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2 novembre 2014 7 02 /11 /novembre /2014 00:02

COMMEMORAISON DES FIDELES DEFUNTS

http://a31.idata.over-blog.com/242x221/0/01/30/68/visites-pastorales/rosans-toussaint-2006/B-n-diction-des-tombes_2.jpg
Quand se termine notre vie sur cette terre, dans cette « Vallée de Larmes (cf. le chant du « Salve Regina »), trois possibilités se présentent pour celui qui quitte cette terre, selon ce que sa vie y a été.
Le Ciel, le Purgatoire, l’Enfer.

 

Le Ciel et l’Enfer sont éternels.

Et c’est le Jugement Dernier :

 


Jugement_dernier.jpg Le Jugement dernier, Michel Ange, 16° siècle

Chapelle Sixtine

 

Le Purgatoire n’est pas éternel, et les défunts qui doivent y purifier leur vie terrestre, réparer les dégâts causés par leurs péchés durant leur vie, y passent le « temps » nécessaire à cette préparation à la Vie Eternelle Bienheureuse.

 

C’est un temps de pénitence, de purification, expression de la miséricorde infinie de Dieu qui, permet ainsi, à l’homme pécheur, de pouvoir entrer dans la Maison du Père, dans la Vie en plénitude. 

 

Il serait erroné toutefois de penser que c’est un moindre mal, et que l’on s’en contenterait bien, puisque l’on sait que l’on est sauvé, que ce n’est qu’un mauvais moment à passer. 

 

Il serait non moins erroné, ce serait même très grave, de croire que le Purgatoire n’existe pas, que c’est une invention de l’Eglise, que le Nouveau testament, et notamment le Christ Jésus n’en parle pas. 

 

Je renvoie, à ce sujet, à l’étude que j’ai publiée dans « Hermas » sur l’existence du purgatoire (et de l’enfer) : cf. Hermas : L'enfer, le purgatoire (11/12/2008 publié dans : Les Catéchèses d'Hermas)

 

Le Saint Curé d’Ars, saint Jean-Marie Vianney, dont le 150° anniversaire de la mort a donné l’occasion providentielle à notre Saint-Père le Pape Benoît XVI de proclamer une « Année Sacerdotale » pour la sanctification des prêtres, déclare notamment dans un sermon sur cette Commémoraison de tous les Fidèles Défunts :  

 

 « Je ne veux pas m'arrêter à vous prouver l'existence du purgatoire ; ce serait perdre mon temps. Nul d'entre vous n'a le moindre doute là-dessus. L'Église à qui Jésus-Christ a promis l'assistance du Saint-Esprit, et qui, par conséquent, ne peut ni se tromper ni nous tromper, nous l'enseigne d'une manière assez claire et assez évidente »

 

Sans-titre1-copie-8.jpg

 

 Votre navigateur ne gère peut-être pas l'affichage de cette image.
  Si le Saint Curé d’Ars revenait à notre époque, il découvrirait avec stupéfaction que nombre de fidèles et de prêtres ne croient pas au Purgatoire, ou n’en ont pas peur.
Il découvrirait que, à l’occasion des Messes d’enterrement, de nombreux prêtres, dans leur sermon, parlent « du frère, ou de la sœur, défunt, qui est entré dans la Gloire de Dieu » !
Qui le leur a dit ?
Ils se fondent sur la Miséricorde Infinie de Dieu qui pardonne tout. 

 

C’est vrai, la Miséricorde de Dieu est infinie. Mais la malice de l’homme, si elle n’est pas « infinie » est pourtant tellement immense que cette pauvre « cendre orgueilleuse » peut se permettre de dire NON à Dieu. Et donc, au dernier moment, la possibilité de dire un « non » définitif, qui amène cette pauvre âme à se précipiter elle-même dans le gouffre sans fond de l’Enfer.

 

Ou à a supplier Dieu de l’envoyer se purifier au Purgatoire, pour pouvoir se présenter devant Lui, revêtu de la Robe Nuptiale étincelante de lumière et de blancheur


C’est pourquoi, je vous propose, en cette Année Sacerdotale, deux Sermons du Saint Curé d’Ars sur cette Commémoraison des Fidèles Défunts, pour qu’elle serve aux prêtres à enseigner la vérité révélée par le Christ dans son Eglise, et pour permettre à chaque fidèle de se préparer, dès cette terre, sans tarder, sans attendre le dernier moment, à la rencontre avec le Dieu Trois Fois Saint, Père, Saint-Esprit et Fils (à suivre)

Mgr J. MASSON
Commémoration de tous les fidèles défunts

La solennité de la Toussaint célèbre « la sainteté de tous les élus », connus et inconnus, qui sont parvenus jusqu’à la Jérusalem nouvelle. Vivant maintenant dans l’intimité de Dieu, ils « intercèdent pour nous »
Aujourd’hui, l’Église se souvient plus particulièrement des fidèles défunts qu’elle évoque d’ailleurs chaque jour, à la fin de la prière eucharistique : « souviens-toi de tes serviteurs qui nous ont précédés, marqués du signe de la foi qu’ils entrent dans la joie, la paix et la lumière » (PE I) ; « reçois-les dans ta lumière auprès de toi » (PE II) ; « pour nos frères défunts, reçois-les dans ton Royaume » (PE III) ; « Souviens-toi aussi de nos frères qui sont morts dans la paix du Christ » (PE IV).

L’Église « a, depuis les premiers temps de la religion chrétienne, entouré d’une grande piété la mémoire des défunts » (Lumen Gentium 50)
Ce faisant, elle s’inscrit dans la continuité des pratiques païennes qui consistaient à rendre hommage aux défunts un jour donné, mais elle les renouvelle profondément.
Car elle vit cette commémoration dans la foi en la résurrection du Christ, source de l’espérance en notre propre résurrection.
« La mort a été engloutie » dans la victoire pascale du Christ. « Et si la loi de la mort nous afflige encore, la promesse de l’immortalité nous apporte la consolation. »

Dans le Christ, nous sommes tous, vivants et défunts, « unis les uns aux autres par le mystère de son amour », et nous nous aidons à y grandir mutuellement.

Clic-fleurs, livraison de fleurs en France

Le 2 novembre est le 306ejour de l'année (307e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien.


Il reste 59 jours avant la fin de l'année.


C'était le jour de la mâcre, 12e jour du mois de Brumaire dans le calendrier républicain français.

 

Dicton du jour 

« Novembre,Toussaint le commande, saint-André le voit descendre. »  

Célébrations 

couleurliturgiqueViolet.gifchasuble-violette3.giflundi , 31ème Semaine du Temps Ordinaire Commémoration de tous les fidèles défunts

Liturgie des heures :
Christianisme

Jour des morts ou Fête des défunts pour l'Église latine.
Saints chrétiens

Martyrologe pour le deuxième jour de novembre

 

Commémoration de tous les fidèles défunts.

 

Cette célébration liturgique doit son origine à saint Odilon, abbé de

 

Cluny qui, le premier, prescrivit cette coutume pour son Ordre.


Fête des défunts Le lendemain de la Toussaint
Commemorazione_di_tutti_i_fedeli_defunti

"Jour où l'Eglise intercède pour ses membres endormis dans la mort et qui souffrent dans une ultime purification avant d'entrer dans la Gloire" (Martyrologe de Solesmes)
 
Saint Odilon, abbé de Cluny, établit, dans le millier de monastères qui dépendaient de la grande abbaye bourguignonne, un office liturgique à l'intention de tous les frères défunts.
L'extension de l'influence clunysienne étendit cette coutume à l'Eglise universelle en même temps que se précisait la doctrine concernant les âmes du Purgatoire.

Lecture

Il est descendu aux enfers : cette confession du Samedi saint signifie que le Christ a franchi les portes de la solitude, qu’il est descendu jusqu’aux profondeurs jamais atteintes de notre condition humaine de solitude. Ce qui veut dire aussi que même dans la nuit la plus noire où ne pénètre pas la moindre parole, il est une voix qui nous appelle, quelqu’un qui nous prend par la main pour nous conduire. La solitude insurmontable de l’homme a été dépassée du moment que Lui dedans s’est plongé. L’enfer a été vaincu du fait que l’amour y est entré et qu’il a habité toute terre désolée. Dans sa profondeur l’homme ne vit pas seulement de pain, mais dans l’authenticité de son être sa vie c’est d’être aimé et de pouvoir aimer. A partir du moment où dans la mort se donne la présence de l’amour, l’amour alors pénètre la vie : « Pour tes fidèles, Seigneur, la vie n’est pas enlevée, mais transformée » chante l’Église dans la liturgie des funérailles
Joseph Ratzinger, Sur la Semaine sainte

Prière

Ecoute nos prières avec bonté, Seigneur :
fais grandir notre foi
en ton Fils qui est ressuscité des morts,
pour que soit plus vive aussi
notre espérance en la résurrection
de tous nos frères défunts.
1102.jpg

Voir aussi:
Le Sanctuaire de Notre-Dame de Montligeon', un lieu où l’on peut confier les défunts à la prière
http://www.montligeon.org/
http://www.magnificat.ca/cal/fran/11-02.htm#defunts
http://missel.free.fr/Sanctoral/11/02.php
http://fr.wikipedia.org/wiki/Comm%C3%A9moration_des_fid%C3%A8les_d%C3%A9funts
http://frederic.simon1.free.fr/jour_des_morts.html



Saint Agape (+ v. 315)
Il fut brûlé vif à Sébaste en Arménie. Ils étaient dix soldats chrétiens de l'armée de l'empereur Licinius qui furent accusés de détourner le peuple contre l'empereur en refusant de lui offrir l'encens. Avec lui, furent martyrisés saint Carterios, saint Styriaque, saint Eudoxe et cinq autres de leurs compagnons.



Saint Akindynos (4ème s.)
st-a-09.jpg

martyr avec ses compagnons, les saints Anempodiste, Aphtonios, Elpidéphore et Pégase. Dignitaires à la cour royale, ils reçurent la couronne du martyre durant la cruelle persécution du roi des Perses, Sapor II.

Voir aussi:
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsnovembre/nov02.html



Saint Ambroise Abbé d'Agaune (+ 582)
dont le monastère de Saint Maurice en Valais conserve la mémoire d'autant plus qu'il en fut le Père abbé au 6ème siècle.



Saintes Baye et Maure (10ème s.)
recluses en Ecosse. Sainte Baye était le maître spirituel de sainte Maure qui devint à son tour abbesse.



Saint Domnin Premier évêque de Grenoble (+ 386)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Grenoble
Ami des pauvres et libérateur des prisonniers, premier évêque de Grenoble, il prit part au concile d'Aquilée en 381 où l'on condamna les hérésies des tenants de l'arianisme.
"Saint Domnin, 1er évêque de Grenoble, ami de saint Ambroise, l'évêque de Milan, saint Domnin participe en 381 au concile d'Aquilée (sur la côte adriatique en Italie) qui traita de l'hérésie arienne."
(source: diocèse de Grenoble - Vienne)
http://www.diocese-grenoble-vienne.fr/cathedrale_histoire.html



Sainte Eustochie de Tarse (4ème s.)
Après avoir enduré de cruels tourments sous l'empereur Julien l'Apostat, elle rendit grâce à Dieu par sa virginité conservée jusqu'au martyre.



Saint Georges de Vienne (+ 699)
Evêque de Vienne en France, il fut canonisé en 1251. Certains auteurs datent sa mort du milieu du 8ème siècle.http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_archev%C3%AAques_de_Vienne_(Is%C3%A8re)



Saint Grégoire de Parumala évêque en Inde (+ 1902)
Canonisé par l'Église orthodoxe malankaraise en 1947.
"Né en 1848, destiné au service du ministère dès ses dix ans, il reçu la consécration épiscopale à peine âgé de vingt-huit ans après avoir été appelé à quitter le monastère où il s’était retiré.
Remarquable théologien, il se révéla être un pasteur d’une grande charité et d’une grande écoute. Il organisa avec amour la vie du diocèse confié à ses soins. A sa mort, sa popularité était si grande, qu’en 1947 le synode de l’Église orthodoxe malankare décida sa canonisation, ce qui est un évènement rarissime dans cette tradition religieuse."
(source: témoins de la Foi - diocèse de Marseille)
http://catholique-marseille.cef.fr/Novembre

"Un Indien, Grégoire, évêque de Parumala (au sud de Kottayam), construisit un séminaire et l'église des Saints Pierre et Paul où reposent aujourd'hui ses reliques très vénérées par les fidèles tout au long de l'année, en particulier pour le grand pèlerinage annuel le 2 novembre. A cette occasion les pèlerins se rendent par milliers à Parumala, souvent à pied, marchant parfois plusieurs jours pour atteindre les lieux."
(source: l'Eglise syrienne ortodoxe en Inde - MEP)
http://eglasie.mepasie.org/l-eglise-syrienne-orthodoxe-en-inde.fr-fr.94.9334.eda_article.htm

Autre biographie:
L’Église orthodoxe malankar fait aujourd’hui mémoire de Grégoire Geevarghese, évêque de Parumala, au Kérala en Inde.
Grégoire naquit en 1848 à Mulamthuruthy, en Inde, d’une famille qui n’avait cessé de donner des prêtres à l’Église orthodoxe. Destiné au service du ministère dès ses dix ans, en 1866 Grégoire reçut l’ordination presbytérale des mains de l’évêque mar Coorilose d’Antioche qu’il suivit dans ses visites de toutes les églises malankar.
Comme il connaissait parfaitement la langue syriaque, il fut appelé à quitter le monastère de Vettical Dayara où il s’était retiré, pour recevoir la consécration épiscopale, à peine âgé de vingt-huit ans.
Riche d’une remarquable formation théologique et en même temps fortement axé sur la prière, Grégoire mar Parumala se révéla être avant tout un pasteur par la qualité de son écoute et sa charité. Pendant ses vingt-six années de service épiscopal, il organisa avec un amour plein de sollicitude la vie du diocèse confié à ses soins.
A sa mort, survenue le 2 novembre 1902, sa popularité était si grande qu’en 1947 le synode de l’Église orthodoxe malankar décida sa canonisation, événement rarissime dans la tradition religieuse de cette région.



Saint Hermes (4ème s.)
et les saints martyrs d'Afrique, Papias, Publius et Victor. Les légendes ont fait disparaître les faits de leur arrestation et de leur mort.



Saint Hernin (+ 540)
qui, lors de la grande migration des Bretons vers l'Armorique, s'en vint vivre près de Carhaix où une paroisse du diocèse de Quimper porte son nom : Saint-Hernin-29270. C'est d'ailleurs à peu près tout ce que l'on sait de lui.http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Hernin



Bienheureux Jean Bodey (+ 1583)
Né à Welles dans le Somerset, il fit ses études à Oxford, étudia le droit à Douai, où se trouvait une école pour assurer la formation des prêtres catholiques. Il retourna en Angleterre et fut condamné à être pendu à Andover par fidélité envers l'Eglise romaine et pour avoir refusé de reconnaître la reine Elisabeth I comme chef spirituel de l'Eglise.



Saint Jorand (+ 1340)
moine bénédictin et ermite à Kergrist puis à Pédernec dans les Côtes d'Armor. Il n'est pas à confondre avec saint Jorand, également saint breton, fêté le 28 mai et qui est honoré à Plouec.



Saint Juste de Trieste (+ 303)
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Saint Juste sur le clocher de l'église éponyme de Trieste

Il connut le martyre sous l'empereur Dioclétien. Il périt noyé et reste très honoré dans sa ville natale, Trieste.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Juste_de_Trieste



Saint Malachie d'Armagh Archevêque en Irlande (+ 1148)
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Fragment d'os de Saint Malachie - église de Ville-sous-la-Ferté près Clairvaux

Il est surtout connu en raison des prophéties sur les papes dont il aurait été l'auteur et qui ne sont, en fait, que la fabrication d'un faussaire qui utilisa son patronyme.
Le véritable Malachie est tout autre. Il est né à Armagh en Irlande vers 1094. Il entra dans la vie monastique et restaura l'abbaye de Bangor que les Vikings avaient détruite. Choisi comme évêque d'Armagh, il eut beaucoup à souffrir des seigneurs qui tentèrent de l'assassiner. Ami de saint Bernard de Clairvaux, il se rendit à Rome en 1139 pour demander au pape de lui ôter sa charge et d'aller vivre à Clairvaux.
La réponse fut directe : nommé légat pontifical pour l'Irlande, il devenait ainsi chef de l'Eglise de ce pays et c'est là qu'il donna toute sa mesure en en faisant l'un des plus religieux de la chrétienté.
En 1148, il reprend le chemin de Rome, tombe malade à Clairvaux. Saint Bernard lui-même l'accompagnera jusqu'à son dernier soupir.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Malachie_d%27Armagh



Saint Marcien (4ème s.)
Ermite en Syrie. On parle de lui comme d'un grand ascète qui n'accordait à son propre corps que ce qui était nécessaire pour rester en vie. Il rejoignait quelques autres ermites comme lui pour chanter les psaumes, lire les saintes Ecritures et prier. Grande fut sa réputation. " Il s'endormit en paix pour rejoindre les choeurs angéliques. " (Synaxaire de l'Eglise orthodoxe)

Autre biographie:
St-Marcien Issu d’une riche famille de la ville de Cyr, en Syrie, Marcien est promis à une brillante carrière à la cour de l’empereur. Pourtant, il décide de tout abandonner pour se retirer dans la solitude du désert de Chalcis, non loin de la ville d’Antioche. Là, il se bâtir une cellule si petite qu’il ne peut ni s’y tenir debout ni s’y étendre de tout son long. Malgré son désir d’isolement, il est bientôt rejoint par deux disciples : Agapet et Eusèbe, qui sont bientôt suivi de plusieurs autres disciples Un monastère est fondé à leur attention et Eusèbe devient leur abbé. La réputation de Marcien attire de nombreux visiteurs et lorsqu’il avance en âge il sent que ses reliques seront très convoitées, plusieurs personnes ayant déjà commencé à édifier chapelles et basiliques à cette attention. Marcien fait alors jurer à Eusèbe de l’enterrer dans un lieu secret. Tout se passe comme prévu et il faut attendre plus de cinquante ans avant que les précieuses reliques ne soient enfin trouvées. Elles sont alors transférées et font l’objet d’un pèlerinage (+ 387)



Bienheureuse Marguerite de Lorraine Petite-fille du bon roi René et aïeule de Henri IV (+ 1521)
Duchesse d'Alençon et petite-fille du bon roi René, elle fut l'aïeule du roi Henri IV. Après avoir élevé ses enfants et s'être dévouée auprès des pauvres, elle entra chez les clarisses d'Argentan (diocèse de Sees).

Autre biographie:
Ste-Marguerite de Lorraine Fille du comte de Vaudémont et de Yolande d’Anjou, elle est la petite fille du Duc d’Anjou et de Lorraine. Elle passe les dix premières années de sa vie chez son grand-père, en Avignon. Après le décès de son grand-père, elle retourne en Lorraine et épouse bientôt René, le duc d’Alençon. Il s’agit d’un mariage heureux et trois enfants naissent de cette union. Malheureusement, René décède alors que Marguerite n’a pas encore atteint l’âge de 30 ans. Elle se charge seule de l’éducation de ses enfants jusqu’à leur majorité et s’occupe de leur trouver d’excellents mariage (son fils épouse une sœur de François Ier, une de ses filles épouse Charles de Bourbon et la seconde le marquis de Montferrat, un puissant prince italien). Enfin libre de suivre son inclinaison personnelle, elle distribue ses biens et se retire dans son château des environs de Sées (Orne), où elle vit comme une religieuse sous l’autorité des Clarisses du couvent d’Alençon. Mais en 1519, elle décide finalement de prendre le voile et un an plus tard elle prononce ses voeux (1463-1521)

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite_de_Lorraine-Vaud%C3%A9mont



Bienheureux Martin de Saint-Nicolas martyrs (+ 1632)
et son compagnon de martyr, le bienheureux Melchior de Saint Augustin.
Ils étaient tous deux espagnols. Ils entrèrent chez les Augustins Récollets, l'un en 1618 et le second en 1617. Envoyé aux Philippines puis au Japon, ils furent arrêtés et subirent, ensemble, le martyre à Nagasaki.
Béatifiés le 23 avril 1989.
Santi e Beati del Pontificato di Giovanni Paolo II (Italien)
http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20020527_saints-jp-ii_it.html



Bienheureux Pie Campidelli (+ 1889)
Religieux passionniste, il était né en Italie à Trebbio di Poggio. A 14 ans, il entra dans cet Ordre fondé par saint Paul de la Croix au 18ème siècle. Il mourut de tuberculose à 21 ans, offrant ses souffrances et sa vie en union avec les souffrances du Christ.



Saint Sevold (8ème s.)
Dans le Ponthieu en Basse-Picardie. Ses reliques autrefois conservées à Abbeville témoignent d'un culte aujourd'hui oublié.



Saint Théodote de Laodicée (+ 334)
Les uns en font un hérétique et l'un des plus zélés d'entre les évêques partisans de l'arianisme. D'autres un homme de Dieu, puissant en parole et orné de toutes les vertus. Les anciens Bollandistes pencheraient plutôt pour ce deuxième point de vue.



Bienheureux Thomas de Walden (+ 1430)
Religieux carme anglais, il combattit avec fermeté l'hérésie populaire de Wiclef, le "lollardisme". Il participa au concile de Constance qui voulait ramener l'unité dans l'Eglise. Le roi Henri V d'Angleterre l'avait choisi comme confesseur et meurt dans ses bras en 1421. Thomas de Walden mourut lui-même à Rouen.



Saint Victorin Evêque de Pettau, en Pannonie (3ème s.)
Né en Slovénie, à Ptuy ou Pettau. C'est le plus ancien exégète de l'Eglise d'Occident. Fidèle au texte grec, il commenta aussi bien l'Ancien Testament que les Evangiles ou l'Apocalypse. Les premiers Pères de l'Eglise le tenaient en haute estime. Certains hagiographes français voudraient en faire un évêque de Poitiers en transposant le nom latin "Pettaviensis" en " Pictaviensis. " La vérité historique ne permet pas de les suivre dans cette interprétation.

Autre biographie:
St-Victorin Originaire de Grèce, il est choisi comme évêque de la ville de Pettau, en Pannonie supérieure (sur le territoire de l’ex-Yougoslavie). Il est surtout connu pour ses écrits théologiques (dont un commentaire sur l’Apocalypse), qui sont mentionnés dans l’œuvre de Saint-Jérôme. La plupart des auteurs pensent que Victorin serait mort en martyr sous le règne de Dioclétien, mais on ne peut plus s’appuyer sur aucune source fiable pour confirmer cette hypothèse (+ vers 304)

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Victorin_de_Poetovio
http://www.ccel.org/ccel/schaff/anf07.vi.html
http://www.documentacatholicaomnia.eu/30_10_0240-0300-_Victorinus.html



Saint Vulgan (7ème s.)
Patron de Lens dans le Nord de la France. Il aurait traversé la Manche puis évangélisé les environs de Boulogne et de Thérouanne. Il aurait été ermite près de l'abbaye de Saint-Vaast et son corps aurait été transféré, après sa mort, à Lens-en-Artois. Mais d'autres sources hagiographiques lui font quitter Cantorbery où l'on voulait qu'il soit évêque et, guidé par un ange, il rejoint la France pour rejoindre le ciel.



Sainte Wénefride Vierge dans le pays de Galles (7ème s.)
ou Winifrède.Repoussant la brutalité d'un certain Caradoc qui la trouva seule à la maison, elle réussit à s'enfuir jusqu'à l'église où ses parents étaient alors en prière. Mais elle fut rattrapée sur le seuil même de l'église où elle fut tuée par son poursuivant. La légende veut qu'une fontaine jaillit à cet endroit. Elle existe encore et la ville en prit le nom : Holy-Well, la fontaine de la sainte. Si les détails de la légende ne sont pas historiques, l'existence de sainte Wenefride est certaine.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte_Winefride



Les Églises font mémoire…

Anglicans : Commémoration des fidèles défunts (Jour de toutes les âmes)

Catholiques d’occident : Commémoration des fidèles défunts (calendrier romain et ambrosien)

Coptes et Ethiopiens (23 babah/teqemt) : Denys (IIIe-IVe s.), évêque de Corinthe, martyr (Église copte)

Luthériens : Johann Albrecht Bengel, théologien dans le Württemberg

Maronites : Commémoration des fidèles défunts ; Acindin et ses compagnons de Perse (IVe s.), martyrs

Orthodoxes et gréco-catholiques : Acindin, Pégase, Aphtone, Elpidephore et Anempodiste, martyrs

Syro-occidentaux : Grégoire mar Parumala, évêque (Église malankar)

Vieux Catholiques : Toutes les âmes



JOHANN ALBRECHT BENGEL (1687-1752)
Johann_Albrecht_Bengel.jpg

En 1752 s’éteint Johann Albrecht Bengel, professeur d’Écritures saintes et théologien luthérien ; il était né à Winnenden, dans le Württemberg (Allemagne), soixante-cinq ans auparavant.

Au cours de ses années d’études à Tübingen, Johann Albrecht avait adhéré au mouvement piétiste.
Il en partagea pleinement l’exigence de rendre à la Réforme un véritable enracinement spirituel.

Appelé plus tard à la formation des futurs pasteurs de son Église, il s’appliqua avant toute chose à leur donner le goût de la vie intérieure et de l’étude des Écritures.
Pour favoriser le recueillement et la méditation de ses élèves, il créa une vraie communauté de recherche et de prière.

Pleinement fidèle à l’Église et aux autorités en son sein, Bengel fut l’auteur d’une théologie sous le signe du primat de l’eschatologie, évitant ainsi les dérives individualistes où tomba pour partie le mouvement piétiste et plus encore l’excessive spéculation de la théologie occidentale de cette époque, comme pour rappeler l’adage d’Evagre selon lequel est théologien celui-là seul qui est vraiment capable de prier.
Bengel publia, au cours des dernières années de sa vie, une édition critique du Nouveau Testament, augmentée d’un commentaire qui influencera profondément la postérité, y compris John Wesley et les méthodistes anglais.
Il fut nommé prélat d’Alpirsbach et mourut peu d’années après, dans la paix qu’il avait cultivée tout au long de sa vie.

Lecture

Cet heureux mélange est particulièrement frappant chez le grand savant Johann Albrecht Bengel (1687-1751) qui, par modestie, se borna à enseigner dans un séminaire du Württemberg. Offrant, comme l’écrit Albert Réville, « l’alliance rare d’une érudition plus que remarquable et d’une soumission presque enfantine aux doctrines traditionnelles », « il fut critique en vertu même de sa foi », et donna ainsi une production significative de l’exégèse allemande, si différente de l’anglaise et de la française. La bienfaisance de l’Écriture étant une preuve suffisante de son origine divine, il ne faisait pas difficulté à avancer, dans son Apparatus criticus (1734), son édition révisée du Nouveau Testament grec et son Gnômon Novi Testamenti, les règles les plus hardies sur la valeur comparée des variantes. Son exégèse d’avant-garde libérait l’interprétation des textes bibliques des restrictions traditionnelles et confessionnelles, mais dans un tel contexte de piété qu’un Wesley lui-même l’acceptait.
Emile G. Léonard, Histoire générale du protestantisme

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Albrecht_Bengel

 

 

En Haute Pannonie, au IIIe siècle, saint Victorin.

 

Au témoignage de saint Jérôme, il travailla au service de la

 

Parole de Dieu, en adaptant en latin des commentaires

 

scripturaires écrits en grec, et serait un des plus anciens

 

exégètes de l'Église d'Occident.

 

En Syrie, au IVe siècle, saint Marcien, ermite.

 

Dans sa sagesse, il montrait qu'un jeûne prolongé risque

 

d'engourdir l'esprit, et que le repas qui suit accentue ce

 

malaise; il préconisait de manger peu, mais régulièrement.

 

A Sébaste en Arménie, au IVe siècle encore, le martyre de

 

saint Cartérios et de ses compagnons, soldats.

 

Ils furent accusés d'avoir détourné le peuple de la

 

soumission à l'empereur, et périrent brûlés vifs.

 

Au VIe siècle, en Bretagne, saint Maoc ou Mieuc, disciple de

 

saint Samson de Dol.

 

Dans le Ponthieu, au VIIIe siècle, saint Sevold (Seuvold) dont

 

les reliques furent déposées à Abbeville, en l'église Saint-

 

Vulfran.

 

L'an 1521, le trépas de la bienheureuse Marguerite de

 

Lorraine, duchesse d'Alençon, petite-fille du roi René et

 

ailleule de Henri IV.

 

Après avoir élevé chrétiennement ses enfants et s'être

 

dévouée auprès des pauvres, elle entra chez les clarisses

 

d'Argentan.

 

 

Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et

 

bienheureux.


Saints catholiques   et orthodoxes   du jour
Saints et bienheureux catholiques   du jour
Saints orthodoxes   du jour
  • Cyprien († vers 1550), Cyprien de Storojevsk, moine et thaumaturge.

Événements 

  •   998 : Saint Odilon, abbé de Cluny célèbre pour la première fois une commémoration de tous les morts de son ordre. Cet usage s'est ensuite étendu à toute l'Église catholique.
2 novembre dans les croisades

 

1239 

les Croisés quittent Acre pour défendre Ascalon et rebâtir ses fortifications.

 

1439 

les États généraux, réunis depuis octobre, à Orléans, décident l'entretien d'une armée permanente pour pouvoir bouter définitivement les Anglais hors de France.

Cette décision déclenche une révolte des nobles : la Praguerie (1440)

Pour financer l'effort de guerre les États généraux instituent un nouvel impôt, qui sera prélevé dans chaque famille du royaume : la « taille »

Les délégués accordent à Charles VII la permission de relever la taille tous les ans.

Ce nouvel impôt annuel ne sera aboli qu'à la Révolution.

 

1789 

Nationalisation des biens du clergé en France.


ottoelisabeth1.jpg

En 1893, un scandale retentissant secoua la famille impériale autrichienne.

De quoi s’agissait-il ?

Tout simplement d’une histoire d’amour entre deux jeunes gens dont la différence de rang, rendait un mariage impossible.

Le jeune homme s’appelle Otto von Seefried auf Buttenheim. Agé de 23 ans, il est officier dans l’armée de Bavière.

L’objet de sa flamme, est Elisabeth de Bavière, fille aînée de Gisèle, archiduchesse d’Autriche et de Léopold de Bavière.

Par sa mère, Elisabeth est la petite-fille de Sissi et de François Joseph.

Celle dont la naissance a fait dire à l’impératrice Sissi que l’enfant est d’une “rare laideur”, est devenue une ravissante jeune fille en âge de convoler.

 

elisabethfamille.jpg

Sa soeur Augusta, cadette d’un an, (ici debout sur la photo avec Elisabeth et leur mère Gisèle) devait se marier en novembre 1893 avec l’archiduc Joseph d’Autriche et la famille espérait célébrer un double mariage à cette occasion.


Mais hélas, en cette fin 1893, la nouvelle s’abat sur la famille en faisant l’effet d’une bombe : la princesse Elisabeth de Bavière a disparu !

Elle savait que son père n’autoriserait pas son mariage avec Otto qui n’était “que” baron.

Déterminé à se marier envers et contre tout, le couple s’enfuit en Italie où le mariage civil -Otto étant protestant- fut célébré dans le plus grand secret le 2 novembre 1893 à Milan.

Marie Valérie, tante d’Elisabeth, écrivit dans son journal à la date du 5 décembre 1893 : “Les journaux annoncent le mariage d’Elisabeth à Gênes avec Otto von Seefried.

Cette nouvelle paraît si incroyable que nous pensons qu’elle est fausse.” Quant à l’empereur François Joseph, il n’était pas d’accord avec le comportement intransigeant du grand-père paternel de la mariée, le prince régent Léopold de Bavière. Il écrivit : “Je suis heureux que ce jeune couple soit maintenant légalement marié.

Que Dieu fasse que leur bonheur dure”

Pour Léopold de Bavière, outre la différence de rang, le baron von Seefried était avant tout un soldat qui partant sans permission, s’était rendu coupable d’indiscipline.

L’empereur fut touché du fait qu’Otto accepte que leurs futurs enfants soient élevés dans la foi catholique.

Sans doute aussi fut-il ému par la très belle lettre qu’Otto von Seefried envoya le 5 décembre 1893 depuis l’Italie :

c’est après une longue réflexion et le coeur lourd que nous nous sommes décidés. Pour nous, notre amour ne pouvait nous conduire qu’à deux choses : soit tout risquer, soit mourir ensemble.”

Bien que n’étant plus “que” baronne, Elisabeth resta proche de son grand-père et la famille venait souvent rendre visite à François-Joseph.

Celui-ci fit entrer Otto dans l’armée autrichienne et offrit au jeune couple une résidence à Vienne.

En 1904, l’empereur éleva Otto au rang de comte. Elisabeth et Otto vécurent au château de Stiebar dont ce dernier avait hérité.

En janvier 1895 naquit le premier enfant du couple.

A cette occasion, l’empereur écrivit à son épouse l’impératrice Sissi : “Réjouis-toi, nous sommes devenus arrière-grand-parents ! Qui aurait dit que notre premier arrière-petit-enfant aurait été une baronne von Seefried ? Ainsi va la vie

 

Lorsque l’enfant mourut quelques jours plus tard, il y eut de mauvaises langues pour dite que ce mariage était maudit. Heureusement, il n’en fut rien.

Le couple eut 4 autres enfants : Elisabeth (1897-1975), Auguste (1899-1978), Marie Valérie (1901-1972) et Franz Josef (1905-1969)

Otto et Elisabeth vécurent heureux et unis jusqu’à la mort du comte en 1951.  

Elisabeth de Bavière décéda en 1957 au château de Gresten. 

 

1930 

Haïlé Sélassié est sacré Roi des Rois - Négus ou empereur d'Abyssinie.

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1930 – 2 novembre – 2010 

80e anniversaire du couronnement de Ras Tafari Mekonnen sous le nom de «  Hailé Sélassié Ier (pouvoir de la Trinité), Roi des Rois d'Éthiopie, Seigneur des Seigneurs, Lion conquérant de la tribu de Juda, Lumière du Monde, élu de Dieu » ( Gärmawi Qädamawi Haylä Sellassé, negusä nägäst zä'Ityopya, moa anbessa zä'emnägädä yehuda, berhanä aläm, seyumä Egziabhér en amharique)

Sa femme Menen Asfaw est couronnée impératrice avec lui.

 

1964 

Le roi Saoud est déposé en Arabie saoudite: Fayçal monte sur le trône.

 

1973

Barbara de Liechtenstein, princesse de Yougoslavie en 1985

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La princesse Barbara de Liechtenstein, épouse du prince Alexandre de Yougoslavie reçoit « Point de Vue » à son domicile parisien en 1985.

La princesse Barbara est la fille du prince Johannes de Liechtenstein et de la comtesse Karoline von Ledebur-Wicheln. En 1973, elle a épousé à Paris le prince Alexandre de Yougoslavie, fils du prince régent Paul de Yougoslavie et de la princesse Olga de Grèce et de Danemark, marié en premières noces à la princesse Maria Pia de Savoie.

Le couple a un fils le prince Dushan.

Dans cet entretien, la princesse explique son intérêt pour les expositions et les antiquités, le prince Alexandre évoque son pays la Yougoslavie qu’il a quitté à l’âge de 16 ans et dont il garde des souvenirs très précis.

Le couple princier est proche du roi et de la reine d’Espagne, du roi et de la reine de Grèce, du prince Rainier de Monaco et du duc de Kent dont la mère la princesse Marina était la soeur de la princesse Olga, mère du prince Alexandre.


(Point de Vue n°1924 du 14 juin 1985)

alexander.4.karageorgevitch Alexander Karageorgevitch prince de Yougoslavie (Aleksandar Karageorgevitch) Sur l'état-civil il est nommé : "Son Altesse Royale Alexandre Karageorge, Prince de Yougoslavie" Administrateur de société

 
Parents

divorcés en décembre 1967

 

 

2003 

L'église épiscopalienne consacre Gene Robinson, premier évêque ouvertement homosexuel de l'histoire aux États-Unis, provoquant l'indignation d'une partie de l'église anglicane.

 

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Roi d'Austrasie
548555
561567
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Roi d'Austrasie
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Roi d'Austrasie
Roi d'Austrasie
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Roi de Bourgogne
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Roi d'Austrasie
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Roi d'Austrasie
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629
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Roi des Francs
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Roi d'Austrasie
656657
Roi d'Austrasie
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Roi d'Austrasie
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Roi de Neustrie, de Bourgogne
65767






Roi d'Austrasie
662675
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673675







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Roi des Francs 

(en fait uniquement de Neustrie)
L'Austrasie étant aux mains
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691

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Roi des Francs
(en fait uniquement de Neustrie)
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Roi des Francs
(en fait uniquement de Neustrie)
695711
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Roi des Francs de 711 à 715
Chilpéric II









roi des Francs de Neustrie et des Burgondes
de 715 à 719
puis de tous les Francs de 719 à 721.
C
lotaire IV


T
hierry IV









Childéric III
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roi des Francs, de Neustrie
de Bourgogne et d'Austrasie
de 743 à 751

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