L’abbaye Saint-Pierre aux liens est une ancienne abbaye bénédictine.
On ignore quel est son fondateur.
Elle a été probablement créée à la fin du VII ème siècle.
Elle a été d’abord ... En savoir plus
Radieux et émus, c’est ainsi que sont apparus le prince héritier Frederik et la princesse héritière Mary de Danemark dans le hall du Rigshospitalet de Copenhague, tenant dans leurs bras leur fille et leur fils âgés de 6 jours
Lors de la conférence de presse, la princesse expliqua que les bébés étaient déjà très proches l’un de l’autre, le petit prince cherchant la main de sa soeur dans le berceau et avoua qu’il faudrait désormais s’accomoder d’une nouvelle organisation avec deux enfants de plus.
La princesse Mary confia qu’elle avait été très bien préparée pour l’accouchement des jumeaux et que son époux l’avait beaucoup aidée, en permanence à ses côtés.
De son côté, le prince Frédérik n’écarta pas la possibilité d’augmenter à l’avenir la famille mais déclara que « cela devrait se discuter plus tard »
La presse danoise spécule déjà abondamment sur les prénoms du petit prince et de la petite princesse. Valdemar, Astrid, Mathilde ou encore William sont donnés favoris.
Les prénoms ne seront dévoilés que lors du baptême des enfants princiers dans quelques semaines.
Confirmation de la naissance en 2010 (pas de date précise) du deuxième enfant du comte Philipp et de la comtesse Paula de Neipperg, prénommé Stephen.
Le comte Philipp est l’un des petits-fils de l’archiduc Otto et de l’archiduchesse Régina.
Le comte Philipp et la comtesse Paula avaient déjà une fille Johanna.
Le descendance de l’impératrice Zita s’agrandit donc à nouveau : 8 enfants, 33 petits-enfants, 108 arrières-petits-enfants et 2 arrières-arrières-petits-enafnts.
L’archiduc Otto devient par la même occasion arrière-grand-père pour la deuxième fois.
Au Palais de Noordeinde, la reine Béatrix, le prince héritier Willem-Alexander et la princesse héritière Maxima des Pays-Bas (de retour de leurs vacances de fin d’année en Argentine) ont reçu le sultan de Brunei. (Copyright photos : AP)
Le comte Jan Bernadotte af Wisborg, l’un des enfants du défunt comte Lennart Bernadotte, a été contraint d’annuler à la dernière minute son mariage prévu le 8 janvier dernier avec sa compagne Gunilla Stenfors.
Les papiers du divorce du comte et de sa précédente épouse n’étaient apparemment pas tous signés.
Une longue-vue, actuellement stockée dans les réserves du musée des beaux-arts de Carcassonne et dont on avait oublié l’origine, aurait appartenu à l’Empereur Napoléon.
C’est monsieur Alain Pignon qui a pu découvrir l’origine grâce à une biographie de Guillaume Joseph Peyrusse écrit par Jean Amiel en 1929.
Guillaume Joseph Peyrusse s’était engagé le 18 septembre 1793 comme chasseur au bataillon de la masse, puis était devenu secrétaire d’état-major à l’armée des Pyrénées-Orientales de 1793 à 1800. Ses bonnes relations lui avait permis d’être employé au Trésor de la couronne, le 2 octobre 1805. Inspecteur le 1er février 1808, il fait la campagne de 1809 en Autriche, puis devient payeur de l’ambassade chargée d’aller recevoir l’impératrice Marie-Louise à Braunau. Nommé chef des recettes du Trésor le 20 février 1810, il fait les campagnes de Russie, de Saxe et de France. Il est nommé le 26 février 1814 sous inspecteur des revues dans la garde et chevalier de la Légion d’honneur. Après Saint-Dizier le 23 mars 1814, il suit Napoléon à l’île d’Elbe comme trésorier. Durant les Cent- Jours, il est trésorier général de la Couronne et officier de la Légion d’honneur le 21 juin 1815.
Dans la biographie, il est précisé que le musée de Carcassonne possède une longue-vue qui avait été léguée par la famille Peyrusse et dont Napoléon se servit pour la marche d’une partie de sa flottille, durant la nuit du 28 février au 1er mars 1815.
Selon Me Deleau, commissaire-priseur, sa valeur est inestimable, car pour un simple mouchoir, une mèche de cheveux de l’Empereur, aucune limite financière pour les fanatiques de Napoléon. Souhaitons que le musée accordera une place de choix pour la montrer au public. Il est possible que d’autres musées comptent des trésors aux origines non élucidées…
La famille impériale d’Iraninvite les personnes qui souhaitent témoigner d’un geste suite au décès du prince Ali Reza de soutenir « The Foundation of Children of Iran », association active depuis plus de 20 ans dans le domaine du soutien médical.
La princesse Jeanne de Chantal, Alice, Clotilde, Marie d’Orléans, princesse de France est née à Pampelune en Espagne le 9 janvier 1946.
Elle est la 6ème fille et le 10ème enfant du comte et de la comtesse de Paris défunts. Elle fut baptisée le 21 janvier 1946 en l’église Saint Nicolas de Pampelune. Le comte de Rodezno et la comtesse de Guendulaine représentaient l’Infant Carlos de Bourbon et l’Infante Alice, parrain et marraine du bébé lors de lé cérémonie de baptême.
En 1951, la princesse Chantal débuta sa scolarité à Lisbonne puis entra à « La Providence » à Eu le temps que le comte de Paris termine les travaux du manoir du Coeur-Volant. La princesse Chantal étudia ensuite à Louveciennes auprès d’un précepteur puis fréquenta une école privée rue Saint-Dominique à Paris et termina ses études pensionnaire à Gouvieux dans l’Oise. La princesse Chantal a tenu sur les fonts baptismaux le 14 juin 1965 le prince Jean de France. La dernière fille du comte de Paris et son frère Thibaut partagèrent un appartement à Neuilly à la fin des années 60. La princesse, artiste et adroite de ses mains, a suivi une formation de relieur d’art à l’école Estienne de Paris.
La princesse Chantal se fiança en février 1971 au baron François-Xavier de Sambucy de Sorgue, appartenant à une famille noble française originaire de Bologne en Italie et qui se fixa dès le 14ème siècle en Rouergue. Gaston de Sambucy de Sorgue, religieux et arrière-grand-oncle de François-Xavier, fut charger de diriger la cérémonie d’inhumation en la Chapelle royale Saint Louis de Dreux, de la duchesse d’Orléans, mère de Louis-Philippe.
Chantal et François-Xavier se sont mariés en la Chapelle royale de Dreux le 28 juillet 1972. La mariée portait une robe de Pierre Balmain et un diadème Mellerio, cadeau de la famille du marié.
Le jeune couple aménagea après son voyage de noces dans un appartement situé sur l’avenue principale de Neuilly. La princesse mit au monde trois enfants : Axel en 1976, Alexandre en 1978 et Kildine en 1979. Le baron François-Xavier est muté en 1981 aux Etats-Unis et la famille s’installe alors dans une coquette maison près de New York.
Fin 1985, la princesse et sa famille sont de retour en France. Le baron occupe toujours les fonctions d’ingénieur en informatique. En 1994, la princesse publia un livre politique intitulé « Princesse et Citoyenn ».
Le 25 juillet 1997, la princesse a célébré ses noces d’argent sur un bateau-mouche en présence de sa famille et le lendemain donna un bal au Jockey Club pour les 18 ans de sa fille Kildine. La princesse Chantal a renoué un lien sincère d’affection avec le comte de Paris, quelques années avant le décès du prince.
Chantal de France et son époux partagent désormais leur temps entre leur appartement parisien, leur propriété des Yvelines et leur mas provençal de Montmajour. La princesse, initiée à la peinture par Guy de Malherbe il y a seulement six ans, expose ses oeuvres. Elle cultive aussi l’art d’être grand-mère de 4 petits-enfants : Jean, Come, Sarah et Eulalie.
La princesse Martha-Louise de Norvège, fille des souverains norvégiens était présente aux côtés de son époux l’écrivain Ari Behn lors des funérailles de la grand-mère d’Ari à Halden au sud du pays.
Aujourd'hui, la princesse Martha Louise de Norvège avec ses trois filles (Maud Angelica Behn, Leah Isadora Behn et Emma Tallulah Behn) a assisté aux funérailles de la grand-mère de son époux
BOSTON — Le plus jeune fils du shah d'Iran renversé par la révolution islamiste, Ali Reza Pahlavi, 44 ans, s'est suicidé dans la nuit de lundi à mardi à son domicile de Boston, aux Etats-Unis, a indiqué son frère Reza Pahlavi sur son site internet.
"C'est avec beaucoup de chagrin que nous informons nos compatriotes du décès du prince Ali Reza Pahlavi", écrit le fils aîné du shah Mohammad Reza Pahlavi, renversé en 1979 et décédé en juillet 1980 au Caire.
Des sources proches de l'enquête, confiée au procureur du district de Suffolk (Boston, Massachusetts, nord-est), ont confirmé "qu'un homme d'une quarantaine d'années a été retrouvé mort au 141 Newton street à Boston" et qu'il s'agissait "d'Ali Reza Pahlavi, comme l'a annoncé la famille sur son site".
La victime "est décédée par tir d'arme à feu qu'il a apparemment tournée contre lui-même d'après les premiers éléments de l'enquête", a-t-on précisé de même source.
Ali Reza avait acquis en 2001 pour 2 millions de dollars une demeure à cette adresse, selon le registre des propriétés immobilières de Boston.
"Comme des millions de jeunes Iraniens, il était profondément perturbé par tous les maux frappant sa chère patrie, portant aussi le fardeau de la perte d'un père et d'une soeur au cours de sa jeune vie", ajoute Reza Pahlavi sur le site familial.
Ali Reza Pahlavi, qui n'était pas marié, était inscrit en troisième cycle à l'université Harvard, où il étudiait la philosophie et l'histoire iranienne ancienne. Le plus jeune des quatre enfants du shah avait obtenu un premier diplôme de l'université Princeton en 1984 et un master de Columbia en 1992.
"Bien qu'il ait lutté depuis des années pour surmonter son chagrin, il a finalement succombé et au cours de la nuit du 4 janvier 2011, à son domicile de Boston, il s'est donné la mort, plongeant sa famille et ses amis dans un profond chagrin", écrit l'ancien prince héritier Reza Pahlavi.
La plus jeune fille du shah, Leila Pahlavi, était décédée en 2001 à Londres à 31 ans, après avoir pris un mélange de médicaments et de cocaïne, selon des résultats d'autopsie. Elle avait été retrouvée morte dans la suite de quatre pièces qu'elle louait dans un grand hôtel.
"Depuis quelques années, Leila était très déprimée, le temps n'avait pas cicatrisé ses blessures", avait indiqué sa mère Farah (Diba) Pahlavi lors de son décès.
"Exilée à l'âge de 9 ans, elle ne s'était jamais remise du décès de son père Sa Majesté Mohamed Reza Shah Pahlavi", avait-elle ajouté, alors qu'elle vivait en exil à Paris. L'ancienne shahbanou, aujourd'hui âgée de 72 ans, vit entre les Etats-Unis et la France.
Reza Pahlavi, qui réside aux Etats-Unis depuis 1984, a voyagé dans le monde entier pour mettre en garde contre, selon lui, la situation désespérée des Iraniens vivant sous le régime islamique dans son pays.
La famille du Shah d’Iran est une nouvelle fois endeuillée.
Le plus jeune fils de l’ancien dirigeant iranien et de l’impératrice Farah Diba s’est suicidé à son domicile de Boston, aux Etats-Unis.
Alireza Pahlavi, 44 ans, n’a pas réussi à vaincre la dépression.
Sur son site internet, son frère aîné à écrit : “Comme des millions de jeunes Iraniens, il était profondément perturbé par tous les maux frappant sa chère patrie, portant aussi le fardeau de la perte d’un père et d’une soeur au cours de sa jeune vie.”
Le Shah d’Iran a été renversé en 1979 par la Révolution islamique, et sa famille s’est exilée aux Etats-Unis. Il est mort en 1980.
Leila, sa plus jeune fille avait déjà succombé à une surdose de somnifères en 2001, elle avait 31 ans.
Nous nous associons au chagrin de nos compatriotes et plus encore au chagrin de sa mère, Madame Farah Pahlavi et à celle de son frère, SMI Reza Pahlavi.
La destinée tragique de la dynastie Pahlavi
Son Altesse le prince Shahriar Shafiq, capitan de la Marine Impériale Iranienne, fils de Son Altesse Impériale la princesse Ashraf Pahlavi, la soeur jumelle du Shah Mohammed Reza Pahlavi, et de son second époux l’égyptien Ahmad Shafiq. Il fut assassiné à Paris le 7 décembre 1979 par des agents de la République Islamique d’Iran dans la rue Pergolèse. Le prince Shahriar Shafiq était âgé de 34 ans.
Son Altesse Impériale la princesse Leila Pahlavi, quatrième et dernière enfant de Sa Majesté Impériale le Shah Mohammed Reza Pahlavi et de la Shabannou Farah Pahlavi. Souffrante depuis des années d’anorexie, de boulimie et d’insomnie, elle décéda à Paris le 10 juin 2001 de suites d’une overdose de barbituriques. La princesse Leila n’avait que 31 ans.
Son Altesse Impériale le prince héritier Ali Reza Pahlavi, troisième enfant de Sa Majesté Impériale le Shah Mohammed Reza Pahlavi et de la Shabannou Farah Pahlavi. D’une grande sensibilité, il fut très affecté par la perte de son père et de sa sœur et n’ayant pas réussi à surmonter sa dépression, se suicida d’un coup d’arme à feu dans son appartement à Boston le 4 janvier 2011. Le prince héritier Ali Reza avait 44 ans
Des enfilades de pièces. Des escaliers, larges ou étroits. Des couloirs, des halls. Et des portes à n'en plus finir. Un vrai parcours du double battant, la visite du château de Pennautier ! « Nous ne voulons pas que Pennautier soit une maison morte. Alors le seul moyen, pour cela, c'est de l'occuper ! », commente, tout en marchant, la maîtresse des lieux, Miren de Lorgeril. En décidant, il y a dix ans, de restaurer entièrement cette vaste maison de famille et d'y proposer un hébergement haut de gamme, elle et son époux, Nicolas, n'ont pas choisi la facilité. Ni financière,
ni physique ! Car si la demeure Louis XIII, inscrite à l'Inventaire des Monuments historiques, est un enchantement esthétique, par ses parquets, ses moulures et dorures, elle appelle aussi ce constat plus trivial : avoir un château demande d'avoir de bonnes jambes !
2 500 mètres carrés D'autant qu'ici, le château s'apparente davantage à un palais. 2 500 mètres carrés sur trois niveaux, une façade Sud de 100 mètres de long : Pennautier n'usurpe pas son royal surnom de « Versailles du Languedoc ». « Ici, quand on se déplace, il faudrait toujours avoir un plumeau à la main ! », plaisante Miren de Lorgeril. Soucieuse du détail, elle contrôle une salle de bains, réajuste un rideau. Depuis 2008, les propriétaires proposent 20 chambres et salles de bains de standing 4 étoiles, pour des séjours de groupe. Parmi la clientèle : des cadres en séminaire, les artistes du dernier Taratata à la Cité. « Vivre là où nous accueillons nos hôtes, c'est le meilleur moyen de voir quand quelque chose ne va pas ! ».
Et de donner à la rénovation du château, une patine, une âme. Comme avec cette photo de mariage posée sur la cheminée du grand salon d'honneur. Dans les chambres, des meubles de famille, ou chinés aux puces. Tout, pour que Pennautier reste cette « maison » qui, aujourd'hui encore, accueille les cousins pendant l'été. « Toutes les chambres sont différentes et, sauf si un client le demande, elles n'ont pas la télé. Quand il y a un match, tout le monde se rassemble au salon. C'est un anti-Sofitel ! ».
Le lit de Louis XIII Non, point de standards dans le château construit par l'aïeul des Lorgeril, Bernard de Pennautier, en 1620. Deux ans plus le tard, ce trésorier des Etats du Languedoc, accueille le jeune roi Louis XIII, le temps d'une étape. Le souverain offre à son hôte son mobilier de voyage : un lit à baldaquin, Monument historique, et six fauteuils, précieusement conservés par la famille (photo en haut, à droite).
Le fils de Bernard, Pierre-Louis, agrandit la demeure, et fort de ses rencontres à la cour du Roi Soleil, recrute, ni plus, ni moins, l'architecte et le paysagiste de Versailles pour embellir sa demeure dans le Midi. « Pennautier est une maison qui a été conçue pour recevoir, dans un désir de visibilité, explique Miren de Lorgeril. Molière est venu jouer ici à plusieurs reprises. Nous avons retrouvé les cachets que lui avaient payés Pierre-Louis de Pennautier ». La salle de bal atteste aussi de cette vocation pour l'apparat, avec ses 6,5 mètres de hauteur sous plafond.
Quelques dates 1620 Bernard de Rech de Pennautier, trésorier des Etats du Languedoc, fait construire un château Louis XIII. Ce type de demeure d'agrément est précurseur à l'époque.
1622 Le jeune roi Louis XIII fait étape à Pennautier. Il offre à son hôte son mobilier de voyage, aujourd'hui classé, et toujours conservé par la famille.
1670 Le fils de Bernard de Pennautier, Pierre-Louis, demande à l'architecte et au paysagiste du château de Versailles, Le Vau et Le Nôtre, d'intervenir à Pennautier. Le château est agrandi d'une
salle de bal et d'une orangerie.
1835-1850 Son fils, Rodolphe, agrandit encore le château en comblant la cour centrale. Il redessine le parc de 30 hectares à l'anglaise.
1920 Paule de Pennautier, dernière du nom, entreprend une vaste rénovation du château. A l'arrière, l'aile Nord-Est, endommagée par un incendie, est supprimée. Une partie du parc à la française est reconstituée.
2 000 Son petit-fils, Nicolas de Lorgeril, et son épouse Miren, rénovent complètement Pennautier pour lancer une activité d'accueil.
La princesse Léa de Belgique a écrit à l’occasion du premier anniveraire du décès de son époux le prince Alexandre de Belgique le livre “Une année sans Toi“. Le livre est actuellement en vente à la Maison du Tourisme de Waterloo où se tient par ailleurs une exposition temporaire sur le prince Alexandre et à la librairie “L’Espinette centrale” de Rhode-Sainte-Genèse.
En voici un extrait : “Avant toute chose, pardonnez-moi de m’exprimer à la première personne tout au long de ces pages. Au départ, ma motivation était d’écrire un journal qui m’appartienne, depuis ce malheureux jour du 29 novembre 2009. Insensiblement, j’ai ressenti la nécessité de partager mes pensées pour en faire un témoignage. Puisse le récit spontané de cette première année de deuil être utile à ceux qui connaissent l’expérience d’une brusque et douloureuse séparation. Puissent-ils comprendre qu’ils ne sont pas seuls dans leur détresse et y trouver quelque peu d’espoir et de réconfort.”
Au cours de ses pages agrémentées à la fin de quelques photos (dont certaines sont inédites), la princesse Léa expose son affection et son amour pour le prince, la personnalité du prince Alexandre (son érudition, son goût pour la gastronomie et le bon vin, sa passion pour le sport, les promenades dans la forêt de Soignes et les voyages), le choc qu’a été son décès, le vide qu’il a laissé également auprès des enfants de la princesse Léa qui voyaient en Alexandre de Belgique un père et la difficulté de reprendre la vie et les obligations suite à ce drame. Elle évoque aussi avec une connotation plus joyeuse l’arrivée de son deuxième petit-enfant comme un rayon de soleil pour elle.
La princesse Léa conclut cet ouvrage comem suit : “Je réalise que la famille, les amis et les nombreux Belges qui ont témoigné leur soutien et leur sympathie durant cette année m’ont réellement portée. Qu’ils en soient remerciés de tout coeur”.
Encore à l’affiche du théâtre des Mathurins à Paris, la pièce “Henri IV, le bien aimé” tombe à point nommé en cette année du 400ème anniversaire de son assassinat.
Théâtre des Mathurins - 36, Rue des Mathurins - 75008 Paris
La reine Elizabeth et plusieurs membres de la famille royale ont assisté à la messe de Noël à Sandringham.
La reine est arrivée en voiture en compagnie de sa belle-fille la comtesse de Wessex.
Le duc d’Edimbourg, le prince de Galles, la duchesse de Cornouailles, le prince Harry, le prince Andrew, la princesse Béatrice, la princesse Eugénie et le comte de Wessex étaient également présents.
Cette année, la princesse Anne n’assistait pas à l’office religieux. Il semble qu’elle ait fêté Noël auprès de sa fille Zara et de son fiancé Mike Tindall.
De même, le prince William était en service et n’a pu se joindre au reste de la famille.
Catherine Middleton a fêté Noël auprès de sa famille.
Enfin, la duchesse d’York a célébré seule ce jour en raison de l’annulation de son voyage en Norvège à cause des intempéries.
Depuis son bureau au Palais de La Zarzuela et avec à ses côtés une photo prise lors du retour de l’équipe de football espagnola du Mondial que le roi d’Espagne a délivré son message de Noël. Le souverain est notamment revenu sur la crise économique et les difficultés rencontrées par les familles dont l’un des membres a perdu son emploi. Cliquez ici pour lire l’intégralité du message royal.
Cette année, le message de Noël du roi Albert II était prinicalement centré sur les 6 mois de négociations en vue de la formation d’un nouveau gouvernement. Le souverain a rappelé que la Belgique avait toujours était un pays où l’on avait pratiqué l’art du compris malheureusement quelque peu oublié ces derniers temps. Cliquez ici pour lire le discours du roi Albert II.
Comme chaque année, le grand-duc Henri de Luxembourg s’est adressé aux Luxembourgeois à l’occasion de Noël. Le grand-duc est revenu sur le chômage, l’exclusion sociale et les problèmes sociaux et économiques qui ont marqué l’année 2010. Le souverain luxembourgeois a également rappelé son voyage au Portugal (une importante communauté vit au Luxembourg) et l’accueil chaleureux qui lui avait été réservé.
Cliquez ici pour lire le texte et sur ce lien pour visionner la video.
La princesse Margarita de Roumanie sera l’invité ce 25 décembre de l’émission “Ca la carte” sur la chaîne roumaine TVR1 à 18h30. La princesse y présentera son livre de recettes de cuisine et parlera de la convivialité de recevoir des invités par la famille royale de Roumanie.
La Cour monégasque a annonce que le mariage civil du prince Albert de Monaco et de Mademoiselle Charlène Wittstock aurait lieu le 1 juillet 2011 à 17 heures.
Le mariage religieux sera célébré le lendemain par Monseigneur Bardi dans la cour d’honneur du Palais princier.
Il est prévu que 4.000 invités puissent y assister que ce soit dans la cour ou à proximité.
Des écrans géants seront installés afin de suivre la cérémonie.
A Lomedallen, la princesse Astrid de Norvège, soeur du roi Harald, a assisté au concert de Noël donné par les membres de l’association Dissimilis qui vient en aide aux personnes ayant des difficultés
Le roi Abdallah d’Arabie-Saoudite a quitté l’hôpital de New York où il érait soigné pour des problèmes de dos et opéré d’une hernie discale. Le souverain saoudien poursuivra à présent sa convalescence dans sa résidence de New York.
Contôleurs généraux de la maison et chambre aux deniers du roi.
Contrôleur ordinaire de la bouche.
Officiers de la fourrière.
Grand-maître de la garde-robe.
Maître de la garde-robe.
Valets de la garde-robe.
Premier médecin du roi.
Premier chirurgien du roi.
Apothicaire du roi.
Cabinet du roi.
…
Los Angeles Vancouver Montréal New York Buenos Aires Montevideo Sao Paulo Rio de Janeiro Lisbonne Londres Paris Rome Bagdad Moscou Séoul Tokyo Melbourne Sydney
Pépin III le Bref CarlomanIer
Charles Ierdit Charles le Grand CHARLEMAGNE Louis Ier dit le Pieux
ou «le Débonnaire» Lothaire Ier Lothaire II
Charles II dit le Chauve Louis II dit le Bègue Louis III de France
Carloman II de France Charles III dit le Gros Eudes Ier de France Robertin Charles III dit le Simple
Robert le Fort Robert Ier de France
Hugues le Grand Raoul Ier de France
aussi appelé Rodolphe Louis IVdit
d'Outremer Lothaire de France Louis V dit le Fainéant Dernier roi de la lignée
des Carolingiens
Hugues Capet Robert IIle Pieux Hugues IIde France (1007-1025) Roi de France associé 1017
- 1025 Henri Ier de France
Philippe Ier de France Louis VI le Gros Louis VII Le Jeune Philippe II Auguste Louis VIII le Lion Louis IX (Saint Louis) Philippe III de France
dit le Hardi Philippe IVle Bel Louis Xle Hutin Jean Ierle Posthume
Philippe Vle Long Charles IVle Bel Valois Philippe VIle Fortuné Jean IIle Bon Charles Vle Sage Charles VIle Fol ou le Bien-Aimé Charles VIIle Victorieux Louis XI de Valois Charles VIII de Valois Louis XII d'Orléans François Ier d'Angoulème Henri II d'Angoulème François II d'Angoulème Charles IX d'Angoulème Henri III d'Angoulème