Le 6 septembre est le 249e jour de l'année
(250e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien.
Il reste 116 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le jour de la hotte, 20e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français.
Signe du zodiaque : 14e jour du signe astrologique de la Vierge.
À la Saint-Onésiphore, la sève s'endort.
Célébrations
- Bulgarie : Ден на Съединението, (Den na Saedinenieto ou Fête de l'unification), commémore l'unification de la Roumélie orientale avec la Principauté de Bulgarie en 1885.
- Canada :
- Nouveau-Brunswick, Québec, Ontario, Nouvelle-Écosse : Stillbirth Remembrance Day (Journée du souvenir des enfants mort-nés), depuis 2006.
- États-Unis : Stillbirth Remembrance Day (Journée du souvenir des enfants mort-nés), en souvenir de Breanna Lynn Bartlett-Stewart.
- Pakistan : Jour des forces armées, depuis 1965.
- Swaziland : Fête de l'indépendance, vis à vis du Royaume-Uni en 1968.
- Christianisme :
- Miracle de l'Archange Michel à Colosses
- Chagnoald († 635) , Chagnoald de Laon ou Agnoald et vulgairement Chagnon évêque.
- Donatien et Rogatien de Nantes († ?), martyrs.
- Eudoxe († 308), Eudoxe de Mélitène, martyr avec ses compagnons.
- Ève († ?), Ève de Dreux, martyre
- Félix et Augebert († ?), martyrs près de Langres.
- Imbert (VIIe siècle), abbé.
- Romulus († vers 100), Romulus de Mélitène, martyr.
Bonne fête aux :
Et aussi aux :
- Bee
- Ève et ses dérivés : Aveline, Euveline, Éva, Évadné, Évaline, Ève-Anne , Ève-Laure , Ève-Line , Ève-Lise, Ève-Marie , Évelaine , Évelène, Évelia , Évelie, Éveline, Évelise , Évely, Évelyn, Évelyna, Évelyne, Ever, Évette, Évita, Maeva, Maevia, Naéva, etc. (fête locale aussi le 14 mars)
- Onésiphore
Originaire de cette localité dans le Gard, il fut l'un des premiers compagnons de saint Dominique, séduit par la sainteté et le projet de saint Dominique de convertir les cathares par la prière et l'exemple d'une vie de pauvreté. En 1216, le Père des prêcheurs le désigna comme premier prieur du couvent de Toulouse, puis il l'envoya fonder à Paris un couvent au coeur de l'Université qui était alors la première de l'Europe chrétienne. Il fonda plusieurs autres couvents à Montpellier, à Avignon et ailleurs. Après la mort de saint Dominique, il veilla sur les soeurs de Prouille, ces anciennes cathares converties dont la prière soutenait la prédication des frères. Il mourut au cours d'une retraite qu'il prêchait à des cisterciennes dans le Vaucluse où il s'était retiré.
Autre biographie:
St-Bertrand de Garrigues (Bienheureux) Originaire de Garrigue, au diocèse de Nîmes. Ordonné prêtre, il entre d’abord moine chez les Cisterciens. Il devient plus tard disciple de Saint-Dominique et lui apporte une aide précieuse dans son combat contre l’hérésie albigeoise et dans son projet de fondation de l’Ordre des Frères Prêcheurs. Après avoir pris l’habit des Dominicains, il est envoyé à Paris pour y superviser l’implantation de l’Ordre, conjointement avec Matthieu de France. Au fil des années, il développe une grande amitié avec Saint-Dominique, qu’il accompagne dans ses nombreux déplacements. Il est aussi témoin de plusieurs de ses miracles. Nommé Provincial de Provence, il poursuit sa mission d’évangélisation et décède alors qu’il est en train de parler aux sœurs Cisterciennes de Sainte-Marie-des-Bois, près de Garrigues (1195-1230)
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_de_Garrigues
http://catholique-nimes.cef.fr/diocese/racines.php
http://www.mairie-bouchet.fr/accueil/histoire_p2.html
Sainte Bègue d'Egremont Religieuse ermite en Grande-Bretagne (7ème s.)
D'origine irlandaise, elle vécut dans un ermitage sur la côte du Cumberland en Angleterre, dans le lieu qui reçut ensuite son nom.
Saint Cagnoald (+ v. 632)
Moine de Luxeuil, il eut pour frère saint Faron de Meaux et sa soeur fonda le monastère de Faremoutiers dans la Brie française. Il connut saint Colomban lors de la fondation de Luxeuil et le suivit lors de son exil à Bregenz. Il fut désigné comme sixième évêque de Laon, mais nous ne savons rien de son ministère épiscopal. Nous avons seulement sa souscription lors du concile de Reims en 625 et une autre souscription lorsque fut fondé le monastère de Solignac, près de Limoges.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Laon
Saint Donatien et ses compagnons, martyrs à Carthage (+ 484)
En Afrique du Nord, le roi Vandale arien Hunéric persécute les chrétiens qui restent attachés à la foi romaine du concile de Nicée. Il fait arrêter les évêques les plus influents dont Donatien, Praesidius (Préside), Mansuetis (Mansuet), Germain, Fusculus (Fuscule) et Laetus (Létus). Il les envoie en exil, après leur avoir infligé cent cinquante coups de bâton qui les brisent.
En une seule année, environ cinq mille chrétiens seront eux aussi exilés hors d'Afrique.
En 484, Hunéric, fils de Geisérich, porta un nouvel édit de persécution dont Victor, évêque de Vite dans la Byzacène, nous a raconté les effets. Ce Victor était probablement d'origine africaine (Historia persecutionis africance a S. Viclore patrice Vitensis episcopo, lit-on dans un manuscrit), et il écrivit le récit des persécutions dont il fut tout ensemble le témoin et la victime. Son ouvrage paraît dater de l'année 486.
Saint Eleuthère Abbé à Rome (+ 590)
Abbé du monastère de Saint-Marc à Spolète, qui vécut à Rome avec saint Grégoire le Grand dans son monastère du Coelius et dont le pape loue la simplicité de cœur et la componction.
Saint Eudoxe (2ème s.)
Il vivait en Arménie et portait un titre de haut fonctionnaire de l'administration impériale lors des persécutions de Dioclétien. Arrêté, il eut la tête tranchée.
Sainte Eve de Dreux (?)
ou Evelyne.
De temps immémorial, il y avait à Dreux une "croix de sainte Eve" qui aurait été martyre à une époque indéterminée, dans des conditions ignorées, mais la ville la vénère toujours comme sa patronne.
Paroisse Sainte Eve, 2 avenue des Fenots, 28100 Dreux.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dreux
Saints Félix et Augebert martyrs (7ème s.)
Originaires de Grande Bretagne, ils furent faits prisonniers durant une guerre, puis vendus en Gaule comme esclaves. Ils furent rachetés par saint Grégoire le Grand qui les plaça dans un monastère. Désignés plus tard pour une mission en Angleterre, ils n'eurent pas le temps de s'y rendre, ayant été massacrés par des païens dans les environs de Chaumont sur Marne.
Saint Imbert (7ème s.)
Il vécut ermite dans la solitude du Nivernais où des disciples vinrent le rejoindre dans sa solitude. Pour eux, il fonda le monastère de Saint Martin de Nevers. Son corps est enseveli dans l'église de Chantenay. Cette localité d'ailleurs s'appelle 58240 Chantenay-Saint Imbert.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chantenay-Saint-Imbert
Sainte Impère de Mauprevoir Honorée au diocèse de Poitiers (culte ancien)
Pas d'information complémentaire.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mauprevoir
Bienheureux Libérat de Lauro (13ème s.)
Né dans la région de Pise en Italie, il était prêtre de l’Ordre des Frères Mineurs, et compagnon du frère Pacifique. Admirable par l’austérité de sa vie et sa méditation continuelle des réalités divines, il rétablit l'austérité originelle de l'Ordre.
Saint Magne (7ème s.)
On pense qu'il vivait en Souabe bavaroise, ayant fondé un petit monastère à Füssen sur le Lech où les pèlerins de Rome se reposaient avant ou après l'escalade des cols des Alpes. "Le bâton de saint Magne" très populaire au Moyen Age rappelait ces pèlerins. Les sérieux auteurs Bollandistes lui ont consacré plus de douze mille lignes pieuses qui ne disent rien de sa vie si ce n'est une dissertation sur les transferts de reliques et les vertus chrétiennes qui l'auraient porté à la sainteté. Saint-Magne est invoqué pour faire fuir les mille-pattes, les serpents et la vermine en général, pour éloigner la grêle et pour être protégé contre la foudre.
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Magne_de_F%C3%BCssen
Saint Maxime Sandovitch Prêtre en Ukraine (+ 1914)
Il naquit en Ruthénie, entre la Pologne et la Slovaquie, dans cette région alors rattachée à l'empire austro-hongrois. Gréco-catholique par sa famille, il entra dans un monastère de sa région natale, mais déçu par la vie de ces moines, il se tourna vers l'Orthodoxie et entra au monastère de Potchaev en Ukraine occidentale. Le métropolite de Kiev le remarqua et l'ordonna prêtre pour desservir les communautés orthodoxes issues du catholicisme. Il fut arrêté et emprisonné à Lvov pour avoir célébré dans une Eglise interdite par la loi, accusé de collaborer avec les Russes ennemis des Autrichiens. Après deux ans d'un dur emprisonnement, il fut libéré, mais lorsqu'éclata la première guerre mondiale, il fut à nouveau arrêté et fusillé sur le champ.
Bienheureux Michel Czartoryski martyr (+ 1944)
Ce prêtre dominicain polonais était de famille princière. Il entra dans l'ordre de saint Dominique après avoir obtenu son diplôme d'ingénieur. Son amour de Dieu et du prochain se manifesta dans son service auprès de ses frères, des novices, des étudiants, mais aussi des insurgés de Varsovie. Arrêté après l’insurrection de Varsovie pour avoir assisté les blessés et les mourants tombés lors de l'insurrection, il fut fusillé à Varsovie par les nazis en même temps que les blessés de l’hôpital du camp Alfa-Laval, dont il s’occupait.
béatifié le 13 juin 1999 à Varsovie par Jean-Paul II.
"Le fr. Michael (Jan Franciszek) Czartoryski op naquit en 1897 à Pelkinie, propriété de l’une des familles aristocratiques dominantes en Pologne. Son éducation lui donna une profonde formation dans la foi, le respect de la dignité humaine et un sens du service social. Au cours de ses études, dans les années 20 à Lwów, où il se diplôma en architecture, il participa à la fondation de la Société étudiante catholique Odrodzenie, qui allait jouer un rôle important dans la formation de l’intelligentsia catholique en Pologne.
Le fr. Michael entra au noviciat de la province de Pologne en 1927 et fut ordonné prêtre en 1931. Son principal ministère dans l’Ordre concernait la formation, comme Maître des novices et des étudiants à Cracovie, puis de 1937 à 1939 à Varsovie. Il était aussi le directeur spirituel respecté des élites intellectuelles de ces deux villes.
Souvent invité à prêcher des retraites dans les séminaires et maisons religieuses, il était connu comme homme de prière régulière, au grand sens de la responsabilité et d’authentique humilité. Il écrivait : « Je dois percevoir la vie religieuse comme un don offert à Dieu. Je ne dois pas vivre dans l’indifférence, pas pour moi-même, mais pour Dieu, pour Sa cause, pour les âmes qui vivront Sa vie ».
Le devoir d’un formateur n’était guère aisé en ces années. « Je me sens responsable des frères –notait-il- responsables qu’ils mûrissent à la plénitude du Christ ». Le couvent de Cracovie, dont s’étaient partiellement emparées les forces d’occupation, continuait à servir de lieu de prière, d’encouragement et de service pastoral. C’était le temps des exécutions, arrestations et déportations massives. Le camp de concentration d’Auschwitz n’était pas loin. À cause de la santé fragile du fr. Michael, le provincial décida début 1944 de l’assigner au couvent de Suzew, à Varsovie : la Maison d’étude des dominicains, à la périphérie de la capitale, semblait un lieu plus tranquille.
Le 1er août 1944 commença le soulèvement de Varsovie. L’armée soviétique progressait et se trouvait juste de l’autre côté du fleuve. Les forces clandestines polonaises espéraient reprendre la ville aux Allemands avant l’entrée des Soviétiques dans la capitale. Staline décida cependant de stopper l’avancée de l’Armée Rouge.
La résistance combattit, rue par rue, maison par maison, contre l’armée d’Hitler. Les forces alliées occidentales étaient trop loin pour pouvoir les aider. Le soulèvement se prolongea des mois durant jusqu’à ce que la ville fût totalement détruite et le mouvement clandestin s’éteignît ; alors seulement, l’armée de Staline pénétra dans la capitale en ruine pour imposer le régime communiste.
Le fr. Michael Czartoryski fut pris dans le soulèvement alors qu’il s’était rendu dans le centre le 1er août pour une visite chez l’oculiste. Il ne put rentrer au couvent. Il passa la nuit chez des amis et le jour suivant, se porta volontaire comme aumônier des unités nationales de combattants. Avec grand dévouement et courage, il servit les soldats et les adolescents qui se battaient dans le quartier de Powi³le à Varsovie, vers l’église Ste-Thérèse. Le fr. Michael savait qu’il devait être un signe d’espoir, une vivante image de la grâce divine, pour les combattants, pour les blessés, pour tous les endeuillés. Quand le quartier tomba aux mains des Allemands, le 6 septembre, il décida de ne pas fuir, et rejoignit un hôpital de fortune installé dans les caves d’un bâtiment écroulé. Il sentait ne pas devoir abandonner les malades et les blessés.
Quand les forces ennemies entrèrent dans l’hôpital, on le trouva en habit dominicain, qui disait le Rosaire avec les blessés. Toute l’équipe médicale fut arrêtée, et il aurait pu fuir, mais il décida de rester auprès des malades. Une demi-heure plus tard, tous les patients et l’aumônier furent exécutés. Leurs corps furent traînés dans la rue et brûlés sur une barricade. Le jour suivant, on enterra les corps carbonisés dans l’arrière-cour d’une maison voisine. En 1945, leurs restes non-identifiés furent exhumés et transférés dans une tombe commune."
(source: Les dominicains)
http://curia.op.org/
Saint Onésiphore martyr (1er s.)
Saint-Paul fait mention de Saint-Onésiphore dans sa seconde lettre à Timothée. Selon la tradition, Onésiphore aurait suivi Saint-Paul en Espagne puis serait retourné en Orient, où il aurait subi le martyr dans le Hellespont sous le règne de Domitien.
L'apôtre Paul en parle dans la 2e lettre à Timothée:
"Salue Prisca et Aquilas, ainsi que ceux de chez Onésiphore." (2 Tm 4:19)
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parion
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hellespont
Saint Saffier Vénéré à Saint-Julien-le-Pauvre, au diocèse de Bourges
Pas d'information complémentaire.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Julien-le-Pauvre_(Cher)
Zacharie, le prophète (6ème s. av JC.)
Puits de Moïse. Saint Zacharie.
Chartreuse de Champmol. Dijon. Bourgogne.
(-515 av JC.)
Il annonça le retour d’exil du peuple élu sur la terre promise et la venue d’un roi pacifique, ce qui préfigurait l'annonce que le Christ accomplit par son entrée triomphale dans la sainte cité de Jérusalem.
Le 8 février, les Eglises d'Orient font mémoire du saint Prophète qui, au retour de l'exil de Babylone, encouragea les juifs à reconstruire le Temple et à marquer ainsi le retour vers Dieu: "Revenez à moi et je reviendrai vers vous, dit le Seigneur." (Zacharie 1.4)
Livre du prophète Zacharie
http://www.zebible.com/zeencyclo.html
Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Zacharie_(proph%C3%A8te)
http://hodiemecum.hautetfort.com/archive/2009/09/06/index.html
http://www.bpcbs.com/journal/2006/janvier/gros_plan.html
http://www.ebible.free.fr/livre.php?_id=za&_chap=1
http://www.ebible.free.fr/gustave_dore.php?_id=140
Les Églises font mémoire…
Anglicans : Allen Gardiner (+1851), missionnaire, fondateur de la Société missionnaire d’Amérique du Sud
Coptes et Éthiopiens (1 nasï/pag emen) : Eutychès (1er s.), disciple des apôtres Jean et Paul (Église copte)
Luthériens : Matthias Waibel (+1525), témoin de la foi jusqu’au sang en Souabe
Orthodoxes : Miracle de l’archange Michel à Colosses ;
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsseptembre/sept06.html
Translation des reliques de Pierre le Thaumaturge (1479), métropolite de Moscou (Église russe) ; Sérapion Garégeli (+1742), higoumène (Église géorgienne)
- Prénoms[1] catholiques du jour
Bonne fête aux :
Et aussi aux :
- Bee
- Eve, et ses dérivés : Euveline, Eva, Evadné, Evelaine, Eveline, Evelyne, Evette, Evita, Naéva, etc.
- Onésiphore
6 septembre dans les croisades
Garcia de Tolède, vice roi de Sicile, débarque à Malte avec des renforts pour aider l'Ordre de Malte à repousser les Turcs[1].
Événements
8 jours avant le mariage, Belen a eu la douleur de perdre inopinément son père des suites d’un malaise cardiaque.
La comtesse de Paris, le duc et la duchesse de Calabre et leurs enfants, l’Infante Pilar et de nombreux cousins du marié assistaient à la cérémonie.
Le couple qui vit en Belgique, a eu 2 enfants Jean et Inès.