crozé de Clesmes, son beau-frère, Mme Philippe Brouard, le baron et la baronne Patrick de Romans, M. Jacques-Humbert de Romans, M. et Mme Hugues Venière, M. et Mme Xavier Buët, M. Jean de Romans, M. et Mme Hubert Cassin, M. et Mme Stéphane Cassin, M. et Mme Hervé du Boullay, M. et Mme Arnaud du Boullay, M. et Mme Pierre-Edouard Lacaze, M. Hugues de Crozé de Clesmes, Mlle de Crozé de Clesmes, ses neveux et nièces, petits-neveux et petites-nièces et arrière-petits-neveux,
    ont la douleur de vous faire part du rappel à Dieu, le 10 janvier 2010, de
    Augustin comte du BOISPÉAN
    muni des sacrements de l'Église.
    La cérémonie religieuse sera célébrée le mercredi 13 janvier, à 10 h 30, en l'église de Sainte-Christine, suivie de l'inhumation au cimetière de Montjean.


    2010
    "L'absence est plus douce
    lorsque l'on s'aime."

    croix1.jpg

    La Baronne François COPPENS d'EECKENBRUGGE,
    son épouse;

    Charles et Christine COPPENS d'EECKENBRUGGE,
      Nicolas et Marie, Dorian, Arthus,
      Vincent et Caroline, Gaspard,
      Xavier et Alicia,
      Mélanie,
    Aline et Pascal WUILLAUME,
      Alexis, Laetitia,
    Françoise et Jean-François STRUELENS,
      Gaëlle, Caroline, Loïc,
    Brigitte et Philippe VANDENABEELE,
      Laurent, Thibault, Maude,
    Yvonne et François BIEBUYCK,
      Michaël, Céline, Adélaïde,
    Louise et Renier de CARITAT de PERUZZIS,
      Olivier, Diane, Gaëtan,
    Robert COPPENS d'EECKENBRUGGE,
    ses enfants, beaux-enfants,
    petits-enfants et arrière-petits-enfants;
     
    Les enfants, beaux-enfants et petits-enfants
      du Baron (+) et de la Baronne (+)
      Michel COPPENS d'EECKENBRUGGE,
    Monieur et Madame
      ERREMBAULT du MAISNIL et du COUTRE,
      leurs enfants, beau-fils et petits-enfants,
    Le Baron et la Baronne Jean COPPENS d'EECKENBRUGGE,
     
    ses soeurs, frères, beau-frère, belles-soeurs,
    neveux, nièces, petits-neveux et petites-nièces;
     
    Le Baron COPPENS d'EECKENBRUGGE,
    L'Association familiale COPPENS d'EECKENBRUGGE
     
    ont la profonde tristesse de vous faire part du décès du
     
    BARON
    François COPPENS d'EECKENBRUGGE
     
    époux de Dame Carla LAARHUIS
     
    Ingénieur Civil des Mines (Ulg)
    Chevalier Grand-Croix de l'Ordre Equestre
    du Saint-Sépulcre de Jérusalem
    Membre des Equipes Notre-Dame
     
    né à Uccle le 9 octobre 1928 et pieusement décédé à Ixelles le 10 janvier 2010, entouré de l'affection des siens et muni du Sacement des malades.
     
    La cérémonie religieuse aura lieu en l'église Saint-Paul, Drève des Chasseurs, 14 à Waterloo, ce SAMEDI 16 JANVIER 2010 à 10 heures.

    La famille remercie chaleureusement le personnel de la résidence "Gray Couronne" pour leurs bons soins.
     
    Si vous souhaitez témoigner votre sympathie, nous vous suggérons d'aider La Fondation belge pour la Terre Sainte sur le compte n° 630-0122895-55 avec la mention : "En souvenir de François Coppens d'Eeckenbrugge".

    CET AVIS TIENT LIEU DE FAIRE-PART
     
    Résidence Gray Couronne
    1050 IXELLES - Avenue de la Couronne, 42-46.

    2010
    Composition archevèque.svg
    Joseph Serge Miot
    Blason de Joseph Serge Miot
    http://www.haiti-reference.org/images/notables/mgr_miot.jpg

     né le 23 novembre 1946 à Jérémie (Haïti)

     évêque catholique haïtien, archevêque de Port-au-Prince (Haïti)
    de mars 2008 jusqu'à sa mort lors du tremblement de terre d'Haïti de 2010.
    Partager cet article
    Repost0
    10 janvier 2015 6 10 /01 /janvier /2015 00:00

    1480 

     Marguerite d'Autriche

     reine autrichienne 

    1769
    Michel Ney
    Michel Ney

    maréchal français († 1815)

    1883
    Parents


    1924
     

    Blason de Pierre Plateau
    Pierre Plateau

    évêque catholique français, archevêque émérite de Bourges.



    1957
     :Blason de Dominique Lebrun
    Dominique Lebrun
    http://saintvincentenlignon42.cef.fr/images/PHOTOS/photos2006/ordi3_jmpeault_10.jpg
    évêque catholique français, évêque de Saint-Étienne.

     Anecdote:
     on le surnomme "l'évêque aux pieds nus" car même dans les circonstances officielles, même lors de sa consécration épiscopale, il apparaît toujours pieds nus dans des sandales monastiques



    Partager cet article
    Repost0
    9 janvier 2015 5 09 /01 /janvier /2015 00:01

    Le 9 janvier est le 9ejour de l'année du calendrier grégorien


    Il reste 356 jours avant la fin de l'année

    (357 jours dans le cas des années bissextiles)


     

    Dicton du jour :
    Saint Julien porte la glace. S´il ne la brise, c´est qu´il l´embrasse.
    Pour Saint-Adrien, le froid nous revient.



    Célébrations

    couleurliturgiqueBlanc.gif


    Martyrologe pour le neuvième jour de janvier



    Vers 304, saint Julien, martyr égyptien.


     

    Avec son épouse, sainte Basilisse, il consacra ses forces et ses biens au

     

    soulagement des pauvres et des malades qu'ils abritaient dans leur

     

    propre maison.


     

    L'an 391, saint Pierre, évêque de Sébaste en Arménie.


     

    Frère de saint Basile le Grand, il participa au Concile de

     

    Constantinople et rétablit l'orthodoxie compromise par son

     

    prédécesseur.


     

    Vers 550, saint Marcellin, évêque d'Ancône qui, par sa prière et son

     

    intervention personnelle, délivra sa ville épiscopale d'un incendie.

     

    En Normandie, vers 688, saint Waninge.


     

    Conseiller de la régente sainte Bathilde, puis gouverneur du Pays de

     

    Caux, il consacra une partie de sa fortune pour aider notre Père saint

     

    Wandrille dans la construction de son monastère.


     

    Il fonda aussi l'abbaye de Fécamp où il vint plus tard partager la

     

    prière des moniales.


     

    Vers 700, à Saint-Florent-le-Vieil en Anjou, saint Mauront, abbé, dont

     

    saint Herbland vit l'âme monter au ciel.


     

    A Nancy, en 1622, la bienheureuse Alix Le Clerc, chanoinesse de

     

    Saint-Augustin.


     

    Elle fonda avec saint Pierre Fourier la congrégation de

     

    Notre-Dame pour l'éducation des jeunes filles.

     

     

    Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et bienheureux.

    Saints catholiques et orthodoxes du jour 
    Saints catholiques du jour 

    Prénoms du jour 

    Bonne fête aux :



    Bienheureuse Alix Le Clerc

    Beata_Alessia_Le_Clerc-Maria_Teresa_di_G

    Fondatrice de la congrégation Notre-Dame - Chanoinesses de St Augustin (+ 1622)
    Sa famille qui habitait Remiremont dans les Vosges était riche; Alix était belle, elle aimait la vie, la danse et les danseurs. Et puis, un jour, elle se convertit. Elle avait vingt et un ans. Sous la direction spirituelle de saint Pierre Fourier, elle se donna à l'éducation des jeunes filles en fondant la congrégation Notre-Dame (Chanoinesses de Saint-Augustin).
    Sa vie est faite de simplicité, de prière et de respect de la grâce de Dieu en chaque jeune dont elle recevait la charge éducative.
    Bienheureuse Alix Leclerc (+ 1622)
    bhxalixleclercxc9.jpg
    Alix Le Clerc, née en Lorraine de parents nobles, elle mena d´abord une vie frivole, mais elle se
    donna bientôt à Dieu, sous l´influence de Saint Pierre Fourier.
    Sous la direction de ce dernier, elle fonda la Congrégation des chanoinesses de
    Saint-Augustin, consacrées à l´enseignement des enfants pauvres.
    Elle était grande mystique, aussi bien que fondatrice active.
    Une de ses filles spirituelles la décrivit comme étant "une enfant du silence".
    Béatifiée par Pie XII en 1947.

    Voir aussi le site de la Congrégation Notre-Dame.
    http://congregation-notredame.cef.fr/cnd/index.php

    Un internaute nous signale:
    "Elle fut canonisée avant la découverte de ses reliques, fait exceptionnel. Ses reliques ont été transférées le 14/10/2007 à la Cathédrale de Nancy. Une grande cérémonie a eu lieu en présence de l'évêque Mgr Papin."
    L’année 2007 est baptisée « Année Alix »
    alix_le_clerc.jpg

    Voir aussi:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Alix_Le_Clerc
    http://congregation-notredame.cef.fr/cnd/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=53&Itemid=79



    Saint Adrien de Cantorbéry Evêque (+ 710)
    Grâce à l'un de ses amis, l'évêque de Cantorbéry, Théodore, il fut nommé abbé du monastère Saint-Pierre-et-Saint Paul qu'il gouverna durant trente ans. Il en fit un foyer de ferveur spirituelle et intellectuelle. Il y enseignait lui-même le grec, le latin et les arts humanistes. La plupart de ses moines parlaient au moins trois langues. Il fut ainsi un collaborateur efficace de l'évêque Théodore dans une étape décisive de l'histoire de l'Eglise d'Angleterre.
    autre biographie:
    Originaire d’Afrique, il se rend en Italie où il prend l’habit monastique avant d’être élu abbé de Nérida, non loin de la ville de Naples. Le pape Vitalien le désigne ensuite pour succéder à Deusdedit comme abbé de Cantorbéry. Alors qu’il traverse le territoire français sur le chemin de l’Angleterre, il est arrêté par Ebroïn, qui le soupçonne de soutenir des intérêts étrangers contre la France. Empêché de poursuivre sa route, il est détenu en divers endroits, avant d’être finalement autorisé à s’embarquer pour l’Angleterre. Quelques années plus tard, il est nommé abbé du monastère Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

    Voir aussi:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Adrien_de_Cantorb%C3%A9ry



    Saint Filan (+ 1314)
    ou Fillan. Abbé d'un monastère en Ecosse, il est honoré surtout parce que ses prières et ses interventions ont donné la victoire aux Ecossais contre les Anglais. A sa manière, il fut pour les Ecossais ce que sainte Jeanne d'Arc fut pour les Français.

    Voir aussi:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Fillan



    Saint Honoré de Buzançais (Bienheureux)(+ 1250)
    Négociant en bétail installé à Buzançais (Indre), il est très apprécié par les membres de sa communauté en raison de son attitude pieuse et charitable envers tous. Au cours d’un séjour qu’il effectue au village de Thénezay (Deux-Sèvres) pour affaires, il est assassiné par deux de ses domestiques, qui abandonnent ensuite son cadavre dans une forêt. Lorsqu’on le retrouve, des funérailles sont organisées, et on constate alors que de nombreuses guérisons miraculeuses se produisent par simple contact avec son corps. Il s’ensuit une querelle entre les deux localités qui revendiquent chacune la possession des reliques du bienheureux. Il est finalement décidé de remettre son corps à Buzançais, et de conserver sa tête à Thénezay, où il fait dès lors l’objet d’un culte important. Une chapelle est bâtie sur les lieux du meurtre et un pèlerinage y est organisé.
    http://terresdeloire.net/bassins/bassin_loire/bassin_thouet/thouet_79/thouet_



    Saints Julien et Basilisse Epoux, martyrs à Antinoé (+ 309)
    interieureglise.jpg

    L'Eglise Paroissiale Saint Julien Sainte Basilisse à Mouthoumet

    Ils consacrèrent leurs biens au soulagement des pauvres et leurs forces à soigner les malades qu'ils abritaient dans leur maison.
    Ste-Basilisse Épouse de Saint-Julien, un couple résidant en Égypte. Après avoir choisi de vivre dans la continence, les deux époux accueillent en leur demeure tous les indigents qui s’y présentent et leur procurent nourriture et soins : Basilisse s’occupe des femmes tandis que Julien soigne les hommes. Victime de la persécution de Dioclétien, le couple est condamné à mort après avoir été supplicié.

    Voir aussi:
    http://www.levangileauquotidien.org/www/popup-saints.php?language=FR&id=1072&fd=0
    [url]http://www.audecathare.fr/villages/mouthoumet.htm[/url]



    Saint Marcellin (6ème s.)
    L'on ne sait de lui que sa maladie qui le rendit infirme. En 1643 on montrait encore son bréviaire que les démons auraient brûlé, mais il ne semble pas que la date de l'édition correspondait aux dates de sa vie.



    Sainte Marcienne (4ème s.)
    200px-Marcienne.jpg

    Elle vivait en Mauritanie, actuellement l'Algérie, à l'époque de la persécution de Dèce. Elle fut livrée trois fois à des gladiateurs pour être deshonorée. Si grande fut sa pudeur dans une telle nudité qu'ils la respectèrent. Tertullien déclare à ce propos :"Lorsque vous avez exposé une chrétienne à la brutalité d'un gladiateur, vous avez confessé par là qu'une atteinte à la pudeur est pire que toute peine et toute mort. Mais elle fut respectée et vous n'avez rien gagné." Elle fut mise à mort dans les jeux du cirque sous les dents d'un léopard.

    Voir aussi:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Marcienne_de_Dellys



    Sainte Paschasie (2ème s.)
    qui est honorée à Dijon où elle mourut martyre. Elle fut disciple et coopératrice de saint Benigne dans son évangélisation de la Bourgogne.
    Vierge en Bourgogne, elle offre l’hospitalité à Saint-Bénigne, dont elle devient la disciple. Après la mort de ce dernier, elle est arrêtée à son tour puis emprisonnée avant de périr par le feu sous le règne de Marc-Aurèle. La basilique Saint-Bénigne de Dijon a été fondée sur le lieu de sa sépulture.



    Vénérable Pauline Jaricot Laïque (+ 1862)
    jaricot.jpg

    Conférence du cardinal Tomko sur le thème de l'actualité du message de Pauline Jaricot et sur le sens de la mission aujourd'hui. (site du Vatican)
    http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cevang/documents/rc_con_cevang_doc_19990918_tomko-jaricot_fr.html
    centenaire de la naissance de Pauline Jaricot. (site du Vatican)
    http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cevang/documents/rc_con_cevang_doc_19990919_tomko-jaricot_fr.html
    Coopération missionnaire : Pauline Jaricot, une grande figure de l’Eglise
    http://www.mission.catholique.fr/lorette-la-maison-de-pauline/archives-168/l-inauguration-le-5-mai-2005/

    Voir aussi:
    http://catho62-bruay.cef.fr/rosaire/jaricot/jaricot.htm
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pauline_Jaricot
    http://translate.google.com/translate?hl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.philomena.org%2F



    Saint Philippe de Moscou Métropolite de Moscou et de toute la Russie (+ 1569)
    st-p-27.jpg

    Il entra au monastère de Solovski, au delà du cercle polaire et si grandes furent sa probité et ses vertus qu'il y fut élu comme higoumène. Désigné pour être métropolite de Moscou, il sut résister aux cruautés du tsar Ivan le Terrible et il lui dit la Vérité dans la cathédrale même de la Dormition au Kremlin. Les chrétiens, et même les évêques, par peur du tsar ne le soutinrent pas. Il fut déposé par un concile local, exilé dans un monastère près de Tver et c'est là que le bourreau favori de l'empereur vint l'étrangler.
    'Quand la puissance d'Ivan le Terrible était à son sommet, le métropolite de Moscou, Saint Philppe osa protester ouvertement contre cette effusion de sang et cette injustice et le proclama à sa face pendant une célébration liturgique. Ivan le fit emprisonner puis étrangler.'
    (source: site de l'Eglise orthodoxe)
    http://orthodoxeurope.org/page/13/1.aspx
    http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsjanvier/janv09.html



    Saint Pierre de Sébaste Evêque en Arménie, Frère de saint Grégoire de Nysse et de saint Basile (+ 391)
    Evêque en Arménie, issu d'une étonnante famille de saints : Non seulement il était le frère de saint Basile de Grand et de saint Grégoire de Nysse et sa soeur fut sainte Théosobie. Il était aussi le fils de saint Basile l'ancien et de sainte Emilienne et petit-fils de sainte Macrine. Elevé au siège de Sébaste, il donna les preuvres de la plus ardente charité et d'une grande fidélité théologique, en particulier lors du concile oecuménique de 392 à Constantinople.



    Saints Polyeucte et Néarque (3ème s.)
    Polyeuctus.jpg

    Saint Polyeucte.

    Officiers de la douzième légion romaine en Arménie. Néarque était chrétien et son ami Polyeucte encore païen. La persécution devait les séparer. Mais alors la foi les unit. Ils furent arrêtés, parce qu'il était demandé aux soldats de sacrifier l'encens à l'empereur. Pauline, l'épouse de Polyeucte, le poussait à renier Jésus-Christ. Néarque et lui furent décapités. Une tragédie de Corneille perpétue ce combat de la foi.

    Voir aussi:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Polyeucte_de_M%C3%A9lit%C3%A8ne



    Saint Vaneng Ami de Clotaire III, roi des Francs (+ 688)
    ou Waneng. Conseiller de la régente sainte Bathilde puis gouverneur du Pays de Caux en Normandie, il consacra une partie de sa fortune à fonder l'abbaye de Fécamp où il vint, plus tard, partager la prière et la vie des moines.

    Autre biographie:
    Fils d'un couple de nobles francs de la région de Rouen, il devient capitaine des armées du roi Clotaire II. Proche conseiller de la reine Bathilde, il devient le tuteur de son fils, le futur Clotaire III. Il se lie également d'amitié avec Saint-Ouen, l'archevêque de Rouen et avec Saint-Vandrille, l'abbé de Fontenelles. Marié et père d’un fils (qui deviendra moine à Fontenelles), il est aussi très pieux et très respecté. Le roi lui confie d'ailleurs le gouvernement de la province de Caux, où il consacre une partie de ses revenus à bâtir des monastères, dont l'abbaye de Fécamp, qu’il place sous la direction de Sainte-Hildemarque. Il finit ses jours comme simple serviteur dans cette abbaye.



    Les Églises font mémoire...

    Catholiques d’occident : Les 40 martyrs de Sébaste (+320); calendrier mozarabe)

    Coptes et Ethiopiens (30 kiyahk/tahsas): Second jour de la Nativité glorieuse;
    Mémoire de l’adoration des Mages ; Jean, higoumène de Scété (Église copte-orthodoxe)

    Luthériens : Jean Laski (+1560), réformateur en Frise orientale et en Pologne

    Orthodoxes et Gréco-catholigues : Polyeucte de Mélitène (IIIe s.), martyr.

     

    • Saint Adrien de Cantorbery (+ 710)
      Saint Filan (+ 1314)
      Saint Julien et Sainte Basilisse (4e s.)
      Sainte Paschasie (2ème s.)
    • Sainte Marcienne (4ème s.)
      Saint Philippe de Moscou (+ 1569)
      Saint Vaneng (+ 688)
    • Marie Thérèse de Jésus
    • Polyeucte de Mélitène et saint Néarque (3ème s.)
    • Grégoire X, bienheureux, pape († 1276)


    Événements 

    9 janvier dans les croisades
    1144

     Le pape Célestin II fulmine la bulle papale Milites Templi qui demande aux fidèles d'aider l'Ordre du Temple[1]. 1431
     Début du procès de Jeanne d'Arc

     1316
    162667_10150089068940747_614105746_61032
    Sacre du roi Philippe V de France, dit Philippe le Long, en la Cathédrale de Reims  par l’archevêque Robert de Courtenay-Champignelles.
    Philippe V était le fils puiné du roi Philippe IV le Bel et de la reine Jeanne Ière de Navarre. Il fut apanagé par son père avec le comté de Poitiers et succéda dans le trône de France, aussi bien que dans celui de Navarre, à son neveu le roi Jean Ier le Posthume. Ce fut la première fois que la couronne de France passait à une ligne collatérale.
    1514
     Mort d'Anne de Bretagne

    1522
     Le Hollandais Adriaan Floriszoon devient pape sous le nom d' Adrien VI. Ce sera le dernier pape non-italien avant Jean-Paul II.
    (fin du pontificat en 1523)

    1593
     Une galère emporte Giordano Bruno de Venise vers les geôles du Vatican

    Portail de l’histoire militaire
    Portail de l’histoire militaire

    Combat naval livré sur l'Amazone le 9 janvier 1640 dans l'état du Pará, au Brésil, durant la guerre de Trente Ans (1618-1648)

     

    João Pereira de Cáceres, commandant du fort portugais de Gurupá, attaque avec plusieurs canots une patache hollandaise, qui transportait une expédition destinée à conquérir les postes lusitaniens d'Amazonie, et s'en empare à la suite d'un violent abordage.


      1709

    Le froid est excessif, à ne pas sortir



    1719
     Philippe V d'Espagne déclare la guerre à la France.



    1776
     en Nouvelle-Angleterre, le journaliste américain Thomas Paine publie ses premiers pamphlets, dont Le sens commun (Common Sense), traitant de la Déclaration d'indépendance.


    1801
     France (19 nivôse) : Quatre jacobins accusés d'avoir participé à l'attentat de la rue Saint-Nicaise (voir éphéméride du 24 décembre) sont exécutés, après que cent trente autres avaient été déportés sans jugement.


    1851
     Le Général Changarnier, commandant de Paris, que les royalistes voudraient voir au pouvoir, est limogé. Cette décision ouvre une crise ministérielle. Le nouveau ministère est formé d'hommes favorables au maintien du prince-président au pouvoir.

    1878
    Le roi Humbert Ier (Umberto Ier) monte sur le trône d'Italie.
    (Fin du règne en 1900)


    1905
     "dimanche rouge" à Saint-Petersbourg, le Tsar fait mitrailler la foule
    1930
    Le menu du repas de mariage d’Umberto et Marie José d’Italie

    Photo-086.jpg

    Le 9 janvier 1930, la princesse Marie José de Belgique, fille du roi Albert II et de la reine Elisabeth épousait à Rome le prince héritier Umberto d’Italie. Voici le menu du repas de mariage.Il mérite que l’on s’attarde sur son contenu et sa forme. Ainsi, il est rédigé en italien ce qui est assez étonnant puisqu’il aurait été logique qu’il le soit en français, langue parlée à la Cour et vis-à-vis aussi des invités étrangers pour qui le français était certainement la langue véhiculaire. On peut donc imaginer l’influence du régime de Mussolini sur la vie à la Cour royale d’Italie et la volonté d’ « italianiser » au maximum le repas que ce soit dans la transcription du menu que dans le choix des plats et des vins. Ainsi, pas de champagne, probablement « trop français » mais un vin mousseux italien.

     

    Le menu :

    Crema reale :probablement sorte de velouté à la royale

    Truite saumonée à la génoise. L’assaissonnement à la génoise peut varier selon les recettes mais on peut envisager une brunoise de légumes divers avec persil ou basilic, pignons, pommes de terre, huile d’olive et de l’… ail. Même si les versions des sauces génoises peuvent varier, l’ail reste toujours bien présent dans sa composition.

    Pâté de foie gras en gelée. A nouveau, le mot « gelée » a dû déplaire aux puristes qui ont mit « gelatina » ce qui n’est vraiment pas la même chose, et fait même mauvais effet à première lecture. De plus, en Italie, le mot « foie gras » reste en français dans tous les restaurants. Il est cependant ici encore « traduit ».

    Dinde (ou Dindonneau) rôti au cresson

    Salade

    Haricots verts à la majordome : l’assaisonnement à la majordome se compose de citron, de persil et encore … de l’ail et de l’huile d’olive.

    Glace à l’ananas et pâtisseries : A nouveau, traduction du mot « ananas » en « ananasso » est étonnante

    Cannoli à la Lodigiana : Les « cannoli » n’ont pas de traduction en français. C’est à l’origine une pâtisserie sicilienne, mais Lodi est une région du nord de l’Italie. Les cannoli à la Lodigiana, c’est un cannoli (un cylindre de biscuit croquant) fourré d’un mélange de mascarpone, de crême pâtissière, de noisettes hachées et de cerises confites. Comme le mascarpone n’existait pas à cette époque, il est à penser que c’ets de la ricotta qui a été utilisée à la place.

    Les vins : tout est italien et pas de champagne mais du mousseux italien. Le « moscato »(du muscat) qui est un vin liquoreux pour le dessert. La strega qui est une très bonne liqueur italienne, est également servie.

     

    1999

     

    3052544833_1_15_MNs6Ala0.jpg

    Le 9 janvier 1999, en la cathédrale de Gand, l’archiduchesse Catharina d’Autriche, fille de l’archiduc Rodolphe et de l’archiduchesse Anna Gabriele d’Autriche, née princesse de Wrede épousait le comte Maximiliano Secco di Aragona.

    La mariée portait une création de Giorgio Armani et un diadème de diamants de famille. Parmi les nombreux membres du Gotha étaient notamment présents la reine Fabiola, le prince héritier Philippe de Belgique et le prince des Asturies.

    Le couple a eu 3 fils : Costantino, Nicolo et Rodolphe.

    Partager cet article
    Repost0
    9 janvier 2015 5 09 /01 /janvier /2015 00:00

     

    710
     Adrien de Cantorbéry


     religieux anglais d'origine berbère.
      réformateur de l'Église d'Angleterre, abbé de Nérida, près de Naples, puis du monastère de St-Pierre et St-Paul, près de Cantorbéry (Angleterre)


    BENOIT IX
    • Soit une durée totale de 12 ans

    1202 1499
    Johann Cicero DE HOHENZOLLERN

    • 2 août 1455 - 9 janvier 1499

      clip-image003-copie-3.jpg
      Age: 44 ans

    1289
    • Daniel

    •  seigneur de Hamal en 1289


    1302
    Ahélis de Montaigut


    1305
    Mahault Le Prévost de Basserode

    1315 
    Pierre Raymond de Rabastens


    1325
      Raoul de Vichy
    seigneur de Busset

    1334
    Hugues Candole

     seigneur d'Oriol

    1340
    Pierre de Tersac

     seigneur de Biozat


    1342
    Béatrix de Saint-Floret

    1346 
    1360
    1360 1374
    1380 1381 1408
    1434
    •   Jean, seigneur de Charnacé 
    1442 1459
    1460 1461 1464
    •   John, Lord Lovel
    1468 1475 1475 1499
    1514
    1514
     Anne de Bretagne

    Anne DE DREUX

    25 janvier 1476 - 9 janvier 1514

    clip-image001-copie-1.jpg reine de Charles VIII
    Age: 37 ans

     

    1515

    • décès -> Jean Bertho, sieur de Vauvert en 1662 (il y a 347 ans)
    • décès -> Olivier Poulain, seigneur de Quefferon en 1670 (il y a 339 ans)
    • décès -> Jacques Delaire, seigneur de Champboulle en 1692 (il y a 317 ans)

    • 1 octobre 1683 - 9 janvier 1699


      Age: 15 ans




    1819

    Ekaterina Pavlovna ROMANOV-HOLSTEIN-GOTTORP
    21 mai 1788 - 9 janvier 1819


     

    2000
    Parents
    • Charles, comte de Lasteyrie du Saillant 1877-1936
    • x x
    Mariée  et 5 enfants
    2000
    Parents


    2001


    Marie-Françoise Fernex de Mongex
    Père
    Mariée et 5 enfants

    comte de Villaines
    Père
    Marié et 3 enfants

    marquis de Seilhac
    Parents
    Marié et 1 enfant


    2008

    Parents
    Marié et 8 enfants

      2008

    Image Hosted by ImageShack.us


     Louis Alexandre Né le 9 Janvier 2008

    2ème fils de

     Jacques Emmanuel Eric Raymond Marie, 17 ème Duc d'Uzès, etc.
    Né le 13 Oct obre1957 à Neuilly -Décédé le 10 Juillet 1993
     et
    Alessandra Passerin d'Entreve et Courmayeur
    Née le
    5 Juin 1970 à Lugano
     
    Son frère
    Comte Louis-Alexandre de Crussol d’Uzès
    (Charles Louis Jacques Emanuel Marie)
    Né le 19 Jan 1997 à Boulogne 

    blasonCrussol2.gif

     

    La vicomté d'Uzès fut érigée par Charles IX en duché, par lettres patentes datées de Mont-de-Marsan, au mois de mai 1565, appartenances et dépendances, des baronnies, terres et seigneuries d'Aimargues, Saint-Geniès, Bellegarde, Broussan, Remoulins, Saint-Bonnet, Vers, Collias, Pouzilhac, Belvézet, Maumolène, Pougnadoresse, Montaren, Saint-Quintin, Pailhargues et Castillon.

     

    Le duché d'Uzès devient duché-pairie d'Uzès par de nouvelles lettres datées d'Amboise, en février 1572.

     

    C'est ainsi que, par l'ancienneté de son duché-pairie, le duc d'Uzès était, avant la Révolution, le premier duc et pair de France, et marchait, dans les cérémonies, immédiatement après les princes du sang.


    > L’origine du Duché-Pairie d’Uzès

    > Antoine de Crussol, premier Duc d’Uzès

    > Les Aventures du Duc d’Uzès « dit le Bossu »

    > De Crussol, Duc d’Uzès sur internet

    > Biographie de la Duchesse d’Uzès sur internet

    > Le château et les Ducs d'Uzès


    2008

    (Antoinette de Broissia)
    (Antoinette Élisabeth Marie de Froissard de Broissia)

    Chevalier dans l'ordre national du Mérite pour son action bénévole dans des associations sociales.
    Parents
    Ses soeurs & Frères
    Mariée et 6 enfants

     

    Baronne Odile de Broqueville
    image
    Père


    2010
    Barbara de Gardane, son époux, Philippe Ramoul, et leurs enfants
    ont la profonde tristesse de vous faire part du décès du
    comte Jean de GARDANE
    le 9 janvier 2010, à Toulouse.
    Une messe sera célébrée le mercredi 13 janvier,
    à 9 heures, à la chapelle de la maison de retraite Notre-Dame-du-Bon-Accueil, 2, rue Capeche, à Castelnau- d'Estrefonds (Haute-Garonne).
    Une cérémonie religieuse aura lieu le mercredi 13 janvier, à 16 heures, en l'église de Lincel (Alpes-de-Hautes-Provence)


    2010
    Le comte Baudouin de Liedekerke, son époux,
    M. et Mme Jacques Bordeaux Montrieux, ses parents,
    M. et Mme Jean-Baptiste Bordeaux Montrieux, son frère et sa belle-sœur, leurs enfants André et Marie-Aimée,
    le comte de Liedekerke, son beau-père, ses enfants, beaux-enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants
    vous font part du rappel à Dieu de la
    comtesse Baudouin de LIEDEKERKE
    née
    Fanny Bordeaux Montrieux, à Mercurey, le 17 octobre 1960,

    à Dijon, le 9 janvier 2010.
    La célébration eucharistisque, suivie de l'inhumation, aura lieu en l'église Saint-Symphorien-de-Touches à Mercurey (Saône-et-Loire), le jeudi 14 janvier, à 14 h 30.
    Un service eucharistique aura lieu en l'église Sainte-Alix, à Woluwe-Saint-Pierre (Bruxelles), le samedi 16 janvier 2010, à 11 heures.
    Ni fleurs ni couronnes.

     

    Partager cet article
    Repost0

    Forum


    Image Hosted by ImageShack.us
    louis XX 01

    Image Hosted by ImageShack.us

     


    capetiens
    (Pierre-Yves Guilain)
    Cercle de réflexion royaliste

    Heraldique-Noblesse
    Joinville et ses princes
    Amis et passionnés du Père-Lachaise
    Pere-Lachaise
    lescimetières
    Généalogie, cimetières, patrimoine parisien
    graveyart: sur les cimetières parisiens (en hollandais)

    Histoires des souverains d'Europe et images de leurs tombeaux 

    kaisergruft

    (site sur les sépultures des Habsbourg notamment sur la crypte des Capucins)

    MAISON CIVILE DU ROI. (1)

    d'après le Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France
    Nicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842)- Paris, 1816



    Image Hosted by ImageShack.us

    Introduction

      Accueil



    Rois de France


    Génobaud
    roi Franc
    (légendaire)
    à la fin du IVe siècle
    354-419
    Sunnon
    roi Franc des Ampsivares 
    et des Chattes (légendaire)
    à la fin du IVe siècle
    388-xxx
    Marcomir
    roi Franc des Ampsivares 
    et des Chattes (légendaire)
    à la fin du IVe siècle
    Pharamond
    Image Hosted by ImageShack.us

    Duc des Francs Saliens 

    (légendaire)
    ancêtre mythique des Mérovingiens
    Clodion le Chevelu
    Image Hosted by ImageShack.us

    Duc des Francs saliens
    428 - 448

    Image Hosted by ImageShack.us
    Duc des Francs saliens 
    (incertain)
    448 - 457
    Childéric Ier
    Image Hosted by ImageShack.us
    Duc et Roi des Francs saliens
    457 - 481
    Clodomir
    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi d'Orléans
    511524
    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi de Metz
    (futur Austrasie)
    511534
    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi de Neustrie
    511561
    Roi des Francs
    558561
    Roi d'Austrasie
    53454
    Théodebald Ier
    (Thibaut)
    Roi d'Austrasie
    548555
    561567
    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi de Neustrie 
    Roi de Bourgogne
    561592
    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi d'Austrasie
    561575
    Roi d'Austrasie
    Roi d'Austrasie
    595 - 612
    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi de Bourgogne
    595613
    Roi d'Austrasie
    61261
    sous la régence de Brunehilde
    Roi de Bourgogne
    Roi d'Austrasie
    613
    Roi de Neustrie
    584629
    Roi de Paris
    595
    629
    Roi des Francs
    613629
    Roi des Francs (sans l'Aquitaine)
    629639
    Roi des Francs
    632639
    Caribert II
     Roi d'Aquitaine
    629632
    Roi de Neustrie, de Bourgogne
    639657
    Roi d'Austrasie
    656657
    Roi d'Austrasie
    639656
    Childebert III l'Adopté
    Roi d'Austrasie
    657662
    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi de Neustrie, de Bourgogne
    65767






    Roi d'Austrasie
    662675
    Occupe la Neustrie
    673675







    Roi de Neustrie
    673691
    Roi des Francs 

    (en fait uniquement de Neustrie)
    L'Austrasie étant aux mains
    de Pépin de Herstal
    679
    691

    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi de Neustrie, Bourgogne et Austrasie
    675 - 676
    Image Hosted by ImageShack.us
    Roi d'Austrasie
    676679
    Clovis IV








    Roi des Francs
    (en fait uniquement de Neustrie)
    691695









    Roi des Francs
    (en fait uniquement de Neustrie)
    695711
    Dagobert III









    Roi des Francs de 711 à 715
    Chilpéric II









    roi des Francs de Neustrie et des Burgondes
    de 715 à 719
    puis de tous les Francs de 719 à 721.
    C
    lotaire IV


    T
    hierry IV









    Childéric III
    Image Hosted by ImageShack.us
    roi des Francs, de Neustrie
    de Bourgogne et d'Austrasie
    de 743 à 751

    ************

     

     


    Pépin III le Bref
    Image Hosted by ImageShack.us
    Carloman Ier
    Image Hosted by ImageShack.us
    C
    harles Ier
    dit Charles le Grand
    CHARLEMAGNE

    Image Hosted by ImageShack.us
    Louis Ier dit le Pieux
    ou «le Débonnaire»
    Image Hosted by ImageShack.us
    Lothaire Ier
    Image Hosted by ImageShack.us
    Lothaire II

    Image Hosted by ImageShack.us
    C
    harles II dit le Chauve
    Image Hosted by ImageShack.us
    Louis II dit le Bègue
    Image Hosted by ImageShack.us
    Louis III de France
    Image Hosted by ImageShack.us
    C
    arloman II de France
    Image Hosted by ImageShack.us
    Charles III dit le Gros
    Image Hosted by ImageShack.us
    Eudes Ier de France
    Robertin
    Image Hosted by ImageShack.us
    Charles III dit le Simple
    Image Hosted by ImageShack.us

    Robert le Fort
    Image Hosted by ImageShack.us
    Robert Ier de France

    Image Hosted by ImageShack.us

    Hugues le Grand
    Image Hosted by ImageShack.us
    Raoul Ier de France
    aussi appelé Rodolphe

    Image Hosted by ImageShack.us
    Louis IV dit d'Outremer
    Image Hosted by ImageShack.us
    Lothaire de France
    Image Hosted by ImageShack.us
    Louis V dit le Fainéant
    Image Hosted by ImageShack.us
    Dernier roi de la lignée
    des Carolingiens
    Image Hosted by ImageShack.us

    H
    ugues Capet
    Image Hosted by ImageShack.us
    Robert II le Pieux
    Image Hosted by ImageShack.us
    Hugues II de France
    Image Hosted by ImageShack.us
    (1007-1025)
    Roi de France associé
    1017 - 1025
    Henri Ier de France
    Image Hosted by ImageShack.us
    Philippe Ier de France
    Image Hosted by ImageShack.us
    Louis VI le Gros
    Image Hosted by ImageShack.us
    Louis VII Le Jeune
    Image Hosted by ImageShack.us
    Philippe II Auguste
    Image Hosted by ImageShack.us

    Louis VIII le Lion
    Image Hosted by ImageShack.us

    Louis IX (Saint Louis)
    Image Hosted by ImageShack.us
    Philippe III de France
    dit le Hardi
    http://www.visite-de-rouen.com/images/philippe_3.jpg
    Philippe IV le Bel
    image
    Louis X le Hutin
    http://www.livois.com/phpgedview/media/Louis_X_le_Hutin.jpg
    Jean Ier le Posthume

    image






    Philippe V
    le Long
    http://www.livois.com/phpgedview/media/Philippe_V_le_Long.jpg
    Charles IV le Bel
    http://www.livois.com/phpgedview/media/Charles_IV_le_Bel.jpg
    Valois
    Philippe VI le Fortuné
    http://www.france-pittoresque.com/rois-france/img/philippe-VI.gif
    Jean II le Bon
    image
    Charles V le Sage
    http://www.culture.gouv.fr/Wave/image/joconde/0014/m502004_97de1712_p.jpg
    Charles VI le Fol ou le Bien-Aimé
    image
    Charles VII le Victorieux
    image
    Louis XI de Valois
    http://jargeau-tourisme.com/img/louis11.jpg
    Charles VIII de Valois
    image
    Louis XII d'Orléans
    image
    François Ier d'Angoulème
    image
    Henri II d'Angoulème
    image
    François II d'Angoulème
    image
    Charles IX d'Angoulème
    image
    Henri III d'Angoulème
    image