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Gazettes & Sites Royaux

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 Ils sont tous là !
Ils nous regardent et nous racontent 14 siècles d'Histoire de France

 

1 décembre 2018 6 01 /12 /décembre /2018 00:02

1er décembre dans les croisades

 

Raymond de Saint-Gilles

 comte de Toulouse (1094-1105) et de Provence
Raymond IV (ou VI) [1] de Toulouse, dit Raymond de Saint-Gilles

 comte de Saint-Gilles (1060-1105), duc de Narbonne, marquis de Gothie, comte de Rouergue[2] (1065-1105), marquis de Provence (v. 1085-1105),  et comte de Tripoli (de 1102 à 1105, sous le nom de Raymond Ier)

 Il est le fils de Pons, comte de Toulouse, et d'Almodis de la Marche.

 Il fait savoir au pape Urbain II qu'il participera à la croisade.

 

1145
 Le pape Eugène III fulmine la bulle « Quantum predecessores », octroyant l'indulgence de croisade à ceux qui iraient secourir l'Église d'Orient et déclare ainsi une nouvelle croisade.

1167
 En Italie du Nord, constitution de la Ligue lombarde contre l'empereur et les décisions prises lors de la diète de Roncaglia.

1420
 Henri V d'Angleterre entre triomphalement dans Paris, accueilli par l'Université et les États Généraux qui ont ratifié le traité de Troyes.

1640
 Restauration de l'Indépendance portugaise après soixante années de domination espagnole : Jean, duc de Bragance devient Jean IV.

1813
 Les Alliés décident d'envahir la France en raison des réponses jugées dilatoires de Napoléon aux conditions de paix.

1825
 En Russie, après avoir abdiqué le 13 septembre, ouvrant ainsi une période d'incertitude successorale, Alexandre Ier meurt subitement à Taganrog. Nicolas Ier ne monte sur le trône que le 24 décembre, la veille de la révolte décabriste.


1870
 Bataille de Loigny lors de la Guerre franco-allemande de 1870. 1916
 Assassinat du père Charles de Foucauld, explorateur et missionnaire français.

1919
 Nancy Astor devient la première femme acceptant de siéger au Parlement britannique (mais pas la première à y avoir été élue, cette primeur revenant à la comtesse Constance Markievicz, élue le 14 décembre 1918, mais ayant refusé de siéger)

1948
 Abdallah de Transjordanie est proclamé roi de Palestine par la conférence arabe de Jéricho.

 

1979

 baptême du prince Louis-Philippe d’Orléans

1er décembre 1979, en la chapelle royale de Dreux, baptême du prince Louis Philippe, deuxième fils du prince Thibaut et de la princesse Marion, comte et comtesse de la Marche.

La marraine est la comtesse de Paris dont Louis-Philippe est le 21ème petit-enfant et le parrain le comte Charles de Bourbon-Busset.  

1989
 Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS, rend visite au pape Jean-Paul II au Vatican

2009
La Baronne Istvan Szentkereszty de Zagon

est très heureuse de vous faire part des fiançailles de sa fille

la Baronne Zita Szentkereszty de Zagon

avec Mister Hugh Chathield Knetzger

2009
La Baronne Istvan Szentkereszty de Zagon

est très heureuse de vous faire part des fiançailles de son fils

le Baron Paul André Szentkereszty de Zagon

avec Miss Beata Jarecka

2009
Madame Albert d'Andrimont,

Monsieur Hervé Stinglhamber

sont très heureux de vous faire part des fiançailles de leur petite-fille et fille

Sophie

avec Monsieur Satya Staes-Polet

 

* * *

Madame Monique Maertens de Noordhout,

Monsieur Jean-François Staes-Polet

sont très heureux de vous faire part des fiançailles de leur fils

Satya

avec Mademoiselle Sophie Stinglhamber

 

2011

Sixte-Henri de Bourbon de Parme
1ère Fête du Homard Thermidor
 

 

 

Le Prince Sixte-Henri de Bourbon, détenteur des droits moraux sur le chef d'œuvre de L

 

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19 mai 2018 6 19 /05 /mai /2018 23:00

chevalier de Barante
(Claude Ignace Marien Brugière de Barante)

Trésorier de France au bureau des finances de Riom

 

Préfet de l'Aude (1801-1803)

(Nommé le 11 ventôse an VIII)

(Installé le 19 germinal en VIII)


Préfet du Léman



Parents

 

Issu d'une famille noble janséniste, se destinait à une carrière judiciaire. La Révolution bouscula ses projets.

 

S'il accueillit favorablement les idées de 1789, il en blâma rapidement les excès.

 

Son ancien rang le rendait suspect.

 

Emprisonné durant cinq mois, il fut libéré au lendemain de la victoire de Fleurus et se retira de la vie publique, attendant selon ses écrits " la venue d'un sage législateur "

 

En effet, les troubles révolutionnaires apaisés, il accéda, grâce à l'appui du troisième consul Lebrun, à une charge publique à laquelle il n'était guère préparé : il devint le premier préfet de l'Aude avec pour recommandation de restaurer l'ordre, tout en respectant les traditions du pays

 

Dès son arrivée à Carcassonne, il s'attacha, d'une part, à reconstituer l'administration départementale fortement amoindrie par les démissions et révocations successives, d'autre part, à faire l'inventaire des richesses et des potentiels des cantons qui avaient vécu diverses délimitations territoriales.

 

Il s'engagea alors dans un travail que son successeur mena à son terme.

 

On lui doit deux ouvrages sur le département, les Observations sur le département de l'Aude et un Essai sur le département.

 

Son départ est consécutif à un affrontement avec les élus au sujet de l'installation de l'évêque concordataire.

 

L'opinion publique carcassonnaise, qui semble avoir été favorable au clergé constitutionnel, obtint son déplacement.

 

Promu à Genève, Barante va tomber peu à peu en disgrâce, le pouvoir lui reprochant ses relations amicales avec Necker et Madame de Staël.


(Les Audois - Dictionnaire biographique sous la direction de Rémy Cazals et Daniel Fabre & Archives de l'Aude)

 

 


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17 mai 2018 4 17 /05 /mai /2018 23:00
MARCOU Théophile

Théophile Marcou
(1813-1893)
Maire de
Carcassonne

(1870-1874 et 1878-1879)
Député de l'Aude
(1876-1885)
Sénateur de l'Aude
(1885-1896)
Théophile Marcou 2.jpg
Théophile Marcou 1.jpg
Sa tombe n° 514, est située allée 16.
Theophile Marcou 6.jpg
Un boulevard porte son nom depuis 1898.

Ancien sénateur de l'Aude

  • IIIème République

    Ancien sénateur de la
    IIIe République

Election

  • Elu le 25 janvier 1885
  • Fin de mandat le 7 juillet 1893 ( Décédé )

Extraits de la table nominative :

1885 , 1886 , 1887 , 1888 , 1889 , 1890 , 1891 , 1892 , 1893

Biographie

avant 1889  (Extrait du «Robert et Cougny»)
1889-1940  (Extrait du «Jean Jolly»)
avant 1889

MARCOU (JACQUES HILAIRE THÉOPHILE), représentant en 1873, député de 1876 à 1885, membre du Sénat, né à Carcassonue (Aude) le 18 mai 1813, étudia le droit, se fit recevoir avocat et s'inscrivit au barreau de sa ville natale. Zélé partisan des doctrines démocratiques, il se lia d'amitié avec son compatriote Armand Barbès, fit une guerre des plus vives au gouvernement de Louis-Philippe et à la politique présidentielle de L.-N. Bonaparte, et, poursuivi lors du coup d'Etat du 2 décembre, fut condamné par contumace à la déportation. M. Marcou s'était réfugié en Espagne, où il séjourna jusqu'en 1867. A son retour, il prit la direction d'un journal républicain, la Fraternité de Carcassonne, se fit inscrire au barreau de cette ville, devint plus tard bâtonnier, fut mêlé activement aux dernières luttes de l'opposition démocratique, fut nommé maire de Carcassonne le 22 août 1870, y proclama la République le 4 septembre, et fut confirmé dans ses fonctions de maire. Candidat républicain radical, le 8 février 1871, dans le département de l'Aude, il obtint, sans être élu, 11,886 voix sur 54,560 votants; il n'entra à l'Assemblée nationale que le 15 décembre 1873, comme représentant de l'Aude, élu par 36,285 voix (62,327 votants, 88,362 inscrits), en remplacement de M. Brousses, décédé. Sa candidature, comme celle de M. Bonnel, élu le même jour que lui dans le même département, avait été appuyée par toutes les nuances du parti républicain. M. Marcou prit place à l'Union républicaine, dans les rangs des radicaux les plus avancés, et se vit bientôt très vivement attaqué par la droite, et en particulier par M. de Gavardie, sur ses antécédents politiques. On accusait le nouvel élu d'avoir favorisé le mouvement communaliste à Carcassonne, au 18 mars. M. Marcou répondit: « Je suis depuis fort longtemps entouré de l'estime publique dans mon pays; et lorsque le mouvement du 18 mars éclata à Paris, mes amis et la masse populaire s'adressèrent à moi pour me demander s'il y avait lieu de suivre l'exemple de Paris. Je fus vivement pressé, sollicité par quelques personnes, de proclamer la Commune. Cela m'était facile, j'étais maire de la ville de Carcassonne depuis le 22 août 1870, c'est-à-dire avant le 4 septembre, et par parenthèse j'ajouterai que je le suis encore à l'heure qu'il est. La Commune ne fut pas proclamée à Carcassonne. Et c'est précisément parce que je contins certains éléments dans Carcassonne, que la Commune, cédant à la pression de certaines individualités impuissantes dans le chef-lieu du département, c'est précisément grâce à mon intervention et à mon influence que ces éléments, forcés de se déplacer, se transportèrent à Narbonne et que la Commune y fut proclamée. » Il parla, la même année (1874), contre la loi municipale, vota contre le gouvernement du Seize Mai, se prononça pour l'amendement Wallon, mais s'abstint, avec Louis Blanc, Edgar Quinet et M. Peyrat, lors du vote sur l'ensemble des lois constitutionnelles. Réélu, le 20 février 1876, député de l'arrondissement de Carcassonne, par 13,503 voix (20,956 votants, 28,786 Inscrits), contre 6,815 à M. Laperrine, monarchiste, M. Marcou fit partie du groupe de l'extrême gauche, soutint et vota l'amnistie plénière, et réclama (juillet 1876) des poursuites contre « les auteurs et complices du coup d'Etat du 2 décembre 1851 ». Il fut des 363. Le 14 octobre 1877, il obtint sa réélection par 12,720 voix (23,887 votants, 29,792 inscrits), contre 10,960 à M. Airolles. Il se déclara contre la politique opportuniste, et s'associa aux premières manifestations du petit groupe « intransigeant » de la Chambre des députés. En 1878, il fut avec Louis Blanc un des organisateurs du centenaire de Jean-Jacques Rousseau, célébré avec une grande solennité le 14 juillet, au cirque Myers, à Paris, place du Château d'eau. Il vota contre le ministère Dufaure, et déposa, le 28 janvier 1879, une proposition d'amnistie pour les crimes et délits de droit commun présentant une connexité avec les crimes et délits politiques. Il vota pour la séparation de l'Eglise et de l'Etat, et pour la liberté absolue de réunion. Sur le projet de loi sur la presse, M. Marcou tenta vainement, par un amendement qui fut rejeté et que M. Clemenceau combattit au nom de l'extrême gauche, d'y faire introduire des dispositions rigoureuses visant le délit « d'outrage à la République » (janvier 1881). Réintégré dans ses fonctions de maire de Carcassonne, dont il avait été destitué après le 24 mai 1873, M. Marcou, qui faisait partie du conseil général de l'Aude, fut réélu député, le 21 août 1881, par 13,497 .voix (14,695 votants, 30,398 inscrits). Il déposa (1882) une proposition de loi tendant à exiger des garanties de capacité des directeurs et des professeurs dans les établissements libres de l'enseignement secondaire, et une autre ayant pour objet d'exiger des candidats aux baccalauréats des certificats d'études universitaires. Chargé du rapport (janvier 1883) du projet de loi modifié par le Sénat, sur la situation des membres des familles ayant régné en France, il donna sa démission de rapporteur, lorsqu'il apprit que le gouvernement se ralliait au projet Fabre ; ce dernier lui succéda comme rapporteur. M. Marcou, qui, durant sa carrière politique, a toujours déclaré que le sénat était inutile et devait disparaître, parla encore dans la discussion du projet de loi sur les récidivistes, insista vainement (1884) pour l'adoption de sa proposition relative aux certificats d'études universitaires, se rapprocha, par plusieurs de ses votes, de la majorité opportuniste, et fut élu, le 6 Janvier 1885, sénateur de l'Aude, par 439 voix (760 votants.) Il siégea dans le petit groupe de 1'extrême-gauche sénatoriale, et vota avec lui. En juin 1888, il interpella le garde des sceaux, M. Ferrouillat, sur la disgrâce infligée au substitut de Carcassonne qui avait fait arrêter M. Jourdanne, maire socialiste de cette ville, afin de lui faire purger une condamnation à l'emprisonnement pour fraudes électorales. Le Sénat vota un ordre du jour « regrettant la mesure frappant un magistrat couvert par les ordres réitérés de ses chefs ». L'affaire n'eut pas d'autres suites. En dernier lieu, M. Marcou s'est prononcé pour le rétablissement du scrutin d'arrondissement (13 février 1889), s'est abstenu sur le projet de loi Lisbonne restrictif de la liberté de presse, et sur la procédure à suivre devant le Sénat contre le général Boulanger. Président du conseil général de l'Aude.

Extrait du « Dictionnaire des Parlementaires français », Robert et Cougny (1889)

Afficher le texte
1889-1940

MARCOU (JACQUES, BLAISE, Théophile), né le 18 mai 1813 à Carcassonne (Aude), mort le 7 juillet 1893 à Paris (6e).

Député de l'Aude de 1876 à 1885.

Sénateur de l'Aude de 1885 à 1893.

(Voir première partie de la biographie dans ROBERT ET COUGNY, Dictionnaire des Parlementaires, t. IV, p. 261.)

Au cours des dernières années pendant lesquelles il exerça son mandat de sénateur

 

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11 mai 2018 5 11 /05 /mai /2018 23:00

 

Raymond Devos interprète "La campagne de la propreté"


  • Trente six chandelles
  • Production
  • producteur ou co-producteur
    Radiodiffusion Télévision Algérienne

 

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6 mai 2018 7 06 /05 /mai /2018 23:00
Image:Louis prince de Condé.jpg
chef des Calvinistes
  • Né le 7 mai 1530 à Vendôme au château de, Loir-et-Cher
  • Tué le 13 mars 1569 à Jarnac à l'âge de 38 ans

 


  

 

  Parents

 

Remarié le 8 novembre 1565, Vendôme, avec Françoise d'Orléans Longueville 1549-1601 (Parents : François d'Orléans Longueville 1513-1548 &  Jacqueline de Rohan 1520-1587

 

dont

Relation avec Isabeau de La Tour d'Auvergne

 

dont

  • ?
  • Né en mai 1564 à Dijon
  • Mort jeune

  Frères et soeurs




 

Iconographie
Dépêche secrète écrite sur doublure de pourpoint, adressée par Louis de Bourbon, prince de Condé, chef militaire des réformés, à Montgomery et Bricquemault, assiégés dans Rouen par l'armée catholique. Les dépêches ont la forme et l'échancrure des pourpoints sur lesquelles elles ont été cousues. Elles étaient écrites en plusieurs exemplaires, afin que les nouvelles passent même si un messager était intercepté. Orléans avait été prise par les protestants, qui avaient fait de la ville leur quartier général.
Fait à Orléans.
Archim

Le Protestantisme et la noblesse
"... la date de 1555 coïncide avec le début d'un effort spécifique de propagande genevoise en direction des nobles français: il est évident que c'est un moyen sûr de donner à la cause calviniste la légitimité et la respectabiltié qui lui manquent encore dans le royaume. L'occasion en est peut-être fournie par la visite du prince Louis de Condé et de sa suite en octobre 1555 à Genève, où il écoute un sermon. Son frère aîné Antoine de Bourbon reçoit une première lettre de Calvin en décembre 1557; la sympathie de ce dernier pour la Réforme n'ira jamais jusqu'à l'adhésion ferme, mais sa femme Jeanne d'Albret [mère de Henri IV] franchit le pas spectaculairement à Noël 1560; quant à Condé, il s'achemine peu à peu vers une conversion qui semble sincère." (Jouanna, 2001, 346)

Surviennent alors la rupture entre les différentes branches de la famille royale, les menées rebelles et les complots. Condé fut arrêté le 31 octobre 1560 par ordre de François II et son procès fut fait. Il risquait d'être exécuté. La mort du jeune roi le sauva, Catherine de Médicis s'efforçant de contrebalancer les clans princiers et nobiliaires les uns par les autres. D'où le document suivant:

Apppointement fait entre messire Loys de Bourbon, Prince de Condé, et monsieur le Duc de Guise. A Lyon, [imprimé] par Jean Saugrain. 1561
Aujourd'huy, vingt-quatrième jour d'aoust, l'an mil cinq cens soixante-un, le Roy estant en son chasteau de Saint Germain en Laye, désirant la pacification du différent qui estoit entre monseigneur le Prince de Condé et monseigneur le Duc de Guise, a pour cest effet assisté, et avec le bon et prudent conseil de la Royne sa mère, fait assembler : le Roy de Navarre ; messeigneurs les Cardinaux de Bourbon, de Lorraine, d Armaignac, de Chastillon, et de Guise ; les Duc de Montpensier et Prince la Roche-suryon ; les Ducz de Nivernois, de Nemours, de Longueville, de Montmorency Connestable, et d'Estampes ; le Chancelier, les seigneurs Saint André et de Brissac Marechaux, le seigneur de Chastillon Admiral de France ; et beaucoup d'autres seigneurs de son conseil privé et chevaliers de son ordre.

En la présence desquelz, après avoir fait appeler et venir en ladite compagnie mesditz seigneurs les Prince de Condé et Duc de Guise, adressant sa parolle à ladite dame sa mère, a dit : « Madame, j'ay fait assembler cette compagnie pour l'accord du différent qui est entre monsieur le Prince de Condé et monsieur de Guise, qui s'y accommoderont (comme je pense) pour le bien de mon service et de ce royaume. Et afin que monsieur le Prince de Condé demeure esclairci de l'opinion qu'il a eue, vous, mon cousin de Guise, luy direz ce qui en est. »

A quoy mondit seigneur le Duc de Guise a fait responce : « Sire, puisqu'il vous plaît que j'esclaircisse monsieur le Prince de l'opinion qu'il a, je luy en diray ce qui en est. » Et parlant à mondit seigneur le Prince de Condé, a dit : « Monsieur, je n'ay, ny ne voudrois avoir mys en avant chose qui fust contre vostre honneur, et n'ay esté autheur, motif, ni instigateur de vostre prison. »
Sur quoy mondit seigneur le Prince de Condé a dit : « Monsieur, je tiens pour meschant et malheureux celuy et ceux qui en ont esté cause.» Et là-dessus mondit seigneur de Guise a respondu : « Je le croy ainsi, cela ne me touche en riens. »

Ce fait, le Roy les a priez de s'embrasser, et comme ilz estoyent proches parents, de demourer bons amys. Ce qu'ilz ont fait et promis. Dont et desquelles choses sadite Majesté a commandé à nous, ses Secrétaires d'estatz, faire ce présent acte.
Signé:
Bourdin ; de Laubespine [secrétaires d'État]

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6 mai 2018 7 06 /05 /mai /2018 23:00
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duc d'Aumale
Membre de l'Institut de France

(Académie des Beaux-Arts, membre libre, 14 février 1880)

Membre de l'Institut de France

(Académie des Sciences Morales et Politiques, 30 mai 1889)

Membre de l'Académie française

(n° 430, 30 décembre 1871)
(Henri Eugène Philippe Louis d'Orléans)

L'image “http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/aa/Henri-d-aumale.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
Parents
Frères et soeurs:



 

Né à Paris, le 16 janvier 1822. Quatrième fils de Louis-Philippe, général de division, gouverneur général de l'Algérie en 1847, prit la Smala d'Abd-el-Kader, en 1843, fut exilé au 24 février 1848. Il fut élu député en 1871, mais ne siégea pas avant que le gouvernement de Thiers fût régulièrement installé ; il prit deux fois la parole à l'Assemblée de Versailles ; réintégré dans son grade de division, il présida en octobre 1873 le conseil de guerre qui jugea Bazaine ; il demanda l'autorisation de visiter les champs de bataille autour de Metz, au gouvernement allemand, qui la lui refusa. Il fut nommé au commandement du 7e Corps d'armée à Besançon au mois de septembre 1873. Le duc d'Aumale avait acquis un certain prestige, et, après l'échec des négociations en vue d'une restauration royaliste, ses amis eurent un moment l'idée de le faire stathouder ; en 1879, nommé inspecteur général des corps d'armée, il resta en disponibilité, puis les agissements du parti royaliste ayant inquiété le gouvernement, le duc d'Aumale fut, avec les autres princes de sa famille qui appartenaient à l'armée, mis en non activité par retrait d'emploi en 1883, et rayé des cadres de l'armée en 1886. Le duc d'Aumale écrivit au Président de la République, Jules Grévy, une lettre de protestation contre cette nouvelle mesure, dont la conséquence fut l'expulsion du prince. Il rendit alors publiques les dispositions qu'il avait prises pour faire donation à l'Institut du château, du domaine et des collections qu'il possédait à Chantilly.
Le duc d'Aumale avait été élu le 30 décembre 1871 membre de l'Académie française par 28 voix sur 29 votants en remplacement du comte Charles de Montalembert, et reçu par son ancien précepteur, Cuvillier-Fleury, le 3 avril 1873. À l'occasion de sa réception, l'Académie avait fait revivre une vieille question relativement à l'appellation dont on devrait se servir à l'égard du récipiendaire que les usages du monde devaient faire appeler Monseigneur et que le principe égalitaire de l'Académie devait faire appeler Monsieur ; on rappelait que Séguier et Colbert n'avaient pas voulu du premier titre, que le comte de Clermont y avait renoncé, mais on rappelait aussi que le cardinal Dubois et le cardinal Maury l'avaient exigé. Le duc d'Aumale trancha le différend en faisant savoir à la compagnie qu'il désirait se conformer à ses usages et être appelé Monsieur.Il fut reçu à l'Académie des Beaux-Arts le 14 février 1880 et à l'Académie des Sciences morales et politiques le 30 mars 1889, nommé directeur de l'académie de Besançon, docteur honoraire de l'Université d'Oxford et membre de l'Académie royale de Bruxelles ; il était Grand-croix de la Légion d'honneur depuis 1842.
Après sa donation royale à l'Institut, il fut, de la part de ce corps, l'objet de manifestations reconnaissantes : une médaille gravée par Chapelain lui fut solennellement remise à Bruxelles le 28 décembre 1887 par une délégation de l'Institut, à raison d'un délégué pour chacune des cinq académies ; l'Institut adressa au gouvernement une demande collective pour le rappel du prince exilé, en 1888 ; le décret de bannissement fut rapporté le 7 juin 1889.
Le duc d'Aumale fut un bibliophile et un collectionneur éclairé ; il écrivit divers ouvrages entre autres Les Zouaves et Les Chasseurs à pied qui furent publiés sous un pseudonyme en 1855 et en 1859 dans la Revue des deux mondes. Son uvre la plus importante est l'Histoire des Princes de Condé, en cinq volumes.Il reçut Edmond Rousse.Mort le 7 mai 1897.
(http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=430)

Le fils de Louis Joseph de Bourbon-Condé, Louis-Henri-Joseph, duc de Bourbon (1756-1830), qui est resté sans héritier depuis l'exécution de son fils, le duc d'Enghien, dans les fossés de Vincennes en 1804, légue le château de Chantilly en 1830 à son petit-neveu et filleul, Henri d'Orléans, duc d'Aumale (1822-1897), cinquième fils du roi Louis-Philippe, alors âgé de huit ans.

Sous la monarchie de Juillet (1830-1848), il fait décorer ses appartements privés par Eugène Lami, élever par l'architecte Duban une galerie de bois pour les desservir, et projette de reconstruire le grand château. Mais il doit quitter la France après la révolution de 1848.

Exilé de 1848 à 1870 à Twickenham, près de Londres, il réunit les collections qui se trouvent maintenant à Chantilly. C'est pour les y présenter qu'à son retour, après 1871, veuf et ayant perdu ses deux fils respectivement à l'âge de dix-huit et vingt et un ans, il fait reconstruire le grand château par l'architecte Honoré Daumet, de 1875 à 1885.

Le duc d'Aumale a légué Chantilly en 1884 à l'Institut de France, dont il est membre depuis 1871. L'Institut ayant la charge après sa mort d'ouvrir le musée Condé au public, de préserver la disposition des lieux et de ne pas prêter les collections.

http://www.institut-de-france.fr/patrimoine/chantilly/chanthist.htm

 

Grand'croix de la Légion d'honneur.

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6 mai 2018 7 06 /05 /mai /2018 23:00
Isabelle d'Orléans

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Isabelle Marie Laure Mercédès Ferdinande d'Orléans
« duchesse de Guise »

née le 7 mai 1878, au château d’Eu, en Normandie

décédée le 21 janvier 1961 à Larache, au Maroc.

Pour les orléanistes, elle est "reine de France" de 1926 à sa mort.

Parents
Mariée le 30 octobre 1899 à Twickenham, avec

 

  • dont Image Hosted by ImageShack.usIsabelle (Isabelle Françoise Hélène Marie d'Orléans)

Née le 29 novembre 1900 à Paris 8ème

Décédée le 12 février 1983 à Louveciennes, Yvelines à l'âge de 82 ans

 

 

 

 

 

 


  • Filleul:Image Hosted by ImageShack.us  Henri d'Orléans, comte de Parisle 14 juin 1933 au Manoir d'Anjou, Woluwe-Saint-Pierre (Belgique)


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6 mai 2018 7 06 /05 /mai /2018 23:00
(Jacques Louis Robert Marie de Bourbon-Busset)
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 13ème comte de Busset (1954)

Membre de l'Académie française (n° 664, 4 juin 1981)
Commandeur de la Légion d'honneur
Grand officier de l'ordre national du Mérite
Croix de guerre avec palme
Commandeur des Palmes académiques
Commandeur des Arts et des Lettres
Titulaire de plusieurs décorations étrangères
Parents

 

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    Guillemette de Colbert (Guillemette de Colbert-Chabanais)(Adolphine Henriette Anne Guillemette de Colbert)



Il est marié avec x x

dont

 

·  Catherine Tasca rend hommage à Jacques de Bourbon-Busset :
Paris, 8 mai (AFP) - Mme Catherine Tasca, ministre de la Culture et de la Communication, rend hommage, mardi soir, à l'académicien Jacques de Bourbon-Busset, décédé lundi, qui appartenait "à la grande lignée des diplomates écrivains"

 
"Co-représentant de notre littérature, Jacques de Bourbon-Busset (...) avait dirigé l'action culturelle française à l'étranger avant de se consacrer pleinement au domaine de la littérature, où ses pairs l'élirent à l'Académie française dans le fauteuil de Maurice Genevoix", écrit Mme Tasca dans un communiqué.


"Il laisse une oeuvre abondante, à l'écriture noble, où la marque du stoïcien pessimiste est tempérée par un humour teinté de poésie", ajoute la ministre.


"Il part en nous laissant le goût du service de l'Etat et en ayant laissé sa marque dans la vie littéraire du XXe siècle", conclut-elle.

 

Né le 27 avril 1912, à Paris. Son père, François de Bourbon, comte de Busset, fut chargé, en novembre 1918, de conduire auprès du maréchal Foch les plénipotentiaires allemands demandant l'armistice.


Jacques de Bourbon Busset descend, par son père, de Saint-Louis, de Jean sans Peur, duc de Bourgogne et de César Borgia.

 

Par sa mère, Guillemette de Colbert, il descend du mathématicien Laplace.


Etudes au lycée Henri IV.

 

Elève, en khâgne, d'Alain.

 

Condisciple de Roger Caillois, Maurice Schumann, Julien Gracq.

 

Entre à l'école normale supérieure de la rue d'Ulm, en 1932.

 

En juillet 1939, est reçu au Grand Concours du quai d'Orsay, est nommé attaché d'ambassade à la direction d'Europe.

 

Mobilisé comme lieutenant d'infanterie, le 26 août 1939.


Participe aux combats sur l'Aisne.

 

Fait prisonnier en juin 1940, fait deux tentatives d'évasion, est repris et emmené en captivité en Allemagne.

 

Le 21 août 1944, le général de Gaulle le nomme président-directeur général de la Croix-Rouge française.


Se marie, le 18 septembre 1944, avec Laurence Ballande, fille de l'enseigne de vaisseau Charles Ballande qui, en 1907, commanda le débarquement à Casablanca.

 

Docteur en droit et ès sciences économiques, peintre de grand talent, elle inspire toute l'oeuvre de l'écrivain qui appelle son journal Le Livre de Laurence.


En juillet 1948, il est nommé directeur adjoint du cabinet du ministre (Robert Schuman), puis directeur du cabinet.

 

Participe, à ce titre, à l'élaboration du plan Schuman.


En novembre 1952, est nommé directeur des relations culturelles avec l'étranger. Ministre plénipotentiaire en 1954.

 

Vice-président du Centre européen de recherches nucléaires à Genève qu'il a contribué à fonder.


En décembre 1956, demande sa mise en disponibilité pour pouvoir écrire en toute indépendance.

 

En 1959, est élu maire de Ballancourt-sur-Essonne, petite ville ouvrière où il exploite avec sa femme le domaine agricole du Saussay.

 

En 1961, est élu président national du Secours catholique.

 

Participe aux travaux du Centre d'études prospectives fondé par Gaston Berger.


En 1969, ayant donné à ses quatre enfants sa propriété du Saussay, s'installe en Haute-Provence, à la "Campagne du Lion"

 
Elu à l'Académie française, le 4 juin 1981, au fauteuil de Maurice Genevoix (34e fauteuil)

 

Prédécesseur : Maurice GENEVOIX
Successeur : François CHENG



Œuvres
Discours et travaux académiques


 

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6 mai 2018 7 06 /05 /mai /2018 23:00
(Francesco Saverio (Xavier) Carlo Maria Anna Giuseppe de Bourbon de Parme)
(22 novembre 1974 - 7 mai 1977)
Il fut également prétendant au trône d'Espagne
Parents
    • 1928-
    • 1930-

De cette union naissent :

Sur son acte de naissance à Paris 16e, elle est dite "Son Altesse Royale, la princesse Françoise, (...) fille de Son Altesse Royale le Prince François Xavier de Bourbon de Parme, sp, né à Camaiore, province de Turin (Italie) (...) et de Marie Madeleine Yvonne de Bourbon.

 

Le père signe "Xavier de Bourbon Parme" en français

(Ch. Vollet 30.08.06)


Officier de la Légion d'honneur.

 

 

 

Notes

Signe sur l'acte de naissance de sa fille aînée, Françoise et de son fils Hugues à Paris 16e, en français : "Prince Xavier de Bourbon Parme"

 

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3 mai 2018 4 03 /05 /mai /2018 23:00

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4 mai 1677 - 1 février 1749

Françoise-Marie de Bourbon


Mademoiselle de Blois

fille légitimée de Louis XIV et de Madame de Montespan

Née le 4 mai 1677 au Château de Maintenon
Décédée le 1er février 1749 à Paris à l'âge de 71 ans

Parents
Louis XIV le Grand de Bourbon  roi de France 1638-1715
Françoise-Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, marquise de Montespan 1641-1707

Mariée le 18 février 1692 à Versailles avec Philippe II, duc d'Orléans 1674-1723
dont
? 1693-1694
Marie 1695-1719
Louise-Adélaïde 1698-1743
Charlotte-Aglaé 1700-1761
Louis 1703-1752
Louise-Élisabeth 1709-1742
Philippine Élisabeth 1714-1734
Louise-Diane 1716-1736

Témoin au mariage de Louis Joseph de Laurens d'Ampus et de Constance Eléonore d'Estrées
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Forum


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capetiens
(Pierre-Yves Guilain)
Cercle de réflexion royaliste

Heraldique-Noblesse
Joinville et ses princes
Amis et passionnés du Père-Lachaise
Pere-Lachaise
lescimetières
Généalogie, cimetières, patrimoine parisien
graveyart: sur les cimetières parisiens (en hollandais)

Histoires des souverains d'Europe et images de leurs tombeaux 

kaisergruft

(site sur les sépultures des Habsbourg notamment sur la crypte des Capucins)

MAISON CIVILE DU ROI. (1)

d'après le Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France
Nicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842)- Paris, 1816



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Introduction

  Accueil



Rois de France


Génobaud
roi Franc
(légendaire)
à la fin du IVe siècle
354-419
Sunnon
roi Franc des Ampsivares 
et des Chattes (légendaire)
à la fin du IVe siècle
388-xxx
Marcomir
roi Franc des Ampsivares 
et des Chattes (légendaire)
à la fin du IVe siècle
Pharamond
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Duc des Francs Saliens 

(légendaire)
ancêtre mythique des Mérovingiens
Clodion le Chevelu
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Duc des Francs saliens
428 - 448

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Duc des Francs saliens 
(incertain)
448 - 457
Childéric Ier
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Duc et Roi des Francs saliens
457 - 481
Clodomir
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Roi d'Orléans
511524
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Roi de Metz
(futur Austrasie)
511534
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Roi de Neustrie
511561
Roi des Francs
558561
Roi d'Austrasie
53454
Théodebald Ier
(Thibaut)
Roi d'Austrasie
548555
561567
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Roi de Neustrie 
Roi de Bourgogne
561592
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Roi d'Austrasie
561575
Roi d'Austrasie
Roi d'Austrasie
595 - 612
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Roi de Bourgogne
595613
Roi d'Austrasie
61261
sous la régence de Brunehilde
Roi de Bourgogne
Roi d'Austrasie
613
Roi de Neustrie
584629
Roi de Paris
595
629
Roi des Francs
613629
Roi des Francs (sans l'Aquitaine)
629639
Roi des Francs
632639
Caribert II
 Roi d'Aquitaine
629632
Roi de Neustrie, de Bourgogne
639657
Roi d'Austrasie
656657
Roi d'Austrasie
639656
Childebert III l'Adopté
Roi d'Austrasie
657662
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Roi de Neustrie, de Bourgogne
65767






Roi d'Austrasie
662675
Occupe la Neustrie
673675







Roi de Neustrie
673691
Roi des Francs 

(en fait uniquement de Neustrie)
L'Austrasie étant aux mains
de Pépin de Herstal
679
691

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Roi de Neustrie, Bourgogne et Austrasie
675 - 676
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Roi d'Austrasie
676679
Clovis IV








Roi des Francs
(en fait uniquement de Neustrie)
691695









Roi des Francs
(en fait uniquement de Neustrie)
695711
Dagobert III









Roi des Francs de 711 à 715
Chilpéric II









roi des Francs de Neustrie et des Burgondes
de 715 à 719
puis de tous les Francs de 719 à 721.
C
lotaire IV


T
hierry IV









Childéric III
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roi des Francs, de Neustrie
de Bourgogne et d'Austrasie
de 743 à 751

************

 

 


Pépin III le Bref
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Carloman Ier
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C
harles Ier
dit Charles le Grand
CHARLEMAGNE

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Louis Ier dit le Pieux
ou «le Débonnaire»
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Lothaire Ier
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Lothaire II

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C
harles II dit le Chauve
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Louis II dit le Bègue
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Louis III de France
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C
arloman II de France
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Charles III dit le Gros
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Eudes Ier de France
Robertin
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Charles III dit le Simple
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Robert le Fort
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Robert Ier de France

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Hugues le Grand
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Raoul Ier de France
aussi appelé Rodolphe

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Louis IV dit d'Outremer
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Lothaire de France
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Louis V dit le Fainéant
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Dernier roi de la lignée
des Carolingiens
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H
ugues Capet
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Robert II le Pieux
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Hugues II de France
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(1007-1025)
Roi de France associé
1017 - 1025
Henri Ier de France
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Philippe Ier de France
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Louis VI le Gros
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Louis VII Le Jeune
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Philippe II Auguste
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Louis VIII le Lion
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Louis IX (Saint Louis)
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Philippe III de France
dit le Hardi
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Philippe IV le Bel
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Louis X le Hutin
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Jean Ier le Posthume

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Philippe V
le Long
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Charles IV le Bel
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Valois
Philippe VI le Fortuné
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Jean II le Bon
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Charles V le Sage
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Charles VI le Fol ou le Bien-Aimé
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Charles VII le Victorieux
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Louis XI de Valois
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Charles VIII de Valois
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Louis XII d'Orléans
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François Ier d'Angoulème
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Henri II d'Angoulème
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François II d'Angoulème
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Charles IX d'Angoulème
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Henri III d'Angoulème
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