Père Damien
Le couple royal est arrivé à Rome pour la canonisation
Le Roi Albert et la Reine Paola sont arrivés vendredi vers 19 heures à Rome, pour assister dimanche sur la place Saint-Pierre à la canonisation du Père Damien.
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Comme prévu, le couple royal était accompagné du ministre des Affaires étrangères Yves Leterme et du ministre de la Défense Pieter De Crem. Le premier ministre Herman Van Rompuy et les autres ministres qui ont décidé de faire le déplacement les rejoindront dimanche pour assister à la cérémonie. Le couple royal sera reçu samedi en audience par le Pape Benoît XVI. Une audience est également prévue avec le cardinal secrétaire d'Etat, le personnage le plus important du Vatican après le Pape. La canonisation aura lieu dimanche à 10 heures. Plus de 2.500 Belges et Hawaïens sont attendus à Rome pour assister à la cérémonie. (GFR)
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Le mariage qui fâche chez les Orléans
Dans une sorte de semi-secret, la famille royale se déchire à nouveau, pour des histoires et de dentelles et de panache. La semaine dernière, celui qui est à la tête de la maison de France a convolé en justes et secondes noces. Henri d’Orléans, ex-comte de Clermont et actuel comte de Paris, divorcé, épousait, en effet, religieusement celle qui est sa femme civile depuis trente-cinq ans, Micaëla Cousino Quinones de Leon.
La cérémonie s’est déroulée dans le petit village basque d’Arcangues, en l’absence de membres de la famille princière, à l’exception de télégrammes de félicitations de deux des sœurs du prétendant au trône. L’atmosphère semblait donc apaisée et sereine en dépit de vieux contentieux qui lézardaient les belles apparences savamment toilettées.
La zizanie sentimentale ne date pas d’hier. Il y a cinquante-deux années, non sans fierté, feu le comte de Paris et feue la comtesse de Paris, descendants de Philippe d’Orléans, mariaient, le 5 juillet 1957, en la chapelle royale de Dreux, leur fils aîné, dauphin de France, Son Altesse Royale Henri d’Orléans, avec Marie-Thérèse de Wurtemberg, aristocrate allemande et altesse royale. Le couple a eu des enfants. Mais, selon le prince qui le proclama des années plus tard, l’union aurait été "arrangée" dans un contexte de réconciliation allemande.
Après avoir rencontré Micaëla Cousino, fille naturelle reconnue de la marquise de San Carlos, grande d’Espagne, le prince se mit en tête non seulement de divorcer mais encore de faire annuler son union. Le tribunal de grande instance de Paris prononça le divorce d’avec la duchesse de Wurtemberg le 3 février 1984. Henri d’Orléans se remaria civilement le 31 octobre 1984 avec celle qu’il aimait.
Jusque-là, rien que de quasiment normal. Et, après trente-cinq années de procédure ininterrompue, il obtint que l’Eglise catholique annulât son mariage en mars 2009.
Sans passer pour un caractère particulièrement rétrograde, force est de reconnaître que, pour un prince chrétien, réclamer l’annulation d’un mariage religieux consommé ne paraît pas présupposer d’un sens de la piété ni du protocole inouï. Avec l’ex-princesse, née Wurtemberg, Henri d’Orléans (futur Henri VII ?) a eu cinq enfants, dont deux handicapés, que la mère a élevés seule. Le simple fait de voir son père se remarier, surtout après l’avoir entendu réclamer à cor et à cri l’annulation du mariage avec sa mère a choqué, voire indigné, l’héritier de la famille. Jean d’Orléans, duc de Vendôme, deuxième fils, régent de France en raison du handicap de son frère aîné, est aujourd’hui âgé de 44 ans. Titulaire d’une maîtrise de philosophie, d’une maîtrise de droit spécialisée dans les relations internationales, il est plus qu’apprécié dans les cours européennes et l’aristocratie française. Non sans franchise, fidèle à ses principes et dévoué à sa mère, le prince Jean, récemment marié à la blonde et belle Philomena de Tornos, vient de lâcher un coup de semonce en faisant publiquement savoir qu’il désapprouve l’union paternelle et qu’il condamne ce remariage.
Pareille sortie fait désordre dans le paysage princier et y sème une grande agitation. Et, dès lors, le temps des guéguerres chez les Orléans semble revenu. L’affaire, semble-t-il, ne fera pas plus de bruit que cela mais, déjà, chacun en parle en trouvant de l’étoffe au prince Jean. Qui, par ailleurs, et c’est la vraie nouvelle du jour, s’apprête à pouponner. La princesse Philomena est enceinte. D’autres dentelles en perspective.
le prince héritier Alexander de Serbie et son fils, le prince Philip
assistent à une cérémonie à Marseille
en mémoire du roi Alexandre I de Yougoslavie, 75 ans ans après son assassinat (9 octobre)
Nj.E. g-din Vuk Jeremić, ministar spoljnih poslova Republike Srbije i
NJ.KV.V Prestolonaslednik Aleksandar II
H.E. Mr. Vuk Jeremic, Minister of Foreign Affairs of Serbia
HRH Crown Prince Alexander II
Nj.E. g-din Vuk Jeremić, ministar spoljnih poslova Republike Srbije, NJ.KV.V. Prestolonaslednik Aleksandar II i NJ.K.V. Princ Filip
H.E. Mr. Vuk Jeremic, Minister of Foreign Affairs of Serbia, HRH Crown Prince Alexander II and
HRH Prince Philip
S leva na desno:
NJ.E. Dr Dušan Bataković, ambasador Srbije u Francuskoj
Nj.E. g-din Vuk Jeremić, ministar spoljnih poslova Republike Srbije
NJ:KV:V Prestolonaslednik Aleksandar II
NJ.K.V Princ Filip
H.E. Dr. Dusan Batakovic, Ambassador of Serbia to France
H.E. Mr. Vuk Jeremic, Minister of Foreign Affairs of Serbia
HRH Crown Prince Alexander II
HRH Prince Philip
Le Premier ministre albanais annonce le 9 octobre que les restes du roi Zog Ier vont être rapatriés en Albanie
(mort à l'hôpital Foch, à Suresnes, Hauts-de-Seine, le 9 avril 1961, le roi est enterré en France)