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Gazettes & Sites Royaux

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 Ils sont tous là !
Ils nous regardent et nous racontent 14 siècles d'Histoire de France

 

10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:01

 

Le 10 mars est le 69ejour de l'année

(70e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien.

Il reste 296 jours avant la fin de l'année.

C'était généralement le jour du cordeau, 20e jour du mois de ventôse, dans le calendrier républicain français.

 

Signe du zodiaque : 20e jour du signe astrologique des Poissons (ou 21e en cas d'année bissextile).



Dicton 

"Pluie de mars grandit l'herbette, et souvent annonce disette"
«  S'il gèle aux 40 Martyrs, il gèlera encore 40 nuits »  
 

Martyrologe pour le dixième jour de mars,

 

A Sébaste, en Arménie, en 320, la mémoire des saints Quarante

 

Martyrs.

 

Soldats qui, pour leur foi, furent meurtris, puis exposés au froid la nuit

 

sur un étang glacé.

 

En Asie Mineure, au IIe siècle, saint Caïus, qui rendit témoignage au

 

Christ avec son compagnon nommé Alexandre.

 

A Rome, en 483, la mise au tombeau du bienheureux Simplice, pape.

 

Témoin de la chute de l'empire romain d'Occident, il défendit avec

 

courage la cause de l'Église et fit prévaloir la doctrine du concile de

 

Chalcédoine sur le Christ, vrai Dieu et vrai Homme.

 

Vers 576, la mise au tombeau de saint Droctovée, premier abbé du

 

monastère qui prit plus tard le nom de Saint Germain-des-Près et fut

 

rattaché, au xviie siècle, à la Congrégation de Saint-Maur.

 

L'an 626, saint Attale, abbé. Successivement moine de Lérins, puis de

 

Luxeuil, il suivit saint Colomban à Bobbio, et lui succéda dans la

 

charge abbatiale.

 

 

Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et bienheureux.

Saint Vivien Soldat romain, martyr en Cappadoce (+ 320)
 
L'un des quarante soldats chrétiens de la XIIème Légion Fulminata (la Fulminante) en garnison à Mélitène (Malatya - Turquie), condamnés à périr de froid, attachés nus sur un étang gelé, le 9 mars 320, à Sébaste (Sivas - Turquie). On avait offert un bain chaud à ceux qui renonceraient.
http://nominis.cef.fr/contenus/saints/782/Saints-Martyrs-de-Sebaste.html

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vivien_de_S%C3%A9baste



Sainte Anastasie Ermite à Scété, en Egypte (+ 567)
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Vierge. Elle était d'une grande beauté et l'empereur Justinien, lors des réceptions de la cour, n'avait d'yeux que pour elle, au point qu'une grande jalousie naquit au coeur de l'impératrice Théodora. Elle dut même s'habiller en homme pour échapper aux avances de l'empereur. Ayant ainsi réussi à se cacher pendant six mois, elle gagna la solitude dans le désert de Scété sous le nom d'Anastase l'eunuque. Elle y vécut de nombreuses années. L'abbé du monastère ne révélera la chose qu'après sa mort, quinze ans plus tard.

Voir aussi:
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsmars/mars10.html



Bienheureux André de Vallombreuse Abbé du monastère de Strumi (+ 1097)
Originaire de Parme en Italie, il fut le disciple et le défenseur du diacre saint Ariald qui fut persécuté et excommunié parce qu'il s'opposait à la simonie de l'évêque de Milan. Après le martyre de son maître, il se retira dans l'abbaye de Vallombreuse. Puis, il fut abbé du monastère de Strumi, sur l'Arno, et il se distingua par son action pacifique pour réconcilier Florence et Arezzo.



Saint Attale Confesseur (+ 626)
Originaire de la Bourgogne, il fut d'abord moine de Lérins, mais comme il n'y trouvait pas assez de rigueur, il se rendit à Luxeuil pour se ranger sous la direction de saint Colomban. Il le suivit à Bobbio où il lui succéda dans la charge abbatiale.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bobbio

Autre biographie:
Jeune homme originaire de la Bourgogne, il est d'abord moine à Lérins puis à Luxeuil. Plus tard, il accompagne Saint-Colomban en Italie et l’aide à bâtir l’abbaye de Bobbio, dont il devient l’abbé. Sous son gouvernement, de nombreux moines (dont Saint-Valery et Saint-Blitmond) se rebellent contre la sévérité de la règle de Saint-Colomban.



Saint Blanchard Saint légendaire (+ 659)
Confesseur. Fêté à Nesle-la-Repose, dans la Brie, nous ne savons rien de lui, sinon qu'il est aussi honoré dans le diocèse d'Auch et qu'une localité conserve encore sa mémoire : Saint Blancart-32140.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dioc%C3%A8se_d%27Auch
http://catholique-auch.cef.fr/



Saints Caïus et Alexandre Martyrs (+ v. 171)
Ils furent de farouches défenseurs de la foi, devant les chrétiens hérétiques disciples de Montan. Ils furent arrêtés, comme eux, et c'est ainsi que Caïus, Alexandre et les montanistes furent unis par delà leurs querelles théologiques et reçurent ensemble la glorieuse couronne du martyre durant la persécution de Marc Antonin et de Lucius Verus, à Apamée sur le Méandre en Phrygie.
À Apamée sur le Méandre en Phrygie, après l’an 171, les saints martyrs Caïus et Alexandre, qui reçurent la glorieuse couronne du martyre durant la persécution de Marc Antonin et de Lucius Verus.



Saint Codrat de Corinthe Martyr (+ 258)
et ses compagnons martyrs, Denis, Cyprien, Anectus et Crescent. Au temps de la persécution de Dèce, le proconsul de Corinthe les fit attacher derrière des chevaux et ils furent ainsi traînés au sol par toute la ville, jusqu'à l'extérieur des murs. Là où ils furent décapités, une fontaine jaillit qui coule encore auprès de l'église où se trouvent leurs reliques.

Autre biographie:
Durant la persécution de Dèce, alors qu’il est encore très jeune, il part se réfugier dans les forêts de Grèce avec sa mère. Lorsque celle-ci décède, il continue à y vivre en ermite, avant de retourner en ville pour étudier la médecine. Durant la persécution de Valérien, qui a succédé à Dèce, il est arrêté et martyrisé en compagnie d’un groupe d’autres chrétiens.
Saint-Codrat de Corinthe est invoqué pour guérir un enfant qui s’est blessé par coupure.



Saint Droctovée Premier abbé du monastère Saint-Vincent (+ v. 580)
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Clocher de l'église Saint-Germain-des-Prés

Il était le disciple de saint Germain qui le fit venir à Paris pour être à la tête du clergé qui desservait la nouvelle basilique Saint-Vincent-Sainte-Croix qu'il avait fondée avec l'aide du roi. Il eut en charge d'assurer la mise en oeuvre du service liturgique. La basilique Saint-Vincent ne deviendra abbaye que quelques années plus tard et sera l'abbaye de Saint Germain des Prés. A sa mort vers 580, saint Droctovée y fut inhumé. Il fut inscrit au 10 mars dans le martyrologe de 859 qui deviendra le base du martyrologe romain.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Saint-Germain-des-Pr%C3%A9s
http://www.eglise-sgp.org/



Saint Emilien Confesseur (+ 675)
Il était fêté à Lagny-sur-Marne, non loin de Paris où il avait été le successeur de saint Fursy. Ils furent tous deux de saints moines dont la vie et la sainteté se résument en une grande fidélité à leur idéal monastique.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lagny-sur-Marne



Saint Himelin Irlandais ou écossais (+ v. 750)
Irlandais ou écossais, peu importe. Nous savons que, revenant d'un pèlerinage à Rome, il mourut en Belgique, à Vissenaken où il est toujours vénéré.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vissenaken



Bienheureux Jean de Vallombreuse Moine bénédictin (+ v. 1380)
Il était moine du monastère bénédictin de la Sainte Trinité à Florence. Il se lança dans la magie noire et ce nécromancien dépravé, dénoncé auprès de l'abbé-général, fut enfermé dans une prison sordide. C'est là que, revenant sur lui-même, il se repentit et préféra rester dans sa prison jusqu'à sa mort pour y expier ses fautes dans cet étrange ermitage. Il correspondra alors avec sainte Catherine de Sienne.



Saint Jean Ogilvie Jésuite écossais, martyr (+ 1615)
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Martyr. Converti du calvinisme à l'Eglise catholique, à Louvain, il retourna en Ecosse où il fut arrêté en raison de sa fidélité à l'Eglise romaine. Malgré la torture, il ne livra aucun de ses amis et fut condamné à être pendu à Glasgow. Il a été canonisé en 1976.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Ogilvie
http://www.jesuites.com/histoire/saints/jeanogilvie.htm



Saint Macaire de Jérusalem Patriarche de Jérusalem (+ 334)
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Patriarche de Jérusalem de 313 à sa mort, il fut un bâtisseur grâce à l'appui de l'impératrice sainte Hélène. Il fit construire les basiliques du Saint Sépulcre, du Mont des Oliviers et de Bethléem.

Autre biographie:
Nommé évêque de Jérusalem en 314, il combat vigoureusement l’hérésie arienne. Il est chargé par l’empereur Constantin de bâtir une église sur le tombeau du Christ (+ vers 335) Selon la légende, il aurait été présent au moment où Sainte-Hélène aurait trouvé les trois croix, et lui aurait suggéré de les faire toucher par une femme gravement malade afin de déterminer laquelle des trois était celle de Jésus; ainsi fut fait, et la femme recouvra instantanément la santé en touchant l’une des trois croix, qui fut proclamée comme étant La Vraie Croix.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Macaire_de_J%C3%A9rusalem



Sainte Marie-Eugénie Milleret Fondatrice des Religieuses de l'Assomption (+ 1898)
Née à Metz le 25 août 1817, elle partagea son enfance entre l'hôtel particulier des Milleret de Brou et la vaste propriété de Preisch, aux frontières du Luxembourg, de l'Allemagne et de la France. Comblée dans une famille incrédule dont le père voltairien est un haut-fonctionnaire et la mère, excellente éducatrice, ne pratique que le formalisme religieux, elle connaîtra une véritable rencontre mystique avec Jésus-Chriist au jour de sa première communion : «Je ne l'ai jamais oublié.»
En 1830, son père ruiné doit vendre la manoir de Preisch puis l'hôtel de Metz. Ses parents se séparent en 1831 et elle vient à Paris avec sa mère qui sera emportée brutalement par le choléra en 1832. Elle est recueillie dans une riche famille amie, à Châlons. L'adolescente de 17 ans connaît alors le désarroi et la solitude dans les mondanités qui l'entourent : «Je passai quelques années à me questionner sur la base et l'effet des croyances que je n'avais pas comprises... Mon ignorance de l'enseignement de l'Eglise était inconcevable et pourtant j'avais reçu les instructions communes du catéchisme.» (Lettre à Lacordaire - 1841)
Son père la fait revenir à Paris. Durant le carême 1835, elle retrouve la lumière en entendant l'abbé Lacordaire prêcher à Notre-Dame. «Votre parole me donnait une foi que rien ne devait plus faire vaciller.» «Ma vocation date de Notre-Dame» dira-t-elle plus tard. Elle se passionne alors pour le renouveau du christianisme de Lamennais, de Montalembert et de ses amis. Parmi eux, l'abbé Combalot dont elle entend les prédications à Saint-Eustache en mars 1837. Il rêvait de fonder une congrégation dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, pour former les jeunes filles des milieux dirigeants, irréligieux pour la plupart. Elle rêvait de réaliser une vocation religieuse. Elle hésite d'abord à le suivre, puis elle acquiesce.
En avril 1839, elles sont deux à se réunir pour cela rue Férou dont le changement de numérotation rend difficile la localisation et se retrouvent bientôt quatre dans un appartement, 104 rue de Vaugirard, étudiant la la théologie, l'Ecriture Sainte et les sciences profanes. Kat O'Neill, une irlandaise, est déjà là qui prendra le nom religieuse de Thérèse-Emmanuel et dont la forte personnalité l'accompagnera toute sa vie de son amitié. Et c'est la rencontre avec l'abbé d'Alzon qui fondera les Pères de l'Assomption en 1845. Cette grande amitié durera 40 ans. Pétri des idées de Lamennais, force de Jésus-Christ, attaché à l'Eglise, il l'entraîne; elle le modère. Il est combatif; elle le nuance. Les fondations ne se comptent plus à travers le monde.
Rome reconnaît cette nouvelle congrégation en 1867. Les «Constitutions» de la Congrégation de l'Assomption seront définitivement approuvées le 11 avril 1888. Quand elle découvre l'impuissance de la vieillesse, «un état où ne reste plus que l'amour», elle s'efface peu à peu. «Je n'ai plus qu'à être bonne.» Sa santé s'altère. Vaincue par la paralysie en 1897, elle n'aura plus que son regard pour le dire. Le 10 mars 1898, à Paris, elle rejoint le Christ ressuscité, qui, sur terre, était son unique passion.

Le 9 février 1975, le pape Paul VI béatifie celle qui, venue de l'incrédulité, a découvert la foi dans un amour passionné du Christ et s'est retrouvée fondatrice au cœur de l'Eglise. - En savoir plus...
http://www.assumpta.fr/article.php3?id_article=441
A Rome, le samedi 16 décembre 2006, le Pape Benoît XVI a autorisé la Congrégation des Causes des Saints à promulguer le Décret relatif au miracle attribué par l’intercession de la Bienheureuse Marie-Eugénie de Jésus (Anne-Eugénie Milleret de Brou) fondatrice des Religieuses de l’Assomption. En savoir plus...
http://www.assumpta.fr/article.php3?id_article=621
A Rome, le dimanche 3 juin 2007, le Pape Benoît XVI a canonisé Sainte Marie-Eugenie de Jésus. En savoir plus...
[url] http://www.marie-eugenie.org/[/url]

La vieillesse, un état où il ne reste plus que l’amour. Je n’ai plus qu’à être bonne.
Sainte Marie Eugénie Milleret

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Eug%C3%A9nie_Milleret
http://www.vatican.va/news_services/liturgy/saints/ns_lit_doc_20070603_eugenie-jesus_fr.html
http://www.assumpta.fr/



Saints Martyrs de Sébaste 40 personnes (+ 320)
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Ils étaient quarante militaires de la XIIe légion, Fulminata (la Fulminante), cantonnée à Sébaste en Petite-Arménie, lorsque l'empereur Licinius ordonna à toute l'armée de renouveler son serment de fidélité en sacrifiant aux dieux. Ces quarante soldats se déclarèrent chrétiens et ils furent condamnés à être jetés, nus, sur un étang gelé et à mourir de froid, lentement, alors qu'au bord de l'étang des thermes bien chauffés tentaient de les séduire. Un seul apostasia et fut immédiatement remplaçé par le gardien des thermes, impressionné par leur courage. Au matin, ceux qui étaient encore en vie, furent tués à coups de barres de fer. Leurs reliques furent tout de suite l'objet d'un culte très populaire.

Lecture

Dès qu’ils eurent entendu la sentence, ils ôtèrent avec joie jusqu’à leur dernière tunique et coururent vers la mort par le gel, s’exhortant l’un l’autre comme au partage d’un butin : « Ce n’est pas un vêtement que nous avons ôté, disaient-ils, c’est le vieil homme que nous avons déposé, lui qui va se corrompant dans les plaisirs illusoires. Nous te rendons grâces, Seigneur, car avec ce vêtement c’est le péché que nous avons déposé. Comme nous avions été vêtus à cause du serpent (du Paradis terrestre), nous sommes dévêtus à cause du Christ. Que donnerons-nous en échange au Seigneur qui pour nous se dépouilla le premier ? Rude est l’hiver, mais comme est doux le paradis ! Douloureuse est la gelure, mais comme elle fait plaisir la consolation ! Supportons-le un peu et le sein d’Abraham le patriarche nous réchauffera ».

de l’Homélie 19 de Basile de Césarée

Voir aussi:
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsmars/mars09.html
http://hodiemecum.hautetfort.com/archive/2009/03/10/index.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Quarante_martyrs_de_S%C3%A9baste
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Quarante_martyrs_de_S%C3%A9baste_(fresque)
http://hodiemecum.hautetfort.com/archive/2009/03/10/index.html



Saint Matthieu Del Castillo Saint mexicain canonisé par Jean Paul II (+ 1928)
Né en 1882, dans une famille modeste de paysans mexicains, à Yuriria, il fut orphelin très jeune et dut remplacer son père pour assurer la subsistance de sa famille. Dès qu'il le put, il entra au séminaire des Augustins et prit le nom religieux d'Elie del Socorro, en l'honneur de Notre-Dame du Perpétuel Secours. Prêtre en 1916, il fut envoyé dans un pauvre village en 1921, connaissant lui-même la pauvreté. En 1926, les persécutions gouvernementales l'obligèrent à devenir clandestin pour continuer son apostolat auprès de la population. Découvert dans la grotte où il se retirait, il fut emprisonné et fusillé le 10 mars 1928, en bénissant le peloton d'exécution. Il fit partie des saints mexicains que la pape Jean Paul II a canonisés durant le Jubilé 2000.



Saint Michel d'Agraphia Boulanger à Thessalonique (+ 1544)
Originaire de Granitsa en Thessalie, il se maria et s'en vint à Thessalonique comme boulanger. Si grand était son amour pour le Christ qu'il décida durant un Carême de lui donner sa vie. Accusé d'avoir blasphémé le nom de Mahomet, il ne répondit qu'en louant le Dieu Trinité. Il fut condamné à être brûlé vif. "J'ai hâte, dit-il alors, d'être cuit comme un pain de choix afin d'être offert sur l'autel de la Sainte Trinité". Du tribunal au lieu de son supplice, la foule emplit les rues, les uns criant leur haine, d'autres priant en silence. Il fut enduit de souffre et, sitôt allumé, son corps "s'embrasa comme un cierge votif"
(Hiéromoine Macaire)



Saints Pierre Ch’oe Hyong et Jean-Baptiste Chon Chang-un martyrs en Corée (+ 1866)
Canonisés avec saint André Kim Taegon et les martyrs de Corée le 6 mai 1984 à Séoul par Jean-Paul II lors de son voyage apostolique
http://nominis.cef.fr/contenus/saints/1884/Saint-Andre-Kim-Taegon.html

- homélie en anglais.
http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/1984/documents/hf_jp-ii_hom_19840506_martiri-coreani_en.html

À Nei-Ko-Ri en Corée, l’an 1866, les saints martyrs Pierre Ch’oe Hyong et Jean-Baptiste Chon Chang-un. Pères de famille, ils administraient le baptême et éditaient des livres chrétiens, ce qui leur valut d’être soumis à la torture. Ils demeurèrent tellement fermes dans la foi qu’ils provoquèrent l’admiration de leurs persécuteurs eux-mêmes.
Saint Sedna Moine bénédictin, abbé de Seir-Kieran puis évêque d’Ossory, en Irlande (+ vers 570)
Moine irlandais, ami de saint Luan, il fut abbé de Sier Kieran (monastère fondé par saint Kieran) puis évêque d'Ossory, diocèse irlandais gouverné par des abbés-évêques jusqu'aux environs de 1185.



Saint Silvestre Evêque (+ v. 420)
Evêque, il fut l'un de ceux qui évangélisèrent l'Irlande.



Saint Simplice Pape (47 ème) de 468 à 483 (+ 483)
Son long pontificat lui fit connaître les dernières années de l'empire romain. Mais son action s'étendit surtout à défendre la foi orthodoxe devant les hérésies de ce temps, en soutenant l'application doctrinale du concile de Chalcédoine. Il eut quelques démêlés avec le patriarche de Constantinople. La ville de Rome lui doit beaucoup d'églises nouvelles et une répartition des tâches pastorales qui donnent au clergé la charge paroissiale des baptêmes et des enterrements, modifiant ainsi la géographie ecclésiastique romaine.
À Rome, près de saint Pierre, en 483, saint Simplice, pape. Alors que les barbares dévastaient l’Italie et Rome, il consola les affligés, favorisa l’unité de l’Église et raffermit la foi.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Simplice



Saint Victor Martyr africain (3ème s.)
Il est mentionné par saint Augustin dans son commentaire du psaume 115.
http://jesusmarie.free.fr/augustin_psaumes_111_115.html




Les Églises font mémoire...

Coptes et Ethiopiens (1 baramhat/maggabit) : Grégoire (+604), pape de Rome (Église copte-catholique)

Luthériens : Les 40 soldats de Sébaste (+320), martyrs en Arménie

Orthodoxes et gréco-catholiques : Quadratus de Corinthe et ses compagnons (+258), martyrs

Vieux Catholiques : Les 40 martyrs de Sébaste
Saints catholiques[2] et orthodoxes[3] du jour

Prénoms du jour

Bonne fête aux :

  • Vivien (au calendrier civil 2009) et ses dérivés : Vivian, etc.

Et aussi aux :


Évènements 

10 mars dans les croisades
1171
 Amaury Ier, roi de Jérusalem, s'embarque vers Byzance pour négocier avec l'empereur Manuel Ier Comnène une collaboration militaire contre les musulmans[1].
1208
 Le pape proclame la croisade contre les Albigeois[2].
-241
 Victoire décisive de Rome sur Carthage à la bataille des Îles Égades mettant fin à la Première Guerre Punique.

1118
 Consécration du pape Gélase II.

1465
 Publication du « manifeste », base de la Ligue du Bien public, révolte nobiliaire contre le roi de France Louis XI. .


1535
 Découverte des Îles Galapagos par Thomas de Berlanga, évêque de Panama.

1526
Isabelle épouse Charles Quint le 10 mars 1526 à Séville.
 
Cliquez sur le visage des personnes à marquer.
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L'Empereur tomba immédiatement amoureux de cette femme en laquelle une très grande beauté physique s'alliait une aussi grande hauteur morale et, malgré de longues années de séparation dues à ses déplacements dans l'Empire, lui fut constamment fidèle (un fait rarissime pour un prince de l'époque). Lors de son départ pour les Allemagnes, il n'hésita pas à lui confier la régence de l'Espagne et de ses dépendances.
Armoiries empereur Charles Quint.svg
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1814
 Napoléon Ier est contraint de battre en retraite à la bataille de Laon.


1831
 Le roi Louis-Philippe créé la Légion étrangère.

1851
 Isidore Exelmans (1775-1852) devient le 3emaréchal de la Deuxième République.

1966

 mariage de Béatrix des Pays-Bas

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Photo de famille en date du 10 mars 1966 à Amsterdam après le mariage de la princesse héritière Béatrix des Pays-Bas et de Claus von Amsberg.

 

On reconnaît notamment le roi Baudouin et la reine Fabiola entourant les mariés, la reine Julianna et le prince Bernhard, le roi Constantin et la reine Anne-Marie de Grèce, la princesse Alexandra de Kent et Sir Angus Ogilvy, le prince Mickael de Kent, les soeurs de la mariées et leurs époux, les princes de Liège ou encore le prince Juan Carlos et la princesse Sophie d’Espagne.


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La princesse héritière Béatrix des Pays-Bas, fille de la reine Juliana et du prince Bernhard, a épousé le 10 mars 1966 Claus von Ambserg à Amsterdam. Les fiançailles avaient été annoncées en juin 1965. La princesse avait fait la rencontre de Claus von Amsberg, diplomate, à Noël 1962. Ils ont ensuite eu l’occasion de se revoir lors du mariage du prince Moritz de Hesse et chez des amis communs en Allemagne dont le prince Richard de Sayn-Wittgenstein-Berleburg (époux de la princesse Benedikte de Danemark). La mariée portait un imposant diadème de perles et brillants. La cérémonie fut assez chahutée en rue en raison de protestation quant aux origines allemandes du marié. Le couple a eu trois enfants : Willem-Alexander, Johan Friso et Constantijn. Le prince Claus est décédé en 2002, epu après la naissance de son premier petit-enfnt la comtesse Eloïse.

 



1981

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Le 10 mars 1981 en l’Eglise Notre Dame de la Gloire do Outeiro à Rio de Janeiro, la princesse Eléonore d’Orléans-Bragance, fille du prince Pedro Henrique d’Orléans-Bragance et de la princesse Maria de Bavière épouse le prince Michel de Ligne, fils aîné du prince Antoine de Ligne et de la princesse Alix de Luxembourg.

 

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Quelques mois plus tard, les deux familles s’uniront à nouveau avec le mariage du prince Antonio d’Orléans-Bragance (frère de la princesse Eléonore) avec la princesse Christine de Ligne (soeur du prince Michel).

 

Le couple a eu deux enfants : Alix et Henri.

Le prince Michel est aujourd’hui le Chef de la famille de Ligne.

Il réside avec son épouse au château de Beloeil



1987
 Le Vatican rappelle l'opposition de la hiérarchie catholique aux manipulations génétiques, en rejetant la procréation artificielle. Selon l'Église catholique, tout ovule fécondé est déjà un être humain, et la fécondation in vitro entraîne la destruction de plusieurs embryons.
1990
'Mamohato redevient régente du royaume du Lesotho.

1990
Moshoeshoe II, roi du Lesotho, retourne en exil. 1994
 Réception officielle d'Albert Decourtray (le cardinal Decourtray) (1923-1994) à l'Académie française. 1997
Chantal Mauduit escalade à mains nues la flèche qui domine les tours de Notre Dame et y accroche un drapeau du Tibet pour commémorer les 40 ans du soulèvement du peuple tibétain à Lhassa, le 10 mars 1959.


1997
Malgré les mises en garde américaines  le Vatican annonce l'ouverture de relations diplomatiques avec la Libye où vivent environ 50 000 catholiques,
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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
1248
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Jean Capet
1247 - 10 mars 1248 à l'âge d'un an


1291

 Arghoun, dirigeant perse 

 

 (Kazimierz Bytomski)
 duc de Bytom 
(en polonais Kazimierz bytomski), de la dynastie des Piasts, est né entre 1253 et 1257, et décédé le 10 mars 1312. Il est le troisième fils de Ladislas d’Opole et d’Euphémie de Grande-Pologne, la fille de Ladislas Odonic.

De 1280/1281 à 1284, il est duc d’Opole et de Bytom, en compagnie de son frère Bolko. En 1284, les deux frères se partagent leur territoire et Casimir devient le souverain du petit duché de Bytom.



1512

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Né en 1452
Décédée le 10 mars 1512 au couvent de Saint-Marcel à l'âge de 60 ans

Abbesse du monastère de Montchel le 1er juillet 1484

Abbesse du couvent de Saint-Marcel le 10 mars 1512


1759
Cardinal

Nicolas-Charles de Saulx-Tavannes
de l'Église catholique romaine


cardinal français, archevêque de Rouen 
 
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/80/HeraldiqueCardinal.svg/120px-HeraldiqueCardinal.svg.png
 
Naissance 9 septembre 1690 à Paris
Ordination
sacerdotale
 
Consécration
épiscopale
9 novembre 1721 par le cardinal de Fleury
Évêque Évêque de Châlons sur Marne
Archevêque de Rouen
Créé
cardinal
5 avril 1756 par le pape Benoît XIV
Décès 10 mars 1759 à Paris











































1826

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Jean VI de Portugal

roi du Portugal de 1816 jusqu'à sa mort

13 mai 1767 

10 mars 1826 à l'âge de 58 ans



  1855

Charles Marie Isidore Benoît de Bourbon

 Don Carlos (V)
(en castillan : Su Alteza don Carlos María Isidro Benito de Borbón y de Borbón)
 né le 29 mars 1788, infant d'Espagne, prétendant au trône d'Espagne
 mort le 10 mars 1855 à Trieste
 Inhumé en la crypte de la Cathédrale San Giusto à Trieste.


1864
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28 novembre 1811 - 10 mars 1864 à l'âge de 52 ans


1886
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Augusta DE CROY-SOLRE
Auguste
Adelheid Emanuele Constanze, Princesse de Croÿ
Parents

 

 

 

  • ID: I50233
  • Name: Auguste Adelheid Emanuele Constanze, Princess von Croÿ
  • Given Name: Auguste Adelheid Emanuele Constanze, Princess von
  • Surname: Croÿ
  • Suffix: Solre
  • Sex: F
  • Change Date: 8 Aug 2004 1
  • Birth: 7 AUG 1815 in Brussels, Brabant, Belgium
  • Death: 10 MAR 1886 in Kleve, Rheinland, Prussia

    Marriage 1 Alfred Konstantin Alexander Angelus Maria, Fst zu Salm Salm b: 27 DEC 1814 in Anholt, Westfalen, Prussia
  • Married: 13 JUN 1836 in Roeulx
Children
  1. Has No Children Mathilde Wilhelmine Marie Konstanze, Princess of Salm Salm b: 19 APR 1837
  2. Has No Children Nikolaus Leopold Joseph Maria, Fst zu Salm Salm b: 18 JUL 1838 in Anholt, Westfalen, Prussia
  3. Has No Children Franziska Adelheid Marie Christiane Alix, Princess of Salm Salm b: 21 JAN 1840 in Anholt, Westfalen, Prussia
  4. Has No Children Marie Eleonore Maximiliane Auguste, Princess of Salm Salm b: 13 APR 1843
  5. Has No Children Karl Theodor Alfred Maria paul Amatus, Prince of Salm Salm b: 6 MAR 1845 in Anholt, Westfalen, Prussia
  6. Has Children Alfred Ferdinand Stephan Maria, Fst zu Salm Salm b: 13 MAR 1846 in Anholt, Westfalen, Prussia
  7. Has No Children Emanuel, Prince zu Salm Salm b: 6 JUL 1847
  8. Has No Children Florentin, Prince zu Salm Salm b: 30 AUG 1848
  9. Has No Children Maximilian, Prince zu Salm Salm b: 4 NOV 1849
  10. Has No Children Constance, Princess zu Salm Salm b: 1 JUN 1851
  11. Has No Children Flaminia, Princess zu Salm Salm b: 9 DEC 1853 in Anholt, Westfalen, Prussia

 


1898

http://www.stjohn-catholic.org/Images/Saints/Blessed%20Marie%20Eugenie%20de%20Jesus%20-%20web.jpg
Sainte Marie-Eugénie de Jésus
 née Anne-Eugénie Milleret de Brou
26 août 1817)
 religieuse catholique française.

1898

George Müller
http://www.wheaton.edu/bgc/archives/treasure/tr98/98-01.jpg
 évangéliste chrétien originaire de Prusse
(27 septembre 1805 - 10 mars 1898)
originaire de Prusse est un évangéliste chrétien et un coordinateur des orphelinats de Bristol en Angleterre.
 Il s'est occupé de plus de 100 000 orphelins dans sa vie.
Il était connu pour sa foi constante en Dieu et pour donner un bon enseignement scolaire aux enfants qui étaient sous ses soins, au point qu'il était accusé d'élever les pauvres au-dessus de leur rang naturel.
Il fut l'une des figures proéminentes des "frères larges" au sein des assemblées de frères.

1970
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Charles-Philippe D'ORLEANS
prince d'Orléans, duc de Nemours
le 5 avril 1905 à Neuilly-sur-Seine (92, Hauts-de-Seine) - Décédé le 10 mars 1970 -à Neuilly-sur-Seine à l'âge de 64 ans
Parents

Le prince Charles-Philippe d’Orléans, duc de Nemours était le 4ème enfant et seul fils du prince Emmanuel d’Orléans, duc de Vendôme et de la princesse Henriette de Belgique, fille du prince Philippe de Belgique et soeur du roi Albert I.

Le prince Charles-Philippe est venu au monde le 4 avril 1905 au domicile de ses parents 24, avenue Borghèse à Neuilly-sur-Seine. Il avait trois soeurs aînées les princesse Marie Louise, Sophie et Geneviève d’Orléans. Le baptême du jeune prince fut célébré le 19 février 1906. Le duc d’Orléans est le parrain du bébé  mais sous le coup de l’interdiction de fouler le sol français, il est représenté par le duc d’Alençon, père du duc de Vendôme. La marraine est la reine Carola de Saxe représentée par la comtesse de Flandre, grand-mère maternelle du baptisé.

Le duc et la duchesse de Vendôme vécurent avec leurs enfants à Neuilly et au château Saint Michel de Cannes. Le 19 avril 1914, le prince Charles-Philippe a reçu la première communion des mains du Pape Pie X dans la chapelle privée du Saint Père.

 

Le prince Charles-Philippe avait le surnom affectueux de Chappy au sein de sa famille. Il suivit des cours avec un précepteur au domicile de ses parents puis fit envoyé à 12 ans en pension au Collège Saint Louis de Gonzague de Bollengo dans le val d’Aoste. Le prince a aussi été élève 3 ans à Marmoutier en Indre et Loire puis obtint la première partie de son baccalauréat à Caen. Il termina ses études à l’école des Roches en Normandie. Souhaitant se consacrer à l’agriculture, il effectua un stage au domaine de Marchais chez le prince Louis II de Monaco.

Le prince était un jeune homme épris de liberté, aimait sortir et buvait plus que de raison. Lors d’un de ses voyages en 1926 à New York, Chappy aurait fait la connaissance de Marguerite Watson, une Américaine âgée de 6 ans de plus que lui. Le prince tombe amoureux de la jeune femme au grand désespoir de ses parents le duc et la duchesse de Vendôme. Le duc de Nemours épousa sans l’accord de ses parents Marguerite Watson en l’église Saint Pierre de Neuilly le 25 septembre 1928.

Le duc de Nemours retrouva les siens afin d’assister aux obsèques de sa soeur Sophie en 1928 à Lugrin puis de son père en 1931 à Cannes. Le duc se lança dans une entreprise d’élevage en Afrique qui fera très vite faillite. La duchesse de Vendôme fut contrainte de vendre le château Saint Michel de Cannes pour rembourser les dettes de son fils unique.

Lors de la Deuxième Guerre Mondiale, le duc de Nemours ne fut pas autorisé à servir dans l’armée française. Il fut emprisonné par la Gestapo pour activités anti-allemandes, libéré puis à nouveau arrêté.

Après la guerre, le duc et la duchesse de Nemours vécurent à Paris dans leur appartement de la rue Chateaubriand dans le quartier des Champs-Elysées, à Biarritz et à la villa Magdalena à Tanger. ils vivaient en marge de la Maison de France et ne fréquentaient pas le comte et la comtesse de Paris. Un échange de cartes de voeux une fois par an était le seul lien avec la famille du comte de Paris.

Le duc de Nemours assista néanmoins au mariage du prince Michel et de Béatrice de Franclieu à Casablanca en novembre 1967. Le prince Michel demanda à son oncle le duc de Nemours d’être le parrain de sa fille la princesse Clotilde née le 28 décembre 1968.

Le prince Charles Philippe est décédé à l’hôpital américain de Neuilly sur Seine le 10 mars 1970 à l’âge de 65 ans. Ses obsèques furent célébrées à Neiuilly en présence du roi Umberto d’Italie, du prince Michel de France, de la princesse Isabelle de France, princesse Murat et de la princesse Clotilde Napoléon, comtesse Serge de Witt.

La duchesse de Nemours termina sa vie en se partageant entre Paris et Biarritz. Elle a fait vendre aux enchères en 1971, 1989 et 1990 de très importants tableaux et objets d’art provenant du roi Louis Philippe afin de pouvoir faire fasse à se dépenses. Dans un entretien à “Point de Vue”, la duchesse de Nemours confia que le roi Baudouin et la reine Fabiola avaient toujours été très présents pour elle.

La princesse Marguerite s’est éteinte discrètement à Bayonne le 27 décembre 1993. Quelques jours plus tard, les princes Jean et Eudes de France ont accueilli sa dépouille au sein de la chapelle royale Saint Louis à Dreux.

Le prince Charles-Philippe et la princesse Marguerite reposent dans le tombeau du comte et de la comtesse d’Eu, après le retour de leurs dépouilles au Brésil. Le titre de duc de Nemours est revenu au Chef de la Maison de France. La comtesse d’Evreux qui a baptisé son fils aîné Charles-Philippe avait toujours exprimé son souhait que ce titre reviennent à l’un de ses fils.
Parents

2009
(Gonzague Hubert Marie Bernard de Dompsure)
Capitaine au long cours, pilote au port du Havre et sur la basse Seine
Chevalier de la Légion d'honneur.
croix de guerre

le 13 août 1914 au Château de Dompsure dans l'Ain - Décédé le 10 mars 2009 à l'âge de 94 ans
Parents

2009
Parents


2010

Décès le 10 mars 2010 de la baronne Jacky de Crombrugghe de Picquendaele, née Viviane Henkart:
Nous apprenons le décès de la

Baronne Jacky

de Crombrugghe de Picquendaele

née Viviane Henkart

à Gand le 5 juillet 1939 et y décédée le 10 mars 2010.

*

Lieu et date des funérailles : église Sint-Martinus de Sint-Martens-Latem, le mercredi 17 mars 2010 à 11 heures.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
1452
Ferdinand le Catholique
 Ferdinand II d'Aragon 


1644
Balthazard Charles de Croÿ

baron de Molembais

Né le 10 mars 1644 à Chièvres

Décédé le 1er octobre 1704 à l'âge de 60 ans

Parents
Philippe Emmanuel de Croÿ, comte de Solre-le-Château 1611-1670
Isabelle Claire de Gand-Vilain 1619-1664

Marié en 1675 avec Marie Philippine de Créquy, dame de Vrolant 1654-1723, dont
Marie Philippine Anne
Guillaume François 1687-1764
Marie Eugénie Brigitte +1759

Sa marraine est Marie-Claire de Croÿ, duchesse d'Havré et alors épouse de Philippe-François


1766
Jean-Baptiste Broussier
 Jean-Baptiste Broussier, général français



10 mars 1794

 A Madrid, naissance de François de Paul de Bourbon.

1827

Hyacinthe Loyson, prêtre et un prédicateur

1845

 Alexandre III, tsar russe 


1920 
http://media.elsiglodetorreon.com.mx/i/2008/02/48113.jpeg
Marcial Maciel Degollado
 prêtre mexicain fondateur de la congrégation catholique de la Légion du Christ

Cotija de la Paz, Michoacan, Mexique 10 mars 1920
 † Houston, Texas, États-Unis , 30 janvier 2008

 prêtre mexicain, fondateur de la Légion du Christ en 1941, et supérieur général de la congrégation des légionnaires du Christ, qui revendique plus de 700 prêtres et 3000 séminaristes.

Il fonda aussi le Regnum Christi, une association laïque ayant pour vocation l'évangélisation qui revendique plusieurs dizaines de milliers de membres.

Proche des Papes et notamment de Jean-Paul II, il participa à plusieurs synodes, devient consultant permanent de la Congrégation pour le clergé.

Il se retire de la direction de la Légion du Christ en 2005, à 85 ans, avant d'être accusé de pédophilie et devra se retirer de toute vie publique, actes dont il clamera toujours son innocence.

Il meurt à Houston et est enterré à Cotija de la Paz en 2008.


1923

(Maria Elisabeth Ludmilla Josepha de Croÿ)
Parents
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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 00:01

Le 9 mars est le 68ejour de l'année

(69e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien.

Il reste 297 jours avant la fin de l'année.

C'était généralement le jour du cerfeuil, 19e jour du mois de ventôse, dans le calendrier républicain français.

Signe du zodiaque : 19e jour du signe astrologique des Poissons (ou 20e en cas d'année bissextile).

 

Dicton 

"Quand mars entre comme un mouton, il sort comme un lion."

 

Célébrations 




|Martyrologe|Laudes|Tierce|Sexte|None|Vêpres|Complies|

Martyrologe pour le neuvième jour de mars,

L'an 1440, la naissance au ciel de sainte Françoise Romaine, épouse et mère de famille chrétienne. Veuve à 52 ans, elle anima une communauté d'oblates bénédictines, vouées à la prière et aux oeuvres charitables.

 

Vers 390, à Barcelone, saint Pacien, évêque. Il écrivit beaucoup au sujet de la discipline ecclésiastique. Sa science et sa sainteté l'ont fait ranger parmi les illustres évêques de l'Espagne.

 

Au Xe siècle, saint Antoine, moine de Luxeuil, qui fut ermite à Froidmont, au diocèse de Beauvais.

 

En Bretagne, l'an 1038, le bienheureux Félix, abbé de Rhuys.

 

En 1463, sainte Catherine, abbesse du couvent des Clarisses de Bologne. Favorisée de grâces mystiques, elle ne cessait d'exhorter ses filles aux humbles vertus d'union et de paix.

 

L'an 1857, saint Dominique Savio. Il mourut à l'âge de quinze ans au collège fondé à Turin par saint Jean Bosco, après avoir donné l'exemple d'une vie de prière, et d'une charité fraternelle enjouée et austère à la fois.

 

 

 

 

Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et bienheureux.

Sainte Françoise Romaine Pénitente romaine (+ 1440)
Santa_Francesca_Romana_B.jpg

A treize ans, parce qu'elle était de bonne noblesse romaine, elle dut épouser Lorenzo de Ponziani. Ils formèrent un ménage parfait, amoureux et paisible. Pour le public, elle était une merveilleuse maîtresse de maison et une grande dame dans ses réceptions. Mais elle réservait à Dieu ses conversations les plus longues, dans le petit oratoire au fond de son jardin. Elle acceptait avec une joie paisible les charges d'épouse et de mère de famille. Devenue veuve, elle se retira dans la petite congrégation des Oblates de saint Benoît qu'elle venait de fonder pour les dames romaines qui voulaient s'adonner à la prière et aux bonnes oeuvres. Elle mourut chez elle en soignant son fils malade.

Autre biographie:
Jeune aristocrate romaine, fille de Paolo di Bussi et de Giacobella di Broffedeschi. Elle reçoit une éducation très pieuse et a une dévotion particulière pour Sainte-Agnès. À l’âge de 12 ans, et contre sa volonté de devenir religieuse, son père l’oblige à se marier à Lorenzo de Ponziani. Elle est tellement affligée de cette situation qu’elle tombe malade peu de temps après et pendant une année elle souffre de douleurs et ne peut ni parler ni marcher. La famille de son mari croit qu’elle subit une influence diabolique et mande une sorcière à son chevet, qui confirme les humeurs de la jeune femme sont perverties. Cette déclaration provoque une telle colère chez Françoise qu’elle retrouve instantanément l’usage de la parole pour chasser la sorcière. Quelque temps après, elle reçoit une vision de Saint-Alexis, qui lui demande si elle préfère vivre ou mourir; elle répond qu’elle suivra la volonté de Dieu; Saint-Alexis lui répond alors qu’elle vivra pour glorifier Son Nom. Après cette vision, elle recouvre complètement la santé et accepte de bonne grâce les obligations du mariage. Les époux vivent ensemble pendant plus de 40 ans et ils ont trois enfants. Devenue veuve, Françoise fonde l’ordre des Oblates de Saint-Benoît. Elle consacre toute sa fortune au service des malades et des pauvres puis fonde à Rome le premier refuge pour les enfants abandonnés (1384-1440) Le jour de sa fête, les prêtres bénissent les voitures puisqu’elle est la patronne de ces véhicules et de leurs conducteurs.
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Histoires de Ste. Françoise Romaine par Antoniazzo Romano (1468)

Voir aussi:
http://www.magnificat.ca/cal/fran/03-09.htm#romaine
http://hodiemecum.hautetfort.com/archive/2009/03/09/index.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7oise_Romaine
http://missel.free.fr/Sanctoral/03/09.php



Saint Antoine de Froidemont Confesseur (10ème s.)
Moine de Luxeuil, il se retira dans une forêt non loin de Beauvais pour y vivre la solitude.



Saint Botolf (+ 655)
ou Botulphe.
Originaire de Maestricht, il fut converti alors que son pays était encore païen. Il passa alors en Belgique, puis en Angleterre, pour trouver un lieu désertique et mieux se consacrer à Dieu. Les invasions danoises détruisirent son ermitage. Il fut très honoré en Angleterre, jusqu'au jour où celle-ci quitta l'Eglise romaine.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Est-Anglie



Saint Bruno de Querfurt Evêque de Querfurt, martyr (+ 1009)
432px-Bruno_of_Querfurt.jpg

Bruno de Querfurt, fresque, monastère Święty Krzyż, (Pologne)

Brunon ou Boniface.
Apparenté à la famille impériale germanique, il se rend à Rome où il entre au monastère bénédictin de l'Aventin. Plus tard il se mettra sous la conduite de saint Romuald à Ravenne. Le Pape Sylvestre II l'envoie évangéliser la Ruthénie et c'est là qu'avec 18 de ses compagnons, il offre sa vie en sacrifice pour la conversion et le salut des païens.

9 mars: Dans la Moravie orientale, en 1009, saint Bruno, évêque de Querfurt et martyr. Alors qu’il accompagnait en Italie l’empereur Othon III, il fut remué par l’autorité de saint Romuald, il se livra à sa règle de vie en recevant le nom de Boniface, puis il retourna en Allemagne, ordonné évêque des païens par le pape Jean X et, dans une de ses courses missionnaires, il fut massacré par des idolâtres avec dix-huit compagnons.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_de_Querfurt



Sainte Catherine de Bologne Clarisse à Bologne (+ 1463)
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Vierge. Abbesse du couvent des clarisses de Bologne, elle fut favorisée de grâces mystiques étonnantes. Elle ne cessait de rappeler à tous ceux et celles qui l'entouraient, les vertus d'humilité, de patience et d'union à Dieu.

Autre biographie:
Fille d’un diplomate, elle est demoiselle d’honneur de la fille d’un marquis et, à ce titre, reçoit la même éducation qu’elle. Devenue tertiaire franciscaine à l’âge de 14 ans, elle entre ensuite chez les clarisses, où elle dirige les novices. En 1456, elle est choisie comme abbesse du couvent de Bologne. Catherine est particulièrement reconnue pour avoir opéré de nombreux miracles, mais aussi pour ses dons de prophétie.
Sainte-Catherine de Bologne est la patronne des peintres.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_de_Bologne
http://www.biblisem.net/etudes/leraunes.htm



Saint Dominique Savio Disciple de saint Jean Bosco (+ 1857)
St_Dominingo_Savio.jpg

Le pupille de saint Jean Bosco était d'une famille humble, paysan-forgeron dans le Piémont. Grande fut sa vertu tout autant que sa joie lumineuse et sa bonne humeur. Il mourut alors qu'il n'avait pas quinze ans et son biographe n'est autre que saint Jean Bosco. Il fut canonisé en 1954 et a été proclamé patron des "Pueri Cantores", des petits chanteurs et des jeunes délinquants parce qu'il aidait ses camarades à retrouver le chemin de l'Evangile.

A lire aussi: Don Bosco et Dominique Savio sur le site des Salésiens.
http://www.salesien.com/index.php/don-bosco-et-l-histoire/62-don-bosco-et-dominique-savio

«Veux-tu devenir saint, comme le demande l'apôtre Paul (cf. 1 Th 4, 3)? Par la grâce du Seigneur, dit don Bosco, tu en as l'étoffe!
- Oui, je le désire vivement et je souhaite que cette étoffe devienne un bel habit pour le Seigneur, répond Dominique; mais il me faut pour cela un bon tailleur. Acceptez-vous de le devenir pour moi?»
À Mondonio dans le Piémont, en 1857, saint Dominique Savio. D’un caractère doux et joyeux depuis son enfance, il parcourut à grands pas, sous la direction de saint Jean Bosco, le chemin de la perfection, qu’il acheva à l’âge de quinze ans.
Martyrologe romain

«Pour nous, nous faisons consister la sainteté à être toujours joyeux» (Cf. Ga 5, 22)

Autre biographie:
Saint Dominique Savio naquit à Riva di Chieri, près de Turin. Il était le deuxième d'une famille de dix enfants. Doué d'une tendre piété et d'une intelligence précoce, dès l'âge de quatre ans Dominique récite l'Angélus trois fois par jour; le récit de la Passion le bouleverse. A cinq ans, il assiste à la sainte messe qu'il est admis à servir avant d'avoir atteint ses six ans. Il s'acquittera toujours de cette pieuse fonction avec un grand recueillement.
Sa ferveur exceptionnelle lui valut la grâce de recevoir la Sainte Eucharistie dès l'âge de sept ans, contrairement aux habitudes de l'époque. Le jour de sa première communion, il écrivit une série de résolutions qu'il voulait garder toute sa vie: «Je sanctifierai tous les jours de fête; je me confesserai souvent et je communierai aussi souvent que mon confesseur me le permettra; Jésus et Marie seront mes amis. Je préfère mourir plutôt que de pécher.»
Dans l'espoir de devenir prêtre plus tard, le petit Dominique franchit, pieds nus, seize kilomètres par jour pour aller s'instruire. La grande pauvreté de sa famille incite le curé de sa paroisse à le conduire chez Don Bosco qui prendra un soin tout paternel de cette âme d'élite.
C'est en octobre 1854, à l'âge de douze ans et demi que Dominique fut présenté au saint prêtre de Turin. L'adolescent lui ouvrit son âme toute grande, surtout par la confession hebdomadaire.
Le 8 décembre 1854, alors que l'univers chrétien tout entier acclamait la Sainte Vierge, proclamée Immaculée, Dominique Lui dédiait toute sa vie et Lui consacrait particulièrement sa pureté d'adolescent. L'amour de la pureté poussait notre jeune Saint à bannir de l'institut de Don Bosco tout ce qui pouvait nuire à la belle vertu.
Au printemps 1855, l'appel à la sainteté retentit dans l'âme angélique de Dominique: «Dieu me veut saint!», répétait-il à Don Bosco. Cherchant à ressembler à Jésus en Son mystère de souffrance, envahi de plus en plus par l'amour de Jésus rédempteur, il s'ingénie au sacrifice et fonce dans la voie des pénitences extraordinaires. «Non, objecte Don Bosco; ton devoir d'étudiant, la joie permanente au service des autres, voilà ta sainteté.» Dominique obéit de bon coeur à cette formule d'ascèse toute salésienne.
Chaque jour, il rencontre Jésus dans l'Eucharistie. On se rend vite compte que ses actions de grâces sont de purs ravissements. Lorsqu'il propose la fondation de la Compagnie de l'Immaculée, ses compagnons lui demandent ce qu'ils auront à faire: «D'abord, explique le petit Saint, nous aimerons la Sainte Vierge de tout notre coeur. Nous Lui demanderons aussi de nous protéger pendant la vie et surtout à l'heure de la mort. Enfin, chaque fois qu'il y aura une de Ses fêtes, on fera tout son possible pour la rendre belle et on communiera.»
Les durs hivers de Turin achevèrent de détériorer sa santé qui n'avait jamais été brillante; elle chancela grièvement au début de l'année 1857. Malgré le courage et la joie héroïque de Dominique, il dut interrompre sa classe de seconde et rentrer dans sa famille à Mondonio pour tenter d'y refaire ses forces. Hélas! Huit jours après son arrivée à la maison, il expirait dans les bras de son père. Dominique avait 14 ans et 11 mois.
San_Domenico_Savio_AI.jpg

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_Savio
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0076.htm
http://www.salesien.com/bosco/compagnie.htm
http://www.dominiquesavio.be/



Saint Félix (+ 1308)
Clocher.jpg

Entrée de l'abbaye de Saint Gildas de Rhuys

D'abord ermite dans l'île d'Ouessant, il quitta son ermitage lors des invsasions normandes pour se réfugier à l'abbaye de Fleury, actuellement Saint-Benoît sur Loire. Par la suite, revenu dans son pays d'origine, il restaura la célèbre abbaye de Saint Gildas de Rhuys, en Bretagne.
http://polycarpe.homeip.net/abbaye/



Saints Martyrs de Sébaste 40 personnes (+ 320)
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Les Quarante martyrs de Sébaste

Fêtés le 9 mars en Orient et le 10 mars en Occident.
Ils étaient quarante militaires de la XIIe légion, Fulminata (la Fulminante), cantonnée à Sébaste en Petite-Arménie, lorsque l'empereur Licinius ordonna à toute l'armée de renouveler son serment de fidélité en sacrifiant aux dieux. Ces quarante soldats se déclarèrent chrétiens et ils furent condamnés à être jetés, nus, sur un étang gelé et à mourir de froid, lentement, alors qu'au bord de l'étang des thermes bien chauffés tentaient de les séduire. Un seul apostasia et fut immédiatement remplaçé par le gardien des thermes, impressionné par leur courage. Au matin, ceux qui étaient encore en vie, furent tués à coups de barres de fer. Leurs reliques furent tout de suite l'objet d'un culte très populaire.
Près de Sébaste en Arménie, l’an 320, la passion des saints quarante soldats cappadociens. Au temps de l’empereur Licinius, frères non par le sang mais par la foi, ils déclarèrent avec force qu’ils étaient chrétiens et, sur l’ordre du préfet Agricola, après avoir été enchaînés et avoir subi des tourments atroces, ils furent exposés nus au grand air, toute une nuit, durant un hiver très rigoureux, sur un étang glacé. Leurs corps, contractés par le froid, se disloquaient, et enfin ils eurent les jambes rompues pour achever leur martyre.
Martyrologe romain

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Quarante_martyrs_de_S%C3%A9baste
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Quarante_martyrs_de_S%C3%A9baste_(fresque)



Saint Pacien (+ 390)
Evêque de Barcelone et confesseur, ses écrits développent la doctrine évangélique et apostolique du Baptême, sacrement de la Foi qui fait participer l'homme à la victoire du Christ sur la mort.

Autre biographie:
Évêque de Barcelone, marié et père d’un fils (Dexter) qui est Grand chambellan de l’Empereur Theodose. Il est l’auteur de plusieurs écrits ecclésiastiques, et notamment d’une « Exhortation à la pénitence » qui est considérée comme un grand classique du genre. Ses écrits sont malheureusement disparus, mais ils sont tout de même connus grâce à Saint-Jérôme, qui a fait l’éloge de Saint-Pacien.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pacien_de_Barcelone



Saint Urpasien (4ème s.)
Martyr. Il était officier de l'empereur Maximien quand il fut arrêté comme chrétien. Après avoir eu le corps déchiré à coups de fouets, il fut enfermé dans une étroite cage de fer et suspendu au-dessus d'un brasier. La chaleur des braises le consumèrent lentement jusqu'à ce qu'il ne devint que cendres.



Saint Vital ermite, fondateur et abbé à Armentum (+ 993)
Vital de Castronovo, sicilien, ermite, fondateur et abbé à Armentum.
"Saint Vital, comme les autres, est né en Sicile, à peu près à la même époque que saint Luc d'Armento
(http://nominis.cef.fr/contenus/saints/11414/Saint-Luc.html) qu'il rencontrera un jour sur sa route, et comme lui il est venu demander asile à la Calabre, puis à la Basilicate; chacune de ses étapes, Castro-Roseto, Monte-Raparo, Sant-Angelo de Asprono, Saint-Élie de Massaniello, Armento, Rapolla enfin où il meurt, marque un pas de plus dans la marche en avant de l'hellénisme calabrais. Lui aussi enfin il se trouve un jour en présence des Sarrasins, et on nous le montre, après qu'il a protégé la fuite de son monde, restant seul pour faire front à l'ennemi: mais Dieu est avec lui, une splendeur l'enveloppe et les Ismaélites sont terrassés."
(source: L'abbaye de Rossano )
http://www.archive.org/stream/labbayederossan00batigoog/labbayederossan00batigoog_djvu.txt



Les Églises font mémoire...

Arméniens : Amenawag (+1335), néomartyr

Catholiques d’occident : Françoise Romaine (+1440), religieuse (calendrier romain)

Coptes et Ethiopiens (30 amsir/yakkatit) : Recouvrement de la tête de Jean Baptiste (452 ; Église copte)

Luthériens : Bruno de Querfurt (+ 1009), évêque en Pologne

Maronites : Les Quarante saints martyrs de Sébaste

Orthodoxes et Gréco-catholiques : Les Quarante martyrs de Sébaste

Syriens d’orient : Les Quarante martyrs de Sébaste
Saints catholiques[2] et orthodoxes[3] du jour
  • Grégoire († vers 400), Grégoire de Nysse (date occidentale).

 

Saints et bienheureux catholiques[2] du jour

Prénoms du jour 

Bonne fête aux :

  • Françoise (au calendrier civil 2009), et à ses dérivés : Fadilla, Fanchette, Fanchon, Fanélie, Fanny, France, Franceline, Francesca, Francette, Franciane, Francine, Francisca, Francisque, Fransez, Franseza, Soa, Soaz, Soizic, etc.

 

Événements

9 mars dans les croisades
1098
 Mort de Thoros, gouverneur d'Édesse, au cours d'une émeute. Baudouin de Boulogne devient comte d'Édesse[1]
1403
 Mort de Bayezid Ier, prisonnier de Tamerlan[1]

 

 

1309

Bertrand de Got, ancien archevêque de Bordeaux et pape sous le nom de Clément V, fixe la ré­sidence papale (d'abord provisoire) au couvent des dominicains à Avignon afin d'échapper aux troubles po­litiques qui agitent Rome : c'est le début de la « captivité de Babylone » qui durera 68 ans. Clément V demeurera ensuite à Malaucène, Carpentras et Caromb.

 

1451
 En la chapelle du château de Chambéry
 mariage de Louis XI et de Charlotte de Savoie
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Mariage du dauphin Louis de France, fils du roi Charles VII le Victorieux et de sa femme Marie d’Anjou, avec Charlotte de Savoie, fille de Louis Ier, duc de Savoie et prince de Piémont et d'Anne de Chypre-Lusignan. L’épouse n’avait que 6 ans sans qu’il semble qu’on ait obtenu la dispense papale d’âge canonique fixée à 1...2 ans pour pouvoir contracter noces. L’union se fit d’ailleurs contre la volonté du roi qui se mit en colère. Pour en échapper, le dauphin et sa femme se réfugièrent dans la cour de Philippe III le Bon, duc de Bourgogne. Le mariage fut validé par l’absence de dénonce formelle quand la mariée arriva à l’âge nubile. Charlotte de Savoie donnera à celui qui deviendra le roi Louis XI huit enfants dont trois seulement arriveront à l’âge adulte : Anne de France, future duchesse de Bourbon et régent du royaume, dite Anne de Beaujeu ; Jeanne de France, future reine de France et sainte, et le dauphin Charles, futur roi Charles VIII, dernier des Valois-Orléans directes.


1661
 Vincennes


 Mazarin vient de s'éteindre à l'âge de cinquante-huit ans.
Régnant sans partage sur l'esprit et le cœur de la régente, cet Italien, qui aurait épousé en secret la souveraine, a sauvé avec elle la monarchie: il est sorti vainqueur de la Fronde et a su mettre un terme à la guerre avec l'Espagne; il a mené à bien l'œuvre commencée par le cardinal de Richelieu et préparé le règne de Louis XIV. Celui-ci, dès le lendemain de la mort de Mazarin, fait savoir à la cour sa volonté de ne plus prendre de Premier ministre. 1720
 France, un édit supprime les charges prévôtales de la Maréchaussée (ancêtre de la Gendarmerie), qui est alors constituée en brigades établies chacune sur un secteur géographique, avant qu'un réel maillage du territoire ne soit réalisé en 1769. 1765
 Paris

 Voltaire triomphe : grâce à lui, Jean Calas est réhabilité.
1796
 Paris (19 ventôse)

 Le général Bonaparte épouse Joséphine de Beauharnais.
 
Cliquez sur le visage des personnes à marquer.
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 À la mairie du IIe arrondissement de Paris, le général Napoléon Bonaparte épouse civil...ement la vicomtesse veuve de Beauharnais, née Joséphine Tascher de la Pagerie à Les Trois-Îlets en Martinique le 23 juin 1763. Elle avait deux enfants du premier lit : Eugène et Hortense. Joséphine était alors une des « reines de Thermidor » avec son amie Thérèse Tallien, née Cabarrus, toutes les deux, s’étant sauvé de la guillotine la veille de leur exécution grâce à la chute de Robespierre (27 juillet 1794). Le mariage de Bonaparte et Joséphine ne sera validé par l’Église que par « sanatio in radice » octroyée par le pape Pie VII peu avant du couronnement de Napoléon et de son épouse en 1804.


1820

Victor Hugo reçoit une gratification du roi Louis XVIII pour son " Ode sur la Mort du Duc de Berry ".

1889
 Ménélik II est proclamé empereur d'Éthiopie.
1929
Mariage d'Isabel Alfonsa de Borbón et de Jan Kanty Zamoyski
Isabel Alfonsa de Borbón-Dos Sicilias y Borbón, infante d'Espagne 1904-1985, fille de
María de las Mercedes de Borbón y Habsburgo-Lorena, infante d'Espagne, princesse des Asturies, soeur du roi Alphonse XIII d'Espagne, 1880-1904, et du prince Charles de Bourbon des Deux-Siciles 1870-1949, épousa au palais royal de Madrid, en 1929,  le comte Jan Kanty Zamoyski  1900-1961, fils du comte  Andrzej Przemysław Zamoyski  1852-1927 et de la princesse Maria Carolina de Bourbon des Deux-Siciles 1856-1941
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Infanta de España, principessa di Borbone delle Due Sicilie
 
Parents
Après avoir vécu en Europe de l'Est et Paris, le couple s'installa en 1945 à Séville mais se sépara peu de temps après. Le comte qui était alcoolique s'installa sur la Côte d'Azur (il mourut à Monte Carlo) pendant que l'infante continua de vivre dans la région de Séville jusqu'à la fin des années 1970, date à laquelle elle se résigna à vivre à Pozuelo de Alarcon (Madrid).  Le couple eut 4 enfants
Le 20 juillet 1985, l'infante Elena représenta la famille royale espagnole aux funérailles de l'infante Isabel Alfonsa au monastère de San Lorenzo del Escorial. 
1932
Le dernier empereur de Chine, Puyi, qui a abdiqué en 1912, devient président de l'État du Mandchoukouo, créé par les Japonais.
1956
 L'archevêque Makarios, leader indépendantiste chypriote, est assigné à résidence aux Seychelles par les autorités britanniques.
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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 00:00

1131

Henri DE BOURGOGNE
1087 - 9 mars 1131

Age: 44 ans

1156
 Alexandre de Malonne, évêque de Płock.

 

 

1483

Marguerite DE SAVOIE
1439 - 9 mars 1483 à l'âge de 44 ans


 

1646

Baltazar Charles DE BOURBON
17 octobre 1629 - 9 mars 1646 à l'âge de 16 ans
(Giulio Mazarino)

(en italien : Giulio Mazarini)

mieux connu sous le nom de Cardinal Mazarin fut un habile diplomate et homme politique, d'abord au service de la Papauté, puis des rois de France.

Il succéda à Richelieu.

9ème duc de Nevers (1659-1661), seigneur de Thann et d'Altkirch (1658), comte de Ferrette (1659), seigneur d'Issenheim (1659)
Chef du Gouvernement

 

Surintendant des Bâtiments

 


cardinal et homme d'État français
né le 14 juillet 1602 à Pescina, dans les Abruzzes, au sud-est de l'Italie.
Décédé le 9 mars 1661 au château de Vincennes (94-Val de Marne) à l'âge de 58 ans en laissant une Europe en paix
 

 
Inhumé à l'Institut de France à Paris
Jules Mazarin
Jules Mazarin
Parents
Relations

 


 5ème roi de Prusse (1861-1888)
puis premier empereur allemand (1871-1888)
22 mars 1797 - 9 mars 1888 à l'âge de 90 ans

 
À Berlin dans l’Empire Allemand, décès du Kaiser Guillaume Ier d’Allemagne âgé de presque 91 ans et ayant régné comme empereur depuis sa proclamation par Bismarck à Versailles le 18 janvier 1871, avec la création du Deuxième Reich. Guillaume Ier appartenait à la Maison de Hohenzollern et avait régné en Prusse depuis 186...1, succédant à son frère Frédéric-Guillaume IV, comme lui fils du roi Frédéric-Guillaume III et de la courageuse reine Louise de Prusse (née princesse de Mecklembourg-Strelitz). Guillaume Ier fut succédé par son fils Frédéric III qui ne dura pas longtemps (il fut appelé « l’empereur de 99 jours »), rongé comme il était par le cancer. A sa mort le 15 juin 1888 ce fut son fils Guillaume II qui monta sur le trône. 1888 est connue donc comme « l’année des trois empereurs ».
 cardinal fançais, archevêque de Rouen 
1952

Edouard DE BROGLIE
18 octobre 1900 - 9 mars 1952 à l'âge de 51 ans


1958

Gaëtan DE BOURBON
11 juin 1905 - 9 mars 1958 à l'âge de 53 ans

 Jean-Marie Villot, cardinal français, Secrétaire d'État11 octobre 1905)

2009
Décès le 9 mars 2009 de la comtesse François de Lubersac, née princesse Laetitia Murat
(Laetitia Marie Cécile Marcelle Murat)

Chevalier de la Légion d'honneur

Chevalier de l'ordre national du Mérite


Parents
(mariage civil à Paris le 11 juillet 1946)

Parents
2009
 María del Carmen Montero de Espinosa y Giquel
Décédée à Madrid


2010
Madame Jean-François LEMOINE,
Le Comte et la Comtesse Ghislain de NICOLAY,
Le Comte Emmanuel de NICOLAY,
ses enfants et belle-fille;

Monsieur David LEMOINE,
Mademoiselle Louise LEMOINE,
Mademoiselle Alice LEMOINE,
Monsieur Charles de NICOLAY,
Mademoiselle Tatiana de NICOLAY,
Monsieur Aymar-Henri de NICOLAY,
Monsieur Humbert de NICOLAY,
ses petits-enfants;
 
Mademoiselle Maddalena CLERICUZZIO,
son arrière-petite-fille;
 
Le Marquis de NICOLAYS,

Madame Barbara LESNIAK,
Monsieur et Madame Eric FULSTER,
Monsieur et Madame Marc LAFONT,
 
ont la grande tristesse de faire part du rappel à Dieu de la
 
COMTESSE
Henri de NICOLAY
 
née Antoinette de NICOLAYS
 
à Paris le 5 mai 1922 et décédée au Château de Loupoigne le 9 mars 2010, munie des sacrements de l'église.
 
La cérémonie religieuse, suivie de l'inhumation, sera célébrée en l'église Saint-Jean-Baptiste de Loupoigne le VENDREDI 12 MARS 2010, à 11 h 30.
 
LE PRÉSENT AVIS TIENT LIEU DE FAIRE-PART
Mme Jean-François Lemoine, ses enfants et petite-fille, le comte et la comtesse Ghislain de Nicolay et leurs enfants, le comte Emmanuel de Nicolay et ses enfants
ont la grande tristesse de faire part du rappel à Dieu de la

comtesse Henri de NICOLAY
née Antoinette de Nicolay,


le 9 mars 2010, au château de Loupoigne (Belgique).
La cérémonie religieuse, suivie de l'inhumation, sera célébrée en l'église Saint-Jean-Baptiste de Loupoigne, le vendredi 12 mars 2010, à 11 h 30.


2010
On nous prie d'annoncer le décès de la
comtesse d'ESCLAIBES
née Cavrois de Saternault,

survenu dans sa 94 e année, à Paris, le 9 mars 2010, entourée de l'affection des siens et munie des sacrements de la Sainte Église.
La messe de funérailles aura lieu le vendredi 12 mars, à 15 heures, en l'église d'Avesnes-le-Comte (Pas-de-Calais).
Une messe sera célébrée à son intention ultérieurement à Paris.
Priez Dieu pour elle !

sera célébrée le vendredi 16 avril, à 12 h 20, en la chapelle Saint-Louis de l'École militaire, Paris (7 e ), par le père Baudouin de Beauvais, son neveu.

 

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 00:00
 croisé français
1285
  Empereur Go-Nijō du Japon

 saint italien 


1629

Tsar Alexis Ier de Russie 

1900 

 


 duc de Spolète puis quatrième duc d’Aoste
Aymon Robert Marguerite Marie Joseph Turin de Savoie (en italien : Aimone Roberto Margherita Maria Giuseppe Torino di Savoia), duc de Spolète puis quatrième duc d’Aoste, est né le 9 mars 1900 à Turin, en Italie, et est décédé le 29 janvier 1948 à Buenos-Aires, en Argentine. C'est un membre de la branche d'Aoste de la Maison de Savoie qui règne nominalement sur l'État indépendant de Croatie, le régime des Oustachis, entre 1941 et 1943, sous le nom de Tomislav II.

Famille

Tomislav II est le second fils du prince Emmanuel-Philibert de Savoie-Aoste (1869-1931), deuxième duc d’Aoste, et de son épouse la princesse française Hélène d’Orléans (1871-1951)

 

Par son père, il est le petit-fils de l'éphémère roi d'Espagne Amédée Ier de Savoie (1845-1890) et l’arrière petit-fils du roi Victor-Emmanuel II d’Italie (1820-1878). Par sa mère, il est le petit-fils de Philippe d’Orléans (1838-1894), « comte de Paris » et prétendant orléaniste au trône de France sous le nom de « Philippe VII ».

 

Le 1er juillet 1939, le prince épouse à Florence la princesse Irène de Grèce (1904-1974), fille du roi Constantin Ier de Grèce (1868-1923) et de sa femme la princesse Sophie de Prusse (1870-1932). De cette union naît un enfant :

Biographie

Duc de Spolète
Formation militaire et Première Guerre mondiale

À partir de 1916, le prince Aymone entre à l’Académie navale de Livourne où il reçoit le grade d’aspirant et devient, dès l’année suivante, sous-lieutenant de la marine royale italienne. Pendant les derniers mois de la Première Guerre mondiale, il s’engage dans l’armée de son pays et intègre une escadrille d’hydravions. Ses actions lui valent d’ailleurs d’être décoré d’une croix de guerre, de deux médailles de bronze et d’une d’argent.

À la conquête du K2


Le K2, dans l'Himalaya.

En 1929, trente ans après que son oncle le prince Louis-Amédée de Savoie (1873-1933), duc des Abruzzes, a tenté d’escalader le K2, Aymon conduit à son tour une expédition dans le massif du Karakoram, en compagnie de l’explorateur italien Ardito Desio. Cependant, le projet échoue à cause des conditions climatiques désastreuses et le jeune prince doit se contenter d’accomplir des recherches scientifiques dans l’Himalaya.

Carrière militaire

De retour en Italie, le duc de Spolète poursuit sa carrière militaire et reçoit, le 1er juillet 1934, le grade de capitaine de vaisseau.

Roi de Croatie
Une proclamation surprenante

Ante Pavelić, chef de la Croatie des oustachis.



Le 18 mai 1941, Ante Pavelić, chef des oustachis, offre la couronne de l’Etat indépendant de Croatie au prince Aymon de Savoie, qui devient, à cette occasion, le roi Tomislav II de Croatie. Mais le pays est en réalité un État fantoche, contrôlé par les troupes germano-italiennes qui l’occupent depuis l’invasion du royaume yougoslave, le 6 avril 1941. C’est la raison pour laquelle, lorsqu'il apprend sa nomination au titre de roi, le prince est d’abord convaincu qu’il est la victime d’une mauvaise blague de son cousin le roi Victor-Emmanuel III d’Italie (1869-1947).

Le refus du statut de fantoche

Par la suite, le nouveau monarque refuse de partir se faire couronner dans la ville de Dunansko Polje, en Bosnie, sous le prétexte de la « question dalmate », provoquée par l’annexion par Mussolini d’un certain nombre de territoires croates situés en bordure de la mer Adriatique. À cette occasion, le prince déclare que, pour lui, la Dalmatie « est une terre qui ne pourra jamais être italianisée » et que son annexion constitue un obstacle à la réconciliation italo-croate. Il refuse, dès lors, de mettre les pieds dans son royaume et ne le visitera jamais.

Le prince Aymon abdique d’ailleurs de son trône le 31 juillet 1943, après le retrait des troupes italiennes de Croatie.

Duc d'Aoste
À Brindisi

Le roi Victor-Emmanuel III d'Italie.



En septembre 1943, le prince Aymon, alors amiral de la marine royale, suit son cousin le roi Victor-Emmanuel III d’Italie à Brindisi. Il perd le contact avec son épouse qui est rapidement arrêtée par les Allemands et donne naissance à leur fils unique en captivité.

Dans les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale, le prince devient commandant de la base navale de Tarente et reçoit le grade d’amiral d’escadre. Il est cependant renvoyé de ce poste peu de temps après pour avoir critiqué les juges ayant déclaré coupable le général Mario Roatta.

Exil

Après le référendum institutionnel de 1946 qui proclame la république, le prince Aymon quitte l’Italie et s’installe en Argentine, où il meurt d’un infarctus dix-sept mois plus tard. Sa dépouille mortelle est alors transférée dans la crypte de la basilique de Superga, près de Turin.

Titulature et fonctions

Le 22 septembre 1904, alors âgé d’à peine quatre ans, le jeune Aymon de Savoie reçoit, comme second fils du duc d’Aoste, le titre de duc de Spolète.

 

Du 18 mai 1941 au 31 juillet 1943, il est reconnu par les puissances de l’Axe et un certain nombre d’États neutres comme le roi Tomislav II de Croatie, prince de Bosnie et d’Herzégovine, Voïvode de Dalmatie, de Tuzla et de Temun.

 

À la suite du décès sans postérité masculine de son frère, le prince Amédée, dans un camp de prisonniers britannique de Nairobi, au Kenya, le 3 mars 1942, et jusqu’à sa propre mort, le prince Aymon devient également quatrième duc d’Aoste, prince de Cisterna et de Belriguardo, marquis de Voghera et comte de Ponderano.

Bibliographie
  • Giulio Vignoli, Il sovrano sconosciuto. Tomislavo II Re di Croazia, Verlag Mursia, Firenze


1923

Basil Hume
cardinal britannique, archevêque de Westminster
 
1923
Stephen Fumio Hamao
 cardinal japonais de la curie romaine
 
1995
(Alexander Carl Rupprecht Rudolf Zdenko Seraphm Maria de Croÿ)
Parents

 

 
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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 00:01

 

 

Le 8 mars est le 67ejour de l'année


(68e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien


Il reste 298 jours avant la fin de l'année


C'était généralement le jour du mouron, 18e jour du mois de ventôse, dans le calendrier républicain français

Signe du zodiaque : 18e jour du signe astrologique des Poissons (ou 19e en cas d'année bissextile)

 

 

Célébrations 

 

Martyrologe pour le huitième jour de mars


 

A Grenade, en Espagne, l'an 1550, la naissance au ciel de saint  

 

Jean de Dieu, fondateur de l'Ordre des Frères Hospitaliers qui

 

portent son nom.

 

Au cours d'une vie extraordinaire, il brilla par sa sainteté, sa

 

charité et son obéissance.

 

A Carthage, au IIIe siècle, saint Ponce, diacre du bienheureux

 

évêque Cyprien.

 

Il accompagna ce dernier en exil et l'assista dans son martyre.

 

En Égypte, vers 311, la passion de saint Arien qui fut noyé en

 

mer.

 

En 690, la mise au tombeau de saint Julien, archevêque de

 

Tolède et primat d'Espagne.

 

Il s'appliqua à restaurer la liturgie mozarabe.

 

Dans la vallée de la Corrèze, l'an 1159, saint Étienne, abbé

 

d'Obazine, qui proposa d'abord à ses disciples de vivre en

 

commun l'idéal du désert, puis se rattacha tout simplement à

 

l'Ordre cistercien.

 

 

Et encore ailleurs, beaucoup d'autres saints et bienheureux.


Les saints du jour (lundi 08 Mars)
Statue de saint Jean de Dieu vénérée à l'hôpital Saint-Jean-de-Dieu de Barcelone. XVIIe.

Saint Jean de Dieu Fondateur des Frères de la Charité (+ 1550)
 
A huit ans, pour des raisons que l'on ignore, le petit portugais Joao Ciudad fait une fugue et se retrouve, vagabond, sur les routes. Pendant 33 ans, il va mener une vie d'errance : enfant-volé puis abandonné par un prêtre-escroc, il parcourt l'Espagne.
Tour à tour berger, soldat, valet, mendiant, journalier, infirmier, libraire...
Le vagabond, un moment occupé à guerroyer contre les Turcs en Hongrie, se retrouve à Gibraltar.
Et c'est là qu'un sermon de saint Jean d'Avila le convertit.
Il en est si exalté qu'on l'enferme avec les fous. Puis son dévouement éclôt en oeuvres caritatives.
Tout ce qu'il a découvert et souffert, va le faire devenir bon et miséricordieux pour les misérables.
Il collecte pour eux, ouvre un hôpital, crée un Ordre de religieux, l'Ordre de la Charité.
L'hôpital qu'il a fondé à Grenade donnera naissance aux Frères Hospitaliers de Saint Jean de Dieu.
Au moment de mourir, il dira: "Il reste en moi trois sujets d'affliction : mon ingratitude envers Dieu, le dénuement où je laisse les pauvres, les dettes que j'ai contractées pour les soutenir."

Voir aussi sa biographie sur le site internet de l'Ordre Hospitalier de Saint Jean de Dieu - Province de France.

http://saintjeandedieu.org/ewb_pages/b/biographie.php
Saint-Jean de Dieu est le patron des relieurs.
On sollicite son aide pour guérir une dépendance à l’alcool.

Lecture

Pour vaincre, le diable et la chair, il est essentiel de ne pas se fier à soi-même, car on tombera mille fois dans le péché 
il faut et il suffit de ne s’en remettre qu’à Jésus Christ et ne pas pécher uniquement par amour pour lui et pour sa bonté 
il ne faut pas davantage murmurer, ni faire du mal ou provoquer du danger pour son prochain : désirer pour le prochain ce que nous voudrions qu’on fasse pour nous ; et désirer que tous soient sauvés ;
aimer aussi et servir Jésus Christ seul pour ce qu’il est lui, et non par peur de l’enfer.

Jean de Dieu, Lettre à la Duchesse de Sesse
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Voir aussi:
http://missel.free.fr/Sanctoral/03/08.php
http://hodiemecum.hautetfort.com/archive/2009/03/08/index.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Jean_de_Dieu
http://www.saintjeandedieu.com/


Saints Apollonius et Philémon martyrs (+ 287)

Il y a plusieurs versions de leur martyr dont:
"Philémon (فيليمون ) était chanteur pour le compte d’Arien le gouverneur d’Antinoë alors qu’Apollonius (ابلانيوس ) était joueur de flute de ce dernier.
Ces deux saints étaient deux grands amis et ils eurent le désir d’obtenir la couronne du martyre.
Philémon se présenta un jour devant Arien et confessa sa Foi en Jésus Christ.
Le gouverneur ordonna alors qu’on le transperça avec des flèches.
Survint alors Apollonius tenant sa flute à la main.
Voyant cela, il confessa, lui aussi, sa Foi.
Le gouverneur se mit en colère et ordonna qu’on soumette Apollonius au même châtiment que Philémon.
L’une des flèches rebondit vers le gouverneur et lui crevât l’oeil.
Les deux saints achevèrent ainsi leur combat et obtinrent la couronne du martyre."
(Eglise copte orthodoxe de France)
http://www.eglise-copte-orthodoxe-de-france.fr/pdf/synaxaire/07_07.pdf

Apollonius (diacre), Philémon, Arien et Théotique, martyrs à Antinoé; Apollone était un solitaire en Thébaïde, avait converti Philémon, un joueur de flûte, puis le juge Arien et les gardes Théotique et ses compagnons.

À Antinoé en Égypte, l’an 287, les saints Apollonius et Philémon, martyrs.


Saint Arien (+ 311)
saint Philémon et saint Apollone, martyrs.
Il exerçait les fonctions de juge à Antinoë en Egypte, quand, témoin de la constance des chrétiens qu'il venait de condamner, il se convertit.
On les conduisit ensemble à Alexandrie pour être noyés en mer.



Saint Duthac (+ 1065)
Irlandais, il passa la mer, comme tant d'autres de ses compatriotes, et devint évêque de Ross en Ecosse où de nombreuses localités portent son nom, comme la ville de Kilduthie.
Il est aussi chargé de nombreuses légendes.



Saint Edward King (+ 1910)
Nous fêtons avec la Communion anglicane cet évêque de Lincoln qui mena une remarquable action pastorale.



Saint Etienne d'Obazine Abbé (+ 1159)
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Né en 1831, prêtre scolope(*), fondateur de la Congrégation des Filles de Calasanz.
Béatifié le 25 octobre 1998 par Jean-Paul II
- homélie en anglais
http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/homilies/1998/documents/hf_jp-ii_hom_25101998_beat_en.html

(*) des Écoles pies, fondées par Saint Joseph de Calasanz
http://nominis.cef.fr/contenus/saints/1734/Saint-Joseph-de-Calasanz.html

À Getafe près de Madrid, en 1925, le bienheureux Faustin Miguez, prêtre des Clercs réguliers des écoles religieuses, qui se donna tout entier à sa charge d’enseignant, avec une activité pastorale qui lui valut d’être reconnu comme maître et expert, et il fonda la Congrégation des Filles de Calasanz.



Saint Félix (+ 646)
Un saint prêtre de Bourgogne qui convertit Sigebert, un roi des Angles qui avait été obligé de s'exiler un temps pour échapper à des usurpateurs familiaux.
Quand il retourna en Angleterre, il emmena avec lui saint Félix et en fit un évêque dans le Suffolk. Saint Félix fut un bon évêque.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Suffolk



Saint Humphroy Evêque de Thérouanne (+ 871)

ou Hunfrid. Originaire de la région de Prüm en Allemagne, il fut évêque de Thérouanne en France et gouverna en même temps l'abbaye de Saint-Bertin.
Il fut chassé de sa ville épiscopale par les invasions normandes.
Après bien des hésitations, il n'abandonna pas sa charge et nous le retrouvons au concile d'Aix-la-Chapelle.
Nous avons de lui une lettre au pape Nicolas Ier
Il est l'un des premiers évêques à avoir donné grande solennité à la fête de l'Assomption de la Vierge Marie.

Autre biographie:
Moine bénédictin à Prumes, dans les Ardennes, il succède ensuite à Saint-Folquin comme évêque des Morins, à Thérouanne.
Contraint par les invasions normandes à abandonner son évêché, il demande au Pape Nicolas Ier l’autorisation de se retirer dans un monastère, mais ce dernier refuse, lui faisant remarquer qu’il serait plus utile à soutenir ses fidèles dans son évêché et que le moment était précisément mal venu de les abandonner dans de telles circonstances. Il décide alors de retourner à son évêché et consacre toutes ses énergies à réconforter ses ouailles et à rebâtir tout ce qui a été détruit par les Normands.
Après neuf années d’épiscopat, il gouverne l’abbaye de Saint-Bertin, mais n’y demeure que deux ans, étant démis par le roi Charles le Chauve qui préfère y placer un abbé de son choix.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Th%C3%A9rouanne#IXe.C2.A0si.C3.A8clehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9rouanne



Saint Hunon (+ 690)
Un saint moine anglais qui assista l'abbesse du monastère d'Ely, sainte Etheldrède, dans ses derniers moments.
Vers la fin de sa vie, il se retira dans un ermitage des Fens.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Etheldr%C3%A8de_d%27%C3%89ly
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_de_la_Sainte-et-Indivisible-Trinit%C3%A9_d%E2%80%99Ely



Saint Just Ranfer de Bretenières prêtre MEP martyr en Corée (+ 1866)
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Saint Just Ranfer de Bretenières, 1838-1866
La connaissance et l'amour de Dieu dilatent le coeur de l'homme et peuvent le conduire jusqu'à donner sa vie avec joie pour le salut de ses frères, comme le montre l'exemple de saint Just de Bretenières.
Lors de la canonisation des 103 martyrs de Corée – parmi lesquels Just de Bretenières et ses compagnons –, le 6 mai 1984, le Pape Jean-Paul II disait: «La mort des martyrs est semblable à la mort du Christ sur la Croix, parce que, comme la sienne, la leur est devenue le commencement d'une vie nouvelle. Cette vie nouvelle s'est manifestée non seulement en eux – en ceux qui ont subi la mort pour le Christ, mais elle a été aussi étendue à d'autres. Elle est devenue le ferment de l'Église comme communauté vivante de disciples et de témoins de Jésus-Christ. «Le sang des martyrs est une semence de chrétiens»: cette expression des premiers siècles du christianisme trouve sa confirmation devant nos yeux».
(source: Paroisse St Just de Bretenières - Chalon-sur-Saône)
http://www.paroissesaintjust.org/mapage2/index.html

Le 6 mai 1984, à Séoul, à l’occasion de son voyage en Corée, le Pape Jean-Paul II réunit dans une même canonisation ces 103 bienheureux. Parmi eux, figurent 3 évêques de la Société des Missions Etrangères de Paris (Laurent Imbert, Siméon Berneux, Antoine Daveluy,) 7 prêtres de la même Société (Pierre Maubant, Jacques Chastan, Just Ranfer de Bretenières, Louis Beaulieu, Pierre Dorie), Pierre Aumaitre, Martin-Luc Huin) ; le premier prêtre coréen (André Kim) et 92 laïcs de tous âges et de toutes conditions.
(source: Missions étrangères de Paris)
Just de Bretenières † 8 mars 1866 décapité à Sainamtheo (Seoul)

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Just_de_Breteni%C3%A8res
http://pagesperso-orange.fr/paroissedetalant/html/patrimoine/html/saintjust.htm



Saint Lazare (+ 1391)
L'Eglise russe fait mémoire de ce saint higoumène qui dirigea avec douceur et patience le monastère de Mourmansk dans le Grand Nord russe.



Saint Litfred évêque à Pavie (+ 874)
Litfred ou Liutfroid.
À Pavie en Lombardie, l’an 874, saint Litfred, évêque.



Saints Martyrs de Corée (19ème s.)
Nous fêtons ces martyrs qui, entre 1839 et 1866, donnèrent leur vie en témoignage de la foi au Christ. Le Pape a canonisé le 6 mai 1984, onze prêtres martyrs qui appartenaient aux Missions Etrangères de Paris, vingt quatre catéchistes coréens, dix jeunes femmes coréennes et six jeunes garçons et filles de moins de vingt ans, qui furent étranglés ou décapités. On estime à près de 10.000 les martyrs de cette période. Nous les fêtons aussi chacun au jour des calendriers liturgiques des Eglises qui les vénèrent. Nous fêtons aujourd'hui Pierre-Henri Dorie.



Saint Ogmond (+ 1121)
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L'Église de Hólar

Evêque de Holar en Islande, il en est l'un des premiers évangélisateurs. Il a été canonisé en 1201.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%B3lar



Saint Paul Evêque de Plousias en Bithynie (+ 843)
Evêque de Plousias en Bithynie, il était peiné de voir que les hérétiques iconoclastes renversaient les saintes icônes dans les églises pour les remplacer par des décorations végétales. Il le leur reprochait par des discours enflammés, ce qui le fit exiler dans la région de l'Olympe où il endura cette peine avec patience jusqu'à sa mort.

Voir aussi:
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsmars/mars08.html



Saint Pierre Henri Dorie (+ 1866)
Originaire de Saint-Hilaire-de-Talmont, il fit ses premièrs études aux Sables d'Olonne, entra au grand séminiaire de Luçon, mais il était attiré par les missions lointaines. C'est pourquoi, en 1862, il entra au séminaire des Missions Etrangères de Paris et fut envoyé en Corée. Quelques mois lus tard, il fut arrêté par la police coréenne qui recherchait les missionnaires entrés en fraude. Arrêté, torturé, il fut décapité avec deux évêques de la province, quatre autres missionnaires et dix-sept coréens (voir les martyrs de Corée). On fait mémoire de lui aujourd'hui dans le diocèse de Luçon en Vendée. Canonisé en 1984 par le pape Jean-Paul II.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Dorie
http://fr.wikipedia.org/wiki/Talmont-Saint-Hilaire



Saint Ponce Diacre (+ 262)
Confesseur. Diacre de saint Cyprien, il accompagna son évêque en exil et l'assista dans son martyre.



Saint Provin (+ 420)
Originaire de la Gaule cisalpine, il devint le disciple de saint Ambroise, évêque de Milan. Il fut ensuite nommé coadjuteur de saint Félix, l'évêque de Côme, à qui il succéda en 391.



Saint Rhian (?)
Probablement un moine, peut-être même un abbé dont le nom s'est attaché à une localité du Pays de Galles, Llanrhian, en Dyfed. C'est tout ce que nous savons de lui.



Saint Senan, moine (488-544)
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Ruines du monastère sur l'île de Carthaig (Scattery)

Fils d’une famille de cultivateurs irlandais chrétiens. Il reçoit son éducation de Saint-Naul, puis devient moine à Kilmanagh. Il effectue ensuite un pèlerinage à Rome et à Tour (qui à l’époque est un grand centre du monachisme). Fondateur de plusieurs églises et monastères. Vers la fin de sa vie, il se retire sur les bords de la rivière Shannon (qu’on suppose avoir été nommée ainsi en son honneur).

Autre biographie:
ou Sezni.Né dans un famille chrétienne à Munster en Irlande, il était dans l'armée avant de devenir moine sous l'abbé Cassidus qui l'envoya à Kilmanagh (Kilkenny, Ossory). Très apprécié pour ses sermons et sa sainteté, il attirait beaucoup de pélerins. Il a fondé le monastère de Enniscorthy. Il fit un voyage à Rome et au retour il rencontra saint David au Pays-de-Galles. Il construisit plusieurs églises et monastères puis s'établit sur l'île de Carthaig (Scattery) sur l'estuaire du Shannon et y fonda un monastère qui devint rapidement réputé. C'est là qu'il fut enterré.
Dans l’île de Carthaig en Irlande, au VIe siècle, saint Senan, abbé.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_Scattery



Saint Siméon-François Berneux évêque martyr en Corée (+ 1866)
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Évêque Siméon-François de Berneux de la Société des Missions Étrangères de Paris est torturé
et décapité le 7 mars 1866.

Siméon-François Berneux (né le 14 mai 1814 à Château-du-Loir dans la Sarthe – mort le 8 mars 1866 en Corée)
prêtre le 20 mai 1837, parti pour la mission du Tonkin occidental le 15 janvier 1840; missionnaire en Mandchourie en 1843; nommé en 1854 Vicaire apostolique de la Corée et évêque de Capse; sacré le 27 décembre de cette même année.

A lire sur le site des MEP:
http://mepasie2.anakrys.biz/?q=fr/berneux
"Berneux, Siméon-François, confesseur de la foi dans les prisons du Tonkin, missionnaire en Mandchourie, évêque, vicaire apostolique et martyr en Corée, montra partout un zèle infatigable, une charité vraie, une piété profonde, des talents remarquables."
Prêtre des Missions étrangères - Ordonné évêque en 1854 - Béatifié le 6 octobre 1968 à Rome par Paul VI et canonisé le 6 mai 1984 à Séoul par Jean Paul II.
Les missionnaires de Séoul, Siméon Berneux, Just de Bretenières, Louis Beaulieu et Pierre Dorie sont les premiers arrêtés en février 1866. Ils seront décapités le 8 mars avec plusieurs responsables coréens.
(source: Missions étrangères de Paris - Corée 1864-1884: de nouveau la persécution)
http://mepasie2.anakrys.biz/?q=fr/cor%C3%A9e-1864-1884-de-nouveau-la-pers%C3%A9cution

À Sai-Nam-Hte en Corée, l’an 1866, les saints martyrs Siméon Berneux, évêque, Just Ranfer de Bretenières, Louis Beaulieu et Pierre-Henri Dorie, prêtres, de la Société des Missions étrangères de Paris. Soumis à des interrogatoires et à la torture, ils répondirent hardiment à leurs persécuteurs qu’ils étaient venus en Corée pour sauver les âmes au nom du Christ, et ils furent décapités.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9dition_en_Cor%C3%A9e_du_contre-amiral_Roze



Saint Théophylacte évêque de Nicomédie (+ v. 840)
ou Théophile.
D’origine modeste, il vint à Constantinople et entra au service du saint patriarche Taraise qui, devant tant de vertus monastiques, le choisit comme évêque de Nicomédie. Il y fit édifier une véritable cité de la charité, avec des maisons particulières pour accueillir et soigner les malades, leur offrant des bains chauds, organisant un hôpital avec médecins et infirmiers, et construisant une église dédiée aux saints médecins Côme et Damien. Pour les indigents de la cité, il avait institué une aumône mensuelle, après un recensement pour qu’aucun ne soit oublié. Il connut l’époque iconoclaste et fut arrêté, exilé et enfermé dans une forteresse, veillant de loin au soin de son Église, comme nous le savons par sa correspondance. Il mourut en exil à Strobile, en Carie, après y être resté pendant près de trente années.
À Nicomédie en Bithynie, vers 840, saint Théophilacte, évêque, qui fut exilé à cause du culte des saintes images et mourut à Strobile, en Carie.



Saint Vérémond (+ 1092)
Originaire de la Navarre, il entra au monastère Notre-Dame d'Hirache et, sous son abbatiat, cette abbaye devint l'une des plus importantes du royaume. Conseiller des rois de Navarre, il réussit à convaincre le Saint-Siège de ne pas supprimer la liturgie mozarabe. Il fut aussi un grand ami des pauvres.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rite_mozarabe



Bienheureux Vincent Kadlubeck (+ 1223)
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Issu d'une famille noble de Pologne, il fait de brillantes études et est reçu docteur de l'Université de Cracovie. Ordonné prêtre et prévôt de la collégailae de Sandomir, il est élu évêque de Cracovie en 1208. Il évangélise les peuples du nord de la Pologne qui sont encore païens, se préoccupe d'améliorer la vie des pauvres et embellit les églises. Il a une grande dévotion envers l'Eucharistie qui est pour lui la source de toute sa spiritualité. Après 10 ans d'épiscopat, il décide de se retirer, distribue ses biens aux pauvres et, pieds nus, il rejoint le monastère cistercien où il mourra cinq ans plus tard.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Vincent_de_Kadlubek



Les Églises font mémoire...

Anglicans : Edward King (+1910), évêque de Lincoln; Félix (+647), évêque, apôtre des Angles d’orient ; Geoffrey Studdert Kennedy (1929), prêtre et poète

Catholiques d’occident : Jean de Dieu, religieux (calendrier romain)

Coptes et Ethiopiens (29 amsir/yakkatit) : Polycarpe (+ env. 167), évêque de Smyrne, martyr (Église copte)

Luthériens : Thomas d’Aquin (+ 1274), docteur de l’Église en Italie

Maronites : Françoise Romaine (+1440), moniale ; Jean de Dieu

Orthodoxes et gréco-catholiques : Théophylacte (+ 842), évêque de Nicomédie et confesseur
Saints catholiques[2] et orthodoxes[3] du jour
Saints et bienheureux catholiques[2] du jour
Saints orthodoxes[3] du jour
Prénoms du jour 

Bonne fête aux :

  • Jean (Jean de Dieu au calendrier civil 2009)

Et aussi aux :

Liturgie pour : Feria secunda, 8 Martii 2010
Temps liturgique : Tempus Quadragesimae
Semaine : Hebdomada III Quadragesimae
S. Ioannis a Deo, religiosi
Couleur des ornements : Violet
Semaine du psautier : 3

Événements

8 mars dans les croisades
1238
 mort d'Al-Kamil, sultan ayyoubide d'Égypte[1

1118

 Élection de l'antipape Grégoire VIII.

1324
 Le nouvel archevêque d'Arles Gasbert de Valle ou de La Val fait hommage entre les mains du roi Charles IV le Bel.
1360
 Signature d'un traité de paix entre la France (Jean le bon) et l'Angleterre (Édouard III) pour mettre fin à la guerre de Cent Ans (provisoirement car la guerre reprend 9 ans plus tard)
1484
 Un édit, pris à la demande de deux députés du Quercy aux États généraux assemblés à Tours, supprime les sièges secondaires de la Sénéchaussée, pour le plus grand profit de Cahors et de Montauban, où siégeaient les cours principales et « présidiales »
Par le traité de Lunéville, en 1801, Bonaparte contraint l'Autriche à la paix. Avec la Grande-Bretagne, il conclut la paix d'Amiens qui met fin à dix ans de guerre en Europe. Une paix provisoire, car le nouvel empereur aime la guerre et il en a besoin. Mais avant de poursuivre sa politique de conquête, il impose sa médiation aux cantons suisses.

Le repos du monde

 


L'ARMOIRE DES COEURS


Bon nombre de viscères royaux ont disparu lors des profanations de 1793.
A l'exception de celui de Charles V - conservé en la cathédrale de Rouen - les coeurs des souverains antérieurs aux Bourbons ont tous été détruits ou volés.

Ceux des Bourbons eurent (un peu) plus de chance.
Pour l'essentiel, ceux que l'on possède encore proviennent de l'église Saint-Paul-Saint-Louis, dans le quartier du marais, et de la chapelle du Val de Grâce.
Seul le coeur de Henri IV, déposé au collège de La Flèche à la mort du souverain, y est retourné - mais réduit en cendres - après la Restauration.

Pour ce qui est des cœurs de Louis XIII et de Louis XIV, les organes avaient été placés dans de magnifiques reliquaires, œuvres de Sarrazin et de Coustou, à l'église Saint-Paul-Saint-Louis.
A la révolution, ils furent, ainsi que ceux déposés au Val-de-Grâce, envoyés à la fonte à l’Hôtel des monnaies.


La suite n'est connue que par une tradition répandue par les récits d'un certain Schunck, ami du peintre Droling, colportée par G. Lenôtre mais contestée par l’article de Suzanne Dagnaud dans les Cahiers alsaciens d’archéologie d’art et d’histoire, Strasbourg, 1957. Les cœurs auraient été vendus à l’encan après le décès de l'architecte du Val-de-Grâce Petit-Radel. . Deux peintres s’en portèrent acquéreurs : Martin Drolling et Saint-Martin. Le but pour eux était de les transformer en mummie, matière organique provenant de la macération des organes mélangée à de l’huile, donnant aux tableaux un glacis parfait. Drolling utilisa la totalité des cœurs en sa possession, en particulier pour l’élaboration de son tableau « intérieur de cuisine » qui fut longtemps exposé au Louvre, et qui se trouve aujourd’hui au musée des Beaux-Arts de Strasbourg.

Saint-Martin, qui avait récupéré ceux de Louis-XIII et de Louis XIV, se servit avec modération du cœur du second et ne toucha pas à celui du premier. Il les remit plus tard à Louis XVIII qui le dédommagea d’une tabatière en or. Les restes des deux cœurs se trouvent désormais dans la basilique Saint-Denis. Reste à préciser que c’est à l’occasion de ces profanations que le cœur du fils aîné de Louis XVI disparut, ce qui alimenta ensuite grandement les fausses rumeurs autour de la survie de Louis XVII.

En 1824, au moment des obsèques de Louis XVIII, on disposa au fond du caveau royal une armoire en pierre fermée par une grille en fonte et portée par deux colonnettes à chapiteaux du XIII°s.
Elle était destinée à accueillir à Saint-Denis les coeurs ou parcelles de corps rescapés ou à venir.

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L'armoire des coeurs royaux
Gravure publiée dans Historia n° 123, février 1957, p.152

L'armoire des coeurs disparut après la Seconde Guerre mondiale, lorsque l'architecte Jules Formigé détruisit le mur de l'abside pour rendre au caveau son aspect original.
Coeurs et entrailles furent transportés dans la chapelle des princes, sur des étagères installées dans le mur Sud, où ils se trouvent toujours.

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Aujourd'hui, la chapelle des Princes, dans la crypte de Saint-Denis, conserve les coeurs de Louis XIII et de Louis XIV placés dans deux boites de vermeil.
On y trouve aussi :
- une parcelle du corps de Louis XIV,
- une parcelle du corps de Henri IV,
- le coeur de Louis XVIII,
- le coeur de Charles Ferdinand, duc de Berry,
- les entrailles de Louise Isabelle, fille de Charles Ferdinand, duc de Berry.

On trouvait aussi jusqu'aux années 1980 une parcelle du corps de Marie de Médicis, mais elle a disparu (volée ?)

Elle meurt dans le dénuement le 3 juillet 1642, de la gangrène, quelques mois avant Richelieu.
Son corps est ramené à Saint-Denis, sans grande cérémonie, le 8 mars 1643, tandis que son cœur est envoyé à La Flèche, conformément au souhait d'Henri IV qui voulait que leurs deux cœurs soient réunis.
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Le contenu de l'armoire des coeurs
Tiré de Max Billard, Les tombeaux des rois sous la Terreur (1907)

On peut l'y contempler, en se recueillant devant le monument.

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1844
 Suède : Mort de Charles XIV (Jean-Baptiste Bernadotte). Son fils Oscar Ier de Suède lui succède.
1886
 France : loi instituant les lundis de Pâques et de Pentecôte comme fériés. 1904
 Des Jésuites peuvent rentrer en Allemagne, à la suite de la révision d'une loi datant de 1872.
1910
 Espagne : Le roi autorise les femmes à poursuivre leurs études.
1920
 Damas : Fayçal est proclamé roi de Syrie.

 

1945

La déclaration finale de la Conférence de Chapultepec proclame le principe de l'égalité des droits pour tous les hommes « quelles que soient leur race ou leur religion ».


1957 

A New York, le 8 mars devient journée des Femmes.

 

1972

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Maria del Carmen Martinez-Bordiú y Franco, petite-fille du général Franco, épouse de Don Alfonso, Duc d'Anjou et de Cadix (1936 - 1989), petit-fils du roi Alphonse XIII d'Espagne, dans la chapelle du palais d'El Pardo, le 10 Mars 1972.
Le général Franco (1892 - 1975) est à l'extrême gauche.
 (Photo: Keystone / Hulton Archive / Getty Images)

Marié le 8 mars 1972 au Palais du Prado près de Madrid  imaged'Alphonse de Bourbon avec Carmen Martínez-Bordiú 1951- (Matrimonio annullato dalla Sacra Rota Apostolica 16.12.1986), dont
http://www.generalisimofranco.com/Album/vida2/franco07a.jpg

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De gauche à droite on voit le marquis de Villaverde, don Cristobal Martinez-Bordiú, son épouse, Maria del Carmen, le Généralissime, et dans le centre, les petits-enfants dont il a été le Caudillo d'Espagne et Jaime Aránzazu Marie, qui a reçu la première communion en Juin 1972.

 

Mariage de Monseigneur le prince Alphonse, duc de Bourbon, de Bourgogne, d'Anjou et de Cadix avec Carmen Martínez-Bordiú, le 8 mars 1972, au Palais du Pardo, près de Madrid.

 


1982 

France : La France observe la journée internationale des Femmes pour la première fois.

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2002 

Un astéroïde de 50 m de diamètre passe à 463 000 km sans que personne ne s'en soit rendu compte dans les observatoires. Ce n'est que le 12 mars que cette masse est aperçue. On estime que c'est un objet de même diamètre qui a explosé avant de toucher le sol en 1908, en Sibérie dans la région de la Toungouska.
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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 00:00

Ces commentaires, trouvés sur le site "Église catholique en France", permettent à toute personne de bonne volonté, chrétienne ou non, de mieux comprendre la Bible, le livre le plus diffusé au monde, en
  • décodant le langage imagé utilisé par l'auteur.

Attention le texte écrit peut différer des versions audio (Radio-Notre-Dame) et vidéo (KTO TV) qui ont été modifiées par Marie-Noëlle Thabut, parfois pour les améliorer, parfois pour s'adapter aux formats imposés par ces chaînes de radio ou de télévision. Dans cette hypothèse, nous mettons en italiques les passages supprimés pour ces médias.

Je souhaite arriver à mettre ici, chaque dimanche, les commentaires de Marie-Noëlle Thabut. Ma seule contribution consiste à surligner les passages que je trouve les plus enrichissants et à écrire en rouge ceux qui parlent d'un thème qui m'est cher : la liberté (trois autres pages de mon blog sont consacrées à ces passages des Évangiles, du reste du Nouveau Testament ou de l'Ancien Testament qui parlent de la liberté). D'après Marie-Noëlle Thabut, "... si nous ne trouvons pas dans les textes une parole libérante, c'est que nous ne les avons pas compris."

 

Version audio, trouvée sur le site de Radio-Notre-Dame (disponible seulement à compter du 8 mars 2015).

En bas de page, vous avez désormais les versions vidéo des commentaires, trouvées sur KTO TV.

PREMIÈRE LECTURE – Exode 20, 1 - 17

Sur le Sinaï,
1 Dieu prononça toutes les paroles que voici :
2 « Je suis le SEIGNEUR ton Dieu,
qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison d'esclavage.
3 Tu n'auras pas d'autres dieux en face de moi.
4 Tu ne feras aucune idole,
aucune image de ce qui est là-haut dans les cieux,
ou en-bas sur la terre, ou dans les eaux par-dessous la terre.
5 Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux,
pour leur rendre un culte.
Car moi, le SEIGNEUR ton Dieu, je suis un Dieu jaloux :
chez ceux qui me haïssent,
je punis la faute des pères sur les fils,
jusqu'à la troisième et la quatrième génération ;
6 mais ceux qui m'aiment et observent mes commandements,
je leur garde ma fidélité jusqu'à la millième génération.
7 Tu n'invoqueras pas en vain le nom du SEIGNEUR ton Dieu,
car le SEIGNEUR ne laissera pas impuni
celui qui invoque en vain son nom.
8 Souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier.
9 Pendant six jours tu travailleras
et tu feras tout ton ouvrage ;
10 Mais le septième jour est le jour du repos,
sabbat en l'honneur du SEIGNEUR ton Dieu :
tu ne feras aucun ouvrage,
ni toi, ni ton fils, ni ta fille,
ni ton serviteur, ni ta servante, ni tes bêtes,
ni l'immigré qui est dans ta ville.
11 Car en six jours le SEIGNEUR a fait le ciel,
la terre, la mer et tout ce qu'ils contiennent,
mais il s'est reposé le septième jour.
C'est pourquoi le SEIGNEUR a béni le jour du sabbat
et l'a sanctifié.
12 Honore ton père et ta mère, afin d'avoir longue vie
sur la terre que te donne le SEIGNEUR ton Dieu.
13 Tu ne commettras pas de meurtre.
14 Tu ne commettras pas d'adultère.
15 Tu ne commettras pas de vol.
16 Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain.
17 Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ;
tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain,
ni son serviteur, ni sa servante,
ni son bœuf, ni son âne : rien de ce qui lui appartient. »

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JE SUIS LE SEIGNEUR QUI T’AI FAIT SORTIR D’ÉGYPTE

Nos frères juifs appellent ce texte « les Dix Paroles », et non pas « les dix commandements », car la première parole n’est pas un commandement. Or elle est la plus importante !

« Je suis le SEIGNEUR ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage. » Ce verset constitue le prologue, et les commandements suivent ; c’est ce préambule qui justifie tout le reste, qui donne sens à tout le reste. L’originalité de la Loi en Israël, ce n’est pas son contenu, c’est d’abord son fondement : la libération d’Égypte. Israël sait pour toujours que le Dieu libérateur donne la Loi comme un chemin d’apprentissage de la liberté.

Voici ce que dit le livre du Deutéronome qui est une méditation théologique a posteriori sur les événements de l’Exode et les exigences de l’Alliance avec Dieu : « C’est le SEIGNEUR qui est Dieu, en haut dans le ciel et en bas sur la terre ; il n’y en a pas d’autre. Garde ses lois et ses commandements que je te donne aujourd’hui pour ton bonheur et celui de tes fils après toi, afin que tu prolonges tes jours sur la terre que le SEIGNEUR ton Dieu te donne, tous les jours. » (Dt 4, 39 - 40 ).1

On peut donc lire chacun des commandements comme une entreprise de libération de l’homme, de la part de Dieu, ou si vous préférez, une méthode d’apprentissage de la liberté pour l’homme. C’est le sens, pour commencer de l’interdiction de l’idolâtrie : « Tu n’auras pas d’autres dieux que moi ». Et, tout au long de l’Ancien Testament, les prophètes, les uns après les autres, se feront les champions de la lutte contre toute idolâtrie. Et ils auront bien du mal.

Aujourd’hui encore, ils auraient bien du mal, peut-être ; parce que, finalement, la définition d’une idole, c’est ce qui nous occupe au point de faire de nous ses esclaves : ce peut être une secte, mais aussi l’argent, le sexe, une drogue ou une autre, la télévision, ou toute autre occupation qui finit par remplir le champ de nos pensées au point de nous faire oublier le reste.

« Tu ne feras aucune idole, aucune image de ce qui est là-haut dans les cieux, ou en bas sur la terre, ou dans les eaux par-dessous la terre » : toute image de Dieu est interdite, car toute image serait fausse ; d’autre part, on ne peut posséder Dieu ; Dieu est le Tout-Autre, l’Inaccessible. C’est par pure grâce (gratuitement) qu’il se fait proche de nous.

NE PAS RETOMBER D’UN ESCLAVAGE DANS UN AUTRE

« Tu ne te prosterneras pas devant ces images pour leur rendre un culte. Car moi, le SEIGNEUR, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. » Le vocabulaire employé est un vocabulaire amoureux. C’est donc dire cet amour passionné, exigeant de Dieu qui veut son peuple libre et heureux. Un amour qui ne supporte pas de rivaux : Dieu n’est pas jaloux de nous, mais de notre liberté ; il veut nous préserver de nous engager sur de fausses pistes.

« Chez ceux qui me haïssent, je punis la faute des pères sur les fils jusqu’à la troisième et la quatrième génération ; mais ceux qui m’aiment et observent mes commandements, je leur garde ma fidélité jusqu’à la millième génération » ; dans la mentalité de l’époque, on ne pouvait pas concevoir un Dieu qui ne punirait pas ; mais le texte affirme déjà beaucoup plus fortement la fidélité perpétuelle promise par Dieu à ceux qui sont en train de contracter l’Alliance avec lui.

« Tu n’invoqueras pas en vain le Nom du SEIGNEUR ton Dieu » (verset 7) : Dieu a révélé son Nom à l’homme : c’est-à-dire en langage biblique « Dieu s’est fait connaître à l’homme ». Ce serait monstrueux de tenter d’utiliser ce don merveilleux pour le mal. Et comme Dieu n’a aucun contact avec le mal, ce serait se couper de Dieu, se condamner soi-même. C’est le sens de l’expression : « Car le SEIGNEUR ne laissera pas impuni celui qui invoque en vain son nom ».2

Les premiers commandements concernaient notre relation à Dieu. Viennent ensuite les commandements concernant notre relation à autrui, les parents puis tous les autres. « Honore ton père et ta mère... Tu ne porteras pas de témoignage contre ton prochain... » Car relation à Dieu et relation aux autres sont étroitement liées. Les derniers commandements sont en forme négative : simples balises pour une vie en société ; à nous d’inventer leur traduction concrète, positive, dans le quotidien. Chacun de ces commandements, à sa manière, fait œuvre de libération pour nous-mêmes et pour les autres. En particulier, il libère notre regard : ne pas convoiter ce qui ne nous appartient pas, est bien l’un des chemins de la liberté intérieure.

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Notes

1 - Le bonheur promis à ceux qui observent la Loi est l’une des grandes insistances du Deutéronome : « Et demain, quand ton fils te demandera : Pourquoi ces exigences, ces lois et ces coutumes que le SEIGNEUR notre Dieu vous a prescrites ? Alors, tu diras à ton fils : Nous étions esclaves du Pharaon en Égypte, mais, d’une main forte, le SEIGNEUR nous a fait sortir d’Égypte... Le SEIGNEUR nous a ordonné de mettre en pratique toutes ces lois et de craindre le SEIGNEUR notre Dieu, pour que nous soyons heureux tous les jours, et qu’il nous garde vivants comme nous le sommes aujourd’hui » (Dt 6, 20...25).

2 - D’après André Chouraqui, ce commandement s’inscrit dans le contexte judiciaire : il s’agit de faux serment prononcé pour se disculper. Au tribunal, les serments étaient toujours prononcés au nom de Dieu : le seul fait d’accepter de prêter serment d’innocence était considéré comme une preuve de non-culpabilité ; eh bien, un coupable qui jurerait (au nom de Dieu) d’être innocent ne peut espérer être acquitté par Dieu.

NB. Le commandement du sabbat est commenté pour le neuvième dimanche ordinaire – B. (tome 4 pages 132-134).


PSAUME 18 (19), 8-9. 10-11

8 La loi du SEIGNEUR est parfaite,
qui redonne vie ;
la charte du SEIGNEUR est sûre,
qui rend sages les simples.
9 Les préceptes du SEIGNEUR sont droits,
ils réjouissent le cœur ;
le commandement du SEIGNEUR est limpide,
il clarifie le regard.
10 La crainte qu'il inspire est pure,
elle est là pour toujours ;
les décisions du SEIGNEUR sont justes
et vraiment équitables :
11 plus désirables que l'or,
qu'une masse d'or fin,
plus savoureuses que le miel
qui coule des rayons.

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LA LOI, CADEAU DU SEIGNEUR

On est toujours étonnés de découvrir à quel point le peuple d’Israël aime la Loi parce qu’il la considère comme un cadeau de Dieu, le SEIGNEUR du Sinaï, Celui qui a révélé son Nom à Moïse, Celui qui a choisi ce peuple parmi tous les peuples de la terre, et l’a libéré... Celui qui a proposé à ce peuple son Alliance pour l’accompagner dans toute son existence... Celui, enfin, qui poursuit son œuvre de libération en proposant sa Loi...

Il ne faut jamais oublier qu’avant toute autre chose, le peuple juif a expérimenté la libération apportée par son Dieu. Et les « commandements » sont dans la droite ligne de la sortie d’Égypte : ils sont une entreprise de libération. Dieu a « fait sortir » (c’est l’expression consacrée) son peuple des chaînes de l’esclavage, il le fera sortir de toutes les autres chaînes qui empêchent l’homme d’être heureux. C’est cela l’Alliance Eternelle.

L’Exode était route vers la Terre Promise ; l’obéissance à la Loi est cheminement vers la véritable Terre Promise, la Patrie future de l’humanité. C’est dans le Livre du Deutéronome qu’on trouve les plus belles méditations sur la Loi ; par exemple : « Interroge donc les jours du début, ceux d’avant toi, depuis le jour où Dieu créa l’humanité sur la terre, interroge d’un bout à l’autre du monde : est-il rien arrivé d’aussi grand ? A-t-on rien entendu de pareil ?... A toi, il t’a été donné de voir, pour que tu saches que c’est le SEIGNEUR qui est Dieu : il n’y en a pas d’autre que lui... Reconnais-le aujourd’hui et réfléchis : c’est le SEIGNEUR qui est Dieu, en haut dans le ciel et en bas sur la terre ; il n’y en a pas d’autre. Garde ses lois et ses commandements que je te donne aujourd’hui pour ton bonheur et celui de tes fils après toi, afin que tu prolonges tes jours sur la terre que le SEIGNEUR ton Dieu te donne, tous les jours. » (Dt 4, 32... 40). Ou tout simplement, « Puisses-tu écouter Israël, garder et pratiquer ce qui te rendra heureux » (Dt 6, 3). Notre psaume répond en écho : « Les préceptes du SEIGNEUR sont droits, ils réjouissent le cœur ».

LE CODE DE LA ROUTE DE LA LIBERTÉ

La grande certitude acquise au long de l’histoire biblique, c’est que Dieu veut l’homme heureux, et il lui en donne le moyen, un moyen bien simple : il suffit d’écouter la Parole de Dieu inscrite dans la Loi. Le chemin est balisé, les commandements sont comme des poteaux indicateurs sur le bord de la route, pour alerter notre regard sur un danger éventuel : « Le commandement du SEIGNEUR est limpide, il clarifie le regard ». Au jour le jour, la Loi est notre maître, elle nous enseigne : la racine du mot « Torah » en hébreu signifie d’abord « enseigner ». « La charte du SEIGNEUR est sûre, qui rend sages les simples ».

Le mot « simples » ici, n’est pas péjoratif ; il ne veut pas dire « les simples d’esprit », on signifie plutôt « les humbles » ; ce sont ceux qui acceptent tout humblement de se laisser enseigner par Dieu, ceux qui cherchent de tout leur cœur à suivre la Loi de Dieu. Celui qui prie dans ce psaume est bien dans cet état d’esprit puisqu’un peu plus loin, il supplie Dieu de l’aider à persévérer dans l’humilité : « Préserve ton serviteur de l’orgueil : qu’il n’ait sur moi aucune emprise. Alors je serai sans reproche, pur d’un grand péché. »

C’est à ces humbles que s’adresse le livre du Deutéronome : « Et maintenant, Israël, qu’est-ce que le SEIGNEUR ton Dieu attend de toi ? Il attend seulement que tu craignes le SEIGNEUR ton Dieu en suivant tous ses chemins, en aimant et en servant le SEIGNEUR ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être, en gardant les commandements du SEIGNEUR et les lois que je te donne aujourd’hui pour ton bonheur ». (Dt 10, 12-13). Et le prophète Michée reprend en écho : « On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien, ce que le SEIGNEUR exige de toi : rien d’autre que respecter le droit, aimer la fidélité et t’appliquer à marcher avec ton Dieu ». (Mi 6, 8). Il n’y a pas d’autre exigence, il n’y a pas non plus d’autre chemin pour être heureux.

Pour dire le bonheur que construisent les croyants jour après jour, lorsqu’ils suivent tout simplement, mais fidèlement, la Loi de Dieu, l’auteur de notre psaume nous propose deux images : « Les décisions du SEIGNEUR sont justes et vraiment équitables, plus désirables que l’or, qu’une masse d’or fin, plus savoureuses que le miel qui coule des rayons. » Manière de dire, la vraie richesse de vos vies, le vrai bonheur, c’est l’Alliance avec Dieu.

Ce fut la grande expérience spirituelle d’Israël, pendant l’Exode dans le désert du Sinaï : expérience paradoxale puisque le désert, justement, est un lieu de pauvreté. Mais c’est là, précisément, que l’on a expérimenté la plus grande richesse du monde, la sollicitude de Dieu. Le livre du Deutéronome, quand il rappelle au peuple toute la sollicitude que Dieu lui a prodiguée pendant l’Exode, dit : « Il rencontre son peuple au pays du désert, Il lui fait sucer le miel dans le creux des pierres » (Dt 32, 13). La manne, aussi, parce qu’elle est douce et parce qu’elle est cadeau de Dieu, est comparée à du miel : « C’était comme de la graine de coriandre, c’était blanc, avec un goût de beignets au miel » (Ex 16, 31). Désormais on parlera des oignons d’Égypte, mais du miel de Canaan : il y a pourtant du miel aussi en Égypte, mais, quand les descendants de Jacob étaient en Égypte, ils n’avaient pas encore fait l’expérience de l’Exode et de la Présence de Dieu.


DEUXIÈME LECTURE – première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens 1, 22-25

Frères,
22 alors que les Juifs réclament des signes miraculeux,
et que les Grecs recherchent une sagesse,
23 nous, nous proclamons un Messie crucifié,
scandale pour les Juifs,
folie pour les nations païennes.
24 Mais pour ceux que Dieu appelle,
qu'ils soient Juifs ou Grecs,
ce Messie, ce Christ est puissance de Dieu et sagesse de Dieu.
25 Car ce qui est folie de Dieu est plus sage que les hommes,
et ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes.

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UN CRUCIFIÉ PEUT-IL ÊTRE LE MESSIE ?

On sait bien que Paul a consacré toutes ses énergies à annoncer à ses contemporains que Jésus de Nazareth était le Messie. On sait également qu’il s’adressait à des Juifs et à des non-Juifs, ceux qu’il appelle tantôt les Grecs tantôt les païens. Or, par ses origines, il connaissait bien le monde juif, et les Écritures ; en même temps, parce qu’il avait vécu une grande partie de sa jeunesse avec sa famille à Tarse, c’est-à-dire hors de Palestine, il connaissait bien le monde grec. Pour ces raisons, il était mieux placé que personne pour comprendre les difficultés des uns et des autres à entendre sa prédication : « Nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les Grecs ».

Commençons par les Juifs : pour eux, il était littéralement scandaleux de prétendre que Jésus de Nazareth, le crucifié puisse être le Messie. On peut les comprendre : depuis plusieurs siècles, l’Ancien Testament promettait le Messie ; et sa venue devait être accompagnée de signes bien précis : la restauration de la dynastie de David sur le trône de Jérusalem et l’instauration d’une paix générale et définitive. Sur ce point, Jésus les a plutôt déçus ! Plus grave encore, il est mort crucifié ; or tout le monde connaissait par cœur une certaine phrase du livre du Deutéronome ; voici ce qu’elle disait : quand un homme a été condamné à mort au nom de la Loi, quand il a été exécuté, et qu’on a suspendu son corps à un arbre (c’était une manière de faire un exemple), alors il est maudit de Dieu. (Dt 21, 22-23). Or c’est très exactement ce qui est arrivé à Jésus, donc il est maudit de Dieu, donc il n’est pas le Messie. Tout cela est parfaitement logique et c’est bien avec ce raisonnement que Paul a commencé par s’opposer de très bonne foi aux tout premiers chrétiens.

Quant aux païens, ils ne pouvaient pas non plus prendre au sérieux le personnage de Jésus : « Le monde grec recherche une sagesse », nous dit Paul. Or Jésus ne se situait pas sur ce terrain-là. Il parlait d’amour et de respect des autres, d’humilité et de confiance en Dieu. Rien à voir avec les discours philosophiques.

(A Athènes, on n’a pas écouté longtemps ce qu’ils ont appelé les balivernes de Paul !)

Mais depuis le chemin de Damas, Paul était bien obligé de se rendre à l’évidence : Christ est ressuscité, donc il est bien l’envoyé de Dieu. Que cela nous surprenne (comme les Grecs) ou nous scandalise (comme les Juifs) ne change rien à l’affaire ! Il s’est trouvé confronté à une question terrible : Jésus était bien l’envoyé de Dieu et pourtant de bonne foi les hommes l’ont éliminé ! Comment les hommes ont-ils pu se tromper à ce point ? Et comment ce crucifié peut-il être le Messie ? Ce sont les deux questions qui l’ont habité certainement très longtemps. Et on voit bien que le mystère et même le scandale de ce Messie inattendu est au cœur de toutes ses lettres.

UN AMOUR QUI VA JUSQU'À LA CROIX

A force de relire les Écritures et de méditer sur le scandale de la croix du Christ, il a découvert ce que personne n’avait imaginé : non seulement, la croix ne doit pas nous scandaliser, au contraire, elle doit nous émerveiller ! Car la croix est justement le lieu où Dieu se révèle !!! Et c’est en cela qu’elle nous délivre ! Car, enfin, nous connaissons Dieu tel qu’il est !!! Car la croix est le lieu de la révélation du plus grand amour ! Un amour capable d’aller jusque-là.

En définitive, Paul ira jusqu’à dire que la croix du Christ est le plus beau titre de gloire des Chrétiens. Il dit par exemple, dans la lettre aux Galates : (je ne veux) « pour moi, pas d’autre titre de gloire que la croix de notre Seigneur Jésus-Christ. » (Ga 6, 14) ; non seulement Jésus n’est pas un pécheur qui mérite d’être maudit mais il a accepté de souffrir pour ouvrir nos cœurs à l’incroyable amour de Dieu pour l’humanité. Et la phrase de pardon qu’il a prononcée sur la croix nous fait découvrir jusqu’où va l’amour de Dieu pour les hommes.

Quant à ceux qui trouvent les manières de Dieu non conformes à la raison humaine, Paul n’a qu’une réponse, dans cette même lettre aux Corinthiens : « Puisque le monde, par le moyen de la sagesse, n'a pas connu Dieu dans la sagesse de Dieu, c'est par la folie de la prédication que Dieu a jugé bon de sauver ceux qui croient. » (1 Co 1, 21) et un peu plus bas : « Que personne ne s’abuse : si quelqu’un parmi vous se croit sage à la manière de ce monde, qu’il devienne fou pour être sage ; car la sagesse de ce monde est folie devant Dieu. » (1 Co 3, 13). Jésus l’avait déjà dit : « Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, d’avoir caché cela aux sages et aux intelligents et de l’avoir révélé aux tout-petits » (Mt 11, 25). Notre témoignage ne peut que s’offrir sans défense : tous nos beaux raisonnements ne mèneront jamais personne à la foi ; devant le mystère de Dieu qui se manifeste dans le visage défiguré du Christ en croix entre deux bandits, tous nos édifices intellectuels s’écroulent comme des châteaux de cartes. Bienheureuse insuffisance qui peut rassurer tous les piètres prédicateurs que nous sommes... quand nous essayons de tout notre cœur de convaincre quelqu’un de la foi chrétienne, ne nous inquiétons pas de notre insuffisance ! Elle est structurelle, parce que ce mystère de Dieu ne peut que nous échapper. Ce n’est pas pour rien qu’au beau milieu de l’Eucharistie, au moment du récit de la Pâque, justement, nous disons « Il est grand, le mystère de la foi » !


ÉVANGILE – Jean 2, 13 – 25

13 Comme la Pâque juive était proche,
Jésus monta à Jérusalem.
14 Dans le Temple, il trouva installés
les marchands de bœufs, de brebis et de colombes,
et les changeurs.
15 Il fit un fouet avec des cordes,
et les chassa tous du Temple ainsi que les brebis et les bœufs,
il jeta par terre la monnaie des changeurs,
renversa leurs comptoirs,
16 et dit aux marchands de colombes :
« Enlevez cela d'ici.
Cessez de faire de la maison de mon Père
une maison de commerce. »
17 Ses disciples se rappelèrent qu’il est écrit :
L'amour de ta maison fera mon tourment.
18 Des Juifs l'interpellèrent :
« Quel signe peux-tu nous donner
pour agir ainsi ? »
19 Jésus leur répondit :
« Détruisez ce sanctuaire,
et en trois jours je le relèverai ! »
20 Les Juifs lui répliquèrent :
« Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire,
et toi, en trois jours tu le relèverais ! »
21 Mais lui parlait du sanctuaire de son corps.
22 Aussi, quand il se réveilla d'entre les morts,
ses disciples se rappelèrent qu'il avait dit cela ;
ils crurent à l'Écriture
et à la parole que Jésus avait dite.
23 Pendant qu'il était à Jérusalem pour la fête de la Pâque,
beaucoup crurent en son nom,
à la vue des signes qu'il accomplissait.
24 Jésus, lui, ne se fiait pas à eux,
parce qu'il les connaissait tous
25 et n'avait besoin d'aucun témoignage sur l'homme ;
lui-même, en effet, connaissait ce qu'il y a dans l'homme.

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LA COLÈRE DU PROPHÈTE

Mettons-nous à la place de ceux qui ont assisté à cette colère de Jésus : il y a longtemps qu’on trouve sur l’esplanade du Temple des marchands d’animaux ; quand on vient en pèlerinage à Jérusalem, parfois de très loin, on s’attend bien à trouver sur place des bêtes à acheter pour les offrir en sacrifice. Quant aux changeurs de monnaie, on en a besoin aussi : on est sous occupation romaine, et les pièces frappées à l’effigie de l’empereur sont indignes de figurer à la quête ! Et pourtant, en ville, elles sont indispensables. Donc, en arrivant au Temple, on change ce qu’il faut contre de la monnaie juive. Alors, qu’est-ce qui le prend ?

Comme souvent, il agit d’abord, il explique ensuite, mais on ne comprend pas bien, ou pas du tout. On comprendra plus tard : « Quand il ressuscita d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent aux prophéties de l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite » (verset 22). Et encore, tout le monde ne comprendra pas...

Pour l’instant, la violence de Jésus est inattendue, ses paroles encore plus ! Et le reproche qu’il fait aux vendeurs (« Ne faites pas de la Maison de mon Père une maison de trafic ») laisse entendre qu’il se prend pour un prophète ; Jérémie avait lancé : « Cette Maison sur laquelle mon Nom a été proclamé, la prenez-vous donc pour une caverne de bandits ? » (Jr 7, 11). Mieux, il se prend carrément pour le Messie : car le prophète Zacharie avait annoncé : « Il n’y aura plus de marchand dans la Maison du Seigneur le tout-puissant en ce jour-là » (sous-entendu le jour de la venue du Messie ; Za 14, 10). Et, pire encore peut-être, en parlant du Temple de Jérusalem, il ose dire « la maison de mon Père ».

Devant cette prétention, il y a deux attitudes possibles : ouvrir grand ses oreilles pour essayer de comprendre (c’est ce que font les disciples), ou bien remettre ce prétentieux, ce faux messie à sa place (c’est l’attitude de ceux que Jean appelle « les Juifs »). En réalité, Juifs, ils le sont tous. Mais certains ont déjà vu Jésus à l’œuvre : et depuis le Baptême au bord du Jourdain, depuis les noces de Cana, ils ont pressenti plusieurs fois que Jésus était bien le Messie ; alors ils sont préparés à reconnaître dans l’attitude de Jésus un geste prophétique.

D’autant plus qu’à vrai dire, tout le monde sait que les animaux des sacrifices ne devraient pas être là : normalement, les marchands de bestiaux auraient dû se trouver dans la vallée du Cédron et sur les pentes du mont des Oliviers. Peu à peu, ils se sont rapprochés du temple jusqu’à s’installer sur l’esplanade ! C’est cela que Jésus leur reproche, à juste titre.

Alors une phrase du psaume 68/69 revient à la mémoire des disciples : « Le zèle de ta maison m’a dévoré ». C’est la plainte de quelqu’un qui est persécuté à cause de sa foi : « Dieu d’Israël, c’est à cause de toi que je supporte l’insulte... Oui, le zèle pour ta maison m’a dévoré ; ils t’insultent et leurs insultes retombent sur moi. » (Ps 68/69, 8-10). Le psaume parle au passé : « Le zèle pour ta maison m’a dévoré », alors que Jean reprend cette phrase au futur : « Le zèle de ta maison me dévorera ». Manière d’annoncer la persécution qui attend Jésus et qui commence déjà d’ailleurs ! Nous sommes encore au tout début de l’évangile de Jean, mais le procès de Jésus est déjà esquissé. A lui, bientôt, s’appliquera pleinement la plainte des persécutés pour la justice : « L'amour de ta maison fera mon tourment ».

DÉTRUISEZ CE TEMPLE, ET EN TROIS JOURS JE LE RELÈVERAI

Car ceux que Jean appelle les « Juifs » n’ont pas, à son égard, la même bienveillance que les disciples. Pour eux, il n’est rien : un Galiléen (et peut-il sortir quelque chose de bon de par là-bas ?) et il se permet de critiquer les pratiques habituelles du Temple. Soyons justes : ils n’ont pas forcément tort de lui demander de se justifier... « Quel signe peux-tu nous donner pour justifier ce que tu fais là ? » La réponse de Jésus deviendra lumineuse pour les croyants après la Résurrection : « Détruisez ce Temple, et en trois jours je le relèverai ». Pour l’instant, c’est le quiproquo total : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce Temple1, et toi, en trois jours, tu le relèverais » ; en bonne logique, on ne peut pas leur donner tort. Un homme tout seul ne peut évidemment pas entreprendre des travaux pareils ! Il ne peut y arriver ni en trois jours, ni en quarante-six ans, ni en toute une vie !

Ce Temple magnifique, respecté de tous, parce qu’il est le signe manifeste de la présence de Dieu au milieu de son peuple, ce Temple n’attend rien du charpentier de Nazareth. Avec son histoire de trois jours, il est un peu court...

Encore que... pour un Juif, habitué de l’Écriture, trois jours c’était un chiffre dont on parlait souvent : c’était habituellement une manière symbolique d’affirmer « Dieu interviendra certainement » ; on lit cela dans le livre d’Osée, par exemple ; or, le livre d’Osée, nos Juifs le connaissaient sur le bout du doigt, sûrement ! Oui, mais... les prophètes, on a l’habitude qu’ils parlent comme cela, de façon énigmatique, symbolique... mais lui, à leurs yeux, ce n’est pas un prophète !

Tout le problème est là, d’après Jean : et s’il a placé cet épisode du Temple au début du ministère public de Jésus alors que les trois autres évangiles le placent au contraire tout à la fin, c’est peut-être pour nous alerter : il y a des a priori qui empêchent Dieu de parler. Les disciples n’avaient pas de ces a priori, ils ont pu accompagner Jésus pas à pas et le découvrir peu à peu ; au contraire, ses opposants se sont enfermés dans leurs certitudes ; ils sont, du coup, passés à côté de cette révélation extraordinaire, qu’ils attendaient pourtant de tout leur cœur : désormais, la Présence de Dieu n’est pas dans une construction de pierre, mais au cœur même de l’humanité, dans le corps du Ressuscité.

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Note

1 - Quand ils comptent quarante-six ans, les Juifs ne parlent pas de la construction du Temple à partir de rien ! Ils parlent des travaux de restauration entrepris par Hérode : ces travaux d'agrandissement et de décoration avaient débuté en 19 av. J.-C. ; donc, nous sommes probablement en 27 de notre ère.

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 00:00
1126
Urraque Ire de CastilleStatue de J.P. de Mena (v. 1750)Parc du Buen Retiro, Madrid
 Urraque Ire de Castille
 reine de Castille et de Leon1082)

1144
Image du pape Célestin II
 Célestin II
(Guido di Castello)
 pape

 


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 Wincenty Kadłubek, historien et religieux polonais 
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27 mai 1178 - 8 mars 1233 à l'âge de 55 ans

 

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 noble italien 

 

1465

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Francesco Ier SFORZA

23 juillet 1401 - 8 mars 1465
Age: 63 ans

 

 

1616

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Marie-Anne DE BAVIERE

8 décembre 1574 - 8 mars 1616 à l'âge de 41 ans

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1709

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François-Louis DE BOURBON-CONTI
30 avril 1664 à Paris- 8 mars 1709 à Paris à l'âge de 45 ans
Bien qu'élu par la Diète et proclamé roi par le primat, il n'a jamais pu s'assoir sur le trone.
Son rival l'ayant précédé en Pologne, il rentra en France
Parents
Parrain et marraine
duc de Bretagne, dauphin de France (1712-1712)
C'est un arrière-petit-fils de Louis XIV. À sa naissance, il fut titré duc de Bretagne, puis devient dauphin de France à la mort de son père le 18 février 1712.
Il ne lui survivra que peu de temps, et son frère Louis, le futur Louis XV, lui succède.
image
Parents
Seul survécut leur plus jeune fils, le duc d'Anjou, alors âgé de deux ans seulement, et qui devint le roi Louis XV en 1715.


1824
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Jean Jacques CAMBACERES
prince de l'Empire (24 avril 1808), duc de Parme (24 avril 1808-1815), duc de Cambacérès
Membre de l'Institut de France (Académie des Sciences Morales et Politiques, 20 novembre 1795)
 Membre de l'Académie française (n° 283, 28 janvier 1803)
membre de la Société libre des Sciences de Montpellier, 1805
Homme politique
Député au Conseil des Cinq-Cents
 Ministre de la Justice (1799)
 Ministre de la Justice (1815)
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Conventionnel, ministre, consul, Archichancelier de l'Empire, président de l'Institut (Académie des sciences morales et politiques) (1801-1801), prince-duc de Parme (24 avril 1808), pair de France, membre de l'Académie Française (283, 1803 - 23 juillet 1815), Grand Maître-adjoint du Grand Orient de France (1806-1815)

Armoiries : « D'or au sénestrochère au naturel, paré de gueules, rebrasé d'hermines, mouvant de senestre, tenant les tables de la loi de sable ; le tout accompagné de trois losanges de même ; au chef d'azur semé d'abeilles d'or.»

De nombreux historiens ont vainement cherché une quelconque symbolique dans les armoiries de Cambacérès. Ce sont tout simplement les armoiries d'une de ses aïeules Marie Barbé qui épouse Jacques de Cambacérès en octobre 1668. Seul ajout : le chef d'azur semé d'abeilles d'or, attribut des princes grands dignitaires.

Jean Jacques de Cambaceres

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 Bernadotte, général d'empire devenu Charles XIV, roi de Suède
26 janvier 1763 - 8 mars 1844 à l'âge de 81 ans
Inhumé au Riddarholmskyrkan (Riddarholm Church)
à Stockholms Lan, Sweden
Carl XIV John

1878

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prince impérial, Erzherzog von Österreich
(François-Charles-Joseph von Habsburg-Lothringen)
image Frank Karl Joseph Von Habsburg-Lothringen
Parents

 


1955


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Clémentine DE BELGIQUE
princesse de Belgique, duchesse de Saxe, princesse de Saxe-Cobourg-Gotha



1958

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Eulalie DE BOURBON
infanta de España
Du fait de ce mariage, Antoine d’Orléans devient une seconde fois le beau-frère d’Alphonse XII d’Espagne, qui l’était déjà en tant qu’époux de Mercedes d’Orléans (1860-1878), sœur d’Antoine.
l'infanta Eulalia avec son mari duc de Galliera et ses beaux parentes duc et duchesse de Montpensier.
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1991
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Michel D'ORNANO
Descendant de Marie Walewska et du maréchal d'Ornano, fils du comte Guillaume d'Ornano (1894-1985) cofondateur des parfums Lancôme,
né à Paris 8ème le 12 juillet 1924
mort à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) le 8 mars 1991à l'âge de 66 ans
 homme politique français.
Député du Calvados
Industriel
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Président du conseil régional de Basse-Normandie
1974

Ministre de la Culture 1977-1978
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Ministre français de l'écologie et du développement durable
1978-1981
Ministre de la Culture 1981-1981



Parents


2010
La comtesse Thierry Heurtault de Lammerville, son épouse,
le comte et la comtesse Julien Heurtault de Lammerville, Delphine, Juliette, Oscar, le comte et la comtesse Diego Heurtault de Lammerville, Albert, Elie, ses enfants et petits-enfants,
Mme François Aupetit, Mme Régis du Rivau, ses sœurs,
ses neveux et nièces,
ont la tristesse de vous faire part du rappel à Dieu du
comte Thierry HEURTAULT de LAMMERVILLE
La cérémonie religieuse sera célébrée le lundi 8 mars 2010, à 11 heures, en l'église Saint-Pierre de Neuilly-sur-Seine. L'inhumation aura lieu le même jour, à 14 h 30, au cimetière du Gault-du-Perche (Loir-et-Cher).
128, avenue Achille-Peretti, 92200 Neuilly-sur-Seine.


2010
Madame Carl VAN MARCKE,
son épouse;

Monsieur et Madame Peter VAN MARCKE,
Le Comte et la Comtesse Alexis d'OULTREMONT,
ses enfants;
 
Monsieur Donald VAN MARCKE,
Mademoiselle Eléonore VAN MARCK,
Monsieur Hippolyte VAN MARCKE,

Le Comte Aldric d'OULTREMONT,
La Comtesse Charline d'OULTREMONT,
Le Comte Harald d'OULTREMONT,
ses petits-enfants;
 
Monsieur et Madame Jean VAN MARCKE,
  leurs enfants et petits-enfants,
Monsieur Bruno VANMARCKE et ses enfants,

Monsieur et Madame Louis van SOEST,
  leurs enfants et petits enfants,
Madame Jean-Pierre GREGOIR,
  ses enfants et petits-enfants,
ses frères, beau-frère, belles-soeurs, neveux, nièces,
petits-neveux et petites-nièces;
 
Fanny,
qui lui fut si dévouée;
 
Les prof. docteurs qui lui furent si dévoués,

Les familles VAN MARCKE, DE ROECK, DECRUYENAERE,
  DE NEEF et DEGEZELLE,
 
ont l'honneur de faire part du décès de
 
MONSIEUR
Carl VAN MARCKE
 
époux de Dame Lena DE ROECK
 
Industriel

Fondateur de sociétés
Président du Groupe VAN MARCKE
Fondateur de IZOLA BANK p.l.c.

Ingénieur Commercial - Université Catholique de Louvain
Master of Science in Engineering - University of California
at Berkeley
 
né à Courtrai le 3 avril 1939 et pieusement décédé à Gand le 8 mars 2010, muni du Sacrement des malades.
 
Le service religieux sera célébré en l'église Saint-Martin à Courtrai, le SAMEDI 13 MARS 2010 à 11 heures.
 
Réunion à l'église
 
L'offrande tiendra lieu de condoléances.

L'inhumation dans le caveau de famille au cimetière Saint-Jean à Courtrai, aura lieu dans l'intimité.

Ni fleurs, ni couronnes.
 
8500 KORTRIJK - Weggevoerdenlaan, 5.
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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 00:00

Sans postérité légitime
Il désigne sa nièce Jeanne et son mari Charles de Blois pour lui succéder.
Parents
Relations
texte

Transport du tombeau de Jean III le Bon

et Guerre de succession qui s'en sui

texte


 militaire, président du Conseil général du département du Mont-Blanc et comte


1778
Jean-Thomas Arrighi de Casanova
 Jean-Thomas Arrighi de Casanova
 général du Premier Empire 

 

1925

 

13ème prince de Ligne

 

prince d'Amblise et d'Epinoy


(Antoine Marie Joachim Lamoral de Ligne)

 

Major d'aviation, bailli grand croix de l'Ordre Souverain de Malte

 
Parents

 


1904 

Évêque de l’Église catholique
Jacques Le Cordier


évêque catholique français, premier évêque de Saint-Denis
Évêque émérite de Saint-Denis
Blason de Jacques Le Cordier
 
Naissance 8 mars 1904 à Paris 
Ordination
sacerdotale
29 juin 1928
Consécration
épiscopale
23 juin 1956 par le cardinal Maurice Feltin
Évêque Évêque auxiliaire de Paris
Évêque de Saint-Denis
Décès 17 février 2003



























1932 

Cardinal

Rodolfo Quezada Toruño
de l'Église catholique romaine
http://padrehugo.files.wordpress.com/2006/09/dsc_0028.JPG?w=440&h=660
cardinal guatémaltèque, archevêque de Guatemala City.
Cardinal-prêtre
de S. Saturnino
Blason de Rodolfo Quezada Toruño
 
Naissance 8 mars 1932 à Guatemala
Ordination
sacerdotale
21 septembre 1956 par Mgr Mariano Rossell y Arellano
Consécration
épiscopale
13 mai 1972 par Mgr Girolamo Prigione
Évêque Évêque auxiliaire de Zacapa (Guatemala)
Évêque de Zacapa (Guatemala)
Archevêque de Guatemala
Créé
cardinal
21 octobre 2003 par le pape Jean-Paul II


1941 

Cardinal

Wilfrid Fox Napier
de l'Église catholique romaine
http://www.havelshouseofhistory.com/Napier0001.png
cardinal sud-africain, archevêque de Durban.
Cardinal-prêtre
de S. Francesco d’Assisi ad Acilia
Blason de Wilfrid Fox Napier
 
Naissance 8 mars 1941 à Swartberg (Afrique du Sud)
Ordination
sacerdotale
25 juillet 1970 par Mgr John Evangelist McBride
Consécration
épiscopale
28 février 1981 par Mgr Denis Eugene Hurley
Évêque Évêque de Kokstad (Afrique du Sud)
Archevêque de Durban
Créé
cardinal
21 février 2001 par le pape Jean-Paul II

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1973
(Nicolas Jacques Marie Joseph de Saint-Exupéry)
Parents
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louis XX 01

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capetiens
(Pierre-Yves Guilain)
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Pere-Lachaise
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Généalogie, cimetières, patrimoine parisien
graveyart: sur les cimetières parisiens (en hollandais)

Histoires des souverains d'Europe et images de leurs tombeaux 

kaisergruft

(site sur les sépultures des Habsbourg notamment sur la crypte des Capucins)

MAISON CIVILE DU ROI. (1)

d'après le Dictionnaire encyclopédique de la noblesse de France
Nicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842)- Paris, 1816



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Introduction

  Accueil



Rois de France


Génobaud
roi Franc
(légendaire)
à la fin du IVe siècle
354-419
Sunnon
roi Franc des Ampsivares 
et des Chattes (légendaire)
à la fin du IVe siècle
388-xxx
Marcomir
roi Franc des Ampsivares 
et des Chattes (légendaire)
à la fin du IVe siècle
Pharamond
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Duc des Francs Saliens 

(légendaire)
ancêtre mythique des Mérovingiens
Clodion le Chevelu
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Duc des Francs saliens
428 - 448

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Duc des Francs saliens 
(incertain)
448 - 457
Childéric Ier
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Duc et Roi des Francs saliens
457 - 481
Clodomir
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Roi d'Orléans
511524
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Roi de Metz
(futur Austrasie)
511534
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Roi de Neustrie
511561
Roi des Francs
558561
Roi d'Austrasie
53454
Théodebald Ier
(Thibaut)
Roi d'Austrasie
548555
561567
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Roi de Neustrie 
Roi de Bourgogne
561592
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Roi d'Austrasie
561575
Roi d'Austrasie
Roi d'Austrasie
595 - 612
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Roi de Bourgogne
595613
Roi d'Austrasie
61261
sous la régence de Brunehilde
Roi de Bourgogne
Roi d'Austrasie
613
Roi de Neustrie
584629
Roi de Paris
595
629
Roi des Francs
613629
Roi des Francs (sans l'Aquitaine)
629639
Roi des Francs
632639
Caribert II
 Roi d'Aquitaine
629632
Roi de Neustrie, de Bourgogne
639657
Roi d'Austrasie
656657
Roi d'Austrasie
639656
Childebert III l'Adopté
Roi d'Austrasie
657662
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Roi de Neustrie, de Bourgogne
65767






Roi d'Austrasie
662675
Occupe la Neustrie
673675







Roi de Neustrie
673691
Roi des Francs 

(en fait uniquement de Neustrie)
L'Austrasie étant aux mains
de Pépin de Herstal
679
691

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Roi de Neustrie, Bourgogne et Austrasie
675 - 676
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Roi d'Austrasie
676679
Clovis IV








Roi des Francs
(en fait uniquement de Neustrie)
691695









Roi des Francs
(en fait uniquement de Neustrie)
695711
Dagobert III









Roi des Francs de 711 à 715
Chilpéric II









roi des Francs de Neustrie et des Burgondes
de 715 à 719
puis de tous les Francs de 719 à 721.
C
lotaire IV


T
hierry IV









Childéric III
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roi des Francs, de Neustrie
de Bourgogne et d'Austrasie
de 743 à 751

************

 

 


Pépin III le Bref
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Carloman Ier
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C
harles Ier
dit Charles le Grand
CHARLEMAGNE

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Louis Ier dit le Pieux
ou «le Débonnaire»
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Lothaire Ier
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Lothaire II

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C
harles II dit le Chauve
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Louis II dit le Bègue
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Louis III de France
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C
arloman II de France
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Charles III dit le Gros
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Eudes Ier de France
Robertin
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Charles III dit le Simple
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Robert le Fort
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Robert Ier de France

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Hugues le Grand
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Raoul Ier de France
aussi appelé Rodolphe

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Louis IV dit d'Outremer
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Lothaire de France
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Louis V dit le Fainéant
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Dernier roi de la lignée
des Carolingiens
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H
ugues Capet
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Robert II le Pieux
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Hugues II de France
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(1007-1025)
Roi de France associé
1017 - 1025
Henri Ier de France
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Philippe Ier de France
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Louis VI le Gros
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Louis VII Le Jeune
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Philippe II Auguste
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Louis VIII le Lion
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Louis IX (Saint Louis)
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Philippe III de France
dit le Hardi
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Philippe IV le Bel
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Louis X le Hutin
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Jean Ier le Posthume

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Philippe V
le Long
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Charles IV le Bel
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Valois
Philippe VI le Fortuné
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Jean II le Bon
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Charles V le Sage
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Charles VI le Fol ou le Bien-Aimé
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Charles VII le Victorieux
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Louis XI de Valois
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Charles VIII de Valois
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Louis XII d'Orléans
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François Ier d'Angoulème
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Henri II d'Angoulème
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François II d'Angoulème
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Charles IX d'Angoulème
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Henri III d'Angoulème
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